Quand quelqu'un est dévoué à l'Afrique, et milite #FreeGbagbo,
quand une enseignante est dévouée à ses élèves au point, dans
une école précédente, de payer plusieurs nuits d'hôtel à une
famille de SDF, les parents d'un des ses élèves de CP, un enfant de
7 ans qui apprenait à lire le jour en dormant sur les trottoirs du
Havre la nuit, il faut utiliser les grands moyens.
L'Etat voyou français utilise les grands moyens !
Les
accusations délirantes de Delphine Dufau sont une des principales
armes de l'accusatrice partiale Monique Béaur.
Tout ou presque
est FAUX !
LES CONSEILS IMAGINAIRES DE DELPHINE DUFAU
Cette enseignante pouvait se plaindre d'être de plus en plus inquiête à mesure que les semaines avançaient !
C'étaient ses mensonges, des dénonciations calomnieuses qui allaient finir par devenir publiques !
C'est ça la source de son inquiétude ! SES DIFFAMATIONS contre JULIE AMADIS
Mme DUFAU Delphine classe de CE1 :
«
Nous lui avons conseillé d'accepter l'inspection. »
Faux
Delphine Dufau n'a strictement
rien conseillé à Julie Amadis quant à ce sujet.
Julie Amadis,
en septembre a mentionné son inspection à venir. Delphine Dufau
avait uniquement demandé s'il serait possible d'avoir un autre
inspecteur.
Question : « Ils ne peuvent pas te mettre
un autre inspecteur ? »
Et cet échange ultra-bref
avait clos définitivement le sujet.
Ce « nous » ne
concerne en aucune façon cette menteuse.
Si, effectivement, des
harceleurs ont incité Julie Amadis à céder aux pressions et à
accepter la visite pédagogique d'Olivier Basély, Delphine Dufau ne
faisait pas partie de ce groupe.
Ou alors.... ce serait
secrètement.
Inventer être l'auteur de conseils imaginaires,
cela a un nom, cela s'appelle de la mythomanie !
« Mme Debray a vu un enfant tout seul
sur le trottoir qu'elle n'arrivait pas à gérer, et qu'elle avait
laissé volontairement tout seul, alors qu'elle rentrait .-W
avec sa classe ».
Faux, totalement faux (cf un
article entier sur ce mensonge délirant)La scène se passait à
la grille de l'école, à plus de 20 mètres du « trottoir » !
LIRE L'ARTICLE !
"« Une fois, elle a oublié une élève
dans sa classe alors qu'elle était partie à la piscine
au début de l'année (octobre ou novembre) c'est moi qui ai pris la
petite fille,, c'est une élève qui a des difficultés, du coup on
décloisonne, je la prends dans ma
classe à certains moments, et bien quand l'enfant est
revenu dans la classe, elle était partie !"
Faux à 98%
La menteuse Dufau ne « prend » pas dans sa classe « à
certains moments » cette élève ! Ce n'est pas avec elle
que « décloisonne » Julie Amadis, c'est avec Mr
Verhulle.
Ce paragraphe est un ramassis de mensonges et de
dénonciations calomnieuses.
Avec l'absence de mentionner la
présence (et donc le témoignage) de celui qui avait.... gardé
l'élève trop longtemps.
L'instituteur Mr
Verhulle chez qui était cette élève n'a pas
été interrogé sur ces graves accusations.
C'est chez LUI
que se trouvait l'élève en question.
Mais 90% du prétendu
« témoignage » de monsieur Verhulle porte sur des ragots
situés hors de l'école.
Pas un seul mot sur ce prétendu
incident !!
PAS UN MOT DE TEMOIGNAGE DE L'INSTITUTEUR CHEZ
QUI SE TROUVAIT L'ELEVE EN REALITE
Monique Béaur a « oublié »
d'interroger Mr Verhulle sur l'incident de l'élève oubliée
chez....... Mme Dufau....ou chez.... Mr Verhulle....
C'est cet
instituteur
qui choisissait parfois de garder plus longtemps cette
élève en soutien qui avait « oublié » l'heure de la
piscine et donc oublié de renvoyer dans sa classe l'élève de
Julie Amadis (en la faisant accompagner d'un autre élève).
(Il
était déjà arrivé que Mme Amadis doivent envoyer chercher son
élève dans la classe de Mr Verhulle)
On peut aussi considérer que Mr Verhulle avait jugé bon, au vu
des lacunes de l'élève en lecture (matière fondamentale) de la
garder avec lui à la place de la leçon de natation.
