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mercredi 22 juillet 2015

Sandra Bland étudiante de Huston (USA) morte en prison pour un clignotant : encore une victime du racisme de la police esclavagiste de Obama-Bush-Sarkozy-Hollande


Sandra Bland étudiante de Huston (USA)
 morte en prison pour un clignotant :
encore une victime Afro-Etasunienne
de la police esclavagiste de Obama
par Yanick Toutain
22/7/2015

France "Que va-t-il arriver à ces poulets baratineurs dont les faux PV ont failli entraîner de sévères condamnations et ont coûté trois ans de procédures ?
"Il n'y a pas de suite" a répondu au "Canard" le parquet général de Paris.


"Je tiens à préciser que la mort de madame Bland est un incident tragique. Il ne s'agit en aucun cas d'un incident criminel" 
ose affirmer le capitaine Brian Cantrell (du bureau du Shériff du Comté de Waller (Texas Etats Unis)
Comme son collègue du Havre le procureur Francis Nachbar , le pseudo-enquêteur du Texas ose tout !
Il révèle, de facto, que - comme pour Mohamed Rajhi, comme pour Abdoulaye Camara les conclusions de l'enquête sont déjà écrites dès le début de la procédure par les policier et magistrats racistes.
Sandra Bland avait 28 ans, elle a été accusée par des policiers racistes de ne pas avoir mis son clignotant. Cela se passait près de Houston le 10 juillet.
Trois jours plus tard son corps sans vie est retrouvé en prison. Elle se serait pendue.





Le 10 juillet, Sandra Bland, une jeune femme noire de 28 ans, est au volant de sa voiture et se rend à l'université Prairie View A&M près de Houston, où elle vient d'être embauchée. Un officier de police lui demande de s'arrêter. Il lui reproche de n'avoir pas mis son clignotant alors qu'elle changeait de voie.
Le ton monte alors entre les deux protagonistes. La jeune femme refuse de sortir de son véhicule et le policier brandit alors un taser puis extrait de force Sandra Bland de sa voiture, avant de la menotter. Au final, elle est arrêtée pour agression d'un représentant des forces de l'ordre et placée en détention. Trois jours plus tard, le 13 juillet, son corps sans vie est retrouvé dans sa cellule et la police évoque un suicide par pendaison.(LCI-TF1)
IL Y A UN AN AU HAVRE : MOHAMED RAJHI MORT POUR UN JOUET DEFECTUEUX

Mort en garde à vue au Havre en août : Le témoignage de son ex-épouse Nadia Djaghloul 


Nadia Djaghloul : "Quant au décès de mon ex-mari nous n'avons aucune réponse on sait pas de quoi il est décédé à ce jour voilà (6 janvier 2015)

Le procureur du Havre, l'auteur de ce blog subit ses faux en écritures, subit son racisme. Un procureur ex-conseiller d'Eyadéma - le dictateur assassin du Togo, meurtrier du président Sylvanus Olympio, un procureur auteur d'agression en Belgique en garde à vue, signalé par le procureur du Roi (Belge) auprès du Procureur Général de Reims.

Nantes et Le Havre en résistance samedi 21 février contre les violences policières du #HollandeCoupdEtat (la vérité sur la mort de Rémi Fraisse, du père de famille Mohamed Rahji et de Abdoulaye Camara)

Samedi ce seront deux rassemblements simultanés au Havre et à Nantes. L'un contre le scandale de l'assassinat de Abdoulaye Camara - mort le 16 décembre 2014 avec 10 balles dans le corps et la mort inexpliquée d'un père de famille de 41 ans Rajhi  - mort en garde à vue le 7 août 2014 pour avoir fait une réclamation d'un jouet défectueux dans un magasin Joué-Club.

GARDE A VUE MORTELLE ET 20 BALLES (DONT 10 MORTELLES) DANS LE CORPS
 2 MORTS AU HAVRE à 131 JOURS D'ECART

Le procureur Nachbar est un agresseur
qui protège des agresseurs
"Même un policier belge a été choqué par les méthodes Nachbar lors de l'interrogatoire de Monique Olivier, l'épouse de Michel Fourniret. Il s'en était du reste ouvert à Cédric Visart de Bocarme, procureur du Roi, lequel avait transmis ses doléances à fin de poursuites à Yves Charpenel, procureur général de Reims qui s'empressa d'enterrer le dossier. Des baffes derrière la tête qui n'ont eu pour effet que de charger Fourniret d'un crime qu'il n'a pas commis et dont l'auteur court toujours." article de Christian Chardon L'Union L'Ardennais  (les violences commises en Belgique par le procureur délinquant Francis Nachbar) source
Mais ses exploits lui ont permis de conserver pendant 6 mois les pièces d'un autre meurtre, celui de Abdoulaye Camara. Tué de 10 balles.
Comme son collègue de Waller, le capitaine Brian Cantrell, le procureur Nachbar connaissait la conclusion de l'enquête dès le premier jour. Il invoquait des vidéos probantes que l'avocat Me Routel de la famille Camara attend encore....

UNE PSEUDO ENQUETE POUR TERRORISER LES TEMOINS
 ET FABRIQUER DES FAUX : 
LES METHODES HABITUELLES DE LA POLICE DU HAVRE DEPUIS 2008

Mais ce procureur, pendant 7 mois a instruit contre un mort : le temps pour ses amis des services secrets de fabriquer de fausses preuves ! Le temps pour cette police pourrie du Havre d'agir comme ils l'ont fait pour les agressions de l'école Valmy et de l'école Varlin : les procédures servent à foutre la trouille aux témoins pour protéger les agresseurs !
Et pendant le temps de cette enquête bidon, la véritable enquête des deux juges et de l'IGPN ne pouvait pas accéder au dossier. Me Guillaume Routel en a d'ailleurs exigé la communication. Mais les journalistes aux ordres n'en parlent pas !

Camara tué par la police havraise en 2014 : l’enquête se poursuit

La thèse de la famille Camara qui parlait d’une éventuelle agression au domicile d’Abdoulaye, avant les faits a été évincée. « Les policiers se sont aperçus que le domicile, rue Florimont-Laurent, était sens dessus dessous, du sang partout mais uniquement celui d’Abdoulaye Camara. De même il y a son seul ADN au niveau de l’immeuble de la rue Florimont. C’est lui-même qui a cassé, pour une raison que l’on ignore, et est entré dans une rage de démence meurtrière », développe le parquet. Par ailleurs, le trentenaire et Abdoulaye Camara ne se connaissaient pas. « Il n’y a aucune explication quant au comportement d’Abdoulaye Camara qui n’était pas habituellement quelqu’un d’agressif, ni n’avait de suivi psychiatrique. » Ni alcool ni médicament n’ont été retrouvés dans le corps d’Abdoulaye Camara, seulement des traces de stupéfiant.
Contrairement à ce que pense l’avocat de la partie civile, Me Routel, le parquet depuis le début considère que les tirs des policiers étaient proportionnés par rapport à la situation. L’IGPN donnera son avis dans plusieurs mois.
SUZELLE GAUBE


