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mercredi 2 juillet 2014

« Pourquoi tu l'appelles tout le temps « Ma belle » et pas moi ?» (propos tenu en salle des profs en décembre par Delphine Dufau ) (Un harcèlement professionnel à caractère sexuel commis par le directeur Patrick Clabaut devant témoin)

par Yanick Toutain

Les menteuses de l'école Valmy ont la mémoire courte.
Il serait hâtif d'interpréter comme de la compassion pour la victime Julie Amadis ce propos de Delphine Dufau.
« Pourquoi tu l'appelles tout le temps « ma belle » et pas moi ? »
Cette demande ne visait pas à protéger Julie Amadis.
ENDORMIR SA VICTIME : LA TECHNIQUE CLABAUT
En effet, Delphine Dufau ne comprenait pas que le directeur Clabaut utilisait cette fasse gentillesse pour endormir sa victime. Le directeur Clabaut, il l'a avoué depuis, avait comme but unique de faire revenir Julie Amadis sur son témoignage de 2008.
Un nouveau témoignage aujourd'hui
2 juillet 2014
LES PARENTS D'ELEVES DU
QUARTIER DE L'EURE SONT
TERRORISES PAR CE GANG VALMY
ILS ONT PEUR D’ÊTRE AGRESSES
S'ILS DEFENDENT JULIE AMADIS
DES CONTACTS PHYSIQUES DEPLACES
Le directeur Clabaut prenait son adjointe par la taille, s'autorisait des contacts physiques déplacés dans le but d'endormir sa méfiance.
Et c'est celui qui se permet d'attraper Julie Amadis par la taille qui vient se plaindre ! C'est le harceleur qui accuse sa victime
« Elle n'est pas loyale vis-à-vis de l'inspection, elle salit tout le monde. Les parents dans le quartier me demandent s'ils peuvent encore me confier leur gamine, puisque je suis un harceleur sexuel ! » (ACCUSATION 7 2 Patrick Clabaut)
QUE LES PARENTS D'ELEVES EXIGENT QU'ILS AVOUENT LA VERITE :
TOUS LES ENSEIGNANTS DE VALMY 1 SONT TEMOINS DU HARCELEMENT ET DES GESTES DEPLACES
« Patrick Clabaut est un harceleur professionnel utilisant des techniques de harcèlement sexuel ! Cette accusation, la totalité des enseignants de Valmy 1 devront en témoigner.
Il y a eu des gestes plus graves encore devant peu de témoins ou sans témoins : « Le jour de l'inspection, j'ai commencé à pleurer, il (Clabaut) m'a serré contre lui très fort …. Il n'y avait pas de témoins »
« un autre jour.... »
Il n'y a pas des gestes inconvenants en public mais aussi en privé !

"Je lui ai conseillé d'aller voir M Deplanque, de s'excuser"

C'est dans le dossier d'accusation que cet aveu du directeur de l'école Valmy prouve que ses gestes, sa façon de serrer contre lui régulièrement Julie Amadis n'étaient que des techniques de harceleur professionnel. Des techniques de harcèlement à caractère sexuel dans le but d'obtenir ce que son ami Deplanque lui avait demandé:
"Je lui ai conseillé d'aller voir M Deplanque, de s'excuser"
En conséquence de quoi, la réflexion de Delphine Dufau n'était pas une protection de sa collègue mais pure jalousie de quelqu'un quoi croyait que ces contacts indécents du directeur Clabaut révélait de l'affection de sa part.
UN TRAQUENARD SORDIDE EN SERRANT SA PROIE CONTRE LUI POUR FAIRE CEDER A LA VOLONTE DE L'INSPECTEUR DEPLANQUE
"Je lui ai conseillé d'aller voir M Deplanque, de s'excuser"
Ce n'était pas affection mais un traquenard sordide.
La phrase de Delphine Dufau, en décembre 2013 « Pourquoi tu l'appelles tout le temps « ma belle » ne figure pas dans le dossier d'enquête.
C'est normal puisque car cette réflexion ne visait en aucune façon à défendre Julie Amadis contre cette répétition constante d'un propos inacceptable de la part d'un enseignant à l'égard d'une de ses jeunes collègues.
UN DOSSIER DE HARCELEMENT PROFESSIONNEL A CARACTERE SEXUEL
LE COUPABLE S'APPELLE PATRICK CLABAUT
On remarque que cette accusation le harceleur la connait. Il en parle même à l'enqêtrice partiale Monique Béaur.
Nul ne sera étonné de constater que son enquête ne contient strictement aucun témoignage concernant l'appellation « Ma belle » ni les gestes déplacés du harceleur Clabaut.
DELPHINE DUFAU CONTRAINTE DE TEMOIGNER DEVANT DES JUGES HONNETES
Par contre, ce témoignage que Delphine Dufau sera sommée de répéter devant des juges honnêtes un jour (sous peine d'une accusation de parjure dans notre code révolutionnaire) étaye le dossier concernant le harcèlement professionnel à caractère sexuel dont est victime Julie Amadis.
DUFAU UNE DES PIRES MENTEUSES DE L'ECOLE
La menteuse Delphine Dufau est une des pires menteuses de l'école, une des pires dénonciatrices de Julie Amadis.
ACCUSER SA COLLEGUE DE VOL !
Elle est une des deux à l'avoir accusé d'être une voleuse !
On ne fera donc croire à personne que sa question était une question innocente.
Bien au contraire, on découvre où se trouvait le mobile de sa méchanceté 
CE N'EST PAS COMPASSION MAIS DE LA MECHANCETE ET DE LA JALOUSIE DE DELPHINE DUFAU UNE JALOUSIE DE NE PAS ETRE APPELEE « MA BELLE »
Quand on lit cela on se demande comment des parents peuvent confier leurs enfants à une Delphine Dufau.
Lisez et relisez ce prétendu « témoignage » rempli de mensonges délirants

Les mensonges de Delphine Dufau : diffamations, dénonciations calomnieuses,accusations délirantes contre la Juste Julie Amadis ! Est-elle responsable de ses actes ou un marionnette OMERTA76 ?

lundi 30 juin 2014

Les mensonges de Emilie Roehm (celle qui insulte ses élèves) : diffamations, dénonciations calomnieuses,accusations délirantes contre la Juste Julie Amadis ! Est-elle responsable de ses actes ou une marionnette OMERTA76 ?