Il est
arrivé plusieurs fois que Julie Amadis soit obligée d'envoyer à Mr
Verhulle un élève de sa classe pour aller RECLAMER son élève
qu'il a oublié de lui rendre.
Ce jour-là, Julie Amadis n'avait
pas vu revenir son élève et était donc partie à la piscine sans
elle. (Louper le car pour une étourderie d'un de ses collègues en
pénalisant toute la classe était évidemment plus grave que de ne
pas prendre une élève en retard)
Il semble, selon les dires
(toujours suspects) de Delphine Dufau que Mr Verhulle avait renvoyé
l'élève de Mme Amadis en retard et SANS ETRE ACCOMPAGNEE d'un de
ses élèves.
A la suite de quoi, au lieu de rendre l'élève à
son 2° maître, la menteuse Dufau avait pris l'élève avec sa
propre classe. Sous le prétexte de lui permettre de se rendre à la
piscine avec elle.
Mais – on le comprend maintenant – dans le
but d'alimenter une campagne diffamatrice dans laquelle la
responsabilité première de mr Verhulle et son étourderie chronique
à respecter les horaires ont disparu du dossier.
On comprend que
l'accusatrice Monique Béaur puisse se saisir d'une telle
diffamation.
On signalera aux enquêteurs que, le lendemain de ce
jour-là, Julie Amadis était devenu la cible expiatoire de toute
l'école. Il lui revient même en mémoire que le principal ricaneur
qui entraînait les autres dans la dénonciation ironique était.....
Mr Verhulle, le principal coupable ! Celui qui avait « oublié »
l'heure, celui qui – assez souvent – oubliait l'heure de la
piscine et de rendre son élève à Mme Amadis !
Ce n'est pas
un hasard !
Rappelons qu'en cas de décloisonnement, c'est
l'enseignant qui prend les élèves qui en est responsable.
« Tout a dérapé dès
qu'elle a eu le rapport d'inspection. Elle a demandé notre
soutien, elle était contre tout,
elle a tout mis en cause. »
Faux à 98%
Tout avait
dérapé en septembre
1° quand
pendant la pré-rentrée
certains commençaient déjà le harcèlement en diffamant Julie
Amadis pour l'année 2008 (témoignage Marjorie Hervot)
2°
le
26 septembre par les menaces de l'inspecteur Deplanque.
Le
dérapage, c'est le groupe secret de harcèlement qui s'est mis en
place pour construire le licenciement de Julie Amadis
Mais
il est logique que la menteuse Dufau oublie la véritable
chronologie.
« Elle a demandé notre soutien » est
faux. Julie Amadis n'a RIEN demandé à Delphine Dufau ! Ni
soutien, ni collecte, ni pétition. Julie Amadis savait qu'aucun des
tracts en faveur de l'Afrique qu'elle POUVAIT distribuer au Havre
serait susceptible d'intéresser cette dame.
Julie Amadis restait
distante. Mais Delphine Dufau était ENCORE PLUS DISTANTE. Elle ne
disait même plus bonjour. ET de ne même plus répondre à certains
bonjours. 15 jours avant la suspension.
Quant à l'absurde usage
du « contre tout » !
Qui sur Terre peut être
« contre tout »....
Même quelqu'un qui subit
illégalement une condamnation à payer 31000 euros pour un texte
qu'elle n'a pas écrit n'est pas « contre tout ».
Quant
au soutien, Julie Amadis l'avait espéré dès le commencement du
harcèlement, le 26 septembre
« Une fois je lui ai envoyé tous mes
affichages sons sous word, elle a tout
imprimé sans vérifier, et ce
n'était pas bien fait. »
A moitié faux : Inventer que
Julie Amadis n'aurait pas « vérifié » les tableaux est
une absurdité !
Accuser quelqu'un de ses propres erreurs ! Cela c'est une
technique absolument extraordinaire.
Le plus drôle c'est qu'il
semblerait que la principale (la seule?) erreur, ce soit l'absurde
propos de l'inspecteur Basely attaquant l'API – Alphabet Phonétique
International. Comme si ce standard reconnu pouvait être attaqué
par qui que ce soit. A moins que monsieur Basély vienne prétendre
qu'il faille apprendre aux enfants à rouler à gauche puisque ce
serait sa préférence personnelle.
« Il y avait beaucoup de bruit dans sa
classe, elle criait. J'ai la classe mitoyenne, j'entends. »
En partie vrai, mais il y a bien pire
dans l'école !
