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samedi 28 février 2015

Abdoulaye Camara fut agressé une heure avant sa mort par 6 (+-) inconnus dont une femme au moins: La vérité camouflée par le procureur Francis Nachbar Un article de Abdourahmane P. Camara (Paix et Liberté)

Abdoulaye Camara fut agressé une heure avant sa mort par 6 (+-) inconnus dont une femme au moins: La vérité camouflée par le procureur Francis Nachbar

Abdoulaye Camara
tué par la police
10 balles le 16 décembre 2014

par Abdourahmane P. Camara
28/2/2015

"[Abdoulaye] a auparavant saccagé son appartement,
 brisé des vitres, selon Francis Nachbar, 
et s’est blessé en se faisant de sanglantes coupures
"
Mensonges propagés par la Presse Havraise
"Il y a des témoignages du voisinage, il y a eu du bruit dans les escaliers, des bruits plus fort dans l'appartement. Et le cri d'une femme dans l'appartement. Un cri qui a duré... un cri qui a été long..."
(...)
"Ils étaient six"
(...) 
"une personne s'étant vantée de  "savoir que des gens sont allés agresser
quelqu'un qui s'est fait tué ensuite"


 
La version énoncée par le procureur du Havre est un mensonge flagrant.
C'est pourtant cette version-là qui a été mise dans le crâne des Havrais.

(Normandie Actu) "La version du procureur de la République du Havre. Armé d’un couteau, Abdoulaye a été tué alors qu’il venait de poignarder gravement un passant. Il se trouvait en « état de démence », a déclaré le procureur de la République du Havre, Francis Nachbar. Peu avant 1h du matin, « les services de police sont avertis qu’un individu en sang, armé d’un couteau, est très menaçant dans les rues ». Cet homme, vociférant, en short et pieds nus, porte un couteau dans la main. Il a auparavant saccagé son appartement, brisé des vitres, selon Francis Nachbar, et s’est blessé en se faisant de sanglantes coupures. Avant de quitter son immeuble, cet homme a menacé deux jeunes filles, ses voisines, et un jeune homme. Alors que les deux jeunes sœurs rentraient chez elles pour s’y réfugier, cet homme a tenté d’enfoncer leur porte. Elles ont alors prévenu la police. Dans la rue, Abdoulaye aurait ensuite pris à partie un premier véhicule de police, puis un autre, dont il a violemment frappé une vitre avec son couteau, un instrument bricolé avec trois lames, assez courtes mais très acérées, toujours selon les précisions du procureur."  
Paris-Normandie - qui croit au diable - parlait d'Abdoulaye de la même façon :
"Avant de sortir de chez lui, il avait démoli l’intérieur de son appartement où il vivait seul. Il avait également brisé les fenêtres de son appartement et s’était blessé" (Paris-Normandie)

Comment ces gens pouvaient-ils savoir ce qui s'est passé dans l'appartement ?


Celui qui a été victime d'agression est devenu le coupable.
"Il a auparavant saccagé son appartement, brisé des vitres, selon Francis Nachbar, et s’est blessé en se faisant de sanglantes coupures(Normandie Actu)

ABDOULAYE N’ÉTAIT PAS SEUL LE SOIR DE L'AGRESSION

Si l'on écoute le procureur mon frère a saccagé son appartement. Tout seul.
Sauf que Abdoulaye n'était pas seul le soir du 16 décembre.
Il y a des témoignages du voisinage, il y a eu du bruit dans les escaliers, des bruits plus fort dans l'appartement. Et le cri d'une femme dans l'appartement. Un cri qui a duré... un cri qui a été long...
Je sais que la police a pris la déposition de ce voisin.
Mais les journaux locaux n'en parlent pas.
Grâce à mon blog, ces vérités camouflées sont à découvert.
Ce sont évidemment ces six personnes que des gens du quartier ont vu qui ont 
agressé Abdoulaye.

"SIX VISITEURS" SELON UN TÉMOIN AFFIRMATIF

Un témoin âgé affirme même catégoriquement que le nombre des visiteurs était six ni plus ni moins.
Il a dit à Mamadou au téléphone :

"Ils étaient six" 
Il faudrait que ces témoins cessent d'avoir peur de la police havraise pour témoigner.

