TOTAL de pages consultées POUR TOUT LE BLOG

Affichage des articles dont le libellé est Dominique Cantrelle. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Dominique Cantrelle. Afficher tous les articles

mardi 20 mai 2014

Le courrier de Julie Amadis à la rectrice Claudine Schmidt-Lainé (se plaindre de harcèlement suite à témoignage de violences en 2008 et signaler 4 autres cas a déclenché des sanctions terribles : suspension de la témoin et protection d'un nouvel agresseur)

Claudine Schmidt-Lainé comme Philippe Carrière
 aura des comptes à rendre à la vraie justice
 pour sa protection aux enseignants
 agresseurs d'enfants
C'est plusieurs mois après ce courrier de novembre 2013 que les délégués élus des parents de l'école Valmy informèrent Julie Amadis qu'il existait un instituteur professeur des écoles qui tapait 3 enfants cette année. Puis que d'autres témoignages d'adultes montrèrent que ces violences étaient une pratique datant de plus de... 20 ans !L'enseignante suspendue pour..... témoignage comprit alors l'origine du harcèlement qu'elle subissait depuis septembre 2013.

UNE RECTRICE PROTECTRICE
DES ENSEIGNANTS AGRESSEURS D'ENFANTS

On comprend que la rectrice ne voulut prendre aucun risque de voir ce scandale arriver dans les médias !
La témoin fut donc convoquée à Rouen puis reçut un avertissement, puis une inspection truquée (faux en écritures de l'IEN Basély) puis, fut suspendue...
Pendant que l'enseignant agresseur de Valmy était protégé par toute la hiérarchie, les enseignants délétères de Valmy 1 et de Valmy 2 et des parents Omerta76 qui harcèlent les autres parents pour les faire taire....
Le résultat c'est le témoignage - samedi - d'une mère dénonçant le lavage de cerveau subi par les enfants pour les faire taire au sujet des violences qu'ils ont vu se commettre depuis le début de l'année !

LE COURRIER DE JULIE AMADIS A LA RECTRICE SCHMIDT-LAINE


 Julie Amadis
Professeur des Écoles
Affectée à l'école Valmy 1 (75 %) et Valmy 2 (25 %) le 01/09/2013
XXXXXXX
76600 Le Havre
06XXXXXX
XXX@XXX


Madame la Rectrice de Seine-Maritime


transmis directement vu l'urgence
copie Mr le Directeur Académique
copie à Mr le Directeur Académique adjoint en résidence au Havre
copie à Mme l'IEN adjointe au directeur académique
transmettre copie à IEN Mr Patrick Deplanque