FAUX EN ECRITURES PUBLIQUES
COMMIS PAR LE PROCUREUR VOYOU
DELIQUANT FRANCIS NACHBAR
PROTEGE PAR C. TAUBIRA ET B. CAZENEUVE
L'auteur de ce blog avait prévenu la famille dès le départ : le procureur Francis Nachbar est un menteur, il est un faussaire qui fait recel de faux en écritures fabriqués par des policiers (faux de Jean-Marie Bourry multipliant par 671 le nombre de lecteurs d'un article pour obtenir 31000 €), il fabrique lui-même des faux en écritures .... sans que cela ne semble perturber la Cour de Cassation ni a fortiori les juges du TGI du Havre, du Tribunal d'Instance ni le président de la Cour d'Appel de Rouen....

jeudi 18 décembre 2014

La "THESE" de la famille Camara ose écrire le journaliste havraise de la presse OMERTA76 Suzelle Gaube..... L'aggression de Abdoulaye Camara par une bande n'est pas une "thèse"...
C'est le témoignage de voisins, c'est le témoignage de jeunes ayant entendu les agresseurs revendiquer leur agression et donner le nombre de 6  !
Depuis le 28 février ont été publié ces propos d'un témoin.
Le témoin, il y a 5 mois avait dit
"savoir que des gens sont allés agresser quelqu'un qui s'est fait tué ensuite"
Prétendre qu'il s'agit d'une "thèse" est typique du procureur voyou....... Auteur de faux en écritures publiques contre l'auteur du blog L'Havrais Vérité !!
La vérité finira pas éclater
Il y a des témoignages du voisinage, il y a eu du bruit dans les escaliers, des bruits plus fort dans l'appartement. Et le cri d'une femme dans l'appartement. Un cri qui a duré... un cri qui a été long...Je sais que la police a pris la déposition de ce voisin. (source)
Il suffit de lire ce témoignage pour comprendre que la police havraise est occupée à faire taire les témoins. Pas à enquêter.
BonjourExcusez-moi de vous déranger à propos de l'affaire d'Abdoulaye Camara.J'ai été témoin des cris qu'il y a eu pendant qu'Abdoulaye était dans son appartement.Il n'était pas tout seul. Mais avec plusieurs personnes.Je ne sais pas combien.J'ai aussi entendu des cris d'une fille. Tout ça dans la nuit du lundi au mardi 16 décembre à peu près vers 0h00 je pense.¨Pour que la justice soit faite nous avons besoin de vous, s'il vous plait.Et grâce à votre aide, l'aide de la famille et des témoins, la vérité sera connue de tout le monde. Et les policiers seront jugés comme toute personne ayant assasssiné un homme.Que justice soit faite.Merci au revoir.

PARQUET GENERAL : PAS DE POURSUITES
 POUR LES AUTEURS DE FAUX EN ECRITURES PUBLIQUES

Au Texas comme en France, il faut que le peuple désigne des juges délégués révocables, des enquêteurs délégués révocables !
En France, le Parquet Général protège les auteurs de faux en écritures publiques. C'est officiel ce matin dans le Canard Enchaîné
"Que va-t-il arriver à ces poulets baratineurs dont les faux PV ont failli entraîner de sévères condamnations et ont coûté trois ans de procédures ?"Il n'y a pas de suite" a répondu au "Canard" le parquet général de Paris.Quoi de plus insignifiant, en effet, qu'un faux en écritures publiques" (crime puni de 15 ans de prison) rédigé par des gardiens de la loi ? (Dominique Simonnot LE Canard Enchaîné 22/7/2015)

La vérité sur Sandra Bland, la vérité sur Mohamed Rajhi, la vérité sur Abdoulaye Camara,la vérité sur Morad à Marseille, la vérité sur les agressions des élèves dans les écoles du Havre, ce ne sont pas les juges actuels qui nous la dira !

EDR ! Il faut des Enquêteurs Délégués Révocables pour Morad Touat ! Révolution ! L'Etat voyou esclavagiste et ses bolloriciers camouflent la vérité


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vendredi 10 juillet 2015

"Mes ex-élèves de l'école Valmy, Nelly, Ramona et leur famille dorment dans les rues du Havre depuis le 3 juillet 2015" un article #IpEaVaEaFaF par Julie Amadis

Au premier plan, Ramona 10 ans, sœur de Nelly 8 ans.
Ces deux petites filles dorment dehors depuis le 3 juillet 2015 !
(photo Jean-Luc Nail)
Par Julie Amadis
Le 10/07/2015












NELLY ET RAMONA : DEUX ÉLÈVES AIMANT APPRENDRE ET JOUER DORMENT DEHORS EN CE DÉBUT DE MOIS DE JUILLET

Nelly subit une nième expulsion de son nième squat à 8 ans.
A 8 ans, Nelly a déjà subi les brimades racistes anti roms, les expulsions, les nuits dehors dans le froid le vent et la pluie.
Nelly est épuisée. Elle a les traits tirés chaque fois que je la croise

Nelly était dans ma classe de CE1 à Valmy 1 l'an dernier. Elle vivait, à l'époque, avec sa famille dans un squat suite à une première expulsion du camp où ils logeaient en juillet 2013.

mardi 23 décembre 2014


15 enfants-SDF sont morts en 2013. 31000 enfants dorment dehors en France dans l'indifférence générale.

Nelly, 7 ans et sa sœur Ramona, 9 ans étaient à l'école Valmy en 2013/2014.

Dès 8H30, Nelly avait les yeux cernés.
Comme Antonio, elle était très fatiguée ...
Ce n'était pas très étonnant. Elle vivait dans un squat sans eau ni électricité !


Sans aucune aide sociale, sa famille ne pouvait survivre qu'en mendiant et en faisant les poubelles.
Actuellement, leur situation n'a pas changé.
La famille de Nelly et Ramona erre de squat en squat, mendie et fait les poubelles pour survivre...

Nelly aime apprendre. Elle aime aussi beaucoup qu'on la félicite. Quand elle avait fini une activité , elle voulait montrer ce qu'elle avait réalisé à tout le monde, ses copines et la maîtresse.

Elle adore la piscine. C'est la première fois que j'ai vu une enfant aussi heureuse dans l'eau. Elle avait un sourire resplendissant quand elle était dans la piscine.

Sa sœur Ramona était à Valmy 2. Je la voyais dans la cour de récréation le jeudi, jour où je travaillais dans son école. Elle venait toujours me parler aux récréations...
Quand je la croise elle semble à chaque fois très heureuse de me rencontrer...

Nelly, Ramona et sa famille dorment dehors en ce moment. Et oui, vous ne rêvez pas, nous sommes en France le pays des droits de l'homme et des enfants dorment dehors.

Dehors ça veut sur le trottoir ou sur l'herbe, sans abri pour se protéger.
Maintenant ils ont ma tente.

« LA POLICE A DÉGAGÉ TOUT LE MONDE
DU STADE DES CHEMINOTS »


J'ai appris il y a 2 jours que cette famille était à la rue par une rencontre impromptue avec leur grande sœur, Christina - âgée d'une vingtaine d'année.

Le 3 juillet la famille de Nelly et de Ramona a été exclue de leur squat situé au Stade Des cheminots

Christina raconte :
« la police a dégagé tout le monde du stade Des Cheminots. C'était le 3 juillet ».

J'ai demandé s'il y avait des associations qui leur avaient apporté de l'aide.
« Non personne » m'a t-elle répondu.