D'AUTRES TÉMOIGNAGES EN LIAISON AVEC LES AGRESSEURS

Un ami à moi a même entendu une personne s'étant vantée de
 "savoir que des gens sont allés agresser quelqu'un qui s'est fait tué ensuite"
Cela signifie que les renseignements circulent sur les noms de ceux qui ont attaqué mon frère le soir du 16 décembre.
On est le 28 février. 

Cela fait 2 mois et 12 jours qu'on attend la vérité.

mercredi 25 février 2015

Mourir à 30 ans sous les balles des policiers (Hommage à Abdoulaye Camara, un poème par Julie Amadis)

dessin représentant
Abdoulaye Camara tué par des policiers
au Havre le 16 décembre 2014
 Par Julie Amadis
#IpEaVaEaFaF
Le 25/02/15







Mourir à 30 ans sous les balles des policiers 


Étaient-ils six vers minuit  ?
Ils cassent la porte par effraction
Chez Abdoulaye en pleine nuit
Il est victime d'une agression

Il cherche de l'aide dans le couloir
De son immeuble chez des voisines
Visage en sang il sort hagard
Son appart détruit en ruine

Mourir à 30 ans
Avenue du Bois au Coq au Havre
Sous les balles des policiers
Abattu dans son quartier
Le corps plein de sang

16 décembre un mardi
Vers 1 heure du matin 
Abdoulaye marche dans la nuit
Arrive police et ses chiens

Ils le suivent aucun secours
Juste des gaz lacrymogènes
Aucune aide ils restent sourds
3/4 d'heures dura la scène
 Mourir à 30 ans
Sous les balles des policiers
Abattu dans son quartier
Le corps plein de sang

Abdoulaye est dans la rue
Dans les mains, un couteau à huitres
En short et les pieds nus
Les flics tirent, c'est la suiteLes policiers l'ont abattu
Abdoulaye est mort
Il était là, allongé sur l'avenue
Avec dix balles dans le corps

 


Mourir à 30 ans
Sous les balles des policiers
Abattu dans son quartier
Le corps plein de sang
* * * * * * * * * *

Son frère aurait voulu l'approcher
Mais les flics l'ont écarté
Abdoulaye mort est emmené
Famille, amis ne peuvent que pleurer

 * * * * * * * * *
Pour protéger les policiers
Des articles messages de haine
Abdoulaye est un "forcené"

 Le Procureur Nachbar qui ment
Dit qu'Abdoulaye était "en état de démence"
Quand les tireurs n'ont pas une tâche de sang
Il parle de "légitime défense"

Mourir à 30 ans
Sous les balles des policiers
Abattu dans son quartier
Le corps plein de sang

 
Quand on est policier
On a le permis de tuer
Quand on a la peau foncé
On peut être assassiné

Vingt six coups de feu
Ce n'est pas un accident
Leurs armes ne sont pas des jeux
Elles l'ont tué et on nous ment

Mourir à 30 ans
Sous les balles des policiers
Abattu dans son quartier
Le corps plein de sang

Quand on est un policier

On n'a pas de permis de tuer
Quand on a la peau foncé
On veut vivre à égalité


Vingt six coups de feu
Ce n'est pas un accident
Leurs armes ne sont pas des jeux
Elles l'ont tué et on nous ment

Mourir à 30 ans
Sous les balles des policiers
Abattu dans son quartier
Le corps plein de sang



Julie Amadis
25 février 2015,
Le Havre



samedi 21 février 2015

samedi 21 février 2015

Rassemblement cet après-midi d'une centaine de Havrais exigeant la vérité sur la mort de Abdoulaye Camara

par Yanick Toutain
21/2/15
"Il y a des caméras dans toutes les villes
mais quand la police tue quelqu'un
ces caméras ne fonctionnent jamais"
"Bouleversé, Abdourahmane parle du corps de son frère, gisant sur l’avenue du Bois au coq. « Il faisait nuit, il pleuvait, et je voyais le corps de mon frère sous le drap blanc. Je n’ai pas pu l’approcher. Les policiers m’ont écarté »."
 (Normandie Actu)





AMAL BENTOUNSI : "ÇA POURRAIT ARRIVER A N'IMPORTE LEQUEL D'ENTRE VOUS" 



































samedi 21 février 2015


Quand le procureur Francis Nachbar agressait en Belgique une témoin pour lui extorquer des aveux imaginaires. Aucune poursuites !

