TOTAL de pages consultées POUR TOUT LE BLOG

Affichage des articles dont le libellé est Jacques Risso. Afficher tous les articles
Affichage des articles dont le libellé est Jacques Risso. Afficher tous les articles

lundi 2 février 2015

21 janvier a eu lieu le procès des défenseurs du directeur d'école Jacques Risso : Vincent Cottalorda (FO) Chantal Fassié (FO) et Pierre Frackowiak (blogueur et inspecteur honoraire) procès indigne pour prétendue "diffamation" Le jugement a été mis en délibéré au 18 février 2015.


présentation Yanick Toutain
L'Havrais Vérité
2/2/2015

LIRE AUSSI

samedi 31 janvier 2015

Dans le Vaucluse le syndicat FO défend les Justes. Et donc c'est le syndicat FO qui est poursuivi.
En Seine-Maritime, les syndicats SNUIpp et UNSA défendent les ..... profs agresseurs en persécutant les témoins de violence.
Au Havre, tout se déroule ainsi que l'avait annoncé à Julie Amadis le syndicaliste SNUipp du NPA Vincent Alès. Logique : toute la gauche colonialiste fait front commun contre les aboliitionnistes anti-Franceàfric.
Dans le Vaucluse, c'est l'inverse : l'Etat voyou ennemi de la liberté d''expression persécute un directeur d'école dessinateur: Jacques Risso
LIRE AUSSI

mardi 22 octobre 2013

LUNDI 14 OCTOBRE 2013


Jacques Risso dessina ceci et fut chassé de son poste de directeur d'école et professeur des écoles ! La répression n'a plus de limites, de règles, de lois !

" on m’a signifié vendredi 30 août que
j’étais suspendu de mes fonctions !"
Jacques Risso sur son blog

JACQUES RISSO DESSINA CECI ET FUT CHASSÉ DE SON POSTE DE DIRECTEUR D'ÉCOLE ET PROFESSEUR DES ÉCOLES ! RÉPRESSION FASCISTE !


Voici son dernier billet sur son blog de dessins
"Ma petite dirlette fait sa rentrée (9ème saison de billets d’humeur !)
Ce ne sera pas le cas pour moi : on m’a signifié vendredi 30 août que
j’étais suspendu de mes fonctions !
...
Et à cette heure, je ne sais toujours pas pourquoi !
Il faut que j’aille à la Direction Académique consulter mon
dossier administratif pour savoir ce qui a motivé cette décision
et pouvoir présenter mes arguments.
J’espère que ce sera possible dès lundi.
Je reste confiant, je n’ai rien à me reprocher.
En attendant ma dirlette continuera à partager ses humeurs."

PERSECUTION PAR TAUBIRA-CAZENEUVE-HOLLANDE-VALLAUD-BELKACEM DE DEUX SYNDICALISTES ET D'UN BLOGUEUR EX-INSPECTEUR EN RETRAITE

Et donc , de la même façon que la police havraise a persécuté Séverine Breton (menacée de 1000 euros d'amende avec sursis semble-t-il) pour avoir soutenu Julie Amadis de mars à juin 2014, la pseudo-justice de Taubira persécute deux syndicalistes Vincent Cottalorda (FO) et Chantal Fassié (FO) ainsi qu'un retraité de l'Education Nationale : Pierre Frackowiak (blogueur et inspecteur honoraire) .
Il est à noter que la presse du Vaucluse n'a pas traité Jacques Risso de fou. Ni n'a traité de fous et de folles les syndicalistes Vincent Cottalorda et Chantal Fassié ni le blogueur

UNE PLAIGNANTE MARIONNETTE DE LA MINISTRE MENTEUSE :  Laurence BRILLAUD, Inspectrice de l’Education Nationale, de la circonscription du 1er degré d’Apt


De la même façon que les 14 faux témoins contre Julie Amadis ont été manipulés par des gens bien plus puissants qu'eux, la plaignante contre les 3 Justes est elle-même une marionnette de la ministre menteuse et indigne Najat Vallaud-Belkacem, l'agresseuse d'enfants

Ces hiérarchies de la dictature socialiste manipulent des fourmis pour pouvoir ensuite les victimiser : les menteuses de l'école Valmy sont transformées en victimes par la presse indigne. L'inspectrice Laurence Brillaud passe de harceleuse à victime au tribunal.
Telles sont les ruses minables de la dictatures socialiste Hollande-Valls.