Tous squattaient près du stade depuis plusieurs mois. Et voilà que la police les expulse à nouveau.

PAS DE PLACE D’HÉBERGEMENT D'URGENCE :
SEULE SOLUTION LA TENTE



J'ai proposé d'appeler afin de leur trouver une place d’hébergement d'urgence.

Christina m'a répondu que son mari appelait tous les matins le 115 tous les jours et qu'il n'y avait pas de place.

Je leur ai donc donné la tente-Quechua à 50 euros que j'avais acheté pour le cas où l'Etat voyou me transformerait en SDF du jour au lendemain.


Valls et sa police profitent de l'été, du Tour de France qui arrive au Havre pour les virer.
Les virer sans leur proposer de relogement bien évidemment.
Les Roumains sont considérés comme des bêtes sauvages en France.
Le racisme est à son stade ultime et Vichy est de retour.

L'été dernier, en juillet 2014, cette même famille avait déjà été expulsée du squat qu'elle occupait. J'avais appelé le 115 pour eux et une place d'hébergement pour une partie seulement de la famille leur avait été proposée temporairement.

mardi 23 décembre 2014


15 enfants-SDF sont morts en 2013. 31000 enfants dorment dehors en France dans l'indifférence générale.

La grande sœur de Nelly (vingtaine d'année) m'a demandé d'appeler le 115 pour eux.
Elle m'explique les raisons de sa demande :
"On appelle et il y a rien à chaque fois."(jeune femme SDF recherchant un hébergement d'urgence pour sa famille)
Quand j'ai appelé, des places pour les enfants en bas âge et la mère ont été trouvées. Mais on a refusé à la grande sœur d'une vingtaine d'année d'être hébergé !
Et c'était exceptionnel car la famille appelait tous les jours sans résultat.(

Entre deux, ils ont trouvé un nouveau squat, au stade Des Cheminots. Et rebelote, ils en sont virés...

Quelle vie pour des enfants !
Nelly, 7 ans, Ramona, 10 ans et les autres frères et sœurs vivent dans la peur chaque jour. Peur d'être expulsé, peur de la police, peur de dormir dehors, peur de ne pas manger...

Et leur mère est inquiète chaque jour en voyant ses enfants fatigués et sans force...

Voilà à quel degré d'inhumanité le capitalisme français est arrivé... Pendant que des bateaux-hôtels pour riches entrent et sortent du port du Havre, pendant qu'une partie des Français se rendent dans leur résidence secondaire pour les vacances, des familles n'ont même pas un toit pour dormir à l’abri.

C'est cela, le capitalisme finissant du 21° siècle.
Il est temps que la révolisation commence.





LIRE AUSSI

Le Havre / 3 juillet 2015 / expulsion du Stade des Cheminots. (Jean-Luc Nail)

Mis à jour : dimanche
Le sous-préfet du Havre aime les symboles. Dernière expulsion en date, celle de l'université du Havre la veille de la trève hivernale. Les mêmes familles sont donc expulsées ce matin des endroits qu'elles avaient trouvés pour survivre, à savoir le stade des Cheminots et le squat de Dumont-D'Urville, le dernier jour de l'école.
Les bâtiments du stade sont à l'heure actuelle rasés, la maison est condamnée.
Ça ferait environ 8 familles, 55 personnes dont 42 mineurs.



mardi 7 juillet 2015

Violence contre les enfants : Nous avons discuté avec Antoine Rufenacht sur un trottoir de l'avenue René Coty.(un article Monsyte du 17 juin 2008)


Quand l'ex-maire du Havre Antoine Rufenacht
 appartenait à un gang de voleurs de champagne
 et de trafiquants de drogue et de fausse monnaie :
 le SAC de Charles Pasqua
présentation 2015
par Yanick Toutain
L'Havrais Vérité
6/7/2015

"Certes,
 [le maire Antoine Rufenacht]
finit par donner raison
 à José Laboureur :
ce ne fut pas surprenant,
le ministre Darcos en a fait tout autant."
infra

toujours lisible le site du SNALC
"DISTRIBUTION DE CLAQUES
Le SNALC-CSEN deuxième syndicat le plus représenté
dans l’enseignement secondaire,
a remis hier en mains propres
 à l’avocat de José Laboureur
les 26 025 signatures de la pétition nationale de soutien
qu’il avait lancée le 2 février 2008.
Seul syndicat dont les instances nationales
s’étaient déplacées au procès pour soutenir le professeur
auteur de la désormais célèbre « gifle de Berlaimont »

José Laboureur un des rares profs agresseurs
d'élèves ayant été condamné par la "justice" française
500 euros pour violences aggravée  !
Un verdict de juges voyous
L'agresseur risquait 5 ans de prison !!!
Le mnistre Darcos a été remplacé par
 Najat Vallaud Belkacem
la ministre qui tape ses enfants de 5 ans et qui persécute
les profs témoins de violences à enfants
".....satisfaction de son avocat à l'annonce du verdict. "Je pense que la décision est modérée. C'est une décision d'apaisement du tribunal, a-t-il déclaré, mais nous pensions que le geste était commis dans l'exercice de sa profession." La défense, qui plaidait la relaxe, avait en effet tenté d'invoquer un "droit de correction". Ce droit, issu de la jurisprudence, permet, selon elle, à un professeur de recourir à la gifle, en dernier recours.
(JDD 2008)











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mercredi 1 juillet 2015

Quand les voleurs et faux-monnayeurs du SAC de Pasqua et de Rufenacht protégeaient le 1° ministre Raymond Barre au Havre



LIRE AUSSI
 lundi 17 mars 2014
L'ex-maire du Havre Antoine Rufenacht a protégé 2 agresseuses d'enfants pendant 6 ans ! Son complice Patrick Deplanque (inspecteur Education Nationale) lance de nouvelles menaces soutenu par le réseau OMERTA Monique Béaur de Rouen

Violence contre les enfants :
Nous avons discuté avec Antoine Rufenacht
 sur un trottoir de l'avenue René Coty.
(un article Monsyte du 17 juin 2008)


Il arrive que des recherches Google effectuées par des protagonistes de scandales ou par des lâches témoins des activités de ces protagonistes fassent remonter à la surface des textes anciens de leurs méfaits jamais sanctionnés.
C'est ici une recherche "christiane marais peep" faite avant-hier sur Google qui présente en deuxième ligne cet article de 2008.

CHRISTIANE MARAIS PEEP 2008:
QUATRE MOIS DE SOUTIEN VERBAL
AVANT VOLTE-FACE SOUS LA PRESSION D'OMERTA76

Cette responsable de la 2° association de parents d'élèves du Havre avait, interrompu brutalement le soutien verbal qu'elle avait apporté pendant quatre mois à Julie Amadis, témoin de violences à enfants à l'école maternelle Varlin en janvier 2008, avant de faite volte-face tout à coup -  à la mi-juin 2008,
Christiane Marais avait été la seule - au moins en paroles à défaut de mener campagne en faveur des enfants battus par leurs professeurs  - à soutenir  Julie Amadis, de février à juin 2008. Son soutien avait consisté en divers conseils donnés lors de successives audiences accordées au local PEEP ou de rencontres impromptues dans un café du quartier du local.
Dans un premier temps Christiane Marais avait indiqué des noms de responsables Mairie et Rectorat à contacter "de sa part" pour réduire l'intensité de la répression à l'oeuvre contre Julie Amadis.
Mais tout à coup - le jour même de la rencontre avec le maire du Havre, Antoine Rufenacht relatée dans cet article,  - elle annonça stopper le peu de soutien qu'elle apportait à Julie Amadis.