par Yanick Toutain 



21/2/15

"Monique Olivier ne tarde pas à se plaindre auprès d'une surveillante des coups qu'elle a reçus lors de son interrogatoire. Le directeur de la prison est à son tour informé et la détenue, après avoir passé le 18 février un examen médical, décide le même jour de porter plainte pour coups et blessures volontaires. Selon elle, le procureur Nachbar et l'un des policiers rémois lui auraient tiré les cheveux et l'auraient en effet frappée à plusieurs reprises pour la faire parler.
On imagine l'embarras des autorités belges…(... ) La justice belge ouvre donc une enquête pour tenter d'y voir plus clair. Elle y parvient puisque l'un des policiers belges ayant participé à l'interrogatoire du 14 février confirme que des coups ont bel et bien été portés à l'encontre de Monique Olivier par les deux « invités français
»
 (...) 
. Mais admettre qu'un procureur et un policier français viennent en territoire belge pour frapper une détenue, même dans le but de la faire avouer, c'est une autre paire de manches…
Impunité pour les agressions de Francis Nachbar en Belgique :
"Un mois après les faits, Cédric Visart de Bocarme, procureur général du Roi, transmet le dossier complet à son collègue rémois Yves Charpenel, procureur général de la République. Lequel décidera, malgré le témoignage accablant du fonctionnaire belge, de classer l'affaire." 

Quand le procureur Francis Nachbar agressait en Belgique une témoin pour lui extorquer des aveux imaginaires. Aucune poursuites !

par Yanick Toutain 



21/2/15

"Monique Olivier ne tarde pas à se plaindre auprès d'une surveillante des coups qu'elle a reçus lors de son interrogatoire. Le directeur de la prison est à son tour informé et la détenue, après avoir passé le 18 février un examen médical, décide le même jour de porter plainte pour coups et blessures volontaires. Selon elle, le procureur Nachbar et l'un des policiers rémois lui auraient tiré les cheveux et l'auraient en effet frappée à plusieurs reprises pour la faire parler.
On imagine l'embarras des autorités belges…(... ) La justice belge ouvre donc une enquête pour tenter d'y voir plus clair. Elle y parvient puisque l'un des policiers belges ayant participé à l'interrogatoire du 14 février confirme que des coups ont bel et bien été portés à l'encontre de Monique Olivier par les deux « invités français
»
(...) 
. Mais admettre qu'un procureur et un policier français viennent en territoire belge pour frapper une détenue, même dans le but de la faire avouer, c'est une autre paire de manches…
Impunité pour les agressions de Francis Nachbar en Belgique :
"Un mois après les faits, Cédric Visart de Bocarme, procureur général du Roi, transmet le dossier complet à son collègue rémois Yves Charpenel, procureur général de la République. Lequel décidera, malgré le témoignage accablant du fonctionnaire belge, de classer l'affaire." 

UN AGRESSEUR FAUSSAIRE ET RACISTE COMME PROCUREUR DU HAVRE !
LA DICTATURE HOLLANDE EST DE PLUS EN PLUS ABJECTE
Le procureur Nachbar insultait Abdoulaye Camara dès le début de la procédure.

 Il se trouvait en « état de démence », a déclaré le procureur de la République du Havre, Francis Nachbar. (384 pages Google)
Depuis, aucune enquête sérieuse n'a été faite.
L'appartement de la victime des 20 tirs mortelles (dont 10 l'ont touché) est toujours sous scellé.
On attend toujours l'identification de celui qui est venu sonner à 0h45 et qui est le probable agresseur de Abdoulaye Camara..... Ses empreintes doivent se trouver dans tout l'appartement !!!
Rien d'étonnant à un tel sabotage de la part d'un raciste Franceàfric, conseiller de la dictature de Eyadéma (l'assassin du premier président africain Sylvanus Olympio)
Un raciste qui a étouffé le Ferguson du mois d'Août au Havre - la mort de Mohamed Rahji.
Un procureur qui protège Léon Launay et Véronique Combret et tous les professeurs agresseurs d'enfants du Havre !