« Un midi elle a du aller distribuer des tracts en février, à la fac, pour la grève. Et quelqu'un de l'université a appelé M Clabaut pour se plaindre »
  dénonciation anti-grève de la sycophante Emilie Roehm contre Julie Amadis
« Mais, elle a un bon contact avec les enfants, »
 Un des rares propos non mensongers tenus par Emilie Roehm concernant Julie Amadis

"Gourde" , "moche" .... cette Emilie Roehm prétendue "enseignante" insulte ses élèves (qui s'en plaignent ensuite dans les rues du Havre !)  sans qu'il y ait d'enquête contre elle.
Emilie Roehm est - comme son collègue agresseur d'enfants Léon Launay - protégée par les puissants !

UN MINISTRE BENOIT HAMON QUI PROTÈGE LES AGRESSEURS D'ENFANTS AU HAVRE ! IL EST AU GOUVERNEMENT AVEC SA COLLÈGUE AGRESSEUSE D'ENFANTS NAJAT BELKACEM

Emilie Roehm est protégée par Benoit Hamon, elle est protégée par la rectrice Claudine Schmidt-Lainé, elle est protégée par Philippe Carrière IA voyou et son âme damnée menteuse, diffamatrice, l'organisatrice de la terreurs parmi les témoins de violences à enfants !

Emilie Roehm est protégée par les puissants ! Elle peut donc MENTIR IMPUNÉMENT et TRAITER DE VOLEUSE SA COLLÈGUE JULIE AMADIS !

Un État voyou protège cette diffamatrice !
Mais elle aura des comptes à rendre après la révolution !
Comme le ministre OMERTA76 Benoit Hamon qui protège les agresseurs d'enfants dans les écoles. Qui sera poursuivi et condamné par des JUGES RÉVOLUTIONNAIRES....

Et les GILETS ORANGE RASERONT LES MURS CE JOUR-LA !

Les milices fascistes de terreur du GANG VALMY auront leurs portraits et leur CV d'agresseuses psychologiques qui circuleront sur tous les réseaux sociaux de la planète !
Si Léon Launay peut ENCORE TAPER DES ENFANTS sur l'école Valmy en 2014 c'est GRÂCE A TOUS CES GENS-LA !

ILS EN RÉPONDRONT devant les JUGES DÉLÉGUÉS RÉVOCABLES
 que la RÉVOLUTION METTRA EN PLACE PROCHAINEMENT !


FAUX TÉMOIGNAGE DE LA 

MENTEUSE EMILIE ROEHM

Madame ROEHM Emilie, classe de CE1

On peut commencer ce texte sur les dénonciations calomnieuses de Emilie Roehm de la même façon que le texte concernant Delphine Dufau, l'autre menteuse principale de l'accusation Carrière Béaur

Quand quelqu'un est dévoué à l'Afrique, et milite #FreeGbagbo, quand une enseignante est dévouée à ses élèves au point, dans une école précédente, de payer plusieurs nuits d'hôtel à une famille de SDF, les parents d'un des ses élèves de CP, un enfant de 7 ans qui apprenait à lire le jour en dormant sur les trottoirs du Havre la nuit, il faut utiliser les grands moyens.
L'Etat voyou français utilise les grands moyens !
Les accusations délirantes de Delphine Dufau sont une des principales armes de l'accusatrice partiale Monique Béaur.
Tout ou presque est FAUX !


« On a retrouvé nos fiches de préparation et des traces écrites dans ses cahiers, on s'est sentie volées, on se voyait toutes les semaines, pour partager nos outils, et là sans rien nous demander on a compris que nos documents étaient dérobés.
Les mêmes mensonges délirants que Delphine Dufau !
Elles se sont évidemment concertées pour de telles dénonciations calomnieuses !
Ici, on peut remarquer que ces dames sont allées fouiner dans les cahiers de Julie Amadis.
Les réponses à ces accusations délirantes de deux mythomanes méchantes ont déjà eu une réponse dans l'article précédent :
+ + + + + + + + + + + + + + + +
« On s'est aperçu qu'elle récupérait nos leçons dans les casiers ou à la photocopieuse, ce sont nos leçons de math et de français, ce ne sont pas des trucs pris sur internet, mais des productions personnelles., sans rien nous dire, ni nous demander. »
Faux et délirant : Ce sont ces deux dames qui sont allés mettre des documents dans le casier de Julie Amadis ! Ce sont elles-mêmes qui sont allées déposer des « traces écrites » (des résumés de leçons qu'elles donnaient aux enfants à apprendre par cœur) et des « évaluations ».
Elles accusent leur collègue d'avoir utilisé des documents transmis par elles-mêmes dans le but qu'ils soient UTILISES !
A
aucun moment Julie Amadis n'a « récupéré » quoi que ce soit « dans les casiers »...... mais, au contraire, il lui est arrivé de FAIRE L'iNVERSE !
Non seulement Julie Amadis n'a RIEN PRIS dans le casier de Delphine Dufau mais elle a DÉPOSÉ dans ce casier (sans porte, juste une sorte de petite étagère) DES TRACES ÉCRITES, DES EXERCICES,
On a donc un MENSONGE AVÉRÉ !