MARDI 15 OCTOBRE 2013

PROCES

Dessin d'octobre 2005 quand le ministère avait demandé que Jacques RISSO soit sanctionné pour ses dessins critiquant les failles et imperfections du logiciel J'ADE. « La vérité vaut tous les tourments. » Albert Camus

Mercredi 21 janvier à 8h30
: les défenseurs de Jacques RISSO
devant le tribunal correctionnel d’Avignon !

Mercredi 21 janvier, se déroulera au Tribunal correctionnel d’Avignon le procès intenté par Mme Laurence BRILLAUD, Inspectrice de l’Education Nationale, de la circonscription du 1er degré d’Apt, contre le SNUDI-FO, en la personne de son Secrétaire départemental, Vincent COTTALORDA, et contre Chantal FASSIÉ, Secrétaire départementale de la Fédération FO de l’Enseignement.      

Mme BRILLAUD accuse nos camarades ainsi que l’Inspecteur honoraire Pierre FRACKOWIAK de diffamation concernant des déclarations faites en défense du directeur de l’école de RUSTREL, Jacques RISSO, gravement et injustement mis en cause et suspendu pendant 5 mois (de septembre 2013 à février 2014), et aujourd’hui rétabli dans son droit comme directeur d’école par le juge des référés (ordonnance du 11 septembre 2014).    

Pour le SNUDI-FO, ce procès sera l’occasion de rappeler tous les graves dysfonctionnements et manquements aux règles les plus élémentaires dont a été victime Jacques RISSO et de réaffirmer le devoir de ses défenseurs de les dénoncer pour que plus aucun personnel n’ait à les subir à l’avenir.       

Les dysfonctionnements en matière de gestion des dossiers administratifs, de conduite des enquêtes administratives, de respect de la présomption d’innocence, de respect de la liberté d’opinion des fonctionnaires (en l’espèce le droit à être caricaturiste en dehors de son service) révélés par le dossier RISSO sont loin d’être réglés ; le SNUDI-FO en saisira le nouveau Recteur de l’Académie d’Aix-Marseille lors de l’audience que la Fédération FO de l’Enseignement lui a demandée.

Avignon, le 19 janvier 2015
11.09.2014 - Communiqué du défenseur syndical FO de Jacques RISSO
Le 11 septembre 2014, le Juge des référés
du Tribunal Administratif de Nîmes a ordonné :
- la décision d’affectation de M. Jacques Risso en qualité d’enseignant adjoint pour l’année scolaire 2014-2015 est suspendue,
 -  il est enjoint au recteur de l’académie d’Aix-Marseille d’affecter M. Jacques Risso, à titre provisoire, dans un délai de 15 jours, sur le poste de directeur d’école (qu’il était en droit d’obtenir à la 2ème phase du mouvement).

Rappelons qu’au mépris de l’engagement pris le 29 janvier 2014 devant les 3 secrétaires départementaux des syndicats SNUDI-FO, SNUipp-FSU et SE-UNSA et en présence de la Directrice Académique adjointe,  le Directeur Académique, Monsieur Dominique BECK, a poursuivi son incompréhensible acharnement contre notre collègue Jacques RISSO.
 Alors que le protocole d’accord conclu le 29 janvier 2014 entre Jacques RISSO et M. BECK devait mettre fin à la procédure disciplinaire engagée, le Directeur Académique lui a d’abord infligé la sanction du blâme, sanction contre laquelle Jacques RISSO a déposé un recours devant le Tribunal Administratif de Nîmes, recours en cours d’instruction.
 Ensuite, le Directeur Académique a refusé à Jacques RISSO l’accès à la Hors Classe des Professeurs des écoles. Le ministère a désavoué ce refus et a accordé une promotion supplémentaire au département pour Jacques RISSO qui a donc obtenu sa promotion.
 Bien que désavoué par le ministère dans son refus de promouvoir Jacques RISSO, le Directeur Académique a décidé, sans respecter les règles les plus élémentaires de mutation, de le chasser de son poste et de lui interdire l’accès à toute direction d’école.
 Le Directeur Académique a d’abord tenté de l’affecter arbitrairement à la première phase du mouvement à titre définitif sur un poste d’adjoint en lui attribuant d’office des « vœux » géographiques. Le Directeur Académique a finalement renoncé face au refus unanime des élus du personnel et à la menace d’un appel à la mobilisation contre cet acte d’un arbitraire absolu.
 Pour sortir de cette situation insupportable, Jacques RISSO a  accepté de participer à la 2ème phase du mouvement, en renonçant, dans une volonté d’apaisement, à formuler des vœux sur les 2 postes vacants de directeur et d’adjoint de l’école de Rustrel.
 Contraint comme tous les collègues de formuler 30 vœux à cette 2ème phase, Jacques RISSO avait demandé en premier des postes de direction et il était certain d’en obtenir un compte tenu de son barème.
 Bafouant les règles de mutation, le Directeur Académique lui a refusé l’accès à tous les postes de direction alors que son barème lui permettait d’accéder à son premier vœu.
 La Justice vient de statuer ce 11 septembre 2014 sur le recours en référé déposé par Jacques RISSO contre son affectation arbitraire sur un poste d’adjoint et pour obtenir le poste de directeur qui lui revient en application des règles du mouvement.
 Jacques RISSO est donc rétabli à titre provisoire et dans l’attente du jugement sur le fond dans son emploi de Directeur.
 Cette décision de justice non seulement rétablit Jacques RISSO dans son droit et son honneur, mais elle atteste qu’il ne faut jamais se résigner à l’arbitraire et ne jamais accepter que l’Etat de droit soit bafoué.
 Le combat continue jusqu’à ce que Jacques obtienne totale réparation des préjudices qu’il a subis.