Les deux écoles savent
parfaitement qui hurle en classe ! Tous les enseignants de
l'école savent que l'agresseur de l'école est aussi celui qui hurle
littéralement sur ses élèves.
Mais il faut accuser Julie Amadis
pour protéger l'agresseur Léon Launay. Telle est la tâche à
laquelle travaille Delphine Dufau.
Le niveau sonore de la classe
de Julie Amadis est inférieur au niveau sonore moyen de toutes les
écoles de France.
UNE PORTE QU'IL FAUT CLAQUER SINON ELLE NE SE FERME PAS
« J'ai la classe mitoyenne de la sienne. Elle entrait
dans ma classe, en criant et en claquant la porte, »
Tous les enseignants de l'école CLAQUENT la porte de Delphine
Dufau. Sinon.... cette porte ne se ferme pas.
Le négligeant
directeur de l'école a « oublié » de demander à ce
qu'elle soit réparée.
Il est probable qu'elle ne l'est toujours
pas.... ce qui permettrait de vérifier.
Si elle l'est on versera
la liste des travaux effectués sur cette porte par la mairie –
dans le dossier de la défense.
« elle m'interpelait [SIC]
pour me demander des cahiers, soi disant
qu'elle n'en n'avait plus dans sa classe, »
Faux quasi totalement : les enseignants présents en juin
2013 avaient commis une erreur de commande.
Trop de grands
cahiers. Pas assez de petits cahiers.
Ayant un rythme d'écriture
normal (l'inspecteur Basély exigeait d'elle DAVANTAGE de travaux
écrits) il fallait bien PARTAGER et que les autres classes acceptent
de RECTIFIER LEUR PROPRE ERREUR de juin 2013 en donnant des cahiers
pour les élèves de Julie Amadis.
« forcément les enfants se
levaient pour les prendre n'importe quand. »
Faux et absurde : Le « forcément » indique que
les enfants – autonomes – se levaient pour aller au fond de leur
classe pour chercher un nouveau cahier.... mais..... évidemment pas
« n'importe quand » …. ils se levaient quand leur
CAHIER PRECEDENT ETAIT TERMINE !
Ce « témoignage »
confine à la folie pure et simple !
Mais non !
Cela peut être encore pire
UNE ENSEIGNANTE
DIFFAME SA COLLEGUE
EN LA TRAITANT DE VOLEUSE
« Un jour, elle m'a demandé
d'emprunter mon poste et je n'ai jamais retrouvé le CD qui était
dedans. »
Tout est faux.
Le lecteur
de CD de la classe où est arrivée Julie Amadis ne fonctionnait pas
correctement. Ils avaient laissé le poste le plus vieux dans cette
classe.
Les nouveaux postes devaient être partagés.
DELPHINE
DUFAU N'A JAMAIS RÉCLAMÉ
SON CD PRÉTENDUMENT VOLE
(cette
accusation a été reprise par Monique Béaur)
Ce n'est donc pas
« un jour » mais régulièrement..... et tout aussi
régulièrement que Delphine Dufau prêtait son poste en oubliant de
sortir le CD. (le plus fréquemment un CD d'anglais)
Deux élèves
allaient le chercher dans la classe de Mme Dufau et celle , ne
vérifiant pas qu'elle avait encore oublié son CD, le donnait
étourdiment.
Cette étourderie est transformée en accusation
délirante de vol !
Il est à noter qu'il n'y a jamais eu de
courriel de réclamation pour ce CD.
Ni avant ce témoignage et
cette dénonciation calomnieuse, ni après.
Delphine Dufau n'a
JAMAIS demandé son CD volé à Julie Amadis ! Ni oralement ni
par écrit !
JULIE AMADIS, PAR COURRIEL,
FUT LA PREMIÈRE à
DONNER
à DELPHINE DUFAU ET EMILIE ROEHM
SON TRAVAIL EN CADEAU
(3
FICHES DE PREPARATION)
« Au début de l'année, on a
essayé de travailler ensemble, on lui a
donné beaucoup de choses, et elle , en tout et
pour tout, une fiche de prép, que je n'ai pas pu utiliser,. »
Quasiment faux :
Une réunion tous les mardi en septembre, octobre, novembre,
décembre, janvier, février pour préparer la semaine..... avait
disparu du rapport d'inspection.
La menteuse Dufau poursuit le
travail de faussaire de l'IEN Basely en tentant de faire disparaître
près de 20 réunions du dossier.
Elle devra s'expliquer sur la
preuve qu'elle détient de ce que c'est Julie Amadis qui COMMENCA à
leur DONNER des fiches de préparation.