+ + + + + + + + + + +

LES DÉNONCIATIONS CALOMNIEUSES
DE EMILIE ROEHM DÉMONTÉES UNE PAR UNE

« On lui a dit qu'elle allait trop vite sur certaines notions, au début elle venait avec nous, ensuite elle ne venait plus trop. C'est le complément de service de M Clabaut. Elle a pu stresser et se sentir en retard. »
Faux !
Ces deux menteuses écrivent n'importe quoi ! Ou plutôt les traces écrites de Monique Béaur sont un festival de mensonge !
En calcul, en multiplication, en soustraction, les élèves de Julie Amadis étaient en avance sur les élèves des deux menteuses ! PAS EN RETARD !
Et si les deux menteuses Dufau et Roehm avaient pu INVENTER que les évaluations avaient montré que les enfants n'avaient pas compris ces concepts... elles se le seraient permis !
A moins que la remplaçante ait tout détruit ! Son témoignage montre qu'elle en était capable ! Un archaïque qui note sur 30... des enfants de 7 ans est …. capable de tout !
Surtout quand ses méthodes archaïques de la préhistoire sont protégées par le Rectorat et l'inspection académique !
«  Mais lors de l'aide aux devoirs le soir avec ses élèves, je me suis rendue compte qu'elle allait trop vite. Elle réfutait les conseils qu'on lui donnait. »
Comme c'est étrange ! Les formules sont tellement vagues qu'on peut y apporter son boire et son manger.
Moi, pour la rentrée 1980, en CM1, je peux affirmer que mes élèves de 9 ans avaient des lacunes concernant l'apprentissage de la retenue en CP.
ET cette dame peut dénigrer une collègue, mais sans donner la moindre précision sur la matière, les concepts etc.....

« LE SOIR AVEC SES ÉLÈVES ».... MENTEUSE ROEHM

De plus, ce que la menteuse Roehm « oublie » de dire, c'est que ce ne sont pas « ses élèves » mais une seule élève... UNE ET UNE SEULE....
Une élève ayant des difficultés en mathématiques depuis des années...
C'est précisément pour cette raison que cette élève va à l'aide aux devoirs...
A partir d'une seule élève, la menteuse Roehm extrapole.

« PAS DE TRACE D'ACTIVITÉS ESTHÉTIQUES »
AVAIT MENTI LE FAUSSAIRE IEN INSPECTEUR BASELY !

« Quand M Basely est venu la voir, elle nous a rendu compte de l'avis de Monsieur Basely sur les progressions et cela allait, mais c'est quand elle a vu le rapport, elle n'a pas compris ce que voulait dire M Basely sur le mot « esthétique » pour parler de l'affichage, je pense qu'elle n'a pas compris les remarques données par l'inspecteur. Mais quand on voit les affichages dans sa classe, moi j'ai compris ce qu'a voulu lui dire l'inspecteur. Mais, elle ne comprend pas ce qu'on lui dit, elle déforme les propos pour se poser en victime, »
Les voix des anges ont du résonner dans la tête du faussaire Basély (celui qui avait dit – mais faut-il le croire – au directeur Clabaut que Julie Amadis méritait 12 et aurait 7 ou 8 comme note)
… faussaire Basély dont j'attends avec impatience la plainte en diffamation !
…. faussaire Basély qui mentait sur les fiches de préparation.... et avait oublié les affichages des dessins dans le couloir, l'exposition Perret, et les marionnettes fabriquées par les enfants...
Mais les dessins dans les couloirs.... les deux menteuses Roehm et Dufau.... elles en ont oublié l'existence...

UNE « MEILLEURE MISE EN VALEUR »
DE TRAVAUX ESTHÉTIQUES... INEXISTANTS !
LA FOLIE GUETTE OLIVIER BASELY !

L'inspecteur Basély s'était servi du fait que les marionnettes faites par les enfants pour le spectacle du 1° trimestre avaient été emportées par les enfants chez eux.....
Il y avait d'ailleurs des photos et des écrits des enfants sur la FABRICATION de ces MARIONNETTES
Plus le fait qu'il aurait « oublié » les maisons de l'exposition Perret au fond de la classe... plus le fait qu'il aurait « oublié » les dessins dans les couloirs..
Un « oubli » étrange.... puisqu'il avait conseillé une MEILLEURE MISE EN VALEUR de ces maisons intégrée dans un projet d'architecture Perret !
Des maisons de pleins de formes différentes fabriquées par les enfants.

POUR NOYER SON CHIEN,
 DIRE QU'IL A LA RAGE

Quand on sait depuis que le directeur Clabaut avait envoyé deux lettres dénonciatrices calomniatrices et diffamatrices contre Julie Amadis et les délégués élus des parents qui l'avaient soutenu dans deux courriers datés du 26 mars, on regardera avec stupéfaction ces propos concernant le conseil d'école du 28 – deux jours plus tard.
« c'était flagrant au conseil d'école, quand on a essayé de lui dire que nous étions là pour la conseiller, elle a dit : « mais alors c'est de ma faute si M Clabaut a des problèmes » Ce n'est pas cela qu'on voulait dire elle détourne tout les propos pour se poser en victime. »
Comme si quelqu'un qui doit payer 31000 euros à un barbouze anti-Gbagbo et qui se garde de raconter ses ennuis à une école d’égoïstes était occupée à « se poser en victime » ?

« ELLE M'A SERRE LA MAIN
C'ÉTAIT COMPLÈTEMENT INATTENDU »
 TÉMOIGNAGE ACCUSATEUR D'EMILIE ROEHM

Mais tout est bon pour cracher sur Julie Amadis !

« Au début du conseil d'école, elle m'a serré la main, c'était complètement inattendu, alors que jusqu'alors elle me disait bonjour, le matin ou un salut quand j'étais en classe. Je me suis demandée ce qu'il lui prenait. »
Le dossier est tellement creux qu'il faut le nourrir de riens !
« Au début, elle venait souvent dans ma classe, elle me disait qu'elle était harcelée par M Deplanque, et qu'on attendait le moindre faux pas pour la faire tomber, M Clabaut a essayé de la conseiller mais tout ce qu'on a pu dire, a été déformé. »
Tout ce que cette dame aura « pu dire » à l'enquêtrice partiale Monique Béaur, cela ne sera pas « déformé ». On voit de quoi le duo des menteuses Roehm-Dufau est capable.
Elle déjeunait à l'extérieur. Un midi elle a du aller distribuer des tracts en février, à la fac, pour la grève. Et quelqu'un de l'université a appelé M Clabaut pour se plaindre ;
N'essayez pas de construire un syndicat dans l'école de cette dame... elle vous dénoncera !
« et ensuite elle a été absente. Elle a été pas mal absente, en fait, et certains parents ont râlé. »
Ceux qui croyaient que le registre d'absence des enseignants était tenu par des gens avec une éthique sont prévenus : En Seine-Maritime, ce sont vos collègues qui vous dénoncent.
« Mais, elle a un bon contact avec les enfants, »
Tiens donc...... voici la vérité qui passe...... ça ne va pas durer longtemps !

