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jeudi 24 juillet 2014

scan OCR de l'arrêté: La témoin des violences de 2008 exclue pour 2 ans de l'Education Nationale par l'Inspecteur d'Académie Philippe Carrière après 1 an de harcèlement moral. pour qu'elle s'excuse auprès de l'inspecteur Patrick Deplanque


par Yanick Toutain

" je vous signale que cette sanction
 de l'exclusion temporaire
 a été proposée à l'unanimité
 des membres du conseil
."
extrait du texte signé Philippe Carrière
Preuve que les syndicats participent
 à la répression contre les témoins
 de violences à enfants
 pour protéger leurs adhérents délinquants.

"Considérant que l'enquête administrative réalisée le 17 avril 2014 a établi que Madame Julie AMADIS a distribué des tracts de soutien dont le contenu met en cause nominativement plusieurs fonctionnaires de l'Etat ainsi que le fonctionnement de l'Académie. "
Un faux en écritures publiques
 par fonctionnaire ayant autorité
 commis par Philippe Carrière.
 Il sera condamné pour cela

"Considérant que Madame Julie AMIDIS.
dûment convoquée,
ne s'est pas présentée lors de la réunion
 de la commission administrative paritaire
départementale siégeant
 en formation disciplinaire.
Une "bourde" parmi les documents.
 Une exclusion gravissime et ces gens-là
 ne sont même pas capable d'orthographier
correctement le nom de famille de leur victime !

OMERTA76 PROTÈGE LES AGRESSEURS D'ENFANTS DANS LES ÉCOLES !
PHILIPPE CARRIÈRE EST LEUR CHEF
CLAUDINE SCHMIDT-LAINE LA RECTRICE DE ROUEN COORDONNE LA RÉPRESSION CONTRE LES TÉMOINS DE VIOLENCES.
CE RÉSEAU OMERTA76 PROTÈGE LES AGRESSEURS D'ENFANTS


En janvier 2008, Julie Amadis avait vu un enfant de 3 ans se faire taper par une employée municipale d'Antoine Rufenacht. Cela se passait à l"école maternelle Varlin du Havre.
Julie Amadis avait ensuite entendu Véronique Combret, la directrice de l'école maternelle dire
 "J'en fais autant avec Luciano. Sans culpabiliser".
Ces faits réels, personne ne les changera jamais.
En juin 2008, Julie Amadis avait perdu son emploi d'assistante pédagogique.

PLAINTE EN DIFFAMATION 2008 SIGNÉE
VÉRONIQUE COMBRET CAROLE HERVIEU


Une des coupables tenta de me poursuivre en diffamation pour camoufler son comportement passible de 3 ans de prison.
Ma réponse fut la chanson "La Brute soutient la Brute".

AUCUNE ENQUÊTE SUR LES VIOLENCES EN 2008
"IL Y A PIRE A CAUCRIAUVILLE"
ARGUMENTA L'OFFICIER DE POLICE

Une chanson écrite après que le pseudo "Capitaine Maelle" du commissariat du Havre eut le culot de m'annoncer que les agressions commises à l'école maternelle Varlin de Caucriauville se seraient pas l'objet d'une enquête. Au motif qu'"il y a pire à Caucriauville".
En somme on peut taper les enfants du peuple dans les écoles si des violeurs font pire.

CLASSEMENT DE LA PLAINTE DÉPOSÉE PAR UNE DES AGRESSEUSES
 ET PAR SA COMPLICE, LA PRINCIPALE DU COLLÈGE VARLIN

Et la plainte en diffamation fut classée.
Quand la témoin Julie Amadis compléta à bac+5 ses études pour devenir professeur des écoles en 2011, elle ignorait que l'inspecteur Patrick Deplanque qui avait protégé les deux agresseuses se vengerait en trois ans plus tard. Avec la protection de la rectrice Claudine Schmidt-Lainé, de l'inspecteur d'académie Philippe Carrière et de tout le réseau de protections des agresseurs d'enfants dans les écoles de Seine-Maritime : OMERTA76.

