La priorité d'un ministre n'est-elle pas d'empêcher les enseignants de taper les enfants. Telle est la question posée par les délégués élus au nouveau ministre Benoît Hamon |
Menaces de plaintes de gens qui feraient mieux de s'interroger sur les condamnations qu'ils risqueront d'encourir le jour où la justice aura un fonctionnement en France.
L'auteur de L"Havrais Vérité a rencontré les deux principaux animateurs de la campagne de défense de l'enseignante Juste Julie Amadis cet après-midi.
Les sourires entendus du directeur Patrick Clabaut qui semble se délecter de l'arrivée de sa complice Monique Béaur dans les locaux de l'école Valmy ne les impressionnent pas.
Leurs enquêtes sur les VIOLENCES SUR VALMY continuent.
Ils m'ont révélé qu'un témoignage fait état de TROIS ENFANTS REGULIEREMENT VICTIMES DE VIOLENCES DANS LA MEME CLASSE.
mardi 8 avril 2014OMERTA76 à l'école Valmy : "Mon maître, il me tape"
Pendant la distribution de tract, un petit enfant vient trouver ER, une déléguée de parents distribuant un tract en faveur de Julie Amadis
Il avait entendu les discussions et avait du comprendre que c'était le moment de crier sa douleur !
UN PETIT ENFANT PROFITE DE LA DISTRIBUTION DU TRACT ANTI-OMERTA76 DE SOUTIEN A JULIE AMADIS POUR DENONCER SON INSTITUTEUR QUI LE BAT !
Ce petit enfant battu dans l'école Valmy avait compris que c'était le moment de venir CHERCHER DE L'AIDE
Mais ce n'est pas pour ce petit enfant que l'IA adjoint Tillmann a convoqué les parents d'élèves de l'école.
Benoit Hamon hérite d'une situation scandaleuse laissée par Vincent Peillon OMERTA76 protège les agresseuses d'enfants |
On se demande ce que fait le ministre Benoît Hamon ?
Comme si la protection des enfants contre les violences des enseignants n'était pas la PREMIERE PRIORITE D'UN MINISTRE
les questions posées sur le blog L'Eure Juste de la déléguée Séverine Breton n'ont toujours pas eu de réponses
dimanche 13 avril 2014
Les questions diverses de parents d'élèves M. Meddad Yazid et moi-même Mme Breton Séverine au conseil d'école Valmy I du 28/03/2014
Nous avions prévu de poser ses questions diverses au conseil d'école du vendredi 28 mars 2014 à Valmy I.
Le mot d'ordre était d'avoir "les tenants et les aboutissants de l'affaire" avant de soutenir Mme Amadis.
Tout d'abord, il existe deux formes de violence :
Vincent Peillon a nommé Claudine Schmidt-Lainé , protectrice du réseau OMERTA76 Il laisse à Benoît Hamon un réseau de protection d'agresseuses d'enfants dans les écoles |
Chez l'enfant, la violence psychologique est constituée de comportements répétés de la part d'un parent, où d'un incident extrême, qui font comprendre à l'enfant qu'il ne vaut rien, qu'il n'est pas normal, qu'il n'est pas aimé, que l'on ne veut pas de lui, qu'il est en danger ou que sa seule valeur réside dans la satisfaction par lui des désirs des autres.
Sur la base de diverses théories du développement et de l'éducation, dont les travaux d'Abraham Maslow, les mauvais traitements psychologiques apparaissent comme atteinte directe aux besoins fondamentaux d'estime de soi, d'amour et d'appartenance, de sécurité et d'équilibre physiologique de l'individu.
La violence physique regroupe toutes les infractions qui portent atteinte directement à l'intégrité physique d'une personne. Bien que la violence soit physique, elle engendre souvent des conséquences psychologiques.
Lors de la réunion du conseil, nous n'avons pas pu poser nos questions.
Au sein d'un établissement scolaire, il existe trois sortes de violence :
- d'élèves à élèves
- d'élèves envers les instituteurs et/ou professeur
- de professeurs et /ou instituteurs envers les élèves
Pour commencer, lors de ces déclarations, Mme Amadis Julie, n'était pas titulaire.
Si vous étiez témoin de violences sur nos enfants, votre première réaction serait de ne pas réagir?
M. Meddad et moi-même, ainsi que d'autres parents, sommes inquiets car s'il y aurait une nouvelle personne dans l'établissement qui exercerait de la violence psychologique ou physique sur des enfants..........
Votre réaction serait de la couvrir et non de protéger les enfants..................
Bien sûr, les parents d'élèves et les parents de ses enfants ne seront pas informés.
Au vu, des préjudices subit par les enfants, nous, parents estimons que cela fait partie de votre fonction de protéger les enfants et d'informer immédiatement les parents, si des cas de violence sont réaliser au sein de votre établissement.
Trouvez-vous normal que ce soient des assistantes pédagogiques qui soient obligées de dénoncer ces cas de violences ?
Que fait l'Académie de Rouen ?
Les syndicats préfèrent le silence au lieu de mettre au courant les parents.
Pour conclure, lors de cas contraire, par exemple la violence d'un élève envers un professeur.
La sanction est immédiate, l'élève est sanctionné.
Par contre, un professeur envers l'élève c'est le silence complet.
Dans l'heure actuelle, plusieurs élèves subissent des harcèlements par d'autres élèves et là même chose personne ne bouge sauf quand l'élève harcelé fini par se suicider.
L'Académie de Rouen attend combien de décès avant d'agir ?
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