« Elle ne mangeait jamais avec nous le midi,
et les décalait les réunions sous n'importe quel prétexte,
d'acheter un sandwich ; etc.. ; »
En partie vrai : Julie Amadis, mangeait effectivement des
sandwitches le midi. Comme ses collègues parfois.
Quant aux
« décalages » de réunions, les trois participantes ont
toutes trois proposé des changements d'horaires. Sans qu'aucune des
droits ait eu de réclamations particulières par rapport aux autres.
Ces imputations sont totalement diffamatrices.
« On s'est aperçu qu'elle
récupérait nos leçons dans les casiers ou à la photocopieuse, ce
sont nos leçons de math et de français, ce ne sont pas des trucs
pris sur internet, mais des productions personnelles., sans rien nous
dire, ni nous demander. »
Faux et délirant : Ce sont ces deux
dames qui sont allés mettre des documents dans le casier de Julie
Amadis ! Ce sont elles-mêmes qui sont allées déposer des
« traces écrites » (des résumés de leçons qu'elles
donnaient aux enfants à apprendre par cœur) et des
« évaluations ».
Elles accusent leur collègue
d'avoir utilisé des documents transmis par elles-mêmes dans le but
qu'ils soient UTILISES !
A
aucun moment Julie Amadis n'a « récupéré » quoi que ce
soit « dans les casiers »...... mais, au contraire, il
lui est arrivé de FAIRE L'iNVERSE !
Non seulement Julie
Amadis n'a RIEN PRIS dans le casier de Delphine Dufau mais elle a
DEPOSE dans ce casier (sans porte, juste une sorte de petite étagère)
DES TRACES ECRITES, DES EXERCICES,
On a donc un MENSONGE AVERE !
« On avait fait une
progression ensemble, mais elle n'a pas fait ce qu'on avait dit. »
Diffamatoire mais partiellement vrai.
Il y a une intention de nuire.
Ce décalage dans les progressions
est avéré. Mais pas du tout comme cela est décrit !
Il se
produisait quand les enfants de Mme Amadis comprenaient plus vite
certaines notions.
Surtout en mathématiques. Les méthodes
pédagogiques utilisées par Julie Amadis étaient bien meilleures
que les méthodes que celles de Delphine Dufau et Emilie Roehm
C'est
la raison pour laquelle elle prenait de l'avance.
ET donc ces
dames qui se prennent pour des chercheuses pédagogiques quand elle
ne sont que des perroquets de la hiérarchie s'autorisent à dénigrer
leur collègue !
Pour la multiplication, la technique des
rectangles que JE LUI AVAIS CONSEILLE D'UTILISER avait permis d'aider
des enfants, même en grande difficulté.
Par exemple, l'élève
que mr Verhulle avait oublié de rendre à mme Amadis était en
grande difficulté mais elle assimila très rapidement la
compréhension de ce qu'était la multiplication.
La mère de
cette enfant expliquait que sa fille, le soir même s'amusait à
s'inventer du travail scolaire à la maison. Une enfant en grande
difficulté s'amusant à « faire des multiplications » le
soir.
Cette méthode que les dames Dufau et Roehm ignorent car non
conseillée par la hiérarchie, c'est précisément ce qu'elles
reprochent à leur collègue.
«
elle
n'a pas fait ce qu'on avait dit.
On a un acte d'accusation de Monique Béaur dans lequel les
collègues sont devenues des inspecteurs pédagogiques !
Notons
que cette « méthode des rectangles » consiste à
apprendre aux enfants à calculer des aires en même temps qu'à
comprendre ce qu'est une multiplication.
Pour simplifier,
imaginez-vous écrire les nombres de 1 à 4 sur une ligne. Puis de 4
à 8 sur la ligne juste en dessous. Puis les nombres de 9 à 12.
Vous
aurez dessiné un rectangle de 4 sur 3 et compris qu'il y avait 12
cases.
Comprendre la multiplication ce n'est rien d'autre que de
comprendre que 3 lignes de 4 colonnes contient 12 cases.
Les tables de multiplication (table de 2 et 3)
C'est cette
méthode extraordinairement efficace (et qui pourrait être enseignée
dès la maternelle) que ces dames ne veulent pas voir être
utilisée !
C'est une volonté anti-pédagogique et
d'obéissance aux ordres de médiocres devenus inspecteurs que ces
deux dames affirment dans leurs propos diffamatoires.
«
elle n'a pas fait ce qu'on avait
dit.
