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lundi 15 décembre 2025

Julie Amadis victime de Claudine Schmidt-Lainé lui avait écrit dès 2013 avant son article de 2018 "La rectrice de Rouen volait dans la caisse pendant qu'elle organisait ma révocation de l'Education Nationale. Au service de l'OTAN et de la Franceàfric esclavagiste."


Courrier de Julie Amadis à Madame la Rectrice de Seine-Maritime

Date de réception : 14 NOV. 2013

Référence : 1A09230326455

Cachet : RECTORAT DE ROUEN - INSPECTION ACADÉMIQUE DE LA SEINE-MARITIME


Julie Amadis

Professeur des Écoles

Affectée à l'école Valmy 1 (75 %) et Valmy 2 (25 %) le 01/09/2013

9 rue d'Epernon

76600 Le Havre

0666986575

jamadis@voila.fr


À : Madame la Rectrice de Seine-Maritime


transmis directement vu l'urgence

copie Mr le Directeur Académique

copie à Mr le Directeur Académique adjoint en résidence au Havre

copie à Mme l'IEN adjointe au directeur académique

transmettre copie à IEN Mr Patrick Deplanque


Cinq motifs principaux m'incitent à me tourner vers vous


Le fait que je refuse d'être inspectée par l'IEN Mr Patrick Deplanque et que j'invoque la législation du refus d'inspection pour refuser toute inspection.

Le fait que cet inspecteur censé me protéger est venu - le 26 septembre 2013 peu après 16h -, faire pendant mon temps de classe, en présence de mes élèves, dans la classe et devant un témoin, la directrice de Valmy 2, un harcèlement moral totalement inacceptable: Une menace à peine déguisée de recommencer le licenciement abusif dont j'ai été victime en 2008 par ses soins et un réseaux ad hoc.

Le fait que votre prédécesseur de 2008, Recteur de Seine-Maritime, n'ait pas jugé bon de répondre à mon courrier de juin 2008 malgré les graves accusations qu'il contenait. (Et malgré le fait que, 4 mois plus tard, j'ai été agréée, par le Rectorat, à travailler comme institutrice suppléante dans l'enseignement privé catholique). J'attends encore la réponse à ce courrier de 2008 qui permettra de clarifier qui mentait dans les violences commises à l'école maternelle Varlin concernant Kévin (3 ans) et Luciano (4 ans).

Le fait que j'ai été informée que certain secrétariat de Rouen faisait campagne contre moi.

Le fait, enfin, que l'information que je faisais auprès de parents de mes élèves des années précédentes concernant les maltraitances dans l'Éducation Nationale m'a fait découvrir avant-hier un quatrième cas de violences à enfants du primaire au Havre.


Ce 4° cas (de violences réitérées sur "plusieurs enfants" de maternelle) concerne, cette fois-ci, une école du centre ville. Et non des quartiers défavorisés pour lesquels on m'avait fait comprendre en 2008 qu'il était quasiment légitime d'user contre ces enfants de violences physiques. Je suppose qu'il doit exister, au Havre, plusieurs dizaines de cas du même genre.

Dans la mesure où mon témoignage de 2008 n'avait été pris au sérieux et que l'on avait fini par me traiter de "menteuse" (cf la déclaration qui m'avait été lue par le policier), je ne peux prendre le risque que ce même inspecteur mentent concernant son observation de la classe, c'est pour cette raison que je refuse qu'il entre dans ma classe. J'ai déjà été visitée dans le passé mais pas par quelqu'un qui

1° m'a traitée de menteuse

2° a orchestré le harcèlement subi et mon renvoi (non renouvellement de contrat)

3° vient "régler des comptes" 5 ans plus tard en commençant une campagne à mon encontre à peine il prend ses nouvelles fonctions.

La terreur qui règne contre les témoins fait que, dans les 3 cas qui m'ont été rapportés, ceux qui ont vu ces violences ne veulent pas témoigner.

Ils sont confortés dans leurs crainte par la perte de mon emploi d'assistante pédagogique en 2008 avec l'indifférence totale de votre prédécesseur, de l'Inspecteur d'Académie en résidence au Havre (qui, à l'époque, avait annoncé qu'il allait me convoquer), du maire du Havre que j'avais rencontré à l'époque et qui ne fit absolument rien contre les auteurs de violences ni en faveur de celle qui témoignait).