Voici le SCAN OCR du texte de l'exclusion. Un faux en écritures de plus qui vaudra de la prison pour les coupables. A commencer par son signataire : l'IA voyou Philippe Carrière.
"Les peines sont portées à quinze ans de réclusion criminelle et à 225 000 euros d'amende lorsque le faux ou l'usage de faux est commis par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public agissant dans l'exercice de ses fonctions ou de sa mission." (Article 441 du corde pénal) (lire aussi l'article sur les faux commis par l'IEN Basély sur ordre de Philippe Carrière et recelès ensuite par lui pour infliger un avertissement à Julie Amadis)


Le texte de l'exclusion est rempli de mensonges - mensonges directs ou par omission. Un courrier caractérisable de faux en écritures publiques par fonctionnaire ayant autorité. Philippe Carrière risque 15 ans de prison !

PLUS BESOIN DE DATES, DE LIEUX, DE FAITS PRÉCIS !
L'ÉTAT VOYOU FAIT CE QU'IL VEUT EN 2014

Le lecteur attentif cherchera vainement quelle est donc la date de la commission des faits "avérés et d'une exceptionnelle gravité" "de nature à porter atteinte à l'éducation nationale".

Pas pour l'Etat voyou ! L'Etat français n'a plus besoin de s’embarrasser de présenter des faits, des dates, des heures, des lieux !
Il suffit maintenant aux fonctionnaires fascistes d'inventer... mais sans donner de détail susceptible de faire révélateur des mensonges et des élucubrations.

Pas de date pour cette accusation d'a voir "distribué des tracts de soutien dont le contenu met en cause nominativement plusieurs fonctionnaire de l'Etat ainsi que le fonctionnement de l'Académie".
Le lecteur attentif cherchera en vain le (ou les) lieux de ces distributions de tracts.
C'est logique : les 2 courriers de dénonciation contre leur collègues (signé des deux directeurs des écoles Valmy 1 et Valmy 2  Patrick Clabaut et Brigitte Boniou) qui reprochaient les distributions - par les délégués élus des parents d'élèves - ne mentionnaient aucune participation de l'accusée à ces distributions.

LES 2 COURRIERS DE DÉNONCIATION CONTRE JULIE AMADIS SIGNÉS PAR PATRICK CLABAUT ET BRIGITTE BONIOU NE MENTIONNAIENT PAS DE PARTICIPATION A LA DISTRIBUTION DE TRACTS

Les deux acteurs du harcèlement moral depuis la rentrée de septembre n'étaient pas allés jusqu'à ce mensonge. Ils avaient écrit - dans leurs 2 lettres quasiment identiques du 26 mars 2014
"Nous vous informons que Madame Amadis, enseignante à l'école Valmy 1 pour 75% et à Valmy 2 pour 25% le jeudi, a demandé à certains parents de distribuer le vendredi 21 mars à 16h30 et lundi 24 mars à 16h30, sur le parvis des écoles des tracts les mettant en garde contre "des violences exercées dans certaines écoles du Havre"

LA DÉNONCIATION DU 26 MARS
"A DEMANDÉ A CERTAINS PARENTS"
 S'EST MÉTAMORPHOSÉ DANS LA CONDAMNATION EN
 "A PARTICIPÉ A"
UN FAUX EN ÉCRITURES PUBLIQUES COMMIS
PAR MONIQUE BÉAUR ET PHILIPPE CARRIÈRE

On voit donc que le mensonge initial s'est métamorphosé en accusation de participation. Comment cela est-il possible ?
Pas compliqué : l'agresseur d'enfants Léon Launay a témoigné que Julie Amadis a été vue au marché d'Harfleur...... elle n'y a jamais mis les pieds !

L'AVERTISSEMENT A DISPARU DU DOSSIER ?

