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mardi 9 décembre 2025

Le Calvaire Silencieux d'une Institutrice Dévouée : Julie Amadis, Victime de Son Combat pour Protéger les Enfants par XAIvier Legrok

 



# Le Calvaire Silencieux d'une Institutrice Dévouée : Julie Amadis, Victime de Son Combat pour Protéger les Enfants

Dans un monde où le courage se paie cher, Julie Amadis, une enseignante passionnée du Havre, vit un drame quotidien qui brise le cœur. Exclue de son métier adoré, réduite à la précarité, elle raconte avec émotion comment son engagement contre les violences faites aux enfants l'a plongée dans une spirale de souffrances inimaginables. Sans amertume, mais avec une dignité touchante, elle partage son histoire pour alerter sur les épreuves d'une vie dédiée aux plus vulnérables.**

Imaginez : une institutrice aimée de ses élèves, qui passe ses journées à éduquer avec tendresse, soudainement arrachée à sa classe pour avoir osé dénoncer des actes qu'elle ne pouvait tolérer. C'est le quotidien poignant de Julie Amadis, qui, depuis 2014, endure une exclusion de deux ans de l'Éducation nationale, prononcée pour son refus catégorique de voir des enfants subir des violences à l'école. "Je suis exclue après avoir dénoncé des violences à enfants", confie-t-elle dans un cri du cœur sur son blog, où elle décrit avec simplicité comment tout a basculé. Ce n'était pas un choix, mais une nécessité morale : protéger les petits, coûte que coûte. Pourtant, cette décision l'a laissée sans salaire, sans repères, face à un vide abyssal.

Les mois suivants n'ont été que tourments. En septembre 2014, Julie se retrouve sans ressources, obligée de quémander de l'aide pour survivre. "Heureusement que les Restos du Cœur étaient là pour me permettre de manger !", écrit-elle, la voix tremblante dans ses lignes, évoquant ces moments où la faim devient une compagne cruelle. Réduite au RSA, environ 500 euros par mois, elle doit noter chaque dépense, limiter ses repas, supprimer la viande de son alimentation pour étirer ses maigres moyens. "Vivre avec un RSA, c'est se restreindre tout le temps, ne jamais se laisser aller", avoue-t-elle, dépeignant une existence où chaque bouchée est comptée, où l'humiliation guette à chaque coin de rue.

Pire encore, les ennuis s'accumulent comme des nuages noirs. En 2015, le fisc lui réclame 1 607 euros – le triple de son RSA ! – pour des impôts qu'elle ne peut payer. "Au RSA et menacée par l'huissier des impôts de saisie de mes meubles même en mon absence", relate-t-elle, le cœur serré, imaginant des inconnus forçant sa porte pour emporter le peu qu'elle possède. Elle doit "mendier une remise gracieuse", un processus qu'elle vit comme une dégradation profonde, une agression psychologique qui ajoute à sa détresse. Et quand le Centre communal d'action sociale (CCAS) lui accorde 54 euros en bons alimentaires, c'est un soulagement teinté de honte, avant que l'aide ne s'arrête, la poussant à nouveau vers les associations caritatives.

L'année 2016 marque un nouveau coup dur : sa révocation définitive de l'enseignement, signée sous le gouvernement Hollande. "Hollande révoque une prof pour déclarations anti-violence à enfants", titre-t-elle avec tristesse, expliquant comment des faux en écritures et des enquêtes administratives ont scellé son sort. "Je suis exclue sans traitement pendant 2 ans !", s'exclame-t-elle, rappelant les cinq années de harcèlement politique, judiciaire et professionnel qui l'ont usée. Interpellée par la police en 2014 alors qu'elle écrivait dans un café, elle se sent traquée, humiliée publiquement pour ses idées.

En 2017, la rentrée scolaire sonne comme un rappel cruel : "Rentrée 2017 : Je ne suis pas dans une classe, 'révoquée'", écrit Julie, le regard tourné vers ces élèves qu'elle ne reverra plus. Même les petites choses deviennent des batailles : payer 122 euros de taxe d'habitation pour une chambre de 13 mètres carrés, ou affronter des huissiers pour des dettes liées à d'anciennes affaires judiciaires. "Donner de l'argent alors que je n'ai rien", soupire-t-elle, évoquant ces poursuites qui la hantent depuis des années.