Tout cela eut comme résultat, outre la perte de mon emploi par non renouvellement de contrat, une tentative de condamnation par la justice de celle qui avait témoigné et du blogueur qui me soutenait.

Une justice qui "oublia" d'enquêter sur les faits de violences.... et qui dû néanmoins classer cette plainte contre moi.

L'indifférence de votre prédécesseur eut donc comme résultat que c'est la témoin des violences qui fut la seule à être sanctionnée et que les diffamateurs et menteurs s'en sortirent la tête haute. Ainsi que les auteurs des violences évidemment.

Par ailleurs, j'ai appris que des conseillers pédagogiques en réunion de circonscription de rentrée avaient entendu l'IEN Deplanque mener campagne contre moi en leur donnant une information diffamatoire à mon encontre.

En réitérant mon annonce de refus d'inspection, je vous prie, madame de prendre enfin, au moins pour le Havre, les mesures urgentes en vue de protéger les enfants et les témoins. Que les témoins soient fonctionnaires ou auxiliaires.

Je peux vous affirmer que les témoins sont tellement terrorisés que même l'annonce d'une enquête officielle de votre part qui ne leur garantirait pas leur emploi serait insuffisante à reconstituer leur confiance en la légalité du fonctionnement interne à l'institution.

J'escompte que prochainement les syndicats mettront comme priorité la défense des enfants et des témoins. Le Conseil de l'Europe pèsera prochainement dans ce sens.

Je vous demande de prendre toutes dispositions nécessaires pour faire cesser immédiatement toutes nouvelles tentatives de harcèlement à mon encontre. En particulier dans le cas où - comme le le 26 septembre dernier - je suis en présence de mes élèves.

Il est insupportable de travailler pour des enfants avec la possibilité à tout moment de voir arriver dans ma classe un harceleur menaçant ironiquement de me faire une nouvelle fois chasser de l'Éducation Nationale.

Dans l'attente d'une réaction active de votre part en faveur des enfants ayant été battus au sein de l'Éducation Nationale au Havre depuis 2008 et d'une intervention protégeant mon statut et mes conditions de travail, veuillez, Madame la Rectrice, recevoir l'expression de mes salutations respectueuses.

Julie Amadis

[Signature]


ANNEXE

J'ai su que la directrice de l'école Valmy savait à l'avance quelles étaient les intentions de l'IEN Deplanque. Il était "remonté contre" moi avant de monter me harceler dans ma classe.

C'est là qu'il a tenu les propos suivants devant tous mes élèves :

"Vous vous êtes convertit dans l'enseignement, mademoiselle" et ajoute "vous préférez être dans la chanson ou dans l'enseignement". Il réitère "alors c'est quoi qui est le mieux la chanson ou l'enseignement". Il finit par "de toutes les façons on va avoir l'occasion de se rencontrer cette année".



lundi 9 juillet 2018

La rectrice de Rouen volait dans la caisse pendant qu'elle organisait ma révocation de l'Education Nationale. Au service de l'OTAN et de la Franceàfric esclavagiste.

Par Julie Amadis
#IpEaVaEaFaF
Le 09/07/2018


Claudine Schmidt Lainé était rectrice de Rouen lorsque j'ai subi un harcèlement professionnel au service de la Franceàfric.
Claudine Schmidt Lainé était la rectrice à qui j'avais demandé protection quand j'étais menacée par mon  inspecteur Patrick Deplanque dans ma classe.
Sa réponse a été d'envoyer ma lettre à l'Inspection Académique pour que je subisse une répression. Je reçus un avertissement juste parce que j'avais écrit à la rectrice sans en avoir informé mon agresseur, celui dont je me plaignais dans ma lettre !
Résultat de l'attitude de la rectrice, le harcèlement professionnel s'est aggravé, une inspection "sanction" avec une note sanction et un rapport d'inspection truffé de mensonges et de faux en écritures publiques.
Et très peu de temps après, j'ai été suspendue de mes fonctions sans motif.
Début juillet, je suis exclue 2 ans de mon poste sur la base du faux témoignage de Léon Launay, le professeur qui tape ses élèves dans l'école.