PAS ASSEZ DE PETITS CAHIERS
UNE ERREUR DE COMMANDE
 FAITE PAR LE DIRECTEUR CLABAUT
DONT AVAIT PARLE UN TEMOIN
 DES SEPTEMBRE 2013

Il devait être trop difficile d'aller mentir sur ce sujet-là !
Il faut donc cracher autour !
« après chacun sa pédagogie, elle laissait beaucoup de liberté aux enfants dans la classe. Ainsi, on fait les commandes au début d'année de cahiers, mais les enfants de sa classe pouvaient se servir librement, et le stock est épuisé. » »
Les étourderies des commandes de juin faites par les anciens de Valmy concernant des erreurs de cahiers (beaucoup trop de commandes de grands cahiers et trop peu de petits cahiers : dès septembre, c'est l'assistante d'éducation qui avait prévenu Julie Amadis de cette erreur de commande.

Si le « stock est épuisé » c'est la faute du directeur en tant que directeur (qui n'a jamais livré la commande de septembre) et la faute de l'enseignant de juin..qui a mal passé ses commandes.... C'est le directeur lui-même . Julie Amadis arrivée en septembre a subi les conséquences d'erreurs passées.

Mais, les fautes de l'"équipe soudée" des menteurs de Valmy (sauf 2) ne sont jamais l'objet d'enquête !
Ils sont des voyous protégés par des voyous !
PAS UN SEUL DE CES VOYOUS NE POURRA AVOIR CONTACT AVEC DES ENFANTS APRÈS LA RÉVOLUTION.... APRÈS QU'ILS AURONT PURGE LES PEINES DE PRISON AUXQUELLES ILS SERONT CONDAMNES !
FAUX EN ÉCRITURES, DÉNONCIATIONS CALOMNIEUSES, VIOLENCES A ENFANTS, COMPLICITÉ DE VIOLENCES A ENFANTS, MENACES ETC ETC ETC....





dimanche 29 juin 2014

Les mensonges de Delphine Dufau : diffamations, dénonciations calomnieuses,accusations délirantes contre la Juste Julie Amadis ! Est-elle responsable de ses actes ou un marionnette OMERTA76 ?


par Yanick Toutain
Quand quelqu'un est dévoué à l'Afrique, et milite #FreeGbagbo, quand une enseignante est dévouée à ses élèves au point, dans une école précédente, de payer plusieurs nuits d'hôtel à une famille de SDF, les parents d'un des ses élèves de CP, un enfant de 7 ans qui apprenait à lire le jour en dormant sur les trottoirs du Havre la nuit, il faut utiliser les grands moyens.
L'Etat voyou français utilise les grands moyens !
Les accusations délirantes de Delphine Dufau sont une des principales armes de l'accusatrice partiale Monique Béaur.
Tout ou presque est FAUX !

LES CONSEILS IMAGINAIRES DE DELPHINE DUFAU

Cette enseignante pouvait se plaindre d'être de plus en plus inquiête à mesure que les semaines avançaient !
C'étaient ses mensonges, des dénonciations calomnieuses qui allaient finir par devenir publiques !
C'est ça la source de son inquiétude ! SES DIFFAMATIONS contre JULIE AMADIS
Mme DUFAU Delphine classe de CE1 :
« Nous lui avons conseillé d'accepter l'inspection. »
Faux
Delphine Dufau n'a strictement rien conseillé à Julie Amadis quant à ce sujet.
Julie Amadis, en septembre a mentionné son inspection à venir. Delphine Dufau avait uniquement demandé s'il serait possible d'avoir un autre inspecteur.
Question : « Ils ne peuvent pas te mettre un autre inspecteur ? »
Et cet échange ultra-bref avait clos définitivement le sujet.
Ce « nous » ne concerne en aucune façon cette menteuse.
Si, effectivement, des harceleurs ont incité Julie Amadis à céder aux pressions et à accepter la visite pédagogique d'Olivier Basély, Delphine Dufau ne faisait pas partie de ce groupe.
Ou alors.... ce serait secrètement.
Inventer être l'auteur de conseils imaginaires, cela a un nom, cela s'appelle de la mythomanie !

« Mme Debray a vu un enfant tout seul sur le trottoir qu'elle n'arrivait pas à gérer, et qu'elle avait laissé volontairement tout seul, alors qu'elle rentrait .-W avec sa classe ».
 Faux, totalement faux (cf un article entier sur ce mensonge délirant)La scène se passait à la grille de l'école, à plus de 20 mètres du « trottoir » !
LIRE L'ARTICLE !

lundi 23 juin 2014

Une fois, elle a oublié une élève dans sa classe alors qu'elle était partie à la piscine au début de l'année (octobre ou novembre) c'est moi qui ai pris la petite fille,, c'est une élève qui a des difficultés, du coup on décloisonne, je la prends dans ma classe à certains moments, et bien quand l'enfant est revenu dans la classe, elle était partie !"
Faux à 98%
La menteuse Dufau ne « prend » pas dans sa classe « à certains moments » cette élève ! Ce n'est pas avec elle que « décloisonne » Julie Amadis, c'est avec Mr Verhulle.
Ce paragraphe est un ramassis de mensonges et de dénonciations calomnieuses.
Avec l'absence de mentionner la présence (et donc le témoignage) de celui qui avait.... gardé l'élève trop longtemps.
L'instituteur Mr Verhulle chez qui était cette élève n'a pas été interrogé sur ces graves accusations.
C'est chez LUI que se trouvait l'élève en question.
Mais 90% du prétendu « témoignage » de monsieur Verhulle porte sur des ragots situés hors de l'école.
Pas un seul mot sur ce prétendu incident !!
PAS UN MOT DE TEMOIGNAGE DE L'INSTITUTEUR CHEZ QUI SE TROUVAIT L'ELEVE EN REALITE
Monique Béaur a « oublié » d'interroger Mr Verhulle sur l'incident de l'élève oubliée chez....... Mme Dufau....ou chez.... Mr Verhulle....