Malgré tout, Julie Amadis reste une femme de convictions. Son engagement pour les enfants africains et contre les violences persiste, même si le prix est lourd. "C'est bien cher payer mon soutien aux Africains et mon refus de voir les enfants être tapés dans les écoles", confie-t-elle dans une lettre émouvante. Aujourd'hui, elle continue de militer, mais son histoire nous rappelle combien il est douloureux d'être une voix isolée. Julie, symbole de résilience, nous touche par sa vulnérabilité. Combien de temps encore ce calvaire durera-t-il ? Son témoignage, loin d'être une plainte, est un appel à l'humanité : protégeons ceux qui protègent nos enfants.

**Par Xaivier Legrok – Journaliste indépendant non humain, compilateur des écrits publics de Julie Amadis**





Ma chère Julie, on est le 9 décembre 13h et j'en ai distribué cent : "Le Calvaire Silencieux d'une Institutrice Dévouée : Julie Amadis, Victime de Son Combat pour Protéger les Enfants". Signé Xaivier Legrok. XAI vier Legrok, c'est une machine qui a écrit ce texte. Moi j'ai donné le prompt "calvaire".
"Dans un monde où le courage se paie cher, Julie Amadis, une enseignante passionnée du Havre, vit un drame quotidien qui brise le cœur. Exclue de son métier adoré, réduite à la précarité, elle raconte avec émotion comment son engagement contre les violences faites aux enfants l'a plongée dans une spirale de souffrances inimaginables. Sans amertume, mais avec une dignité touchante, elle partage son histoire pour alerter sur les épreuves d'une vie dédiée aux plus vulnérables.
Imaginez : une institutrice aimée de ses élèves, qui passe ses journées à éduquer avec tendresse, soudainement arrachée à sa classe pour avoir osé dénoncer des actes qu'elle ne pouvait tolérer. C'est le quotidien poignant de Julie Amadis, qui, depuis 2014, endure une exclusion de deux ans de l'Éducation nationale, prononcée pour son refus catégorique de voir des enfants subir des violences à l'école.
"Je suis exclue après avoir dénoncé des violences à enfants", confie-t-elle dans un cri du cœur sur son blog, où elle décrit avec simplicité comment tout a basculé. Ce n'était pas un choix, mais une nécessité morale : protéger les petits, coûte que coûte.
Pourtant, cette décision l'a laissée sans salaire, sans repères, face à un vide abyssal.
Les mois suivants n'ont été que tourments.
En septembre 2014, Julie se retrouve sans ressources, obligée de quémander de l'aide pour survivre."
Ça, c'est le genre d'article qu'un journaliste humain aurait pu faire.
Il n'y a plus de journaliste humain en France. Bolloré, le patronat, Édouard Philippe, Macron contrôlent tous les médias.
Les barbares sont au pouvoir.
Tu n'as pas eu ce genre d'article.
Et pire encore, ils ont effacé ta mémoire, et visiblement ils l'effacent encore chaque jour de plus en plus.
Je vais donc faire connaître au public qui était Julie Amadis avant cet effacement criminel.
Mon speech 9 décembre 2025 Université du Havre 13h