Cinq motifs principaux m'incitent à me tourner vers vous
- Le fait que je refuse d'être inspectée par l'IEN Mr Patrick Deplanque et que j'invoque la législation du refus d'inspection pour refuser toute inspection.
- Le fait que cet inspecteur censé me protéger est venu - le 26 septembre 2013 peu après 16h -, faire pendant mon temps de classe, en présence de mes élèves, dans la classe et devant un témoin, la directrice de Valmy 2, un harcèlement moral totalement inacceptable: Une menace à peine déguisée de recommencer le licenciement abusif dont j'ai été victime en 2008 par ses soins et un réseaux ad hoc.
- Le fait que votre prédécesseur de 2008, Recteur de Seine-Maritime, n'ait pas jugé bon de répondre à mon courrier de juin 2008 malgré les graves accusations qu'il contenait. (Et malgré le fait que, 4 mois plus tard, j'ai été agréée, par le Rectorat, à travailler comme institutrice suppléante dans l'enseignement privé catholique). J'attends encore la réponse à ce courrier de 2008 qui permettra de clarifier qui mentait dans les violences commises à l'école maternelle Varlin concernant Kévin (3 ans) et Luciano (4 ans).
- Le fait que j'ai été informée que certain secrétariat de Rouen faisait campagne contre moi.
- Le fait, enfin, que l'information que je faisais auprès de parents de mes élèves des années précédentes concernant les maltraitances dans l’Éducation Nationale m'a fait découvrir avant-hier un quatrième cas de violences à enfants du primaire au Havre.
Ce 4° cas (de violences réitérées sur "plusieurs enfants" de maternelle) concerne, cette fois-ci , une école du centre ville. Et non des quartiers défavorisés pour lesquels on m'avait fait comprendre en 2008 qu'il était quasiment légitime d'user contre ces enfants de violences physiques. Je suppose qu'il doit exister, au Havre, plusieurs dizaines de cas du même genre.
Dans la mesure où mon témoignage de 2008 n'avait été pris au sérieux et que l'on avait fini par me traiter de "menteuse" (cf la déclaration qui m'avait été lue par le policier) , je ne peux prendre le risque que ce même inspecteur mentent concernant son observation de la classe, c'est pour cette raison que je refuse qu'il entre dans ma classe. J'ai déjà été visitée dans le passé mais pas par quelqu'un qui
1° m'a traité de menteuse
2° a orchestré le harcèlement subi et mon renvoi (non renouvellement de contrat)
3° vient "régler des comptes" 5 ans plus tard en commençant une campagne à mon encontre à peine il prend ses nouvelles fonctions.
La terreur qui règne contre les témoins fait que, dans les 3 cas qui m'ont été rapportés, ceux qui ont vu ces violences ne veulent pas témoigner.
Ils sont confortés dans leurs crainte par la perte de mon emploi d'assistante pédagogique en 2008 avec l'indifférence totale de votre prédécesseur, de l'Inspecteur d'Académie en résidence au Havre (qui, à l'époque, avait annoncé qu'il allait me convoquer), du maire du Havre que j'avais rencontré à l'époque et qui ne fit absolument rien contre les auteurs de violences ni en faveur de celle qui témoignait).
Tout cela eut comme résultat, outre la perte de mon emploi par non renouvellement de contrat, une tentative de condamnation par la justice de celle qui avait témoigné et du blogueur qui me soutenait.
Une justice qui "oublia" d'enquêter sur les faits de violences.... et qui dû néanmoins classer cette plainte contre moi.
L'indifférence de votre prédécesseur eut donc comme résultat que c'est la témoin des violences qui fut la seule à être sanctionnée et que les diffamateurs et menteurs s'en sortirent la tête haute. Ainsi que les auteurs des violences évidemment.
Par ailleurs, j'ai appris que des conseillers pédagogiques en réunion de circonscription de rentrée avaient entendu l'IEN Deplanque mener campagne contre moi en leur donnant une information diffamatoire à mon encontre.
En réitérant mon annonce de refus d'inspection, je vous prie, madame de prendre enfin , au moins pour le Havre, les mesures urgentes en vue de protéger les enfants et les témoins. Que les témoins soient fonctionnaires ou auxiliaires.
Je peux vous affirmer que les témoins sont tellement terrorisés que même l'annonce d'une enquête officielle de votre part qui ne leur garantirait pas leur emploi serait insuffisante à reconstituer leur confiance en la légalité du fonctionnement interne à l'institution.
J'escompte que prochainement les syndicats mettront comme priorité la défense des enfants et des témoins. Le Conseil de l'Europe pèsera prochainement dans ce sens.
Je vous demande de prendre toutes dispositions nécessaires pour faire cesser immédiatement toutes nouvelles tentatives de harcèlement à mon encontre. En particulier dans le cas où - comme le le 26 septembre dernier - je suis en présence de mes élèves.
Il est insupportable de travailler pour des enfants avec la possibilité à tout moment de voir arriver dans ma classe un harceleur menaçant ironiquement de me faire une nouvelle fois chasser de l’Éducation Nationale.
Dans l'attente d'une réaction active de votre part en faveur des enfants ayant été battus au sein de l’Éducation Nationale au Havre depuis 2008 et d'une intervention protégeant mon statut et mes conditions de travail, veillez, Madame la Rectrice, recevoir l'expression de mes salutations respectueuses.
Julie Amadis