Quant au fond du dossier, on remarquera qu'il a été effacé purement et simplement : l'avertissement préalable infligé à Julie Amadis par ce même IA Carrière a disparu des considérants ! Logique pour ces fascistes : il ne fallait pas que le courrier adressé à la rectrice Schmidt-Lainé apparaisse dans le dossier !
Il aurait été logique que l'exclusion fasse suite à cet avertissement donné au mois de mars à Julie Amadis. Mais le mentionner aurait entrainé l'apparition du harcèlement moral exercé par toute cette bande d'agresseurs d'enfants et leurs complices. Il fallut donc faire disparaitre aux oubliettes l'avertissement.

LE COURRIER SIGNE PHILIPPE CARRIÈRE PRÉSENTANT SON ARRÊTÉ D'EXCLUSION DE 2 ANS
CONTRE LA TÉMOIN DES VIOLENCES

Académie de Rouen Direction des services départementaux de l'éducation nationale de la Seine-Maritime
DIVISION DES PERSONNELS ENSEIGNANTS DU 1. DEGRE
Dossier suivi par Jacques-Manuel Mounier Téléphone 02 32 08 99 47 Fax 02 32 08 99 50 Mél. dipe76@ac-rouen.fr
5 place des Faïenciers 76037 Rouen cedex
Liberté • Égalité • Fraternité RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
Le 17 juillet 2014
L'inspecteur d'académie - directeur académique des services de l'éducation nationale directeur des services départementaux de l'éducation nationale de la Seine-Maritime
À
Madame Julie AMADIS 76600 LE HAVRE
Lettre recommandé avec accusé de réception
Objet : Notification de sanction disciplinaire
La commission administrative paritaire départementale compétente à l'égard des instituteurs et des professeurs des écoles siégeant en formation disciplinaire ayant été entendue le 3 juillet 2014, je vous informe qu'en application de l'article 66 de la loi n°84-16 du 11 janvier 1984 modifiée portant dispositions statutaires relatives à la fonction publique, j'ai décidé de vous infliger la sanction disciplinaire de l'exclusion temporaire pour une durée de deux ans.
Vous trouverez ci-joint l'arrêté correspondant.
En application des dispositions de l'article 10 — 1' et 3ème alinéa du décret 84-961 DU 25 octobre modifié relatif à la procédure disciplinaire concernant les fonctionnaires de l'Etat, je vous signale que cette sanction de l'exclusion temporaire a été proposée à l'unanimité des membres du conseil. 
Dès lors, vous n'avez pas la possibilité de saisir de la décision la commission de recours du conseil supérieur de la fonction publique de l'Etat.
(signature)
Philippe CARRIÈRE

SCAN OCR DE L’ARRÊTÉ D'EXCLUSION
DE DEUX ANS
PRONONCE CONTRE JULIE AMADIS


académie de Rouen
 direction des services départementaux de l'éducation nationale Seine-Maritime Liberté • Égalité • Fraternité
 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE
 