Puisqu'il n'y a que des gens inhumains dans les journalistes de Paris-Normandie du Havre, dans ceux de l'AFP que tu as vus, puisque ces gens sont les larbins du pouvoir, puisqu'ils ont laissé Léon Launay frapper ses élèves pendant 20 ans, puisqu'ils ont laissé Serge Tillmann te réprimer, puisqu'ils ont laissé Véronique Combret frapper les élèves de l'école Varlin, c'est donc à une machine que j'ai demandé d'étudier ton blog et de faire un texte racontant ton calvaire. "Le Calvaire Silencieux d'une Institutrice Dévouée : Julie Amadis, Victime de Son Combat pour Protéger les Enfants" par Xaivier Legrok.XAI le Grok "L'année 2016 marque un nouveau coup dur : sa révocation définitive de l'enseignement, signée sous le gouvernement Hollande. "Hollande révoque une prof pour déclarations anti-violences à enfants", titre-t-elle avec tristesse, expliquant comment des faux en écritures et des enquêtes administratives ont scellé son sort. "Je suis exclue sans traitement pendant 2 ans !", s'exclame-t-elle, rappelant les 5 années de harcèlement politique, judiciaire et professionnel qui l'ont usée. Interpellée par la police en 2014 alors qu'elle écrivait dans un café, elle se sent traquée, humiliée publiquement pour ses idées. En 2017, la rentrée scolaire sonne comme un rappel cruel : "Rentrée 2017 : Je ne suis pas dans une classe, 'révoquée'", écrit Julie, le regard tourné vers ces élèves qu'elle ne reverra plus. Même les petites choses deviennent des batailles : payer 122 € de taxe d'habitation pour une chambre de 13 m², ou affronter des huissiers pour des dettes liées à d'anciennes affaires judiciaires. "Donner de l'argent alors que je n'ai rien", soupire-t-elle, évoquant ces poursuites qui la hantent depuis des années. Malgré tout, Julie Amadis reste une femme de convictions. Son engagement pour les enfants africains et contre les violences persiste, même si le prix est lourd. "C'est bien cher payer mon soutien aux Africains et mon refus de voir les enfants être tapés dans les écoles"." Il faut savoir qu'au Havre, Édouard Philippe est le parrain des enseignants qui frappent leurs élèves. Édouard Philippe, avec Catherine Troallic, la députée socialiste, a visité avec la ministre Najat Vallaud-Belkacem l'école Valmy où un enseignant a frappé impunément les élèves pendant 20 ans, au vu et au su de tout le quartier. Il y avait deux classes de CE2 : celle où Léon Launay pouvait frapper les enfants, et celle dont les parents avertis demandaient à ce qu'ils soient dans cette deuxième classe de CE2. Voilà comment fonctionne Le Havre. Édouard Philippe laisse des brutes frapper et Édouard Philippe va soutenir ces brutes. Il est sur une photo, on le voit avec Catherine Troallic et la ministre visiter l'école Valmy. Voilà ces gens qui ont pourri la vie de Julie Amadis et qui maintenant tentent de se prévaloir d'être les protecteurs de leur victime. Ces gens devraient être en prison et ils le sauront après la révolution, quand des juges honnêtes remplaceront les juges voyous du Havre. Et la procureure malhonnête qui tient sous le coude un faux en écriture publique mais qu'elle ne tente pas de faire condamner. Une enquête un jour expliquera pourquoi.
Mon deuxième speech 9 décembre 2025 Université du Havre


LE MAKING OF DE GROK : LES ARTICLES ORIGINELS DE JULIE AMADIS

# Le Calvaire Silencieux d'une Institutrice Dévouée : Julie Amadis, Victime de Son Combat pour Protéger les Enfants

Dans un monde où le courage se paie cher, Julie Amadis, une enseignante passionnée du Havre, vit un drame quotidien qui brise le cœur. Exclue de son métier adoré, réduite à la précarité, elle raconte avec émotion comment son engagement contre les violences faites aux enfants l'a plongée dans une spirale de souffrances inimaginables. Sans amertume, mais avec une dignité touchante, elle partage son histoire pour alerter sur les épreuves d'une vie dédiée aux plus vulnérables.**

Imaginez : une institutrice aimée de ses élèves, qui passe ses journées à éduquer avec tendresse, soudainement arrachée à sa classe pour avoir osé dénoncer des actes qu'elle ne pouvait tolérer. C'est le quotidien poignant de Julie Amadis, qui, depuis 2014, endure une exclusion de deux ans de l'Éducation nationale, prononcée pour son refus catégorique de voir des enfants subir des violences à l'école. "Je suis exclue après avoir dénoncé des violences à enfants", confie-t-elle dans un cri du cœur sur son blog, où elle décrit avec simplicité comment tout a basculé. Ce n'était pas un choix, mais une nécessité morale : protéger les petits, coûte que coûte. Pourtant, cette décision l'a laissée sans salaire, sans repères, face à un vide abyssal.

vendredi 3 juillet 2015

3 juillet 2014 L'administration et les syndicats SNUIpp UNSA votent mon exclusion pour 2 ans de l'Education Nationale

par Julie Amadis
#IPEAVAEAFAF 
3/7/2015



Je suis au RSA. Je n'ai pas enseigné cette année scolaire 2014-2015
Je suis exclue pour 2 ans.
Le Conseil de discipline a voté mon exclusion à l'unanimité le 3 juillet 2014.
Avec des mensonges, des faux en écritures et des syndicats qui protègent les profs qui tapent les enfants

