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mercredi 2 avril 2014

OMERTA76; Le directeur de l'école Raspail Claude Auger revendique son droit d'utiliser la violence contre les enfants de l'école Raspail


ENCORE UN QU'IL VA FALLOIR DÉGAGER

Les parents du quartier Danton sont prévenus ; si le directeur de l'école frappe leur enfant, c'est pour son bien.

"UN COUP DE PIED AU CUL CA PEUT ETRE SALVATEUR" 
vient de dire Claude Auger directeur de l'école Raspail
devant l'Hôtel de Ville le 2 avril 2014

Si un enseignant de l'école Raspail tape un enfant, ce n'est pas dans un accès de folie, ..... c'est en application des consignes "pédagogiques" du directeur Auger.
Voilà le résultat effroyable de la protection accordée à ces barbares par le réseau OMERTA76 et son directeur Philippe Carrière.
St Valéry en Caux ville du faussaire IEN
Olivier Basély
Il risque 15 ans de réclusion criminelle
C'est en sortant de la mairie du Havre où j'avais tenté de connaître de contenu de la "lettre du Maire à l'inspecteur d'Académie" (si tant est qu'elle existe) que j'ai croisé ce directeur.
C'est en réponse à mon projet de labelliser les enseignants anti-OMERTA76 en leur proposant d’apparaître sur un site de soutien aux témoins de violences et de dénonciations des protecteurs de violences que ce directeur fit cette déclaration.

PROTÉGER LES ENFANTS DES AGRESSEUSES D'ENFANTS C'EST "HONTEUX" POUR CLAUDE AUGER


Il utilisa le mot " HONTEUX" pour critiquer un tel projet.
Ce ne sont pas les violences qui les choquent, ce sont les gens qui dénoncent les agresseurs.

MARDI 1 AVRIL 2014


L'Havrais Vérité: La témoin des violences Julie Amadis suspendue sans motif par l'Inspecteur d'Académie Philippe Carrière (directeur OMERTA76) : le texte du courrier de suspension reçu aujourd'hui par l'institutrice témoin des violences

Voici L'Havrais Vérité
Harcelée depuis septembre 2013 par l'IEN Patrick Deplanque (celui qui l'avait chassée de l'Education Nationale en juin 2008 lui reprochant d'avoir dénoncé l'agression (commise par une ATSEM en janvier 2008) contre le petit Kévin (3 ans) et les propos de la directrice Combret qui se vantait de taper (régulièrement ?) le petit Luciano (4 ans) et de "ne pas culpabiliser pour autant".
Harcelée par cet inspecteur qui s'était fait oublié en Russie et menacée de façon à peine voilée de subir à nouveau le même sort, Julie Amadis a eu droit à un avertissement.
Le motif ?
Ou plutôt le prétexte : Elle avait osé écrire à la Rectrice Claudine Schmidt-Lainé ..... qui avait transmis sa lettre à ses bourreaux harceleurs.
Harcelée par un inspecteur Olivier Basely faussaire qui avait annoncé au directeur Patrick Clabot qu'elle méritait 12/20 mais qu'elle allait avoir 8/20 pour finalement fabriquer un rapport truffé de mensonges et de faux en écritures publiques (passible de 15 ans de réclusion criminelle) et donner une délirante note 3/20
C'est maintenant une nouvelle étape dans les pratiques illégales que franchit l'IA de Seine-Maritime Philippe Carrière :
UNE SUSPENSION SANS DONNER AUCUN MOTIF: L'ETRANGE COURRIER ILLEGAL DU DIRECTEUR PHILIPPE CARRIERE
(L'article absurde derrière lequel se cache le directeur OMERTA76 est totalement contradictoire avec tous les textes exigeant la motivation en FAITS et en DROITS des actes administratifs)
La suggestion que les enseignants se proclament prêts à dénoncer les agresseurs d'enfants c'est HONTEUX

AUGER-LABOUREUR , MÊMES VIOLENCES , MÊME COMBAT ?


JEUDI 26 JUIN 2008


Jose Laboureur cajole par le procureur

De qui se moque-t-on ?
En état d'ivresse, il vient faire semblant d'enseigner, il flanque par terre les affaires d'un élève, en bousculant son bureau, mais ça ne lui suffit pas !
Il attrape l'élève par le col et le plaque contre le mur.
"Connard" lui dit l'élève.
Réponse mesurée face à une agression faite par plusieurs centimètres d'écart et plusieurs dizaines de kilos d'écart.