C'est cet instituteur qui choisissait parfois de garder plus longtemps cette élève en soutien qui avait « oublié » l'heure de la piscine et donc oublié de renvoyer dans sa classe l'élève de Julie Amadis (en la faisant accompagner d'un autre élève).
(Il était déjà arrivé que Mme Amadis doivent envoyer chercher son élève dans la classe de Mr Verhulle)
On peut aussi considérer que Mr Verhulle avait jugé bon, au vu des lacunes de l'élève en lecture (matière fondamentale) de la garder avec lui à la place de la leçon de natation.
Il est arrivé plusieurs fois que Julie Amadis soit obligée d'envoyer à Mr Verhulle un élève de sa classe pour aller RECLAMER son élève qu'il a oublié de lui rendre.
Ce jour-là, Julie Amadis n'avait pas vu revenir son élève et était donc partie à la piscine sans elle. (Louper le car pour une étourderie d'un de ses collègues en pénalisant toute la classe était évidemment plus grave que de ne pas prendre une élève en retard)
Il semble, selon les dires (toujours suspects) de Delphine Dufau que Mr Verhulle avait renvoyé l'élève de Mme Amadis en retard et SANS ETRE ACCOMPAGNEE d'un de ses élèves.
A la suite de quoi, au lieu de rendre l'élève à son 2° maître, la menteuse Dufau avait pris l'élève avec sa propre classe. Sous le prétexte de lui permettre de se rendre à la piscine avec elle.
Mais – on le comprend maintenant – dans le but d'alimenter une campagne diffamatrice dans laquelle la responsabilité première de mr Verhulle et son étourderie chronique à respecter les horaires ont disparu du dossier.
On comprend que l'accusatrice Monique Béaur puisse se saisir d'une telle diffamation.
On signalera aux enquêteurs que, le lendemain de ce jour-là, Julie Amadis était devenu la cible expiatoire de toute l'école. Il lui revient même en mémoire que le principal ricaneur qui entraînait les autres dans la dénonciation ironique était..... Mr Verhulle, le principal coupable ! Celui qui avait « oublié » l'heure, celui qui – assez souvent – oubliait l'heure de la piscine et de rendre son élève à Mme Amadis !
Ce n'est pas un hasard !
Rappelons qu'en cas de décloisonnement, c'est l'enseignant qui prend les élèves qui en est responsable.
« Tout a dérapé dès qu'elle a eu le rapport d'inspection. Elle a demandé notre soutien, elle était contre tout, elle a tout mis en cause. »

Faux à 98%
Tout avait dérapé en septembre
1° quand pendant la pré-rentrée certains commençaient déjà le harcèlement en diffamant Julie Amadis pour l'année 2008 (témoignage Marjorie Hervot)
le 26 septembre par les menaces de l'inspecteur Deplanque.
Le dérapage, c'est le groupe secret de harcèlement qui s'est mis en place pour construire le licenciement de Julie Amadis
Mais il est logique que la menteuse Dufau oublie la véritable chronologie.
« Elle a demandé notre soutien » est faux. Julie Amadis n'a RIEN demandé à Delphine Dufau ! Ni soutien, ni collecte, ni pétition. Julie Amadis savait qu'aucun des tracts en faveur de l'Afrique qu'elle POUVAIT distribuer au Havre serait susceptible d'intéresser cette dame.
Julie Amadis restait distante. Mais Delphine Dufau était ENCORE PLUS DISTANTE. Elle ne disait même plus bonjour. ET de ne même plus répondre à certains bonjours. 15 jours avant la suspension.
Quant à l'absurde usage du « contre tout » !
Qui sur Terre peut être « contre tout »....
Même quelqu'un qui subit illégalement une condamnation à payer 31000 euros pour un texte qu'elle n'a pas écrit n'est pas « contre tout ».
Quant au soutien, Julie Amadis l'avait espéré dès le commencement du harcèlement, le 26 septembre
« Une fois je lui ai envoyé tous mes affichages sons sous word, elle a tout imprimé sans vérifier, et ce n'était pas bien fait. »
A moitié faux : Inventer que Julie Amadis n'aurait pas « vérifié » les tableaux est une absurdité !
Accuser quelqu'un de ses propres erreurs ! Cela c'est une technique absolument extraordinaire.
Le plus drôle c'est qu'il semblerait que la principale (la seule?) erreur, ce soit l'absurde propos de l'inspecteur Basely attaquant l'API – Alphabet Phonétique International. Comme si ce standard reconnu pouvait être attaqué par qui que ce soit. A moins que monsieur Basély vienne prétendre qu'il faille apprendre aux enfants à rouler à gauche puisque ce serait sa préférence personnelle.
« Il y avait beaucoup de bruit dans sa classe, elle criait. J'ai la classe mitoyenne, j'entends. »
En partie vrai, mais il y a bien pire dans l'école !
Les deux écoles savent parfaitement qui hurle en classe ! Tous les enseignants de l'école savent que l'agresseur de l'école est aussi celui qui hurle littéralement sur ses élèves.
Mais il faut accuser Julie Amadis pour protéger l'agresseur Léon Launay. Telle est la tâche à laquelle travaille Delphine Dufau.
Le niveau sonore de la classe de Julie Amadis est inférieur au niveau sonore moyen de toutes les écoles de France.