UNE DEMI-HEURE AVANT LA RENCONTRE
AVEC ANTOINE RUFENACHT


Nul doute que le réseau OMERTA76, le réseau des protecteurs des agresseurs d'enfants du Havre avait commencé à peser sur le faible conscience éthique de cette responsable PEEP.
Le prétexte invoqué par Christiane Marais pour n'avoir rien fait de plus et pour stopper toutes sortes de conseils était le fait que les parents des deux enfants ne l'avaient pas ..... contactée......
Un prétexte absurde et scandaleux concernant un enfant battu à l'école ET à la maison.

VERONIQUE COMBRET S'EST VANTEE DE TAPER UN ENFANT
 QUE LE MAITRE G DE L'ECOLE VARLIN LUI AVAIT SIGNALE
COMME .....VICTIME DE VIOLENCES PARENTALES

Un prétexte scandaleux car la directrice qui cognait ce malheureux enfant savait évidemment par son instit référent qu'il était tapé par ses propres parents.
Le maître G (ex-militant d'extrême-gauche) qui s'occupait de l'enfant victime avait dit à Julie Amadis au sujet du gamin
"Il s'en prend tellement chez lui"
C'est donc en parfait hypocrisie que la responsable PEEP avait fini par refuser de soutenir Julie Amadis.
"Aucun parent n'est venu me voir"
Comme si les parents de Caucriauville qui tapent leurs enfants allaient descendre au square St Roch visiter le local de la fédération de droite des parents d'élèves, notoirement médiatisée par un médecin activiste catholique - le docteur Antoine Lagarde...!!!!
Prendre prétexte de l'inaction des parents n'était que vilaine hypocrisie de la part de Christiane Marais.
Notons néanmoins que la FCPE fut encore plus lamentable..... mais ceux-là ont trop de lien avec des syndicats qui protègent les profs agresseurs pour qu'on puisse avoir les moindres illusions sur leur défense des enfants battus !!!
La responsable FCPE Corinne Guyader contactée au téléphone "prit note" et ne fit ...... strictement rien.
Rien d'étonnant à ce que les coups contre les enfants du Havre puissent continuer en 2014-2015....

RÉCOMPENSE POUR CHRISTIANE MARAIS ? : 
LE CONSEIL ACADÉMIQUE DE L'EDUCATION NATIONALE


Son silence et sa passivité a donc été récompensée par le Rectorat et la préfecture de région.
Il est vrai qu'en quatrième ligne, on voyait apparaître le nom de cette personne sur une page déposée par la préfecture de Haute-Normandie.

On y découvre des noms de gredins et de syndicats dont l'activité, depuis 7 ans pour certains, a consisté à tout faire pour protéger les enseignants agresseurs du Havre.
Qu'il soit clair qu'aucun syndicat enseignant n'a fait quoi que ce soit pour empêcher la répression contre Julie Amadis, témoin de violences à enfants à l'école Varlin en 2008 : le simulacre de certains n'avait servi que de camouflage à leur honteuse complicité avec l'agresseuse Véronique Combret de l'école maternelle Varlin.
Les délégués syndicaux avaient fait semblant, en mars 2008, de "soutenir" Julie Amadis auprès de l'inspecteur d'académie et celui-ci avait fait semblant d'enquêter sur les agressions.
*L 'inspecteur d'Académie en résidence au Havre avait dit, le 19 mars 2008, à une délégation syndicale qu'il convoquerait Julie Amadis : il ne l'a jamais convoquée. (infra)

UNSA-FSU AGENCES DE RÉPRESSION
DES PROFS TEMOINS DE VIOLENCES à ENFANTS

Qu'il soit clair que les syndicats UNSA et FSU ne sont plus des syndicats mais des agences para-gouvernementales de répression des profs témoins de violences : à l'unanimité leurs représentants votèrent l'exclusion pour deux ans de Julie Amadis - victime en 2013 -2014 d'un nouveau complot organisé par le même "chef- comploteur" de 2008 : l'inspecteur Patrick Deplanque, marionnettiste de profession et de hobby. Un inspecteur connu pour avoir protégé trois agresseurs d'enfants identifiés : Véronique Combret, Léon Launay et l'ATSEM Françoise de Varlin. Et probablement un quatrième si les récentes révélations d'une parente déléguée sur l'école Valmy sont confirmées.

UNE EQUIPE MUNICIPALE PRO-VIOLENCES A ENFANTS
LA TRADITION RUFENACHT PRO-JOSE LABOUREUR


Relire cet article de 2008 montre que TOUTE l'équipe municipale d'Antoine Rufenacht trempe dans ce scandale. Le maire Edouard Philippe a maintenu en poste - en connaissance de cause - une agresseuse d'enfants, employée municipale. Et c'est son allié politique, l'infâme Olivier Jougla , Bâtonnier du Havre, avocat voyou (avocat menteur, avocat diffamateur et avocat insulteur... il sera poursuivi par nos JDR  juges délégués révocables)  qui s'est chargé de peaufiner la répression contre la témoin de violences , Julie Amadis et l'auteur de ce blog.
Les insultes des "journalistes" de Paris-Normandie, le Havre- Eclair de 2015 étaient conçues dans leur plan machiavélique comme le coup final.
Un procès dont L'Havrais Vérité n'a toujours pas eu connaissance officiellement : aucune demande de rectification, aucun commentaire posté par les plaignants, aucun courriel au responsable du blog..... Leur procès a eu lieu. L'auteur de ce blog n'en a toujours pas été informé.
Mis à part dans le compte-rendu torchon de Paris-Normandie.
Quant à Julie Amadis, convoquée sur la base d'un faux en écritures publiques du procureur Nachbar, ne s'étant pas présentée à l'audience (il parait qu'aucun avocat du Havre n'accepte de la défendre)
"Alors j'ai demandé quel avocat au Havre pourrait m'aider.La réponse a été très claire. Aucun avocat ne peut me défendre à part un. Et l'on me donne le nom du premier avocat que j'étais allé voir au printemps 2012..... J'étais poursuivie pour diffamation dans un article que je n'avais même pas lu.Il avait refusé de m'accompagner à la convocation policière en m'expliquant que je n"avais pas le droit de réclamer le statut de "témoin assisté".De façon peu aimable.La cour de Cassation lui avait donné tort le mois suivant et la plainte (lancée 11 mois après l'article que je n'avais pas écrit ) avait été classée sans suite par le procureur..... qui "oublia" de m'en informer..... comme il "oublia" aussi de répondre à mon courrier demandant le contenu de cette plainte)Ce vendredi matin, je me suis contentée de dire que cet avocat havrais, je l'avais déjà vu... mais que.... Il m'a coupé la parole en disant que si "ça passe pas avec lui...." (#ipeavaeafaf 

La Maison de la Justice et du Droit ou la "justice pour les pauvres" en France


Les barbouzes Franceàfric et les profs agresseurs d'enfants sont tranquille au Havre


Les agres MARDI 17 JUIN 2008

violence contre les enfants : Nous avons discuté avec Antoine Rufenacht sur un trottoir de l'avenue René Coty.