L'alcoolique lui flanque une beigne !

Qu'aurait-on dit si l'agresseur avait agi à la sortie du collège et non à l'intérieur, si l'agresseur s'était appelé Mohamed et Ali, si l'agresseur avait eu moins de 25 ans ?
Qu'aurait-on dit ?
Qu'aurait dit le procureur ?

Ce procureur-là a demandé une amende de 800 euros !

Quelle honte ! La révolution mettra bon ordre à cela !

Même pas 15 jours de salaire pour une agression physique !
Combien de jeunes auraient pris de la prison ? Combien de jeunes auraient été emmenés les menottes aux poings, pour plusieurs mois, sans aucun sursis !

800 euros !
Quelle honte !

Il n'est étonnant devant cette agression d'Etat contre la jeunesse, il n'est pas étonnant devant cette agression gouvernementale contre le jeunesse, devant ce déni de justice !

800 euros la beigne !
TOUT S'ACHETE ! TOUT SE VEND !
Combien de riches abrutis vont cogner du jeune ce week-end ?

Ca ne leur suffit pas d'utiliser leur sale fric pour prostituer les jeunes femmes, ça ne leur suffit pas de prostituer, avec leur sale argent, de plus en plus d'étudiantes - comme le dénoncent des syndicats étudiants -, il leur faut encore un permis de cogner !

800 euros la beigne !
Ce procureur aura des comptes à rendre à la révolution !
L'ignorance de certains en matière de sciences sociales est ahurissant ! Leur ignorance en psychologie, en sociologie !

6 révolutions sont en germe ! 6 révolutions sont sur le point d'éclater !

800 euros !

Il n'est pas étonnant qu'une Véronique Combret puisse se vanter d'avoir frappé le petit Luciano ! Qu'une Atsem ait pu frapper le petit Kévin, qu'une maîtresse ait pu tirer les cheveux du petit Houssine !

800 euros !

C'est tout ce qu'elles risqueraient !

Le conditionnel est d'usage, protégées qu'elles sont par la principale Carole Hervieu, par l'inspecteur Patrick Deplanque, protégées qu'elles sont par cet inspecteur d'académie qui n'a toujours pas interrogé le témoin Julie Amadis, protégées qu'elles sont par ces magistrats qui instruisent en urgence la diffamation mais pas les coups reçus par les petits.

La victime, l'adolescent fils du gendarme, est comme les petits enfants de la maternelle Varlin :
victime, frappé, traîné dans la boue par des inhumains :

La révolution mettra bon ordre à cela !






jeudi 20 mars 2014

Gauche et droite havraises font l'OMERTA sur les agressions d'enfants commises par des enseignantes

Municipales : les candidats socialistes misent sur l'hyperlocal |  PAR MATHIEU MAGNAUDEIX

Moi, je fais TOUT au Havre pour que l'abstention atteigne 75%
ET
..... que la population ABANDONNE LA DEMOCRATIE et construise des groupes de 25 !
Les sots sont tellement bêtes QU'ILS SONT EN TRAIN DE CONSTRUIRE UN NOUVEAU SCANDALE : les syndicats et la droite abandonnent une enseignante SANCTIONNEE pour avoir dénoncé des VIOLENCES à ENFANTS commises en 2008 et pour lesquelles un HARCELEUR inspecteur est revenu la menacer en 2013..... avec une SANCTION contre elle..... pour s'être plainte DIRECTEMENT à la rectrice..... en révelant 4 autres cas d'agressions d'enfants...
DANS MOINS D'UNE SEMAINE..... Peillon va se retrouver aux premières loges tellement les sots du Havre font les autruches .... pendant que le DIRECTEUR OMERTA76 COGNE à coup de rapport faux en écritures et de sanction délirante et illégale !
Quand les Havrais vont savoir que sur 5 ECOLES DU HAVRE des enfants ont été FRAPPES entre 2008 et 2013 (et ce n'est que le sommet visible d'un iceberg certainement bien plus grand)..... et que AUCUN PARTI ou SYNDICAT n'a protégé les TEMOINS...... que croyez vous qu'ils vont faire ?
Philippe Carrière Directeur du Réseau OMERTA76 de protection des agresseuses d'enfants dans les écoles fait régner la terreur parmi les témoins L'adjointe de la rectrice ne comprend même pas que l'envoi d'un inspecteur en service commandé pour mentir et fabriquer des faux ne relève pas de "réclamation" ou de tribunal administratif mais qu'il encourt une condamnation à 15 ans de prison.
"Les peines sont portées à quinze ans de réclusion criminelle et à 225 000 euros d'amende lorsque le faux ou l'usage de faux est commis par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public agissant dans l'exercice de ses fonctions ou de sa mission."