NI LA RECTRICE NI L'ADJOINTE MONIQUE BEAUR NI LE DASEN PHILIPPE CARRIÈRE NI L'INSPECTEUR D'ACADÉMIE DU HAVRE SERGE TILLMANN NE DEMANDÈRENT à JULIE AMADIS LE NOM DES ECOLES OU ONT ETE COMMISES DES VIOLENCES A ENFANTS DEPUIS 2008.
ILS NE VEULENT PAS SAVOIR LA VÉRITÉ

COMPLÉMENT

JEUDI 20 MARS 2014


L'Havrais Vérité: Faux en écritures commis par l'inspecteur faussaire Olivier Basely : la rectrice Claudine Schmidt Lainé va-t-elle faire recel du faux en écritures publiques commis missionné par le directeur OMERTA76 Philippe Carrière et Monique Béaur

L'Havrais Vérité:
Ou bien Dominique Cantrelle 
adjointe à la rectrice Claudine Schmidt-Lainéne sait pas ce qu'est un faux en écritures publiques.

Ou bien elle le sait et ne mesure pas la gravité de ce qui se passe; quand un inspecteur menteur Olivier Basely est envoyé en mission pour aller fabriquer un faux en écritures publiques par un réseauOMERTA76, on a dépassé le champ du "droit administratif".
Quand bien même le délinquant qui l'a envoyé fabriquer un faux est un Inspecteur d'académie : il n'est pas dans les compétences des tribunaux administratifs de juger des comportements délictuels.
Olivier Basély n'encourt 3 ans de prison qui seraient aggravées du fait qu'il agit dans une administration publique mais bien plus : c'est en tant que supérieur hiérarchique qu'il a commis ses forfaits !
LIRE AUSSI

OMERTA76 Elu socialiste au Havre, Christian Bouchard mène campagne diffamatoire contre Julie Amadis


Le N° 3 de la liste Gallap vient justifier la suspension SANS MOTIF d'une enseignante témoin de violences

jeudi 20 mars 2014

Gauche et droite havraises font l'OMERTA sur les agressions d'enfants commises par des enseignantes

Municipales : les candidats socialistes misent sur l'hyperlocal |  PAR MATHIEU MAGNAUDEIX

Moi, je fais TOUT au Havre pour que l'abstention atteigne 75%
ET
..... que la population ABANDONNE LA DEMOCRATIE et construise des groupes de 25 !
Les sots sont tellement bêtes QU'ILS SONT EN TRAIN DE CONSTRUIRE UN NOUVEAU SCANDALE : les syndicats et la droite abandonnent une enseignante SANCTIONNEE pour avoir dénoncé des VIOLENCES à ENFANTS commises en 2008 et pour lesquelles un HARCELEUR inspecteur est revenu la menacer en 2013..... avec une SANCTION contre elle..... pour s'être plainte DIRECTEMENT à la rectrice..... en révelant 4 autres cas d'agressions d'enfants...
DANS MOINS D'UNE SEMAINE..... Peillon va se retrouver aux premières loges tellement les sots du Havre font les autruches .... pendant que le DIRECTEUR OMERTA76 COGNE à coup de rapport faux en écritures et de sanction délirante et illégale !
Quand les Havrais vont savoir que sur 5 ECOLES DU HAVRE des enfants ont été FRAPPES entre 2008 et 2013 (et ce n'est que le sommet visible d'un iceberg certainement bien plus grand)..... et que AUCUN PARTI ou SYNDICAT n'a protégé les TEMOINS...... que croyez vous qu'ils vont faire ?
Philippe Carrière Directeur du Réseau OMERTA76 de protection des agresseuses d'enfants dans les écoles fait régner la terreur parmi les témoins L'adjointe de la rectrice ne comprend même pas que l'envoi d'un inspecteur en service commandé pour mentir et fabriquer des faux ne relève pas de "réclamation" ou de tribunal administratif mais qu'il encourt une condamnation à 15 ans de prison.
"Les peines sont portées à quinze ans de réclusion criminelle et à 225 000 euros d'amende lorsque le faux ou l'usage de faux est commis par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public agissant dans l'exercice de ses fonctions ou de sa mission."