Avignon, le 11 septembre 2014 - 22h

Chantal Fassié
17.03.2014 : RÉSUME D'UN SCANDALE NATIONAL

situation au 3 mars 2014

LE DASEN 84 SE PARJURE ET INFLIGE UN BLAME A JACQUES RISSO !
lire ICI

Intervention de Chantal FASSIE, défenseur de Jacques Risso, au meeting du 13 décembre
"les dessins humoristiques de notre collègue forment une bonne partie de l’accusation. S’y ajoutent d’invraisemblables griefs et la tentative d’établir que notre collègue aurait mal géré un conflit entre élèves, le tout sur fond de propos instrumentalisés, d’insinuations et de ragots qui parfois se contredisent allégrement comme le montrent plusieurs pièces à charge !" (extrait du communiqué n° 4 du SNUDI-FO - 22.09.2013)

JUSTICE !

12.12.2013
L'INCROYABLE INFAMIE CONTINUE


Jacques Risso, directeur de l'école de Rustrel, dans le Vaucluse, est suspendu de ses fonctions depuis la rentrée. Pourquoi ? Pour RIEN. Le dossier, monté totalement à charge par l'IEN de circonscription s'est complètement dégonflé. Il ne reste qu'une "suspicion" de mauvaise évaluation d'un cas de harcèlement d'élève (par d'autres élèves) en juin dernier. Et c'est tout.
Il faut dire que Jacques Risso commet sur son site, depuis près de 10 ans, des dessins peu amènes pour l’administration de l’Éducation Nationale. Ceci expliquant peut-être cela...
C'est une situation totalement inédite : un collègue suspendu sans aucun motif, soutenu par les parents, les collègues et les élus !
Un meeting aura lieu à Avignon ce vendredi 13, en présence de
Pierre FRACKOWIACK, Inspecteur honoraire de l’Education Nationale, Administrateur national de la Ligue de l’Enseignement et de  Jean Marie KROCZEK, Inspecteur de l’Education Nationale honoraire , Président de la Bibliothèque pédagogique François Richaudeau.

Si bien sûr, vous ne pouvez vous rendre à AVIGNON vendredi, vous pouvez vous manifester par l'intermédiaire d'une pétition en ligne http://www.la-bouteille-a-l-encre.com/.

JACQUES DOIT ÊTRE RÉINTÉGRÉ ET LAVÉ DE L'INFAMIE QU'ON TENTE DE JETER SUR SA PERSONNE ET SA COMPÉTENCE PROFESSIONNELLE !