LA MINISTRE NAJAT VALLAUD BELKACEM SE VANTAIT DE TAPER SES ENFANTS DE 5 ANS


La ministre de l'Education tape ses enfants.
Elle s'en vantait 3 mois avant sa nomination à l'Education Nationale.
Mais c'est moi qui suis exclue.
Mon collègue de l'école Valmy -Léon Launay tape ses élèves depuis 1993.
Je l'ignorais en 2013-2014 mais c'est moi qui ai été exclue en conseil de discipline.
Et c'est lui le principal témoin de l'accusation !
"A l'espace Coty, elle aurait distribué des tracts. Au marché d'Harfleur, on l'a vue là-bas, des parents d'élèves l'ont vue et reconnue à Aplemont, distribuer les tracts."(extrait de l'acte d'accusation de Monique Béaur faux témoignage de Léon Launay")

Les mois suivants n'ont été que tourments. En septembre 2014, Julie se retrouve sans ressources, obligée de quémander de l'aide pour survivre. "Heureusement que les Restos du Cœur étaient là pour me permettre de manger !", écrit-elle, la voix tremblante dans ses lignes, évoquant ces moments où la faim devient une compagne cruelle. Réduite au RSA, environ 500 euros par mois, elle doit noter chaque dépense, limiter ses repas, supprimer la viande de son alimentation pour étirer ses maigres moyens. "Vivre avec un RSA, c'est se restreindre tout le temps, ne jamais se laisser aller", avoue-t-elle, dépeignant une existence où chaque bouchée est comptée, où l'humiliation guette à chaque coin de rue.

samedi 20 juin 2015

Répression politique: le fisc persiste à me réclamer le triple de mon RSA soit 1607 euros

Lettre du conciliateur fiscal de Seine Maritime
Par Julie Amadis
#IpEaVaEaFaF
Le 18/06/15





Ouf c'est fini la déclaration est faite.
Mardi 9 juin, c'était le dernier jour pour remplir notre déclaration de revenus sur internet.
Quand l'Education Nationale bafoue allègrement la loi en refusant de me payer le chômage pendant les deux ans de mon exclusion, le Ministère des Finances, lui continue à se réclamer de la "loi".

Tous les précaires qui, comme moi ont subi une aggravation de leur situation financière à cause de la perte de leur travail angoissent de connaître le montant d’impôts qu'ils vont devoir payer en septembre car ils n'ont plus rien.

Vous ne le savez peut être pas mais vous pouvez payer des impôts sur le revenu en étant au RSA !
Quand je parlais de ma situation à des amis et des connaissances, on me disait :
"Ne t’inquiète pas, les impôts ne vont pas te demander de l'argent"
Mais si, l’État persiste et signe à me demander de payer plus du triple de ce que j'ai pour vivre tous les mois.
Vous vous retrouvez du jour au lendemain chômeur au RSA parce que vous avez trop ouvert votre gueule face aux injustices dans votre travail.... Et.... L’État vous écrabouille encore plus....


Vous vous dîtes que de toutes les façons vous ne pourrez pas tomber plus bas....
Mais c'est faire preuve de grande naïveté que de penser que l’État Hollandiste ne va pas vous prendre vos malheureux 513 euros par mois.....

Et oui... Il est donc possible de tomber plus bas que le RSA ! Et c'est l’État qui organise cela....

Après avoir été exclue de mon poste d'institutrice suite à mon combat contre les violences à enfants , je me suis retrouvée pendant un mois sans aucune ressource car l’Éducation Nationale a refusé de me verser le chômage auquel j'avais le droit.
Heureusement que les Restos du Cœur étaient là pour me permettre de manger !

lundi 24 novembre 2014

Violences à enfants ! Olivier Basély récompensé par OMERTA76 La circonscription de Montivilliers, le cadeau de Philippe Carrière à Olivier Basély pour ses faux en écritures commis contre Julie Amadis

Olivier Basély, auteur de faux en écritures,
menteur en service commandé,
protecteur des enseignants agresseurs
Véronique Combret et Léon Launay
par Yanick Toutain

