par Yanick Toutain
L'Havrais Vérité
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Ma chère Julie, apparemment les paysages n'ont pas eu beaucoup d'effet. Il m'est donc venu une autre idée farfelue. Les paysages que tu regardais quand tu étais heureuse — à part 5%... Et encore en réalité, 5% est une façon de le dire — le "Hulk" avec prises de tête sur les saloperies de la Françafric, les saloperies de ta mère, le harcèlement, etc. etc.
Bref, donc j'ai pensé ce matin à Sylvain Schiltz — le SDF mort dans sa voiture pour qui Julie a écrit une chanson en 2008 — pour te rappeler les circonstances. 2008, tu écris une chanson et tu te fais littéralement humilier en allant comme tous les ans — je ne voyais aucune objection. Tu sais parfaitement que mes seules objections concernant les gens que tu as pu voir ou que tu as pu croire ou à qui tu as pu faire confiance étaient strictement et uniquement pour te protéger de ta naïveté — effectivement gravissime parfois — et ta tolérance de comportements totalement inacceptables.
Donc tu allais tous les ans, même pas tous les ans, deux fois parfois même trois fois par an jusqu'en 2008, donc pendant 8 ans. 1, 2, 3, 4, 5, 6, 7, 8 — tous les ans voir ta famille qui ne venait JAMAIS. Tes parents sont venus une fois, ta mère une fois, ta grand-mère plusieurs fois — j'ai pas fait le compte —, ta sœur une fois, et encore c'était pas prévu. Elle était à Étretat et c'est son copain qui lui dit... il propose de venir te voir. Et donc forcément tu arrives très tard le soir, on s'apprêtait à partir au kebab.
Et c'est ce qui ressort avec un nuage de bobards des témoignages de ton divorce — plutôt de leur divorce parce que c'est pas notre divorce, on n'est pas concernés, c'est pas mon prénom, c'est pas ma date de naissance et tout ce qui est dedans est faux — comme la plainte d'ailleurs. La plainte, je vais faire un site spécial pour tout remettre les pendules à l'heure.
Mais là, j'ai une autre idée. Écoute bien, écoute bien ce que je vais dire là. C'est une technique de contre-hypnose.
« J'en reprends un ? Est-ce que j'en reprends un ? Ouais, je crois que je vais en reprendre un. — Ouais, ben j'en prends un avec toi. Voilà. — Bon, j'en ai eu un, j'en ai pris deux. Ce sera le troisième. Je vais en prendre un. »
Tu vois Julie... Tu pourrais te passer ça en boucle. Je pourrais même te faire 1 heure. 1 heure d'enregistrement.
C'est quoi ça ?
Ça, c'est notre dialogue presque tous les jours de la semaine. Moins le dimanche, moins le samedi — pas en période de manifs, puisque en périodes de manifs on reste ensemble pour préparer l'article et les publications. D'ailleurs l'article, souvent fait par toi, où il est rare que je fasse — directeur de la publication d'ailleurs — pour vérifier s'il y a un pourcentage de bourdes et de fautes d'orthographe pour corriger plus important d'ailleurs dans les manifs, dans les articles de manifs de faire...
Donc qu'est-ce que je viens de faire là ?
Là, bah je viens de faire notre dialogue quand tu me RE-JOINS ou me rejoignais. Tu me rejoignais au Diplomate. Presque tous les jours, tu me rejoignais au Diplomate et moi, j'avais déjà pris deux cafés, c'est-à-dire en tirant sur la corde, j'étais resté pour deux cafés, on va dire 4 ou 5 heures puisqu'on économisait pour qu'il y ait des réserves gigantesques de milliers d'euros au moment de ton départ. D'ailleurs, parenthèse.
Bref, et donc le dialogue, c'était quand tu revenais — d'où ? Je le savais certaines fois, je le savais pas d'autres fois. Comme un grand nombre de fois, bon nombre de fois, tu étais partie bosser à la bibliothèque universitaire où je ne foutais jamais les pieds. Je pense pas que j'ai foutu les pieds une seule fois depuis 2014, peut-être 2016, je pense pas.
Bref, donc tu revenais et notre dialogue c'était ça. Et donc toi, sous hypnose du voyou Blondet — le complice de Sarkozy, membre de la grande association de malfaiteurs — qui t'a hypnotisée, qui t'a placée dans un état second pour te faire aller à son cabinet après le départ de la secrétaire, selon tes propres mots, en faisant attention de ne pas être vu par les caméras d'Édouard Philippe, toujours selon tes propres mots.