« Donnez-moi un homme, j’en ferai un dossier d’abord, un procès ensuite. »
Andreï Vichinsky, Procureur stalinien des procès de Moscou


13.10.2013  
L’acharnement contre Jacques RISSO continue... Des pièces disparaissent de son dossier administratif... Deux lettres de délation, anonymées, y apparaissent ! lire ICI
10.10.2013  
08.10.2013 
4 pages spécial Jacques RISSO édité par nos camarades du Vaucluse (affaire complète, le complot démonté) 
Éditez -la, faites-la signer, envoyez-la !
24.09.2013
REINTEGRATION IMMEDIATE DE NOTRE COLLEGUE JACQUES RISSO
Jacques Risso est directeur d'école depuis 25 ans dans un village du Vaucluse dans le pays d'Apt.
Pédagogue reconnu et estimé, par ses collègues, les élèves et les parents,  Jacques Risso (Jac) est aussi un peu "taquin" avec l’Éducation Nationale et ses supérieurs hiérarchiques. Depuis 9 ans, il "commet" des dessins humoristiques sur son blog. Dessins qui sont repris sur des sites syndicaux et professionnels. Ici même, nous les utilisons souvent pour illustrer, mieux qu'en de longues phrases, l'inquiétude ou la colère devant des décisions irréalistes ou nocives.
3 jours avant la rentrée, son IEN lui a signifié sa suspension : il ne reprendrait pas sa classe le 2 septembre ; un collègue assurerait l'intérim de la direction de l'école. Il serait condamné, sans pouvoir ni s'expliquer, ni même connaître le détail du dossier d'accusation, à regarder les élèves faire leur rentrée dans "son" école depuis sa maison voisine, en attendant la tenue de la commission disciplinaire ! Il lui faudra 5 jours (!!) pour pouvoir consulter son dossier professionnel et prendre connaissance de ce qu'on lui reproche : RIEN du point de vue pédagogique, mais un problème de harcèlement entre élèves, au mois de juin, qu'il n'aurait pas su appréhendé et qui se serait, par sa faute - prétend l'IEN en première ligne pour porter le fer - envenimé.
Mais dans son dossier il trouve.... nombre de ses dessins dont le poil à gratter semble fortement indisposer l'administration. Déjà, en 2005, des dessins sur le logiciel JADE et ses dysfonctionnements, avaient failli lui coûter quelques ennuis avec le ministère et donc son IA.
Disons-le tout net : si un conflit entre élèves suffit à entraîner la suspension d'un directeur d'école, tous les directeurs d'école sont sur la sellette ! 
Il est évident pour tout le monde qu'il s'agit de tout autre chose : faire payer à Jac près d'une décennie de dessins humoristiques dérangeants.

Le SNUDI-FO 53 est TOTALEMENT solidaire de notre collègues Jacques Risso et lui apporte tout son soutien.
Un comité de soutien s'est créé. Vous pouvez consulter lesarticles de presse qui sont parus depuis 1 semaine. Vous pouvez bien sûr lui communiquer votre soutien sur le mail du comité.
Nous exigeons laRÉINTÉGRATION IMMÉDIATE DE JACQUES RISSO    
rassemblement du 2 octobre à Avignon, devant la DSDEN 84 pour exiger la réintégration de Jacques Risso 

mardi 22 octobre 2013

Julie Amadis soutient Jacques Risso (directeur d'école professeur des écoles suspendu)

Julie Amadis soutient Jacques Risso (directeur d'école professeur des écoles suspendu) source Mediapart Blog

Voici le copie du courrier posté par Julie Amadis à Jacques Risso et à son comité de soutien le 14 octobre dernier.

Bonjour,

J'ai vu votre site et beaucoup de dessins m'ont fait rire. Découvrir votre blog et votre courage m'a rassurée. Il en reste encore des enseignants contestataires qui osent s'exprimer !!

Cela fait 2 années que je suis Professeur des écoles titulaire. Avant j'ai été Assistante Pédagogique (virée pour avoir dénoncé des fessées dans une maternelle) et institutrice suppléante dans le privé (obligation d'accepter le poste) et j'ai pu faire l'expérience de la répression qui s'abat sur ceux qui médiatisent ce qui se passe au sein de l’Éducation Nationale d'un côté, et l'impunité totale pour ceux qui maltraitent les élèves de l'autre.

Ils sont prêts à tous les mensonges pour couvrir l'institution et punir les rebelles - rebelles qui ne sont autres que les gens honnêtes.

Votre histoire m'a permis de voir à l'avance ce qui risquait de m'arriver.  C'est si facile de construire une faute professionnelle et de harceler moralement les personnes gênantes !