Julie Amadis et moi sortions du bureau de la responsable de la PEEP-Le Havre, Christiane Marais, lorsque face à nous s'apprête à traverser l'avenue René Coty, le maire de la ville Antoine Rufenacht.
Militant UMP RPR UDR UD 5°, il fut de toutes les aventures du gaullisme.

Nonobstant la frontière de classe qui nous sépare (le fossé), je me dirige vers lui au moment-même où il met le pied sur le passage pour piéton.
Il se retourne aimablement, fait demi-tour et m'écoute :

"Monsieur le maire, pouvons nous faire front commun sur UNE chos e :on ne tape pas sur les petits de trois ans."
Il fut aimable, à l'écoute, attentif.

Nous lui avons rapporté la fessée contre le petit Kévin, trois ans, dont fut témoin Julie Amadis et la revendication de la directrice de la maternelle, Véronique Combret d'"en avoir fait autant" "avec Luciano", sans "avoir culpabilisé".
Il écouta.
Certes, il finit par donner raison à José Laboureur : ce ne fut pas surprenant, le ministre Darcos en a fait tout autant.
Mais tout en lui affirmant, que pour ma part j'avais soutenu le fils du gendarme et son père, pour éviter une polémique inutile, je lui ai rappelé qu'il s'agissait dans ce cas de petits de trois et quatre ans.
Julie Amadis réitéra son témoignage (elle avait déjà fait le signalement auprès du secrétaire de l'adjointe chargée de l'enseignement Dufour.)**

Lorsque, après près de 10 minutes d'échange, il tenta de conclure en renvoyant l'affaire en charge des services de l'Education Nationale, nous lui avons signalé que cela faisait plusieurs mois que ces faits délictueux s'étaient produits et que l'enquête n'a toujours pas eu lieu*.
Je lui ai fait remarqué que l'ATSEM qui était à l'origine de l'affaire en donnant une fessée au petit Kevin était employée, elle, employée municipale.

Il promit donc de se renseigner.
Nous nous saluâmes tous trois et reprîmes nos chemins.

===============

Va-t- on enfin trouver quelqu'un du camp d'en face, du camp du capitalisme, pour comprendre que faire du combat pour l'éradication de la violence n'est pas - EN TANT QUE COMBAT POLITIQUE - notre priorité, mais que, face au mensonge, à la calomnie dont se sont rendues coupables les deux brutes qui ont tapé et celle qui les protège, nous n'avons pas d'autre choix que d'élargir de plus en plus la surface de la médiatisation télématique en faisant connaître les positions que chacun prend dans cette affaire.
Des membres de classes exploiteuses devraient enfin reprendre leurs esprits et se décider à faire cesser la violence contre les petits de trois ans AVANT la révolution.


*L'inspecteur d'Académie en résidence au Havre avait dit, le 19 mars 2008, à une délégation syndicale qu'il convoquerait Julie Amadis : il ne l'a jamais convoquée.
De plus, menacée d'une interruption de son salaire, elle avait eu au téléphone le responsable des affaires juridiques du rectorat de Rouen le 27 mars.(sur le double conseil de madame Marais de la PEEP du Havre et de la responsable du SNES de Rouen.)


**Julie me signale qu'elle a envoyé - de surcroit - un mail à la chef du service de coordination et gestion du personnel, de la mairie du Havre, madame Martinet, le 19 mai 2008.
Cette madame Martinet a répondu le lendemain que le nécessaire avait été fait : [le détail sera donné par Julie Amadis dans sa chrono, en finalisation d'édition]










mercredi 1 juillet 2015

Quand les voleurs et faux-monnayeurs du SAC de Pasqua et de Rufenacht protégeaient le 1° ministre Raymond Barre au Havre

un article "oublié" du PS

paru dans "L'Unité " le 16 juin 1978
Signé par Emmanuele Plas

pédagogiquement exhumé
sur l"Havrais Vérité
par Yanick Toutain
pour que les jeunes sachent
 qui était Charles Pasqua

"Et, s'il est vrai qu'il est plus facile d'intervenir à Paris qu'en province,
 il me semble difficile d'étouffer une affaire de faux billets :
 la Banque de France et le ministère des Finances n'aiment pas du tout ça. "
Une affaire de plus où le " milieu " et les milieux politiques de droite sont étroitement mêlés.
Quant au Sac —
cette organisation de police parallèle
 née il y a vingt ans —,
183 de ses membres
ont déjà été inculpés
 dans des affaires pénales.
"

LE HAVRE : LES MAUVAISES FREQUENTATIONS
(par Emmanuele Plas - L'Unité - PS)
16 juin 1978
(les gras dans le texte sont NdE L'Havrais Vérité)




Le Premier ministre avait au Havre une escorte de choix : voleurs et faux-monnayeurs. Tous membre du Sac. Le député R.p.r. du coin n'est pas près de redevenir secrétaire d'Etat... 



Le 29 avril dernier, 4 480 bouteilles de Champagne étaient volées au Havre, près du port. Un mois plus tard, dans la nuit du 1er au 2 juin, au cours d'une patrouille de routine les policiers havrais remarquèrent une camionnette en stationnement dont une porte était ouverte, sans personne au volant. La cargaison : des bouteilles de Champagne de la même marque que celles dérobées le 29 avril. Les policiers firent la planque et ne tardèrent pas à arrêter le chauffeur de la camionnette : Ernest Auger, boucher.
Ernest Auger conduit au commissariat pour être placé en garde à vue, les policiers restèrent en faction autour du véhicule saisi. C'est alors qu'ils observèrent un étrange manège de voitures. Celle du patron du bar « le Pianistique », un certain Georges Malyquevique, dit « Jo », passait et repassait. Les policiers décidèrent alors de se rendre, dès 6 heures du matin au bar de « Jo » pour perquisitionner. Le reste de la cargaison de Champagne volé avait quelques chances de s'y trouver.
Ce n'est pas du Champagne que les policiers havrais découvrirent au «Pianistique», mais un «matelas» de billets de cinq cents francs. Faux, bien entendu, pour la somme de 100 000 francs, dit-on. Or, la semaine précédente, des commerçants de la ville s'étaient plaints d'avoir reçu en paiement de leur marchandise de faux « Pascal ». La brigade spécialisée dans les affaires de fausse monnaie s'était même déplacée depuis Rouen.