Un raciste procureur Nachbar faussaire - auteur de faux contre moi et Julie Amadis et receleur des faux en écritures du policier barbouze Jean-Marie Bourry.
Les propriétaires du journal l'Union l'Ardennais font de la lutte anti-terroriste préventive : ils camouflent les agressions du procureur.Grâce #GoogleIsOurRadioLondon, la SOURCE EST TOUJOURS LISIBLE

Cédric Visart de Bocarme, procureur du Roi, Yves Charpenel, procureur général de Reims, et Francis Nachbar, procureur à Charleville-Mézières, lors d'un point presse à l'occasion du procès Fourniret.
Remi Wafflart
PENDANT des années, le duo constitué par Francis Nachbar, alors procureur de la République de Charleville-Mézières, et les policiers du SRPJ (service régional de police judiciaire) de Reims a, sous prétexte de faire craquer de supposés coupables, foulé les règles les plus élémentaires de respect des individus et de la présomption d'innocence.
Le 4 septembre, nous décrivions par le menu comment en avril 2004, sous la pression d'un procureur avide de reconnaissance médiatique, deux enquêteurs du SRPJ (un service pourtant considéré comme regroupant l'élite des fonctionnaires de police) avaient arrangé à leur sauce les déclarations des personnes qu'ils interrogeaient. Histoire de les faire coller à la trame préalablement fixée par le procureur. Il s'agissait alors de faire plonger trois éducateurs de la Disa, le service départemental d'aide sociale à l'enfance, soupçonnés de comportements sectaires. Fouille au corps, humiliation, menaces… : rien n'avait été épargné aux trois suspects durant les 48 heures de leur interminable garde à vue. Mais en pure perte. Le bec dans l'eau, les super-flics rémois avaient alors trafiqué les aveux qu'ils n'étaient pas parvenus à arracher à leurs « clients »…
Sans doute encouragés par ce brillant succès, le proc et les flics décidaient quelques mois plus tard d'appliquer leur probante méthode à un dossier autrement plus en vue : l'affaire Fourniret.
La plainte de Monique Olivier
La scène se passe le 14 février 2005, à Dinant (Belgique), dans un bureau du service judiciaire d'arrondissement. Monique Olivier, alors incarcérée à Namur, est interrogée par la police belge en présence du procureur carolo Francis Nachbar et de deux policiers du SRPJ rémois. Jusqu'alors, rien d'anormal : le couple Fourniret-Olivier a frappé indifféremment des deux côtés de la frontière et, en France comme en Belgique, on tente de tout mettre en commun pour reconstituer l'itinéraire sanglant des deux monstres.
L'interrogatoire débute en matinée, vers 10 heures, et se poursuit jusqu'à 21 heures passées. Onze longues heures, entrecoupées de courtes pauses, durant lesquelles les enquêteurs belges et français vont se relayer pour « cuisiner » l'épouse de Fourniret. Et ça marche : après avoir donné des détails sur le système de blocage des portières mis en place par son époux pour éviter que ses proies ne s'échappent de son véhicule, puis sur une tentative de viol commise par Fourniret à Sedan, à la fin des années 90, sur une jeune Maghrébine, Monique Olivier évoque « spontanément » et pour la première fois un nouveau cas. Avec un luxe de détails effrayant, elle raconte comment, dans le courant de l'année 1990, elle a participé à Auxerre à l'enlèvement d'une jeune fille violée puis étranglée par son mari à l'arrière de sa fourgonnette, le corps de la malheureuse étant finalement jeté par Fourniret dans une rivière.
Les enquêteurs exultent : tout concorde et pour eux, Monique Olivier vient d'accuser Michel Fourniret du viol et du meurtre de Joanna Parrish, une jeune Anglaise dont le corps a effectivement été retrouvé près d'Auxerre, dans le lit d'une rivière, en mai 1990. Fin du premier acte.
Un sordide poker menteur
Le deuxième se déroule dans les heures et les jours qui suivent, à la prison de Namur, où Monique Olivier ne tarde pas à se plaindre auprès d'une surveillante des coups qu'elle a reçus lors de son interrogatoire. Le directeur de la prison est à son tour informé et la détenue, après avoir passé le 18 février un examen médical, décide le même jour de porter plainte pour coups et blessures volontaires. Selon elle, le procureur Nachbar et l'un des policiers rémois lui auraient tiré les cheveux et l'auraient en effet frappée à plusieurs reprises pour la faire parler.
On imagine l'embarras des autorités belges… Mettre la pression sur Monique Olivier, la pousser dans ses derniers retranchements, personne ne peut trouver à y redire. Surtout vu l'atrocité des actes qu'elle a commis en compagnie de son époux. Mais admettre qu'un procureur et un policier français viennent en territoire belge pour frapper une détenue, même dans le but de la faire avouer, c'est une autre paire de manches…
La justice belge ouvre donc une enquête pour tenter d'y voir plus clair. Elle y parvient puisque l'un des policiers belges ayant participé à l'interrogatoire du 14 février confirme que des coups ont bel et bien été portés à l'encontre de Monique Olivier par les deux « invités français ». Un mois après les faits, Cédric Visart de Bocarme, procureur général du Roi, transmet le dossier complet à son collègue rémois Yves Charpenel, procureur général de la République. Lequel décidera, malgré le témoignage accablant du fonctionnaire belge, de classer l'affaire. Fin du deuxième acte.
Il faudra attendre 4 ans pour que s'ouvre le troisième. Quatre années au cours desquelles le procureur Nachbar connaîtra l'apothéose médiatique de sa carrière en devenant l'un des intervenants principaux du procès Fourniret-Olivier. Fait troublant, l'affaire Parrish (ainsi que le meurtre de Marie-Angèle Domèce, une jeune fille handicapée mentale de 19 ans disparue à Auxerre en juillet 1988) ne sera pas jointe à ce procès. Les enquêteurs français doutaient-ils déjà de la sincérité des aveux obtenus dans les conditions que l'on sait, lors de l'audition du 14 février 2005 ?
Une chose est sûre, ces doutes ne sont aujourd'hui plus de mise. Au printemps dernier, les experts de plusieurs laboratoires scientifiques ont en effet mis un terme définitif à cette lamentable partie de poker menteur : les prélèvements d'ADN effectués sur le corps de Joanna Parrish ne correspondent pas aux empreintes génétiques de Michel Fourniret. En clair, ce dernier n'a pas violé ni tué la jeune Anglaise. Ce qui signifie que les fameux « aveux » de Monique Olivier étaient des mensonges, une pure invention uniquement destinée à faire cesser les coups dont elle était la cible.
Fin de la pièce, une farce horrible dont on ne connaît pas l'acteur principal : le vrai coupable, qui lui court toujours et dont l'anonymat a été protégé, même de façon involontaire, par l'inqualifiable comportement du procureur de Charleville et du policier rémois.
Jean-Claude ROUSSEL