Voici un résumé du début de répression mis en place par l’Éducation Nationale pour avoir témoigné puis médiatisé les violences à enfants dans une maternelle du Havre :

A la rentrée (2013), j'ai la surprise d'apprendre que mon inspecteur n'est autre que celui qui avait étouffé une affaire de violence à enfants dont j'avais été témoin dans une école maternelle du Havre et qui avait utilisé tout le pouvoir qu'il avait pour me harceler (fabrication de fausses fautes professionnelles, interdiction aux enseignants de m'ouvrir leur porte, envoi de mise en demeure, et ça a fini par un non renouvellement de contrat et les assédic avec un peu plus de 400 euros par mois pour vivre). Unevidéo a été mise sur internet dénonçant toute cette affaire.

A l'improviste, il débarque dans ma classe en compagnie de la directrice qu'il avait préalablement essayé de monter contre moi.(Je l'ai su plus tard indirectement)
Il me dit devant tous mes élèves : "Vous vous êtes convertie dans l'enseignement, mademoiselle" et ajoute "vous préférez être dans la chanson ou dans l'enseignement". Il réitère "alors c'est quoi qui est le mieux la chanson ou l'enseignement". Il finit par "de toutes les façons on va avoir l'occasion de se rencontrer cette année".

J'apprends un peu plus tard qu'il a évoqué ses griefs contre moi devant les conseillers pédagogiques dont l'un a rapporté que cela s'était passé "lors de la réunion de circonscription", que la secrétaire du recteur fait campagne contre moi..

Mais ne vous inquiétez pas les enseignants qui tapent les enfants eux n'auront aucun problème. La directrice d'école qui se vantait de taper un enfant de 4 ans était révéré par l'IEN ! L'ATSEM qui tapait un enfant de 3 ans n'a même pas reçu une petite remontrance !!
Ces gens se sont couverts en me faisait passer pour menteuse.
Une position démentie par le classement sans suite de la plainte en diffamation d'une des coupables et par l’agrément qui m'a été accordé trois mois plus validant mon embauche comme institutrice suppléante dans le privé catholique.

Mais un professeur en UPI (Unité Pédagogique d'Intégration) qui donnait des coups de pieds entre les fesses de ses élèves adolescentes a gardé son poste et a continué ses agissements tranquillement. J'avais été témoin de tels agissements alors que j'étais assistante d'éducation. J'en avais informé plusieurs syndicats qui m'avait promis d'en référer à la hiérarchie de l'éducation nationale.

Sans compter, dans d'autres écoles du Havre, les 3 témoignages d'AVS et assistante d'éducation qui m'ont fait savoir qu'elle avait été témoin de violences à enfants de la part d'enseignantes mais qui n'ont pas osé parler de peur de subir ce que moi j'ai subi et je subis encore !

Il y a actuellement une attaque contre tous les vrais médias, contre les journalistes et les blogueurs, contre les dessinateurs trop rebelles.
Un blog où j'avais écrit des articles dans le passé a été condamné. Les juges ont inventé des aveux de ma part et qui me condamne à payer 31000 pour un article que je n'ai pas écrit ! J'étais évidemment moralement solidaire de l'auteur qui dénonce les salaires à 50 euros pratiqués en Afrique, mais mes articles parus sur ce blog traitaient d'autres sujets que l'Afrique (Victor Serge, Engels et les classes sociales, la BD "SOS Bonheur" etc.... Ils ont INVENTE de prétendus aveux de ma part que j'aurais été CONTRIBUTRICE de l'article ..... alors que je protestais ne RIEN AVOIR A VOIR avec cet article et que mon nom figurait sur ce blog en tant que CONTRIBUTRICE DU BLOG... 5 juges dans 3 procès ont fait semblant de CROIRE à ces BOBARDS qu'ils fabriquaient eux-mêmes !

Je vous apporte tout mon soutien. Je vais médiatiser votre affaire sur internet. Je pense qu'il est plus que temps que les enseignants se rebellent contre ce système d'impunité à l'égard des agresseurs d'enfants d'un côté et de répression auprès des militants pédagogiques de l'autre.

Julie AMADIS  



COMPLEMENTS
Le courrier au Recteur n'a jamais eu de réponse - à part l'agréément de Julie Amadis pour son poste dans le privé, agréément qui invalidait les accusations de mensonge
suspendu.jpg
 Il est incontestable que de 2007 à 2012, le système éducatif a connu une période de développement sans précédent de l'autoritarisme. Contrôles incessants, enquêtes à rendre pour hier, paperasse invraisemblable que personne ne lit, rappels à l'ordre, sanctions contre les désobéisseurs, menaces et pressions, manœuvres d'isolement des résistants aux politiques de destruction de l'école (« vous êtes le seul de la circonscription à désobéir »).