Il en va de même pour la soustraction, (méthode des petits
cubes) avec des évaluations très réussies .
En même temps que
la multiplication et les tables, les enfants commençaient aussi à
comprendre le processus de division.
Ce que ses collègues avaient
mis presque un mois à faire comprendre aux enfants avait été
acquis en moins de dix jours.
PROVOCATION OU SIMPLE MENSONGE DE DELPHINE DUFAU
UNE
ENSEIGNANTE A-T-ELLE MANIPULE UN ENFANT POUR QU'IL RECLAME UN TRACT ?
« J'ai vu les deux parents : M et
Mme , distribuer des tracts aux enfants et aux
parents à la sortie de la classe. Younès
est venu me voir pour me le montrer, même s'ils disent que ce n'est
pas vrai.Les enfants
le lendemain, m'ont dit qu'ils étaient soulagés
que je sois là, ils « avaient peur que je sois virée ». »
Faux à 98%
Les parents ont
distribué effectivement un tract aux parents d'élèves (vendredi 21
mars et lundi 24 mars).
Notez bien la précision des dates. Le
seul « lendemain » possible c'est donc le MARDI 25
mars.
Cest le MARDI que les élèves de Delphine Dufau ont eu
« peur qu'elle soit virée ».
Regardons de plus
près.
Ces distributions du 21/3 et 24/3 étaient quasiment
terminées quand les enfants sont sortis de l'école.
Sur l'incident avec l'enfant la vrai version est autre. Delphine
Dufau est une provocatrice qui a sans doute manipulé l'un de ses élèves.
On
peut commencer par s'étonner de voir son prénom être mentionné
dans ce dossier – sans doute les enfants aux prénoms d'origine
maghrebine ont-ils le droit de voir leur identité être mentionnée
quand les parents dénonciateurs ont leurs noms et prénoms effacés
de l'acte d'accusation qui ont été effacés).
Une enseignante donne le nom d'un de ses élèves ?
On va
comprendre pourquoi. Cet élève, à la fin de la distribution de
tract, s'est approché de la déléguée élue des parents Séverine
Breton. Il a réclamé avec insistance d'avoir un tract.
La
déléguée ne voulait pas lui en donner un.
SEVERINE BRETON DONNANT UN TRACT
QUAND DELPHINE
DUFAU LA REGARDAIT
Quand elle a vu Delphine Dufau qui regardait depuis la
grille, elle a pensé que c'était elle qui avait envoyé l'enfant.
Elle a donc fini par lui donner un tract.
L'enfant, ainsi que
l'avait deviné la déléguée Séverine Breton, a pris le tract et
est RETOURNE A L'INTERIEUR DE LA COUR DE L'ECOLE.
(Habituellement on ne revient plus dans la cour de l'école après
en être sorti...)
Et là, il a donné le tract à l'enseignante.
On remarque ici que l'enseignante n'est pas venu trouver la
déléguée de parents..... pour le lui en faire le reproche......
Delphine Dufau tente de camoufler la chronologie des faits !
La déléguée des parents a donné un tract à l'enfant en
étant convaincue qu'il lui était envoyé par Delphine Dufau.
On
peut donc supposer comme la déléguée des parents – sans prendre trop de risques - que cette dame
a DEMANDE A UN DE SES ELEVES D'ALLER RECLAMER UN TRACT......
A qui fera-t-on croire qu'un enfant de 7 ans quémande de lui-même
un tract, qu'il ne se précipite pas chez ses parents pour le leur
donner, mais qu'il fait 10 mètres (??) en arrière pour RETOURNER
dans la COUR de son école ….. et pour DONNER LE TRACT A SA
MAITRESSE !!!
On peut donc comprendre que les enfants aient eu peur que
l'enseignante soit virée POUR AVOIR MANIPULE LE PETIT ENFANT en
l'envoyant réclamer un tract !
Si les enfants sont aussi convaincu que c'est sa maîtresse qui avait envoyé l'enfant chercher un tract, tout cela devient logique !
La rumeur logique qui a du
circuler c'est le fait que s'il était interdit de DISTRIBUER DES
TRACTS AUX ENFANTS.... la PREMIERE COUPABLE ce serait donc Delphine
Dufau....
CE QUI EXPLIQUERAIT SON ATTITUDE SUR CETTE AFFAIRE DE TRACT et ses ACCUSATIONS SCANDALEUSES CONTRE LA DELEGUEE DES PARENTS !
TOUT CE "TEMOIGNAGE" EST UN RAMASSIS DE DENONCIATIONS CALOMNIEUSES