Faux en écritures commis par l'inspecteur faussaire Olivier Basely : la rectrice Claudine Schmidt Lainé va-t-elle faire recel du faux en écritures publiques commis missionné par le directeur OMERTA76 Philippe Carrière et Monique Béaur

Ou bien Dominique Cantrelle adjointe à la rectrice Claudine Schmidt-Lainé ne sait pas ce qu'est un faux en écritures publiques.
Ou bien elle le sait et ne mesure pas la gravité de ce qui se passe ; quand un inspecteur menteur Olivier Basely est envoyé en mission pour aller fabriquer un faux en écritures publiques par un réseau OMERTA76, on a dépassé le champ du "droit administratif".
Quand bien même le délinquant qui l'a envoyé fabriquer un faux est un Inspecteur d'académie : il n'est pas dans les compétences des tribunaux administratifs de juger des comportements délictuels.
Olivier Basély n'encourt 3 ans de prison qui seraient aggravées du fait qu'il agit dans une administration publique mais bien plus : c'est en tant que supérieur hiérarchique qu'il a commis ses forfaits !
"Les peines sont portées à quinze ans de réclusion criminelle et à 225 000 euros d'amende lorsque le faux ou l'usage de faux est commis par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public agissant dans l'exercice de ses fonctions ou de sa mission."
S'il est avéré que ce ne serait pas sous la menace de Philippe Carrière du réseau OMERTA76 mais sous d'effet de promesses qu'aurait agi Olivier Basely, on serait clairement dans le cas du trafic d'influences.
Article 433-2
"Est puni de cinq ans d'emprisonnement et d'une amende de 500 000 €, dont le montant peut être porté au double du produit tiré de l'infraction, le fait, par quiconque, de solliciter ou d'agréer, à tout moment, directement ou indirectement, des offres, des promesses, des dons, des présents ou des avantages quelconques, pour lui-même ou pour autrui, pour abuser ou avoir abusé de son influence réelle ou supposée en vue de faire obtenir d'une autorité ou d'une administration publique des distinctions, des emplois, des marchés ou toute autre décision favorable."

COMPLEMENTS

CHAPITRE Ier : Des faux.

Constitue un faux toute altération frauduleuse de la vérité, de nature à causer un préjudice et accomplie par quelque moyen que ce soit, dans un écrit ou tout autre support d'expression de la pensée qui a pour objet ou qui peut avoir pour effet d'établir la preuve d'un droit ou d'un fait ayant des conséquences juridiques.
Le faux et l'usage de faux sont punis de trois ans d'emprisonnement et de 45000 euros d'amende.

Le faux commis dans un document délivré par une administration publique aux fins de constater un droit, une identité ou une qualité ou d'accorder une autorisation est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende.
L'usage du faux mentionné à l'alinéa précédent est puni des mêmes peines.
Les peines sont portées à sept ans d'emprisonnement et à 100 000 euros d'amende lorsque le faux ou l'usage de faux est commis :
1° Soit par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public agissant dans l'exercice de ses fonctions ;
2° Soit de manière habituelle ;
3° Soit dans le dessein de faciliter la commission d'un crime ou de procurer l'impunité à son auteur.

La détention frauduleuse de l'un des faux documents définis à l'article 441-2 est punie de deux ans d'emprisonnement et de 30000 euros d'amende.
La peine est portée à cinq ans d'emprisonnement et à 75 000 euros d'amende en cas de détention frauduleuse de plusieurs faux documents.