Le Recteur de l'Académie de Rouen 
Vu la loi n°83-634 du 13 juillet 1983 modifiée portant droits et obligations des fonctionnaires. ensemble la loi n°84-16 du 11 janvier 1984 modifiée portant dispositions statuaires relatives à la fonction publique de !Etat.
 Vu le décret nr 84-961 du 25 octobre 1984 modifié relatif à la procédure disciplinaire concernant les fonctionnaires de [État
Vu le décret n° 2012-16 du 5 janvier 2012 relatif à l'organisation académique
Vu l'arrêté de Madame le Recteur en date du 17 janvier 2013 donnant délégation de signature à Monsieur Philippe Carrière, inspecteur d'académie. directeur académique des services de l'éducation nationale de la Seine-Maritime
Vu l'enquête administrative réalisée par madame BÉAUR et Madame Maryline VINCENT, Inspectrices de l'éducation nationale le 17 avril 2014.
Vu la lettre de Monsieur le directeur des services départementaux de l'éducation nationale datée du 28 mai 2014 et notifiée à Madame Julie AMADIS le 30 mai 2014, l'informant de l'engagement à son encontre d'une procédure disciplinaire, portant convocation devant l'instance paritaire départementale compétente le 3 juillet 2014 afin de porter un avis sur sa situation. et l'informant notamment de son droit à communication de son dossier administratif et de la possibilité de se faire assister par un ou plusieurs défenseurs de son choix.
Vu que l'intéressée a pris connaissance de son dossier administratif le 19 juin 2014 Entendue la commission administrative paritaire départementale des instituteurs et des professeurs des écoles réunie le 3 juillet 2014
Considérant que Madame Julie AMIDIS. dûment convoquée, ne s'est pas présentée lors de la réunion de la commission administrative paritaire départementale siégeant en formation disciplinaire.
Considérant que la commission administrative paritaire départementale compétente a régulièrement délibéré et émis un avis


Considérant que l'enquête administrative réalisée le 17 avril 2014 a établi que Madame Julie AMADIS a distribué des tracts de soutien dont le contenu met en cause nominativement plusieurs fonctionnaires de l'Etat ainsi que le fonctionnement de l'Académie. Par ailleurs, elle a également par son comportement provoqué la déstabilisation de la communauté éducative et troublé gravement le bon fonctionnement des écoles dans lesquelles elle intervenait.
 Considérant que les faits susmentionnés, sont avérés et d'une particulière gravité, eu égard à la nature des fonctions exercées, et aux obligations qui incombent au personnel enseignant, et sont de nature à porter atteinte à l'éducation nationale.
ARRETE  ARTICLE 1  : La sanction disciplinaire de l'exclusion temporaire de fonctions pour une durée de deux ans est prononcée à l'encontre de Madame Julie AMADIS à compter de la date de la notification du présent arrêté.
ARTICLE 2 Le Secrétaire Général de la direction des services départementaux de l'éducation nationale de la Seine-Maritime est chargé de l'exécution du présent arrêté.
ARTICLE 3: Si l'intéressée estime devoir contester cette décision, elle peut former - soit un recours gracieux qu'il lui appartiendra de m'adresser, - soit un recours hiérarchique devant le ministre de l'éducation nationale, - soit un recours contentieux devant le tribunal administratif territorialement compétent. Le recours gracieux ou hiérarchique peut être fait sans condition de délai. En revanche, le recours contentieux doit intervenir dans un délai de 2 mois à compter de la notification de la présente décision.
Toutefois si elle souhaite en cas de rejet du recours gracieux ou hiérarchique former un recours contentieux. le recours ce.-r: . été introduit dans le délai sus-indiqué du recours contentieux. elle conservera ainsi la possibilité de former un contentieux dans un délai de 2 mois à compter de la décision intervenue sur ledit recours. Cette décision peut être explicite ou implicite (absence de réponse de l'administration pendant 2 mois). Dans les cas très exceptionnels où une décision explicite intervient dans un délai de 2 mois après la décision implicite — c'est à dire dans un délai de 4 mois à compter de la date du présent avis — elle dispose à nouveau d'un délai de 2 mois à compter de la notification de cette décision explicite pour former un recours contentieux. 
Rouen le 16 juillet 2014 
Pour le Recteur et par délégation L'inspecteur d'académie — Directeur Directeur de r\lices Département.. x de académique de ' ucon Nationale Educaton 
Destinataires Intéressée — Dossier DSDEN — IEN Le Havre Ouest 
Philippe CARRIÈRE 



NOTA BENE
Ce scan OCR a été exécuté par un robot. Seule fait foi la copie image du texte papier à partir de laquelle le robot a reconnu les caractères.
Si vous trouvez une erreur de scan OCR veuillez la signaler en commentaire. Merci


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