GRANDE VICTOIRE LA RECTRICE VOLEUSE PROTEGEE PAR L'OTAN, HOLLANDE, HAMON ET BELKACEM


Une grande victoire pour les enfants battus par leurs professeurs et leurs instits dans les écoles de Seine Maritime !
Une grande victoire pour les défenseurs des enfants !
La rectrice à la tête du réseau omerta76 qui a organisé ma suspension sans motif, mon exclusion 2 ans avec un faux en écritures publiques puis ma révocation pour atteinte à la République Française vient d'être jugée. Le juge a requis contre elle deux mois de prison avec sursis et 15 000 euros d’amende.
Mais pas encore pour ses pires forfaits !

LA RECTRICE QUI AGISSAIT AU SERVICE DE LA FRANCEAFRIC ET PROTÉGEAIT LES AGRESSEURS
D' ENFANTS A DÉTOURNÉ 18 304 EUROS


Claudine Schmidt Lainé a détourné 18 304 euros.

"L'ancienne rectrice est soupçonnée d'avoir détourné 18.304 euros en faisant prendre en charge des dépenses, injustifiées ou personnelles, sur les frais de la chancellerie. Elle avait accepté de restituer 5.673 euros lors de l'enquête, a souligné Pascal Prache, procureur de la République. A l'issue des investigations menées par le service régional de police judiciaire (SRPJ) de Rouen, l'ancienne directrice au CNRS se voit notamment reprocher de s'être fait rembourser des trajets en train, le weekend, entre Rouen et le département du Rhône où se trouve son domicile privé alors même qu'elle disposait d'un logement de fonction à Rouen. "Plusieurs de ces déplacements ne correspondaient à aucune réunion professionnelle", a indiqué la présidente du tribunal." Le Figaro

Claudine Schmidt Lainé était rectrice de Rouen lorsque j'ai subi un harcèlement professionnel au service de la Franceàfric.
Claudine Schmidt Lainé était la rectrice à qui j'avais demandé protection quand j'étais menacée par mon  inspecteur Patrick Deplanque dans ma classe.


Violences à enfants. Claudine Schmidt-Lainé : au lieu de me protéger à ma demande la Rectrice a déclenché mon exclusion pour 2 ans



Sa réponse a été d'envoyer ma lettre à l'Inspection Académique pour que je subisse une répression. Je reçus un avertissement juste parce que j'avais écrit à la rectrice sans en avoir informé mon agresseur, celui dont je me plaignais dans ma lettre !

Ma demande de protection en tant que témoin de violences à enfants m'a valu un avertissement


Résultat de l'attitude de la rectrice, le harcèlement professionnel s'est aggravé, une inspection "sanction" avec une note sanction et un rapport d'inspection truffé de mensonges et faux en écritures publiques.

141° jour d'exclusion d'une prof des écoles pour avoir dénoncé des violences à enfants


Et très peu de temps après, j'ai été suspendue de mes fonctions sans motif.
Début juillet, je suis exclue 2 ans de mon poste sur la base du faux témoignage de Léon Launay, le professeur qui tape ses élèves dans l'école.

Le courrier de Julie Amadis à la rectrice Claudine Schmidt-Lainé (se plaindre de harcèlement suite à témoignage de violences en 2008 et signaler 4 autres cas a déclenché des sanctions terribles : suspension de la témoin et protection d'un nouvel agresseur)

L'acte de suspension de mes fonctions en mars 2014 :

La témoin des violences Julie Amadis suspendue sans motif par l'Inspecteur d'Académie Philippe Carrière (directeur OMERTA76) : le texte du courrier de suspension reçu aujourd'hui par l'institutrice témoin des violences

Le faux témoignage du professeur qui tape ses élèves à l'école Valmy, Léon Launay :

Le mercredi 26 mars 2014, Julie Amadis est passée prés du "marché d'Harfleur", à 90 km/h, en train, en direction de Rouen pour aller distribuer un tract #FreeGbagbo ! Léon Launay est un menteur ! Et un agresseur d'élèves protégé par OMERTA76

Exclusion 2 ans avec un faux en écritures publiques :


OMERTA76: L'institutrice Julie Amadis exclue sans traitement pendant 2 ans ! L'inspecteur d'académie Philippe Carrière protège les agresseurs d'enfants dans les écoles et punit la témoin des violences de 2008


2 ans plus tard, je suis révoquée pour atteinte à la République française.