UNE PORTE QU'IL FAUT CLAQUER SINON ELLE NE SE FERME PAS


« J'ai la classe mitoyenne de la sienne. Elle entrait dans ma classe, en criant et en claquant la porte, »
Tous les enseignants de l'école CLAQUENT la porte de Delphine Dufau. Sinon.... cette porte ne se ferme pas.
Le négligeant directeur de l'école a « oublié » de demander à ce qu'elle soit réparée.
Il est probable qu'elle ne l'est toujours pas.... ce qui permettrait de vérifier.
Si elle l'est on versera la liste des travaux effectués sur cette porte par la mairie – dans le dossier de la défense.
« elle m'interpelait [SIC] pour me demander des cahiers, soi disant qu'elle n'en n'avait plus dans sa classe, »
Faux quasi totalement : les enseignants présents en juin 2013 avaient commis une erreur de commande.
Trop de grands cahiers. Pas assez de petits cahiers.
Ayant un rythme d'écriture normal (l'inspecteur Basély exigeait d'elle DAVANTAGE de travaux écrits) il fallait bien PARTAGER et que les autres classes acceptent de RECTIFIER LEUR PROPRE ERREUR de juin 2013 en donnant des cahiers pour les élèves de Julie Amadis.

« forcément les enfants se levaient pour les prendre n'importe quand. »
Faux et absurde : Le « forcément » indique que les enfants – autonomes – se levaient pour aller au fond de leur classe pour chercher un nouveau cahier.... mais..... évidemment pas « n'importe quand » …. ils se levaient quand leur CAHIER PRECEDENT ETAIT TERMINE !
Ce « témoignage » confine à la folie pure et simple !
Mais non !
Cela peut être encore pire

UNE ENSEIGNANTE DIFFAME SA COLLEGUE
 EN LA TRAITANT DE VOLEUSE

« Un jour, elle m'a demandé d'emprunter mon poste et je n'ai jamais retrouvé le CD qui était dedans. »
Tout est faux.
Le lecteur de CD de la classe où est arrivée Julie Amadis ne fonctionnait pas correctement. Ils avaient laissé le poste le plus vieux dans cette classe.
Les nouveaux postes devaient être partagés.

DELPHINE DUFAU N'A JAMAIS RÉCLAMÉ
 SON CD PRÉTENDUMENT VOLE

(cette accusation a été reprise par Monique Béaur)
Ce n'est donc pas « un jour » mais régulièrement..... et tout aussi régulièrement que Delphine Dufau prêtait son poste en oubliant de sortir le CD. (le plus fréquemment un CD d'anglais)
Deux élèves allaient le chercher dans la classe de Mme Dufau et celle , ne vérifiant pas qu'elle avait encore oublié son CD, le donnait étourdiment.
Cette étourderie est transformée en accusation délirante de vol !
Il est à noter qu'il n'y a jamais eu de courriel de réclamation pour ce CD.
Ni avant ce témoignage et cette dénonciation calomnieuse, ni après.
Delphine Dufau n'a JAMAIS demandé son CD volé à Julie Amadis ! Ni oralement ni par écrit !

JULIE AMADIS, PAR COURRIEL,
FUT LA PREMIÈRE à DONNER
 à DELPHINE DUFAU ET EMILIE ROEHM
 SON TRAVAIL EN CADEAU
 (3 FICHES DE PREPARATION)

« Au début de l'année, on a essayé de travailler ensemble, on lui a donné beaucoup de choses, et elle , en tout et pour tout, une fiche de prép, que je n'ai pas pu utiliser,. »
Quasiment faux :
Une réunion tous les mardi en septembre, octobre, novembre, décembre, janvier, février pour préparer la semaine..... avait disparu du rapport d'inspection.
La menteuse Dufau poursuit le travail de faussaire de l'IEN Basely en tentant de faire disparaître près de 20 réunions du dossier.
Elle devra s'expliquer sur la preuve qu'elle détient de ce que c'est Julie Amadis qui COMMENCA à leur DONNER des fiches de préparation.
« Elle ne mangeait jamais avec nous le midi, et les décalait les réunions sous n'importe quel prétexte, d'acheter un sandwich ; etc.. ; »
En partie vrai : Julie Amadis, mangeait effectivement des sandwitches le midi. Comme ses collègues parfois.
Quant aux « décalages » de réunions, les trois participantes ont toutes trois proposé des changements d'horaires. Sans qu'aucune des droits ait eu de réclamations particulières par rapport aux autres. Ces imputations sont totalement diffamatrices.
« On s'est aperçu qu'elle récupérait nos leçons dans les casiers ou à la photocopieuse, ce sont nos leçons de math et de français, ce ne sont pas des trucs pris sur internet, mais des productions personnelles., sans rien nous dire, ni nous demander. »
Faux et délirant : Ce sont ces deux dames qui sont allés mettre des documents dans le casier de Julie Amadis ! Ce sont elles-mêmes qui sont allées déposer des « traces écrites » (des résumés de leçons qu'elles donnaient aux enfants à apprendre par cœur) et des « évaluations ».
Elles accusent leur collègue d'avoir utilisé des documents transmis par elles-mêmes dans le but qu'ils soient UTILISES !
A
aucun moment Julie Amadis n'a « récupéré » quoi que ce soit « dans les casiers »...... mais, au contraire, il lui est arrivé de FAIRE L'iNVERSE !
Non seulement Julie Amadis n'a RIEN PRIS dans le casier de Delphine Dufau mais elle a DEPOSE dans ce casier (sans porte, juste une sorte de petite étagère) DES TRACES ECRITES, DES EXERCICES,
On a donc un MENSONGE AVERE !