Faux en écritures commis par l'inspecteur faussaire Olivier Basely : la rectrice Claudine Schmidt Lainé va-t-elle faire recel du faux en écritures publiques commis missionné par le directeur OMERTA76 Philippe Carrière et Monique Béaur

Ou bien Dominique Cantrelle adjointe à la rectrice Claudine Schmidt-Lainé ne sait pas ce qu'est un faux en écritures publiques.
Ou bien elle le sait et ne mesure pas la gravité de ce qui se passe ; quand un inspecteur menteur Olivier Basely est envoyé en mission pour aller fabriquer un faux en écritures publiques par un réseau OMERTA76, on a dépassé le champ du "droit administratif".
Quand bien même le délinquant qui l'a envoyé fabriquer un faux est un Inspecteur d'académie : il n'est pas dans les compétences des tribunaux administratifs de juger des comportements délictuels.
Olivier Basély n'encourt 3 ans de prison qui seraient aggravées du fait qu'il agit dans une administration publique mais bien plus : c'est en tant que supérieur hiérarchique qu'il a commis ses forfaits !
"Les peines sont portées à quinze ans de réclusion criminelle et à 225 000 euros d'amende lorsque le faux ou l'usage de faux est commis par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public agissant dans l'exercice de ses fonctions ou de sa mission."
S'il est avéré que ce ne serait pas sous la menace de Philippe Carrière du réseau OMERTA76 mais sous d'effet de promesses qu'aurait agi Olivier Basely, on serait clairement dans le cas du trafic d'influences.
Article 433-2
"Est puni de cinq ans d'emprisonnement et d'une amende de 500 000 €, dont le montant peut être porté au double du produit tiré de l'infraction, le fait, par quiconque, de solliciter ou d'agréer, à tout moment, directement ou indirectement, des offres, des promesses, des dons, des présents ou des avantages quelconques, pour lui-même ou pour autrui, pour abuser ou avoir abusé de son influence réelle ou supposée en vue de faire obtenir d'une autorité ou d'une administration publique des distinctions, des emplois, des marchés ou toute autre décision favorable."

COMPLEMENTS

CHAPITRE Ier : Des faux.

Constitue un faux toute altération frauduleuse de la vérité, de nature à causer un préjudice et accomplie par quelque moyen que ce soit, dans un écrit ou tout autre support d'expression de la pensée qui a pour objet ou qui peut avoir pour effet d'établir la preuve d'un droit ou d'un fait ayant des conséquences juridiques.
Le faux et l'usage de faux sont punis de trois ans d'emprisonnement et de 45000 euros d'amende.

Le faux commis dans un document délivré par une administration publique aux fins de constater un droit, une identité ou une qualité ou d'accorder une autorisation est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende.
L'usage du faux mentionné à l'alinéa précédent est puni des mêmes peines.
Les peines sont portées à sept ans d'emprisonnement et à 100 000 euros d'amende lorsque le faux ou l'usage de faux est commis :
1° Soit par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public agissant dans l'exercice de ses fonctions ;
2° Soit de manière habituelle ;
3° Soit dans le dessein de faciliter la commission d'un crime ou de procurer l'impunité à son auteur.

La détention frauduleuse de l'un des faux documents définis à l'article 441-2 est punie de deux ans d'emprisonnement et de 30000 euros d'amende.
La peine est portée à cinq ans d'emprisonnement et à 75 000 euros d'amende en cas de détention frauduleuse de plusieurs faux documents.

Le faux commis dans une écriture publique ou authentique ou dans un enregistrement ordonné par l'autorité publique est puni de dix ans d'emprisonnement et de 150 000 euros d'amende.
L'usage du faux mentionné à l'alinéa qui précède est puni des mêmes peines.
Les peines sont portées à quinze ans de réclusion criminelle et à 225 000 euros d'amende lorsque le faux ou l'usage de faux est commis par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public agissant dans l'exercice de ses fonctions ou de sa mission.