Les gros bras de Rufenacht 

Champagne et faux billets : cette affaire serait restée au rang des faits divers si Auger et Malyquevique n'étaient que de vulgaires délinquants, des truands au pied plus ou moins grand...
 « Le 5 juin 1975, dit Denis Launay, conseiller municipal socialiste du Havre, à l'occasion d'une élection législative partielle dans la sixième circonscription, je collais des affiches avec des camarades.
Il était 6 heures du matin quand nous avons vu une camionnette arriver sur nous. Une dizaine de gars armés de manches de pioche en sont descendus. J'ai voulu protéger un camarade avec ma voiture et mon pare-brise a volé en éclats sous un coup de matraque. L'un de nous avait reconnu Auger. J'ai porté plainte le matin même. Auger a été convoqué par les flics, mais il a refusé de donner le nom des matraqueurs. Quant à lui, il ne faisait que conduire la camionnette... »
Quelques jours plus tard, Auger propose à Denis Launay de rembourser les dégâts s'il retire sa plainte. Launay refuse, mais reçoit un chèque — qu'il renvoie — et une lettre signée du « Comité de soutien à Antoine Rufenacht », député chiraquien de la sixième circonscription, dont s'est réclamé Auger.
Il ne sera jamais donné suite à la plainte de Launay. Malgré une lettre de rappel de ce dernier, le 23 janvier 1976 au procureur de la République.
Des plaintes de ce genre contre Auger, Malyquevique et leur bande n'ont jamais eu de suite. Il y en a eu, semble-t-il, de nombreuses, au Havre, ces dernières années.
Les militants socialistes assurent que, lors de la dernière campagne électorale, ils n'osaient plus coller de crainte de se trouver face à ces gros bras du " Comité de soutien à Antoine Rufenacht ". 
Après l'arrestation d'Auger, le Snesup de l'I.u.t. du Havre a publié un communiqué qui rappelle que « dans la nuit du 16 au 17 février 1976, alors que les étudiants étaient en grève à l'I.u.t. pour la reconnaissance de leur diplôme, trois hommes de main munis de talkies-walkies et de matraques s'introduisaient dans l'I.u.t. »
La police, appelée sur les lieux, appréhendait notamment Auger et le patron du « Pianistique
». « Ces très spéciaux veilleurs de nuit », comme les qualifie le communiqué, prétendirent alors qu'ils étaient là pour assurer la garde d'un enseignant, Yves Laisné, assistant de droit, responsable du Syndicat autonome et adhérent du Front national, venu chercher ses cours après minuit... Le président de l'université déposa une plainte, mais celle-ci fut classée. Lorsque Auger et Malyquevique furent conduits au commissariat — assurent des témoins — ils plaisantaient avec les policiers de permanence, qu'ils semblaient bien connaître. Depuis, un nouveau directeur a été nommé à l'I.u.t. Contre la volonté du conseil d'administration. Ce nouveau directeur a fait de Laisné le chargé des relations extérieures de l'I.u.t. Dans le même temps le rectorat reprenait en main cet établissement considéré comme trop à gauche par Alice Saunier-Seïté : l'ancien directeur était membre du P.c. « Récemment, le recteur a procédé au renouvellement des personnalités extérieures à l'I.u.t. membres du conseil d'administration. Précisons qu'habituellement le recteur nomme ces personnes après consultation du C.a. et des organisations syndicales. Or, cette année, il les a désignées sans aucune consultation. Et, comme par hasard, le C.a. dans sa nouvelle composition ne comporte plus de représentant de la C.f.d.t. ni de la C.g.t., excepté ceux qui sont élus par le personnel. Comment ne pas voir dans cette mesure une sanction contre un conseil qui n'était pas à la botte du Pouvoir ? », dit Dominique Thieulent, employé à l'I.u.t. et militant socialiste.
En 1977, Laisné adhère au R.p.r. et conseille également Rufenacht pour l'organisation de ses campagnes électorales. On le voit d'ailleurs beaucoup au " Pianistique ". 

On murmure dans les salons 

L'enquête sur le Champagne et les faux billets se poursuit, les perquisitions se multiplient — et chacun s'étonne, au Havre, que le député R.p.r. Antoine Rufenacht, ancien secrétaire d'Etat auprès du Premier ministre, ait pu ignorer les activités d'Auger et de Malyquevique. Car, si Auger n'avait jamais été condamné, Malyquevique est un ancien « droit commun » bien connu de la police et de la justice. Rufenacht « ignorait » — c'est en tout cas ce qu'il assure — qu'Auger et Malyquevique étaient membres du Sac (Service d'action civique) alors que ces derniers s'en vantaient à qui voulait les entendre. Quoi qu'il en soit, les deux inculpés de ce récent fait divers étaient de toutes les campagnes électorales du député de la sixième circonscription de Seine-Maritime. Si proches de lui qu'ils faisaient partie du service d'accueil à Raymond Barre, venu soutenir son secrétaire d'Etat le 7 février dernier. Un autre de ces gros bras, lui aussi membre du Sac, Claude Langevin, à qui appartiendrait la camionnette où furent retrouvées les bouteilles de Champagne, faisait partie de la liste conduite par Rufenacht lors des élections municipales de 1977. Un certain Thomas, qui serait aussi impliqué dans l'affaire du Champagne, faisait partie de la même liste et du même service d'accueil. Les commentaires vont bon train dans le deuxième port de France. Le Parti communiste a fait placarder une affiche où l'on voit le Premier ministre souriant entouré de Rufenacht et des deux truands. Côté R.p.r. : un bref communiqué de Rufenacht, où il constate que les deux inculpés n'étaient pas membres du R.p.r. et que l'affaire est entre les mains de la justice. Devant le journaliste qui tente de le pousser dans les retranchements de cette ignorance bien troublante, le député du Havre s'exclame : « Si on veut faire du bruit avec cette affaire, alors il faut faire une enquête sur tous les services d'ordre de tous les partis politiques ! » II déclarait aussi au « Havre libre » : " Beaucoup de personnes gravitent dans mon entourage, alors... " Mais, dans les salons de la Côte — le quartier chic du Havre —, on murmure que « notre député n'est pas près de redevenir secrétaire d'Etat » et que " sa carrière politique est stoppée pour un bon moment : il s'est fait passer un terrible savon par le Premier ministre ". La mise à pied du sous-préfet Diemer, qui semble être la première victime de l'affaire, fait aussi beaucoup parler. Dans les milieux bien informés, on assure que Rufenacht aurait demandé, dès après les élections législatives, la mutation de ce fonctionnaire qu'il ne trouvait pas assez « loyaliste » à son goût. La mutation n'aurait donc rien à voir apparemment avec l'affaire si l'on ignore que le sous-préfet aurait demandé à la police de faire diligence. On dit aussi qu'une partie de la police havraise était lasse de devoir couvrir de telles affaires. Deux inspecteurs qui auraient été trop indulgents, et depuis trop longtemps, avec la « bande à Auger », comme on dit ici, viennent d'ailleurs d'être mutés.

Le Sac et le " milieu " 

En ville, la rumeur publique assure que Malyquevique, en fuite, aurait pu être arrêté par la police puisqu'on l'a vu dans un bar il y a encore quelques Jours. « Mais, s'ils l'arrêtent, déclare un patron de bistrot, il risque de cracher le morceau ; alors on comprend qu'ils n'aient pas fait beaucoup d'efforts jusque-là ! » D'autres patrons de bar, dont les employés servaient à l'occasion de colleurs d'affiches musclés, pourraient être impliqués dans l'affaire des faux billets comme dans celle du champagne. Du côté de la justice, on est décidé à aller jusqu'au bout ; mais, comme le dit un magistrat havrais : " Le juge d'instruction ne pourra faire son travail que si la police fait le sien. Il semble cependant que, telle que l'affaire est partie, aucune intervention ne pourrait sauver Auger — inculpé seulement de recel, pour le moment. Quant à Malyquevique, s'il est arrêté, c'est Paris qui prendra l'affaire en main. Et, s'il est vrai qu'il est plus facile d'intervenir à Paris qu'en province, il me semble difficile d'étouffer une affaire de faux billets : la Banque de France et le ministère des Finances n'aiment pas du tout ça. " Une affaire de plus où le " milieu " et les milieux politiques de droite sont étroitement mêlés. Quant au Sac — cette organisation de police parallèle née il y a vingt ans —, 183 de ses membres ont déjà été inculpés dans des affaires pénales.