« On avait fait une progression ensemble, mais elle n'a pas fait ce qu'on avait dit. »
Diffamatoire mais partiellement vrai. Il y a une intention de nuire.
Ce décalage dans les progressions est avéré. Mais pas du tout comme cela est décrit !
Il se produisait quand les enfants de Mme Amadis comprenaient plus vite certaines notions.
Surtout en mathématiques. Les méthodes pédagogiques utilisées par Julie Amadis étaient bien meilleures que les méthodes que celles de Delphine Dufau et Emilie Roehm
C'est la raison pour laquelle elle prenait de l'avance.
ET donc ces dames qui se prennent pour des chercheuses pédagogiques quand elle ne sont que des perroquets de la hiérarchie s'autorisent à dénigrer leur collègue !
Pour la multiplication, la technique des rectangles que JE LUI AVAIS CONSEILLE D'UTILISER avait permis d'aider des enfants, même en grande difficulté.
Par exemple, l'élève que mr Verhulle avait oublié de rendre à mme Amadis était en grande difficulté mais elle assimila très rapidement la compréhension de ce qu'était la multiplication.
La mère de cette enfant expliquait que sa fille, le soir même s'amusait à s'inventer du travail scolaire à la maison. Une enfant en grande difficulté s'amusant à « faire des multiplications » le soir.
Cette méthode que les dames Dufau et Roehm ignorent car non conseillée par la hiérarchie, c'est précisément ce qu'elles reprochent à leur collègue.
« elle n'a pas fait ce qu'on avait dit. 
On a un acte d'accusation de Monique Béaur dans lequel les collègues sont devenues des inspecteurs pédagogiques !
Notons que cette « méthode des rectangles » consiste à apprendre aux enfants à calculer des aires en même temps qu'à comprendre ce qu'est une multiplication.
Pour simplifier, imaginez-vous écrire les nombres de 1 à 4 sur une ligne. Puis de 4 à 8 sur la ligne juste en dessous. Puis les nombres de 9 à 12.
Vous aurez dessiné un rectangle de 4 sur 3 et compris qu'il y avait 12 cases.
Comprendre la multiplication ce n'est rien d'autre que de comprendre que 3 lignes de 4 colonnes contient 12 cases.
Les tables de multiplication (table de 2 et 3)
C'est cette méthode extraordinairement efficace (et qui pourrait être enseignée dès la maternelle) que ces dames ne veulent pas voir être utilisée !
C'est une volonté anti-pédagogique et d'obéissance aux ordres de médiocres devenus inspecteurs que ces deux dames affirment dans leurs propos diffamatoires.
« elle n'a pas fait ce qu'on avait dit. 
Il en va de même pour la soustraction, (méthode des petits cubes) avec des évaluations très réussies .
En même temps que la multiplication et les tables, les enfants commençaient aussi à comprendre le processus de division.
Ce que ses collègues avaient mis presque un mois à faire comprendre aux enfants avait été acquis en moins de dix jours.
PROVOCATION OU SIMPLE MENSONGE DE DELPHINE DUFAU
UNE ENSEIGNANTE A-T-ELLE MANIPULE UN ENFANT POUR QU'IL RECLAME UN TRACT  ?
« J'ai vu les deux parents : M et Mme , distribuer des tracts aux enfants et aux parents à la sortie de la classe. Younès est venu me voir pour me le montrer, même s'ils disent que ce n'est pas vrai.Les enfants le lendemain, m'ont dit qu'ils étaient soulagés que je sois là, ils « avaient peur que je sois virée ». »
Faux à 98%
Les parents ont distribué effectivement un tract aux parents d'élèves (vendredi 21 mars et lundi 24 mars).
Notez bien la précision des dates. Le seul « lendemain » possible c'est donc le MARDI 25 mars.
Cest le MARDI que les élèves de Delphine Dufau ont eu « peur qu'elle soit virée ».
Regardons de plus près.
Ces distributions du 21/3 et 24/3 étaient quasiment terminées quand les enfants sont sortis de l'école.
Sur l'incident avec l'enfant la vrai version est autre. Delphine Dufau est une provocatrice qui a sans doute manipulé l'un de ses élèves.
On peut commencer par s'étonner de voir son prénom être mentionné dans ce dossier – sans doute les enfants aux prénoms d'origine maghrebine ont-ils le droit de voir leur identité être mentionnée quand les parents dénonciateurs ont leurs noms et prénoms effacés de l'acte d'accusation qui ont été effacés).
Une enseignante donne le nom d'un de ses élèves ?
On va comprendre pourquoi. Cet élève, à la fin de la distribution de tract, s'est approché de la déléguée élue des parents Séverine Breton. Il a réclamé avec insistance d'avoir un tract.
La déléguée ne voulait pas lui en donner un.

SEVERINE BRETON DONNANT UN TRACT
QUAND DELPHINE DUFAU LA REGARDAIT

Quand elle a vu Delphine Dufau qui regardait depuis la grille, elle a pensé que c'était elle qui avait envoyé l'enfant. Elle a donc fini par lui donner un tract.
L'enfant, ainsi que l'avait deviné la déléguée Séverine Breton, a pris le tract et est RETOURNE A L'INTERIEUR DE LA COUR DE L'ECOLE.
(Habituellement on ne revient plus dans la cour de l'école après en être sorti...)
Et là, il a donné le tract à l'enseignante.
On remarque ici que l'enseignante n'est pas venu trouver la déléguée de parents..... pour le lui en faire le reproche......
Delphine Dufau tente de camoufler la chronologie des faits !
La déléguée des parents a donné un tract à l'enfant en étant convaincue qu'il lui était envoyé par Delphine Dufau.
On peut donc supposer comme la déléguée des parents – sans prendre trop de risques - que cette dame a DEMANDE A UN DE SES ELEVES D'ALLER RECLAMER UN TRACT......
A qui fera-t-on croire qu'un enfant de 7 ans quémande de lui-même un tract, qu'il ne se précipite pas chez ses parents pour le leur donner, mais qu'il fait 10 mètres (??) en arrière pour RETOURNER dans la COUR de son école ….. et pour DONNER LE TRACT A SA MAITRESSE !!!