vendredi 20 février 2015

Nantes et Le Havre en résistance samedi 21 février contre les violences policières du #HollandeCoupdEtat (la vérité sur la mort de Rémi Fraisse, du père de famille Mohamed Rahji et de Abdoulaye Camara)

par Yanick Toutain
20/2/15
"Même un policier belge a été choqué par les méthodes Nachbar lors de l'interrogatoire de Monique Olivier, l'épouse de Michel Fourniret. Il s'en était du reste ouvert à Cédric Visart de Bocarme, procureur du Roi, lequel avait transmis ses doléances à fin de poursuites à Yves Charpenel, procureur général de Reims qui s'empressa d'enterrer le dossier. Des baffes derrière la tête qui n'ont eu pour effet que de charger Fourniret d'un crime qu'il n'a pas commis et dont l'auteur court toujours." article de Christian Chardon L'Union L'Ardennais  (les violences commises en Belgique par le procureur délinquant Francis Nachbar

2 Ferguson au Havre ! Rassemblement en souvenir d'Abdoulaye Camara devant l'Hôtel de Ville samedi 21 février 14h




Samedi ce seront deux rassemblements simultanés au Havre et à Nantes. L'un contre le scandale de l'assassinat de Abdoulaye Camara - mort le 16 décembre 2014 avec 10 balles dans le corps et la mort inexpliquée d'un père de famille de 41 ans Rajhi  - mort en garde à vue le 7 août 2014 pour avoir fait une réclamation d'un jouet défectueux dans un magasin Joué-Club.