Le fait de procurer frauduleusement à autrui un document délivré par une administration publique aux fins de constater un droit, une identité ou une qualité ou d'accorder une autorisation est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende.
Les peines sont portées à sept ans d'emprisonnement et à 100 000 euros d'amende lorsque l'infraction est commise :
1° Soit par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public agissant dans l'exercice de ses fonctions ;
2° Soit de manière habituelle ;
3° Soit dans le dessein de faciliter la commission d'un crime ou de procurer l'impunité à son auteur.urer l'impunité à son auteur.

Les personnes physiques coupables des crimes et délits prévus au présent chapitre encourent également les peines suivantes :
1° L'interdiction des droits civiques, civils et de famille suivant les modalités prévues par l'article 131-26 ;
2° L'interdiction, suivant les modalités prévues par l'article 131-27, soit d'exercer une fonction publique ou d'exercer l'activité professionnelle ou sociale dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise, soit d'exercer une profession commerciale ou industrielle, de diriger, d'administrer, de gérer ou de contrôler à un titre quelconque, directement ou indirectement, pour son propre compte ou pour le compte d'autrui, une entreprise commerciale ou industrielle ou une société commerciale. Ces interdictions d'exercice peuvent être prononcées cumulativement ;
3° L'exclusion des marchés publics ;
4° La confiscation de la chose qui a servi ou était destinée à commettre l'infraction ou de la chose qui en est le produit, à l'exception des objets susceptibles de restitution.
L'interdiction du territoire français peut être prononcée dans les conditions prévues par l'article 131-30, soit à titre définitif, soit pour une durée de dix ans au plus, à l'encontre de tout étranger coupable de l'une des infractions définies au présent chapitre.
Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par l'article 121-2, des infractions définies au présent chapitre encourent, outre l'amende suivant les modalités prévues par l'article 131-38, les peines prévues par l'article 131-39.
L'interdiction mentionnée au 2° de l'article 131-39 porte sur l'activité dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise.
Article 433-2
Est puni de cinq ans d'emprisonnement et d'une amende de 500 000 €, dont le montant peut être porté au double du produit tiré de l'infraction, le fait, par quiconque, de solliciter ou d'agréer, à tout moment, directement ou indirectement, des offres, des promesses, des dons, des présents ou des avantages quelconques, pour lui-même ou pour autrui, pour abuser ou avoir abusé de son influence réelle ou supposée en vue de faire obtenir d'une autorité ou d'une administration publique des distinctions, des emplois, des marchés ou toute autre décision favorable.
Est puni des mêmes peines le fait de céder aux sollicitations prévues au premier alinéa ou de proposer, sans droit, à tout moment, directement ou indirectement, des offres, des promesses, des dons, des présents ou des avantages quelconques à une personne, pour elle-même ou pour autrui, pour qu'elle abuse ou parce qu'elle a abusé de son influence réelle ou supposée en vue de faire obtenir d'une autorité ou d'une administration publique des distinctions, des emplois, des marchés ou toute autre décision favorable.

mardi 22 octobre 2013

Julie Amadis soutient Jacques Risso (directeur d'école professeur des écoles suspendu)

Julie Amadis soutient Jacques Risso (directeur d'école professeur des écoles suspendu) source Mediapart Blog

Voici le copie du courrier posté par Julie Amadis à Jacques Risso et à son comité de soutien le 14 octobre dernier.

Bonjour,

J'ai vu votre site et beaucoup de dessins m'ont fait rire. Découvrir votre blog et votre courage m'a rassurée. Il en reste encore des enseignants contestataires qui osent s'exprimer !!

Cela fait 2 années que je suis Professeur des écoles titulaire. Avant j'ai été Assistante Pédagogique (virée pour avoir dénoncé des fessées dans une maternelle) et institutrice suppléante dans le privé (obligation d'accepter le poste) et j'ai pu faire l'expérience de la répression qui s'abat sur ceux qui médiatisent ce qui se passe au sein de l’Éducation Nationale d'un côté, et l'impunité totale pour ceux qui maltraitent les élèves de l'autre.

Ils sont prêts à tous les mensonges pour couvrir l'institution et punir les rebelles - rebelles qui ne sont autres que les gens honnêtes.

Votre histoire m'a permis de voir à l'avance ce qui risquait de m'arriver.  C'est si facile de construire une faute professionnelle et de harceler moralement les personnes gênantes !