Bon moi je t'avoue franchement, j'étais un peu naïf sur cette affaire-là. J'ai pensé qu'il t'avait déstabilisée, ça c'est sûr. Et bêtement, vraiment très bêtement, je n'avais pas imaginé un calcul sordide, un calcul cynique d'un médecin voyou faisant revenir sous hypnose sa patiente après les heures normales.
J'avais supposé bêtement — là je t'avoue, j'ai tort. Dans un divorce un jour tu pourras le marquer : « Il ne m'a pas crue quand j'ai accusé Blondet le voyou de m'avoir hypnotisée pour me faire revenir. »
Qu'est-ce qui s'est passé ? Est-ce qu'il t'a seulement fait parler ? Est-ce que ce type est un violeur ? J'en sais rien. Est-ce que Blondet est un violeur ? J'en sais rien. Est-ce que Matthieu Blondet est un agresseur sexuel ? Je n'en sais rien.
Tout ce que je sais, c'est que sa présence dans la plainte comme étant ton « confident » — un type que tu n'as jamais pu voir en peinture, un type au sujet duquel tu n'as jamais émis le moindre avis positif, que ce soit avant ou au mois d'octobre — tout à coup sur monsieur Blondet : « Il est pas si mal que ça ». Non, non, non.
Blondet, tu ne pouvais pas le voir en peinture. Il était intrusif. Tu n'utilisais pas le mot « toxique », mais le reste de tes propos c'était ça. Tu le considérais comme un manipulateur — comme Lagarde d'ailleurs, le prédécesseur, mais moins pire encore. Blondet était pire.
Et donc il t'a fait quoi ? Bah visiblement il t'a fait parler. Il t'a fait parler puis il t'a fait enregistrer. Il t'a fait enregistrer des bobards dont évidemment il ignorait les contre-preuves. Il t'a fait enregistrer — c'est un élément ça — il t'a fait stocker en mémoire le fait que je ne voulais pas que tu fasses un cadeau à ton neveu. Donc il est logique que ça se situe à cette époque-là, donc fin septembre plutôt que début octobre.
Et donc ce médecin voyou hypnotiseur — j'ai effectivement tort — et il faudra bien trouver un moyen de briser l'envoûtement, de briser le maraboutage.
Cet individu est un criminel en relation avec une entreprise terroriste parce qu'en fait, ce qu'ils veulent casser — Sarkozy, le commissaire Bourry, l'inspecteur d'académie Serge Tillmann parti chercher sa récompense chez ses nouveaux patrons du Qatar, le quartier général terroriste — tous ces gens-là, ils voulaient qu'on cesse de dénoncer l'organisation du terrorisme. C'était ça le but. Ils n'ont pas cassé un couple principalement, ils ont cassé une organisation révolutionnaire qui lance l'alerte.
Moi, j'ai republié presque toutes les semaines le mandat d'arrêt du procureur Tessougué du Mali. C'est ça qu'ils voulaient faire stopper et m'occuper moi à perdre mon temps avec les âneries de l'avocate stupide Goubert et ses élucubrations absurdes. Oui, l'avocate qui place dans les annexes des preuves, des textes de toi Julie, qui contredisent les conclusions.
Bref, donc un groupe de pieds nickelés au service de qui ? Bah au service de Sarkozy, de Hollande — numéro 2 chef terroriste — avec le général Puga, le trio et puis les autres.
Voilà, c'était ça le but. Bah, ils ont réussi pour l'instant. Tu t'es faite avoir. Il y a un psychiatre voyou, lui il te bousille la mémoire pour tout arranger.
Et donc, j'essaie par mes petits bras de te sauver la mise, ou te sauver tout court, parce que ça pourrait très mal finir pour toi tellement ces individus n'ont strictement aucun scrupule.
Je rappelle qu'ils sont les parrains du lobby des profs qui frappent les élèves depuis plus de 20 ans. D'ailleurs, je vais ressortir — tiens, je vais ressortir l'article sur Rufénacht quand je m'étais adressé dans la rue — avenue René Coty — à l'ancien maire Antoine Rufénacht : « Monsieur Rufénacht, on ne tape pas les enfants, on peut peut-être au moins se mettre d'accord là-dessus. »
Et ben non. Et ben non. Ben non. Pour le SAC, pour les gaullistes, pour le parrain d'Édouard Philippe, on frappe les enfants. Les enfants des pauvres de préférence. Mais non, il y a aussi — tu les as dénoncés — des agresseurs, des enseignants agresseurs dans le centre-ville. Ça fait partie d'un de tes textes d'ailleurs.
Bref, je te salue et je vais rendre cette vidéo publique.
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