GARDE A VUE MORTELLE ET 20 BALLES (DONT 10 MORTELLES) DANS LE CORPS
 2 MORTS AU HAVRE à 131 JOURS D'ECART

 Hommage A Abdoulaye Camara L'homme de 42ans décédé en garde a vue a aussi fait partie de ma famille ....(Bady)
Une information que vient donc de confirmer"Cette famille je la connais c'est la belle famille de ma cousine" (Nadia  Djaghloul ex-Rajhi)

Un scandale camouflé et protégé par un procureur Francis Nachbar lui-même délinquant.
Délinquant agresseur jamais condamné pour ses actes de violences commis en Belgique. Un procureur tabassant un "témoin" pour lui faire avouer un crime inexistant.....
Délinquant faussaire fabriquant des faux en écritures pour interpeller ses victimes hors des délais et faire receler ses faux par des juges complices du Tribunal Correctionnel du Havre.
Ce même procureur avait déjà recelé un autre faux en écritures commis par le policier barbouze de l'ONUCI Jean-Marie Bourry. Un fasciste qui persécute la résistance havraise depuis novembre 2011 avec ses complices, le procureur Nachbar et l'OPJ Gosselin..... avec un documents faux grossier multipliant par 671 le nombre des lecteurs d'un article  !
Deux morts au Havre sont les victimes de ce procureur délinquant du Havre !
Une police qui se permet d'interpeller des témoins de violences à enfants comme de vulgaire malfaiteurs.... pendant que le frère de Tariq Ramadan Médine multiplie sur la ville les incitations au terrorisme et les appels à "CRUCIFIONS" ceux qu'ils appelle "les laïcards".... en fait les résistants anti-islamofascistes !
LIRE

mardi 29 juillet 2014

Au même moment, à Nantes ce sera une manifestation de protestation contre la mort de Rémi Fraisse, le 26 octobre 2013.

mercredi 5 novembre 2014

Trois morts de la dictature socialiste, trois morts d'un régime Coup d'Etat bafouant toutes les libertés, condamnant les résistants avec des faux en écritures - y compris fabriqués par des juges voyous



NANTES (article de Julie Urbach 20mn) Une semaine de résistance et une nouvelle manif «contre les violences policières», samedi
Un appel à manifester mais pas seulement. Depuis ce lundi, une «semaine des résistances» ponctuée de débats se tient à Nantes avant un nouveau défilé «contre les violences policières» samedi après-midi. Un an après la manifestation anti-aéroport qui avait été émaillée de violences, le «collectif du 22 février 2015», à l’origine de la démarche, entend se mobiliser contre toutes « les violences d’Etat» et montrer sa solidarité aux habitants des ZAD, dont celle de Notre-Dame-des-Landes.
«Notre démarche a bien sûr un lien avec la question de l’aéroport mais elle va au-delà, assurent les organisateurs, qui réfutent l’appellation de «zadistes». Il y a un an,trois personnes ont perdu un œil à cause de tirs de Flash-Ball: un palier a été franchi en termes de violences policières.»
Se réapproprier la rue
Tous les soirs de la semaine, jusqu’à vendredi, des discussions autour de la situation des migrants, du monde carcéral ou encore de l’industrie des armes sont programmées dans différents lieux. Samedi après-midi, le départ de la manifestation est fixé au square Daviais, près de la place Commerce. «Le but est de nous réapproprier la rue et de ne pas se laisser intimider, assurent les organisateurs. Nous en appelons à la responsabilité de la préfecture.»
En novembre, la dernière manifestation nantaise «contre les violences policières» après la mort de Rémi Fraisse sur le site du barrage de Sivens, avait été le théâtrede violents affrontements.

NON AU HOLLANDE COUP D'ETAT

Ces deux manifestations sont deux manifestations de la résistance anti-fasciste.
Au Havre ce sont deux familles ayant des liens qui sont les victimes de ces crimes d'Etat camouflés par un procureur faussaire.


En effet, les deux victimes Rajhi 41 ans et A. Camara 31 ans avaient des liens familiaux

"LA BELLE FAMILLE DE MA COUSINE" (NADIA DJAGHLOUL)


Hommage A Abdoulaye Camara Lhomme de 42ans dcd en garde a vue a aussi fait parti de ma famille ....(Bady)

Une information que vient donc de confirmer Nadia  Djaghloul
"Cette famille je la connais c'est la belle famille de ma cousine"

Mort en garde à vue au Havre en août : Le témoignage de son ex-épouse Nadia Djaghloul (en famille avec Abdoulaye Camara)

Le procureur Nachbar est un agresseur
qui protège des agresseurs
par Yanick Toutain
L'Havrais Vérité
6/1/15