Hollande révoque une prof pour déclarations anti-violence à enfants et anti-franceàfric

CLAUDINE SCHMIDT LAINE AGISSAIT AU SERVICE DE LA FRANCEAFRIC ESCLAVAGISTE ET
AU SERVICE DE L'OTAN


Claudine Schmidt Lainé a été nommée rectrice de Rouen la même année où Patrick Deplanque a été nommé Inspecteur sur l'école Valmy,  en 2013.
Cette même année, à la rentrée je suis nommée dans l'école de l'agresseur d'enfants notoirement connu Léon Launay.
Cette école a comme particularité d'avoir un Directeur d'école, Patrick Clabaut ami de longue date de Léon Launay et de l'Inspecteur Deplanque qui m'avait déjà virée en 2008 après que j'ai témoigné de violences à enfants par une Atsem et la Directrice de l'école maternelle Varlin au Havre.
Patrick Clabaut est aussi ami avec Patrick Deplanque.
Dans cette école tout est organisé en interne pour protéger Léon Launay (ça va jusqu'à ne placer dans sa classe que les enfants dont on a l'assurance que les parents ne porteront pas plainte).
Donc la DGSE savait que en me nommant dans cette école, moi qui était militante anti violences à enfants que je n'aurai aucun soutien d'aucune personne quand la répression qu'il avait prévu d'organiser allait avoir lieu.

Cette Rectrice, éditée par les éditions de l'OTAN, avait pour mission d'organiser la répression contre moi, qui suis une militante anti - franceàfric anti violences à enfants.
C'est ce qu'elle a très bien fait.
Alors qu'elle pique dans la caisse ne gênait personne.
C'était même sa récompense supplémentaire à son implication. Un pourboire en quelque sorte.

La rectrice Claudine Schmidt-Lainé (éditée par l'OTAN) a fait sanctionner la prof témoin de violences Julie Amadis. Exclusion 2 ans. RSA.Son complice OMERTA76, le menteur procureur Nachbar fait des faux en écritures pour le réseau des agresseurs

Il a fallu que des cadres de la Direction générale des finances publiques en 2016 dénoncent les détournements de fonds de la Rectrice pour que l'affaire soit connue.


La Rectrice Claudine Schmidt Lainé qui m'a exclue 2 ans auditionnée par la PJ pour "abus de confiance" et "faux et usages de faux"



Dès que le scandale a commencé à sortir, la Rectrice a été mutée à Grenoble.

Au même moment, je survivais avec mon RSA - j'avais été exclue 2 ans sans traitement en juillet 2014.

Il a fallu attendre mars 2018 pour qu'elle soit révoquée. Elle a 63 ans donc aucune inquiétude financière pour elle, elle aura une bonne retraite !
"Les faits remontent entre 2013 et 2015, à l'époque où Mme Schmidt Lainé, 63 ans, exerçait au sein de l'académie de Rouen. Elle a ensuite été rectrice de l'académie de Grenoble avant qu'un décret présidentiel ne mette fin à ses fonctions en mars 2018." Le Figaro

CLAUDINE SCHMIDT LAINE EST PASSÉE EN JUGEMENT
TOUS LES MEMBRES DU RÉSEAU OMERTA 76
FRANCEAFRIC LE SERONT BIENTÔT
AVEC DES JUGES DÉLÉGUÉS RÉVOCABLES

Nous n'allons pas laisser ceux qui ont financé les attentats Daech continuer.
Nous n'allons pas laisser ceux qui ont mis les terroristes du Mali et de Côte d'Ivoire au pouvoir continuer leur folie criminelle.
Nous n'allons pas laisser ces chefs terroristes continuer à mener le chaos en France et en Afrique.
Nous n'allons pas les laisser continuer à organiser les violences à enfants dans les écoles.
Tous ces gens seront bientôt jugés par des délégués justice révocables qui les jugeront pour leurs actes.




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