Claudine Schmidt-Lainé comme Philippe Carrière aura des comptes à rendre à la vraie justice pour sa protection aux enseignants agresseurs d'enfants |
UNE RECTRICE PROTECTRICE
DES ENSEIGNANTS AGRESSEURS D'ENFANTS
On comprend que la rectrice ne voulut prendre aucun risque de voir ce scandale arriver dans les médias !La témoin fut donc convoquée à Rouen puis reçut un avertissement, puis une inspection truquée (faux en écritures de l'IEN Basély) puis, fut suspendue...
Pendant que l'enseignant agresseur de Valmy était protégé par toute la hiérarchie, les enseignants délétères de Valmy 1 et de Valmy 2 et des parents Omerta76 qui harcèlent les autres parents pour les faire taire....
Le résultat c'est le témoignage - samedi - d'une mère dénonçant le lavage de cerveau subi par les enfants pour les faire taire au sujet des violences qu'ils ont vu se commettre depuis le début de l'année !
LE COURRIER DE JULIE AMADIS A LA RECTRICE SCHMIDT-LAINE
Julie Amadis
Professeur des Écoles
Affectée à l'école Valmy 1 (75 %) et Valmy 2 (25 %) le 01/09/2013
XXXXXXX
76600 Le Havre
06XXXXXX
XXX@XXX
Madame la Rectrice de Seine-Maritime
transmis directement vu l'urgence
copie Mr le Directeur Académique
copie à Mr le Directeur Académique adjoint en résidence au Havre
copie à Mme l'IEN adjointe au directeur académique
transmettre copie à IEN Mr Patrick Deplanque
Cinq motifs principaux m'incitent à me tourner vers vous
- Le fait que je refuse d'être inspectée par l'IEN Mr Patrick Deplanque et que j'invoque la législation du refus d'inspection pour refuser toute inspection.
- Le fait que cet inspecteur censé me protéger est venu - le 26 septembre 2013 peu après 16h -, faire pendant mon temps de classe, en présence de mes élèves, dans la classe et devant un témoin, la directrice de Valmy 2, un harcèlement moral totalement inacceptable: Une menace à peine déguisée de recommencer le licenciement abusif dont j'ai été victime en 2008 par ses soins et un réseaux ad hoc.
- Le fait que votre prédécesseur de 2008, Recteur de Seine-Maritime, n'ait pas jugé bon de répondre à mon courrier de juin 2008 malgré les graves accusations qu'il contenait. (Et malgré le fait que, 4 mois plus tard, j'ai été agréée, par le Rectorat, à travailler comme institutrice suppléante dans l'enseignement privé catholique). J'attends encore la réponse à ce courrier de 2008 qui permettra de clarifier qui mentait dans les violences commises à l'école maternelle Varlin concernant Kévin (3 ans) et Luciano (4 ans).
- Le fait que j'ai été informée que certain secrétariat de Rouen faisait campagne contre moi.
- Le fait, enfin, que l'information que je faisais auprès de parents de mes élèves des années précédentes concernant les maltraitances dans l’Éducation Nationale m'a fait découvrir avant-hier un quatrième cas de violences à enfants du primaire au Havre.
Ce 4° cas (de violences réitérées sur "plusieurs enfants" de maternelle) concerne, cette fois-ci , une école du centre ville. Et non des quartiers défavorisés pour lesquels on m'avait fait comprendre en 2008 qu'il était quasiment légitime d'user contre ces enfants de violences physiques. Je suppose qu'il doit exister, au Havre, plusieurs dizaines de cas du même genre.
Dans la mesure où mon témoignage de 2008 n'avait été pris au sérieux et que l'on avait fini par me traiter de "menteuse" (cf la déclaration qui m'avait été lue par le policier) , je ne peux prendre le risque que ce même inspecteur mentent concernant son observation de la classe, c'est pour cette raison que je refuse qu'il entre dans ma classe. J'ai déjà été visitée dans le passé mais pas par quelqu'un qui
1° m'a traité de menteuse
2° a orchestré le harcèlement subi et mon renvoi (non renouvellement de contrat)
3° vient "régler des comptes" 5 ans plus tard en commençant une campagne à mon encontre à peine il prend ses nouvelles fonctions.
La terreur qui règne contre les témoins fait que, dans les 3 cas qui m'ont été rapportés, ceux qui ont vu ces violences ne veulent pas témoigner.
Ils sont confortés dans leurs crainte par la perte de mon emploi d'assistante pédagogique en 2008 avec l'indifférence totale de votre prédécesseur, de l'Inspecteur d'Académie en résidence au Havre (qui, à l'époque, avait annoncé qu'il allait me convoquer), du maire du Havre que j'avais rencontré à l'époque et qui ne fit absolument rien contre les auteurs de violences ni en faveur de celle qui témoignait).