"Cette famille je la connais c'est la belle famille de ma cousine" Nadia Djaghloul ex-femme du mort du mois d'août en garde-à-vue à propos du mort de décembre Abdoulaye Camara Nadia Djaghloul : "Quant au décès de mon ex-mari nous n'avons aucune réponse on sait pas de quoi il est décédé à ce jour voilà (6 janvier 2015)


C'est par un message privé (dans une boite au lettre annexe) sur Facebook que l'ex-femme du client du magasin Joué Club mort en août dernier m'avait informé de ce qui s'était passé
Nadia Djaghloul :
22 octobre 2014 21:35

Bonsoir je me permets de vous écrire car je crois avoir lu un commentaire écrit au sujet de mon ex mari qui est décédé en garde à vue en août dernier. Le corps vient d'être.rendu apres deux mois et demi sans aucun explication et c'est par le biais des journaux que ma fille apprend que son père sera emmené pour toujours dans son pays sans meme un adieu

mercredi 18 février 2015

2 Ferguson au Havre ! Rassemblement en souvenir d'Abdoulaye Camara devant l'Hôtel de Ville samedi 21 février 14h



En effet, les deux victimes Mohamed Rajhi 41 ans et Abdoulaye Camara 31 ans avaient des liens familiaux


Hommage A Abdoulaye Camara ça fait 1 mois que le procureur refuse de donner les élément du dossier au juge sans raison valable il respecte pas le droit pénal ce n'est que hier que le juge a reçu tous  les éléments du dossier. L'enquête va commencer




LIRE AUSSI

vendredi 20 février 2015


présentation Yanick Toutain
L'Havrais Vérité


Abdoulaye Camara est mort depuis 2 mois mais la vérité est toujours camouflée par l'agresseur de témoins en Belgique, le faussaire procureur délinquant Francis Nachbar.

C'est un procureur receleur de faux en écritures, (faux Bourry-Changeur de novembre 2011 pour poursuivre hors délais) et lui même auteur de faux en écritures (auteur d'un faux grossier datant de "mai" le commentaire Youtube de Julie Amadis écrit le 6 avril..... un faux pour valider une interpellation hors délai, 22 jours et 3 mois après ce commentaire, un faux que laissent courir les juges de la Cour de Cassation..... et que vient de receler un juge anonyme du tribunal correctionnel du Havre pour poursuivre...... sans même prévenir d'ailleurs.... le principal accusé.... - je n'ai reçu aucun courriel de ce procureur faussaire Nachbar)
Il tente de camoufler la vérité sur le meurtre de Abdoulaye Camara


LES DEUX VICTIMES AVAIENT DES LIENS FAMILIAUX


En effet, les deux victimes Rajhi 41 ans et A. Camara 31 ans avaient des liens familiaux

"LA BELLE FAMILLE DE MA COUSINE" (NADIA DJAGHLOUL)


Hommage A Abdoulaye Camara Lhomme de 42ans dcd en garde a vue a aussi fait parti de ma famille ....(Bady)

Une information que vient donc de confirmer Nadia  Djaghloul
"Cette famille je la connais c'est la belle famille de ma cousine"

Mort en garde à vue au Havre en août : Le témoignage de son ex-épouse Nadia Djaghloul (en famille avec Abdoulaye Camara)

Le procureur Nachbar est un agresseur
qui protège des agresseurs
par Yanick Toutain
L'Havrais Vérité
6/1/15


"Cette famille je la connais c'est la belle famille de ma cousine" Nadia Djaghloul ex-femme du mort du mois d'août en garde-à-vue à propos du mort de décembre Abdoulaye Camara Nadia Djaghloul : "Quant au décès de mon ex-mari nous n'avons aucune réponse on sait pas de quoi il est décédé à ce jour voilà (6 janvier 2015)


C'est par un message privé (dans une boite au lettre annexe) sur Facebook que l'ex-femme du client du magasin Joué Club mort en août dernier m'avait informé de ce qui s'était passé
Nadia Djaghloul :
22 octobre 2014 21:35

Bonsoir je me permets de vous écrire car je crois avoir lu un commentaire écrit au sujet de mon ex mari qui est décédé en garde à vue en août dernier. Le corps vient d'être.rendu apres deux mois et demi sans aucun explication et c'est par le biais des journaux que ma fille apprend que son père sera emmené pour toujours dans son pays sans meme un adieu