Le faux commis dans une écriture publique ou authentique ou dans un enregistrement ordonné par l'autorité publique est puni de dix ans d'emprisonnement et de 150 000 euros d'amende.
L'usage du faux mentionné à l'alinéa qui précède est puni des mêmes peines.
Les peines sont portées à quinze ans de réclusion criminelle et à 225 000 euros d'amende lorsque le faux ou l'usage de faux est commis par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public agissant dans l'exercice de ses fonctions ou de sa mission.

Le fait de procurer frauduleusement à autrui un document délivré par une administration publique aux fins de constater un droit, une identité ou une qualité ou d'accorder une autorisation est puni de cinq ans d'emprisonnement et de 75 000 euros d'amende.
Les peines sont portées à sept ans d'emprisonnement et à 100 000 euros d'amende lorsque l'infraction est commise :
1° Soit par une personne dépositaire de l'autorité publique ou chargée d'une mission de service public agissant dans l'exercice de ses fonctions ;
2° Soit de manière habituelle ;
3° Soit dans le dessein de faciliter la commission d'un crime ou de procurer l'impunité à son auteur.urer l'impunité à son auteur.

Les personnes physiques coupables des crimes et délits prévus au présent chapitre encourent également les peines suivantes :
1° L'interdiction des droits civiques, civils et de famille suivant les modalités prévues par l'article 131-26 ;
2° L'interdiction, suivant les modalités prévues par l'article 131-27, soit d'exercer une fonction publique ou d'exercer l'activité professionnelle ou sociale dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise, soit d'exercer une profession commerciale ou industrielle, de diriger, d'administrer, de gérer ou de contrôler à un titre quelconque, directement ou indirectement, pour son propre compte ou pour le compte d'autrui, une entreprise commerciale ou industrielle ou une société commerciale. Ces interdictions d'exercice peuvent être prononcées cumulativement ;
3° L'exclusion des marchés publics ;
4° La confiscation de la chose qui a servi ou était destinée à commettre l'infraction ou de la chose qui en est le produit, à l'exception des objets susceptibles de restitution.
L'interdiction du territoire français peut être prononcée dans les conditions prévues par l'article 131-30, soit à titre définitif, soit pour une durée de dix ans au plus, à l'encontre de tout étranger coupable de l'une des infractions définies au présent chapitre.
Les personnes morales déclarées responsables pénalement, dans les conditions prévues par l'article 121-2, des infractions définies au présent chapitre encourent, outre l'amende suivant les modalités prévues par l'article 131-38, les peines prévues par l'article 131-39.
L'interdiction mentionnée au 2° de l'article 131-39 porte sur l'activité dans l'exercice ou à l'occasion de l'exercice de laquelle l'infraction a été commise.
Article 433-2
Est puni de cinq ans d'emprisonnement et d'une amende de 500 000 €, dont le montant peut être porté au double du produit tiré de l'infraction, le fait, par quiconque, de solliciter ou d'agréer, à tout moment, directement ou indirectement, des offres, des promesses, des dons, des présents ou des avantages quelconques, pour lui-même ou pour autrui, pour abuser ou avoir abusé de son influence réelle ou supposée en vue de faire obtenir d'une autorité ou d'une administration publique des distinctions, des emplois, des marchés ou toute autre décision favorable.
Est puni des mêmes peines le fait de céder aux sollicitations prévues au premier alinéa ou de proposer, sans droit, à tout moment, directement ou indirectement, des offres, des promesses, des dons, des présents ou des avantages quelconques à une personne, pour elle-même ou pour autrui, pour qu'elle abuse ou parce qu'elle a abusé de son influence réelle ou supposée en vue de faire obtenir d'une autorité ou d'une administration publique des distinctions, des emplois, des marchés ou toute autre décision favorable.