Voici un résumé du début de répression mis en place par l’Éducation Nationale pour avoir témoigné puis médiatisé les violences à enfants dans une maternelle du Havre :

A la rentrée (2013), j'ai la surprise d'apprendre que mon inspecteur n'est autre que celui qui avait étouffé une affaire de violence à enfants dont j'avais été témoin dans une école maternelle du Havre et qui avait utilisé tout le pouvoir qu'il avait pour me harceler (fabrication de fausses fautes professionnelles, interdiction aux enseignants de m'ouvrir leur porte, envoi de mise en demeure, et ça a fini par un non renouvellement de contrat et les assédic avec un peu plus de 400 euros par mois pour vivre). Unevidéo a été mise sur internet dénonçant toute cette affaire.

A l'improviste, il débarque dans ma classe en compagnie de la directrice qu'il avait préalablement essayé de monter contre moi.(Je l'ai su plus tard indirectement)
Il me dit devant tous mes élèves : "Vous vous êtes convertie dans l'enseignement, mademoiselle" et ajoute "vous préférez être dans la chanson ou dans l'enseignement". Il réitère "alors c'est quoi qui est le mieux la chanson ou l'enseignement". Il finit par "de toutes les façons on va avoir l'occasion de se rencontrer cette année".

J'apprends un peu plus tard qu'il a évoqué ses griefs contre moi devant les conseillers pédagogiques dont l'un a rapporté que cela s'était passé "lors de la réunion de circonscription", que la secrétaire du recteur fait campagne contre moi..

Mais ne vous inquiétez pas les enseignants qui tapent les enfants eux n'auront aucun problème. La directrice d'école qui se vantait de taper un enfant de 4 ans était révéré par l'IEN ! L'ATSEM qui tapait un enfant de 3 ans n'a même pas reçu une petite remontrance !!
Ces gens se sont couverts en me faisait passer pour menteuse.
Une position démentie par le classement sans suite de la plainte en diffamation d'une des coupables et par l’agrément qui m'a été accordé trois mois plus validant mon embauche comme institutrice suppléante dans le privé catholique.

Mais un professeur en UPI (Unité Pédagogique d'Intégration) qui donnait des coups de pieds entre les fesses de ses élèves adolescentes a gardé son poste et a continué ses agissements tranquillement. J'avais été témoin de tels agissements alors que j'étais assistante d'éducation. J'en avais informé plusieurs syndicats qui m'avait promis d'en référer à la hiérarchie de l'éducation nationale.

Sans compter, dans d'autres écoles du Havre, les 3 témoignages d'AVS et assistante d'éducation qui m'ont fait savoir qu'elle avait été témoin de violences à enfants de la part d'enseignantes mais qui n'ont pas osé parler de peur de subir ce que moi j'ai subi et je subis encore !

Il y a actuellement une attaque contre tous les vrais médias, contre les journalistes et les blogueurs, contre les dessinateurs trop rebelles.
Un blog où j'avais écrit des articles dans le passé a été condamné. Les juges ont inventé des aveux de ma part et qui me condamne à payer 31000 pour un article que je n'ai pas écrit ! J'étais évidemment moralement solidaire de l'auteur qui dénonce les salaires à 50 euros pratiqués en Afrique, mais mes articles parus sur ce blog traitaient d'autres sujets que l'Afrique (Victor Serge, Engels et les classes sociales, la BD "SOS Bonheur" etc.... Ils ont INVENTE de prétendus aveux de ma part que j'aurais été CONTRIBUTRICE de l'article ..... alors que je protestais ne RIEN AVOIR A VOIR avec cet article et que mon nom figurait sur ce blog en tant que CONTRIBUTRICE DU BLOG... 5 juges dans 3 procès ont fait semblant de CROIRE à ces BOBARDS qu'ils fabriquaient eux-mêmes !

Je vous apporte tout mon soutien. Je vais médiatiser votre affaire sur internet. Je pense qu'il est plus que temps que les enseignants se rebellent contre ce système d'impunité à l'égard des agresseurs d'enfants d'un côté et de répression auprès des militants pédagogiques de l'autre.

Julie AMADIS  



COMPLEMENTS
Le courrier au Recteur n'a jamais eu de réponse - à part l'agréément de Julie Amadis pour son poste dans le privé, agréément qui invalidait les accusations de mensonge
suspendu.jpg
 Il est incontestable que de 2007 à 2012, le système éducatif a connu une période de développement sans précédent de l'autoritarisme. Contrôles incessants, enquêtes à rendre pour hier, paperasse invraisemblable que personne ne lit, rappels à l'ordre, sanctions contre les désobéisseurs, menaces et pressions, manœuvres d'isolement des résistants aux politiques de destruction de l'école (« vous êtes le seul de la circonscription à désobéir »).