Tout cela eut comme résultat, outre la perte de mon emploi par non renouvellement de contrat, une tentative de condamnation par la justice de celle qui avait témoigné et du blogueur qui me soutenait.
Une justice qui "oublia" d'enquêter sur les faits de violences.... et qui dû néanmoins classer cette plainte contre moi.
L'indifférence de votre prédécesseur eut donc comme résultat que c'est la témoin des violences qui fut la seule à être sanctionnée et que les diffamateurs et menteurs s'en sortirent la tête haute. Ainsi que les auteurs des violences évidemment.
Par ailleurs, j'ai appris que des conseillers pédagogiques en réunion de circonscription de rentrée avaient entendu l'IEN Deplanque mener campagne contre moi en leur donnant une information diffamatoire à mon encontre.
En réitérant mon annonce de refus d'inspection, je vous prie, madame de prendre enfin , au moins pour le Havre, les mesures urgentes en vue de protéger les enfants et les témoins. Que les témoins soient fonctionnaires ou auxiliaires.
Je peux vous affirmer que les témoins sont tellement terrorisés que même l'annonce d'une enquête officielle de votre part qui ne leur garantirait pas leur emploi serait insuffisante à reconstituer leur confiance en la légalité du fonctionnement interne à l'institution.
J'escompte que prochainement les syndicats mettront comme priorité la défense des enfants et des témoins. Le Conseil de l'Europe pèsera prochainement dans ce sens.
Je vous demande de prendre toutes dispositions nécessaires pour faire cesser immédiatement toutes nouvelles tentatives de harcèlement à mon encontre. En particulier dans le cas où - comme le le 26 septembre dernier - je suis en présence de mes élèves.
Il est insupportable de travailler pour des enfants avec la possibilité à tout moment de voir arriver dans ma classe un harceleur menaçant ironiquement de me faire une nouvelle fois chasser de l’Éducation Nationale.
Dans l'attente d'une réaction active de votre part en faveur des enfants ayant été battus au sein de l’Éducation Nationale au Havre depuis 2008 et d'une intervention protégeant mon statut et mes conditions de travail, veillez, Madame la Rectrice, recevoir l'expression de mes salutations respectueuses.
Julie Amadis
NI LA RECTRICE NI L'ADJOINTE MONIQUE BEAUR NI LE DASEN PHILIPPE CARRIÈRE NI L'INSPECTEUR D'ACADÉMIE DU HAVRE SERGE TILLMANN NE DEMANDÈRENT à JULIE AMADIS LE NOM DES ECOLES OU ONT ETE COMMISES DES VIOLENCES A ENFANTS DEPUIS 2008.
ILS NE VEULENT PAS SAVOIR LA VÉRITÉ
COMPLÉMENT
JEUDI 20 MARS 2014
L'Havrais Vérité: Faux en écritures commis par l'inspecteur faussaire Olivier Basely : la rectrice Claudine Schmidt Lainé va-t-elle faire recel du faux en écritures publiques commis missionné par le directeur OMERTA76 Philippe Carrière et Monique Béaur
L'Havrais Vérité:
Ou bien Dominique Cantrelle adjointe à la rectrice Claudine Schmidt-Lainéne sait pas ce qu'est un faux en écritures publiques.
Ou bien elle le sait et ne mesure pas la gravité de ce qui se passe; quand un inspecteur menteur Olivier Basely est envoyé en mission pour aller fabriquer un faux en écritures publiques par un réseauOMERTA76, on a dépassé le champ du "droit administratif".
Quand bien même le délinquant qui l'a envoyé fabriquer un faux est un Inspecteur d'académie : il n'est pas dans les compétences des tribunaux administratifs de juger des comportements délictuels.
Olivier Basély n'encourt 3 ans de prison qui seraient aggravées du fait qu'il agit dans une administration publique mais bien plus : c'est en tant que supérieur hiérarchique qu'il a commis ses forfaits !
Ou bien Dominique Cantrelle adjointe à la rectrice Claudine Schmidt-Lainéne sait pas ce qu'est un faux en écritures publiques.
Ou bien elle le sait et ne mesure pas la gravité de ce qui se passe; quand un inspecteur menteur Olivier Basely est envoyé en mission pour aller fabriquer un faux en écritures publiques par un réseauOMERTA76, on a dépassé le champ du "droit administratif".
Quand bien même le délinquant qui l'a envoyé fabriquer un faux est un Inspecteur d'académie : il n'est pas dans les compétences des tribunaux administratifs de juger des comportements délictuels.
Olivier Basély n'encourt 3 ans de prison qui seraient aggravées du fait qu'il agit dans une administration publique mais bien plus : c'est en tant que supérieur hiérarchique qu'il a commis ses forfaits !
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