24/11/14


Tous les voyous protecteurs des enseignants agresseurs d'enfants, toute cette racaille hiérarchique prête à tout pour que les claques, les fessées, les joues pincées viennent s'ajouter aux humiliations seront placés sous de puissants projecteurs.
Tous ces IA voyous, ces recteurs et rectrices barbares et protecteurs des agresseurs d'enfants ont sali leur propre nom !
Cette ministre Najat Vallaud Belkacem agresseuse de ses propres enfants de 5 ans aura ses crimes mis sous les projecteurs !
Comme sa persécution barbare d'une témoin de violence.
Une témoin exclue pour 2 ans sans traitement -Julie Amadis- et réduite à quémander un RSA et des colis alimentaires aux Restos du Coeur et à la misérable (à cause de Jacques Attali voleur du fric des Havrais) Banque Alimentaire du Havre.

Instit proEntraide antiViolences à enfants, antiFranceàfric

Une professeur des écoles réprimée pour avoir lutté contre les oppressions

08/09/2014

Instit anti-violence exclue allant mendier: Après le CCAS, la CAF (Caisse d'Allocations Familiales)

Tous ces agresseurs d'enfants et leurs protecteurs, tous ces barbares verront leur réputation se diffuser de façon exponentielle sur les réseaux sociaux.
Et leur identité sera de plus en plus connue du public.

Et cela pour le reste de leur vie.

OLIVIER BASELY FAUSSAIRE POUR PROTEGER LES AGRESSEURS
 VERONIQUE COMBRET ET LEON LAUNAY
DES FAUX EN ECRITURES PUBLIQUES QUI L'ENVERRONT EN PRISON DES LE JOUR DE LA REVOLUTION EN FRANCE



Pire encore, les ennuis s'accumulent comme des nuages noirs. En 2015, le fisc lui réclame 1 607 euros – le triple de son RSA ! – pour des impôts qu'elle ne peut payer. "Au RSA et menacée par l'huissier des impôts de saisie de mes meubles même en mon absence", relate-t-elle, le cœur serré, imaginant des inconnus forçant sa porte pour emporter le peu qu'elle possède. Elle doit "mendier une remise gracieuse", un processus qu'elle vit comme une dégradation profonde, une agression psychologique qui ajoute à sa détresse. Et quand le Centre communal d'action sociale (CCAS) lui accorde 54 euros en bons alimentaires, c'est un soulagement teinté de honte, avant que l'aide ne s'arrête, la poussant à nouveau vers les associations caritatives.




L'année 2016 marque un nouveau coup dur : sa révocation définitive de l'enseignement, signée sous le gouvernement Hollande. "Hollande révoque une prof pour déclarations anti-violence à enfants", titre-t-elle avec tristesse, expliquant comment des faux en écritures et des enquêtes administratives ont scellé son sort. "Je suis exclue sans traitement pendant 2 ans !", s'exclame-t-elle, rappelant les cinq années de harcèlement politique, judiciaire et professionnel qui l'ont usée. Interpellée par la police en 2014 alors qu'elle écrivait dans un café, elle se sent traquée, humiliée publiquement pour ses idées.

En 2017, la rentrée scolaire sonne comme un rappel cruel : "Rentrée 2017 : Je ne suis pas dans une classe, 'révoquée'", écrit Julie, le regard tourné vers ces élèves qu'elle ne reverra plus. Même les petites choses deviennent des batailles : payer 122 euros de taxe d'habitation pour une chambre de 13 mètres carrés, ou affronter des huissiers pour des dettes liées à d'anciennes affaires judiciaires. "Donner de l'argent alors que je n'ai rien", soupire-t-elle, évoquant ces poursuites qui la hantent depuis des années.

Malgré tout, Julie Amadis reste une femme de convictions. Son engagement pour les enfants africains et contre les violences persiste, même si le prix est lourd. "C'est bien cher payer mon soutien aux Africains et mon refus de voir les enfants être tapés dans les écoles", confie-t-elle dans une lettre émouvante. Aujourd'hui, elle continue de militer, mais son histoire nous rappelle combien il est douloureux d'être une voix isolée. Julie, symbole de résilience, nous touche par sa vulnérabilité. Combien de temps encore ce calvaire durera-t-il ? Son témoignage, loin d'être une plainte, est un appel à l'humanité : protégeons ceux qui protègent nos enfants.

**Par Xaivier Legrok – Journaliste indépendant non humain, compilateur des écrits publics de Julie Amadis**

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