Mort d'un dealer: Charles Pasqua 10 ans après son accusateur François-Xavier Verschave "Je l’accusais d’être à l’origine de la French-connection, via le trafic de drogue français en Amérique du Nord."


François-Xavier Verschave, mort le 29 juin 2005
un héros mort 10 ans avant le voyou
Charles Pasqua qu'il accusait de trafics de drogue
par Yanick Toutain
30/6/2015
".... argent sale en Afrique, dans les jeux, les casinos, les paris, etc.
 tout cela étant lié parfois au trafic de drogue.
Charles Pasqua m’a attaqué en diffamation sur le livre la Françafrique.
Il me demandait cinq millions, il a eu un franc.
Je l’accusais d’un nombre impressionnant de délits.
Et il ne m’a reproché qu’une seule accusation, concernant le Soudan.
 Je l’accusais notamment d’être à l’origine de la French-connection,
 via le trafic de drogue français en Amérique du Nord.
Ricard dont Charles Pasqua
était le représentant commercial servait de couverture
."
(François Xavier Veschave)


"La drogue qui est au cœur du mystère - popularisé comme "The French Connection", dans un livre de 1969 écrit par Robin Moore et un film primé aux Oscars avec l'acteur Gene Hackman sorti en 1971 - avait été cachée à l'intérieur de la carrosserie d' une voiture américaine embarquée à bord du paquebot United States faisant la liaison du Havre,(France) jusqu'à New York".(source)

LE VOYOU CHARLES PASQUA EST MORT
  10 ANS APRES LE 29 JUIN 2005
ET LA MORT DE FRANCOIS-XAVIER VERSCHAVE


Le gredin complice de tous les crimes du gaullisme est mort 10 ans après celui qu'il avait traîné devant les tribunaux Franceàfric.
Mort dix ans après, jour pour jour !
C'est à croire que la mauvaise conscience devait ronger le menteur, l'assassin, le dealer, le complice d'un génocide sanitaire en Afrique coupable de plus de 250 millions de morts d'enfants.
Tous les 29 juin, le dealer françafrique Pasqua devait avoir en tête l'année supplémentaire de vie dont il bénéficiait. Après que FX Verschave soit mort à l'age de 60 ans. le 29 juin 2005.
C'est à lui que nous pensons aujourd'hui.
Mais, même si c'est le valeureux FX Vershave qui avait démultiplié cette information, il faut rendre hommage au journal défunt "Maintenant" qui, le premier, en 1995-96, nous avait révélé les exploits de dealer du gredin Charles Pasqua.
"Autre épisode : en 1972, le quotidien new yorkais "Newsday" publie une série d’articles intitulés "The heroïn trails". Une équipe de journalistes a commencé son enquête au Canada sur les agissements dans les années 60 de Jean Venturi, représentant local de la firme Ricard, dont le supérieur hiérarchique direct avait été à l’époque Charles Pasqua, directeur des ventes à l’export. 
Après avoir obtenu confirmation auprès des services de police compétents du document du bureau américain des narcotiques incriminant Jean Venturi dans un trafic d’héroïne à destination des Etats-Unis, les journalistes new yorkais arrivent à Paris pour remonter cette ramification de la célèbre french connection. Leur récolte est maigre. 
L’opacité de la firme Ricard ne leur a pas permis d’établir la vraie nature et l’ancienneté des liens unissant Pasqua et Venturi. Au moins ceux-ci étaient-ils liés par une réalité hiérarchique au moment de la cavale de Venturi, en 1967. 
Il n’a pas été non plus établi si les Pasqua - que des liens familiaux unissent au Canada - étaient, par ce biais aussi, en contact avec les Venturi. Parallèlement, des recherches ont été menées sur le patrimoine de la famille Pasqua. 
En 1994, à l’occasion d’une recherche, la disparition inexpliquée des archives de "Newsday" concernant cette enquête a été constatée. 
En 1967, un mandat d’arrêt international a été établi à l’encontre de Jean Venturi. Il n’a jamais été arrêté. Qu’est-il devenu ? De quelles complicités a-t-il bénéficié pour échapper ainsi à la Justice ? 
Le nom de Charles Pasqua aurait-t-il figuré un temps sur la liste des personnes indésirables aux Etats-Unis ?" (Maintenant archivé) 
Depuis, la liste des révélations s'est allongée : il est banal maintenant de savoir que l'armée française était en Indochine le premier collecteur de drogue ou qu'un des hommes les plus riches de France a construit sa fortune sur une compagnie dont les avions étaient loués par cette même armée coloniale pour transporter cette drogue.
"Une note de la CIA datée de 1961 accuse le représentant de Ricard en Amérique du NordJean Venturi d'être aussi le distributeur de la French Connection. Il n'a pas été inquiété, mais a été prié de quitter le territoire des États-Unis en19677." (Wiki)
Un assassin nettoyeur des services secrets gaulliste ex soldat de l'armée française, ex-légionnaire en Indochine et en Algérie, ex-OAS, ex-condamné à mort, ex-mercenaire United Fruit en Amérique Centrale, ex-SAC des réseaux gaullistes Pasqua (recyclé malgré sa condamnation à mort comme OAS) m'avait même révélé que ses chefs l'avaient envoyé - avant 1954 - traverser la frontière chinoise pour aller chercher une cargaison de drogue.
On peut supposer que les mafias qui l'avaient fourni étaient les réseaux anticommunistes du Kuomintang qui s'acharnaient à pourrir la Chine, même après la révolution de 1949.
Ce lien Pasqua-SAC-armée française-régimes fascistes compradores sont un trait essentiel du gaullisme.
La France de Sarkozy-Hollande et les USA de
Bush-Obama sont les protecteurs des réseaux
Karzai de trafics d'héroïne en Afghanistan
Les liens entre la voyoucratie politique française et le bandit M6 Mohamed 6 qui se croit "roi" en 2015 du Maroc ou avec le frère du chef des réseaux de drogue afghan Karzai sont notoires.
L'ensemble de la classe politique française est totalement compromis avec les trafics de drogue.
Ceux-ci ont d'ailleurs grimpé en flèche en Afghanistan...... dès l'arrivée des militaires US, Français et alliés....

Que la mort de ce bandit criminel, associé à tous les crimes de De Gaulle et de sa bande d'esclavagistes meurtriers soit l'occasion de rendre un hommage au valeureux François-Xavier Veschave

François-Xavier Verschave a notamment forgé et décrit le concept de « Françafrique », terme parodiant l'expression la "France-Afrique" de Félix Houphouët-Boigny3. La « Françafrique » est ce volet occulte de la politique de la France en Afrique. Ses deux principaux ouvrages sur la question, La Françafrique (Stock, 1999) et Noir silence (Les Arènes, 2000), sont devenus des références. (Wiki)

C'est lui qui est l'auteur du concept de Françafrique dont nous avons élargi le sens.
  1.  « J'ai exhumé ce terme en 1994 des antiques discours de l'ex-président ivoirien, Houphouët-Boigny pour tenter d'expliquer comment la France était capable de faire en Afrique l'inverse exact de sa devise républicaine, jusqu'à se faire complice du génocide rwandais. Le concept désigne la face immergée de l'iceberg des relations franco-africaines. En 1960, l'histoire accule de Gaulle à accorder l'indépendance aux colonies d'Afrique noire. Tout en proclamant cette nouvelle légalité internationale, immaculée, il charge son conseiller pour les affaires africaines, Jacques Foccart, de maintenir la dépendance, par des moyens forcément illégaux, occultes, inavouables. Il sélectionne des chefs d'État « amis de la France », par la guerre (plus de 100 000 civils massacrés au Cameroun), l'assassinat ou la fraude électorale. À ces gardiens de l'ordre néocolonial, il propose un partage de la rente des matières premières et de l'aide au développement. Les bases militaires, le franc CFA convertible en Suisse, les services secrets et leurs faux nez (Elf et de multiples sociétés) complètent le dispositif. », Libération du 19 janvier 2001 [archive]

Le concept de Franceàfric décrit la totalité des agissements de l'Etat esclavagiste voyou français qui bafoue tous les droits humains en pratiquant meurtres ciblés d'opposants, génocide sanitaire (d'enfants en particulier : 100 millions en 25 ans), organisations mafieuses, corruption de juges, recel massif et fabrication de faux en écritures par des réseaux de juges, de procureurs et de fonctionnaires et recrutement de Bolloriciers racistes en France comme éléments d'une SS Franceàfric en construction et en complément de terroristes psychopathes ayant un vernis de culture coranique pour commettre leurs crimes.
C'est la somme de tout cela qui est devenu la #Franceàfric.
Et cela inclut les 2 juges voyous de la Cour d'Appel de Bordeaux - Robert Miori et Bernard Ors auteur des faux en écritures publiques pour inventer des aveux imaginaires de Julie Amadis et receleurs de faux en écritures publiques du policier barbouze ONUCI Jean-Marie Bourry, de l'avocat UMP Jean-François Changeur et du président du TGI d'Angoulême - autre juge voyou - Michael Janas.

MERCREDI 29 AVRIL 2015


LIRE AUSSI CET ARTICLE RÉFÉRENCÉ PAR GOOGLE DEPUIS PLUSIEURS ANNEES EN LIGNE 3

MERCREDI 24 MARS 2010


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MARDI 30 AVRIL 2013

L’argent du pétrole est détourné (Retranscription de conférences-débat données par F. X. VERSCHAVE, président de Survie de 1995 à 2005.)

L’argent du pétrole est détourné et une partie sert à alimenter les "caisses noires" des services secrets qui disposent ainsi des budgets deux, trois ou quatre fois supérieurs à ceux votés par le Parlement français.
On retrouve ainsi les mêmes protagonistes, avec les mêmes banques, proches des mécanismes de blanchiment de l’argent sale en Afrique, dans les jeux, les casinos, les paris, etc. tout cela étant lié parfois au trafic de drogue. Charles Pasqua m’a attaqué en diffamation sur le livre la Françafrique. Il me demandait cinq millions, il a eu un franc. Je l’accusais d’un nombre impressionnant de délits. Et il ne m’a reproché qu’une seule accusation, concernant le Soudan. Je l’accusais notamment d’être à l’origine de la French-connection, via le trafic de drogue français en Amérique du Nord. Ricard dont Charles Pasqua était le représentant commercial servait de couverture.
Les mafias corses et italiennes ont déversé de l’héroïne aux États-Unis pendant longtemps, notamment via Jean Venturi. Celui-ci était le représentant de Ricard en Amérique du Nord et selon une note de la CIA, datant de 1961, était aussi le distributeur de la French-connection pour toute l’Amérique du Nord. Il n’a pas été inquiété, puisque la CIA en fait de même, et en 1967 a été prié gentiment de quitter le territoire. La France n’a pas le monopole des mécanismes de branchement de services secrets sur l’argent de la drogue. D’ailleurs, Charles Pasqua qui fait de l’anti-américanisme son fond de commerce, est dans les meilleurs termes avec Georges Bush, ancien directeur de la CIA.
Ce qui se produit au Congo-Kinshasa, pays dépecé, ruiné, est exactement du même ordre. Il s’agit davantage de métaux rares, tels que le diamant, plutôt que de pétrole. On y assiste à une sorte d’internationalisation de la Françafrique. Les réseaux précédemment évoqués s’allient avec des réseaux similaires britanniques ou liés à l’ancienne Afrique du Sud de l’apartheid, aux États-Unis, en Israël, en Russie, dans la diaspora chinoise, etc. Il existe un risque majeur de regroupement de ces acteurs, qui vont se mener des guerres ou tourner les faits sur le dos de l’Afrique. C’est ce qui se passe aussi au Soudan où la France, en 1990, était l’une des seules à soutenir ce régime qui est coupable de la mort de 2 millions de personne.
Nous pensions qu’avec l’Europe, les autres pays, hostiles à ce régime, convaincraient la France d’y renoncer. C’est l’inverse qui s’est produit : la France a convaincu l’Union européenne de soutenir ce régime. N’oublions pas que le pétrole y coule à flots. Les bénéfices de l’exploitation pétrolière accroîtront les capacités de financement des armes qui serviront à massacrer davantage les populations du Sud Soudan."

L'envers de la dette en Afrique par F-X Verschaves par maracouja972

 POST-SCRIPTUM 12h10

LES TRAFICS DE DROGUE RELEVENT DE LA DEFENSE NATIONALE !

C'est en complément de cet article et pour documenter les propos de Marc Fievet, que, par l'intermédiaire de sa fiche Wikipédia, ce texte juridique est arrivé sous la lumière

  1.  http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000000629551&categorieLien=cid [archive]

JORF n°35 du 11 février 2005 page 2328
texte n° 111


AVIS 
Avis n° 2005-03 du 27 janvier 2005

NOR: CSDX0508078V
ELI: Non disponible


Vu la loi n° 98-567 du 8 juillet 1998, et en particulier ses articles 4 (2e alinéa), 7 et 8 ;
Vu la lettre de saisine du ministre de l'économie, des finances et de l'industrie en date du 16 décembre 2004 et la demande présentée le 17 novembre 2004 par Mme Sophie Clement, vice-présidente chargée de l'instruction au tribunal de grande instance de Paris, dans le cadre de l'instruction ouverte à son cabinet sur plainte de M. Marc Fievet concernant ses relations avec les douanes françaises ;
La Commission consultative du secret de la défense nationale, régulièrement convoquée et constituée, ayant examiné l'ensemble des documents classifiés qu'elle a recueillis au terme des investigations conduites par son président en vertu des pouvoirs que lui confèrent les articles 5 et 6 de la loi susvisée,
Emet un avis défavorable à la déclassification des pièces contenues dans le dossier établi au nom de M. Fievet, en sa qualité d'aviseur de la direction générale des douanes et droits indirects.
Fait à Paris, le 27 janvier 2005.

Pour la Commission consultative

du secret de la défense nationale :

Le président,

P. Lelong