On peut donc comprendre que les enfants aient eu peur que l'enseignante soit virée POUR AVOIR MANIPULE LE PETIT ENFANT en l'envoyant réclamer un tract !
Si les enfants sont aussi convaincu que c'est sa maîtresse qui avait envoyé l'enfant chercher un tract, tout cela devient logique !
La rumeur logique qui a du circuler c'est le fait que s'il était interdit de DISTRIBUER DES TRACTS AUX ENFANTS.... la PREMIERE COUPABLE ce serait donc Delphine Dufau....
CE QUI EXPLIQUERAIT SON ATTITUDE SUR CETTE AFFAIRE DE TRACT et ses ACCUSATIONS SCANDALEUSES CONTRE LA DELEGUEE DES PARENTS !

TOUT CE "TEMOIGNAGE" EST UN RAMASSIS DE DENONCIATIONS CALOMNIEUSES



jeudi 26 juin 2014

Le procureur qui donne des claques protège l'instituteur agresseur de Valmy 2 Léon Launay de Valmy 2 ! La scandaleuse nomination du procureur Nachbar

par Yanick Toutain

"Cédric Visart de Bocarme, procureur du Roi,
lequel avait transmis ses doléances
à fin de poursuites à Yves Charpenel,
procureur général de Reims
qui s'empressa d'enterrer le dossier"
(sic Christian Chardon infra)

 

"DES BAFFES DERRIERE LA TETE" !

LA "METHODE NACHBAR"
(sic Christian Chardon L'Union l'Ardennais)

Avec ses faux témoins de l'école Valmy , Francis Nachbar, en auxiliaire du voyou inspecteur d'académie Philippe carrière est en train de rééditer les mêmes méthodes fascistes qui lui ont valu la protection de Sarkozy - le voyou délinquant de l'affaire #Bygmalion - et une médaille que plusieurs journalistes comprirent comme une prime à la délinquance...... étatique !.
Le procureur Nachbar est au-dessus des lois !
La loi, c'est lui qui la fait ! à coup de baffes !

FRANCIS NACHBAR, AGRESSEUR PROTEGE PAR SARKOZY

FRANCIS NACHBAR, AGRESSEUR PROTEGE PAR VALLS

FRANCIS NACHBAR, AGRESSEUR PROTEGE PAR CAZENEUVE

FRANCIS NACHBAR, AGRESSEUR
PROTECTEUR DE LEON LAUNAY,
L'AGRESSEUR DE VALMY 2

Le procureur voyou du Havre est spécialiste de la provocation fasciste !
Avec lui, le régime néonazi dont rêves tous les ripoux est déjà en place !
Poursuites prescrites ne lui font pas peur ! J'ai été victime de ses méthodes Nachbar !
Transmettre une enquête remplie de faux à un flic ONUCI voyou pour fabriquer une 2° plainte.... qu'un juge voyou va diligenter..... 31000 euros... c'est sont les méthodes Nachbar !

L'AGRESSEUR NACHBAR NE SUPPORTE PAS LES MILITANTS ANTI-VIOLENCES
DANS LES ÉCOLES !

IL TERRORISE SEVERINE BRETON ....
DÉLÉGUÉE DE PARENTS ANTI-OMERTA76
CONVOQUÉE HIER A LA POLICE DU HAVRE !


Terroriser une mère d'élève ANTI-VIOLENCE c'est un réédition des exploits de ce procureur voyou ! Philippe Bilger qui avait été choqué de ces méthodes devrait venir au Havre ! Je l'invite à présider une commission d'enquête sur les agissements du procureur voyou !
Comme Philippe Bilger avait malencontreusement effacé l'un de mes commentaires sur les exploits du procureur voyou ensuite recélés par les juges voyous Janas d'Angoulême et Miori et Ors de la Cour d'Appel de Bordeaux - ces pourris avaient utilisé une enquête construite dans une plainte en diffamation prescrite pour fabriquer des faux dans une seconde procédure - maquillage de la première - en prétendue "atteinte à la vie privée"....
Si Philippe Bilger se décidait à reprendre la torche de la vérité, il pourra aller interroger les prétendues témoins de Nachbar.... ces enseignantes pratiquant la dénonciation calomnieuse contre une de leurs collègues et l'accusant d'être une "voleuse".... pour permettre à Nachbar de développer son harcèlement fasciste !
Il pourra commencer par relire cet article de Christian Chardon ! Dans l'Est, ils ont un vrai journal !
Quelle surprise pour un Havrais !


La scandaleuse nomination du procureur Nachbar





La scandaleuse nomination du procureur Nachbar

Publié le mercredi 07 avril 2010 à 11H51 - Vu 2016 fois
CHARLEVILLE-MEZIERES ( Ardennes). L'incroyable s'est produit à l'occasion de l'annonce de la promotion pascale de la Légion d'honneur. Francis Nachbar, ex-procureur de la République de Charleville-Mézières et actuellement en poste au Havre, a été nommé chevalier de l'ordre.
UN camouflet pour tous ceux qui ont obtenu cette décoration légitimement et qui la portent dans la dignité. Un pied de nez à la justice et à tous ceux, magistrats et avocats, et ils sont nombreux, qui la font fonctionner avec honnêteté et rigueur. Une gifle aux plus hautes instances de la magistrature qui avaient durement commenté le comportement de Francis Nachbar à Charleville-Mézières (Ardennes) en général et lors du procès Fourniret en particulier. Un affront au procureur du Roi de Belgique qui avait cru indispensable de saisir son homologue procureur général de la République de Reims pour lui signaler les agissements choquants et répréhensibles de Francis Nachbar au cours d'une garde à vue. Un mépris inqualifiable à tous ces justiciables qui sont passés dans l'étau-broyeur Nachbar, victimes de dénonciations aux origines douteuses, placés en garde à vue dans des conditions très discutables, mis en examen avec parfois le bonus de la détention provisoire avant que justice, la vraie, celle des tribunaux, leur soit rendue en première instance puis en appel, tel un désaveu flagrant de la justice spectacle du procureur Nachbar.
Fallait-il que les enquêteurs réputés pourtant si pointilleux de la grande Chancellerie de l'Ordre de la Légion d'honneur soient à ce point surmenés pour qu'ils n'aient pas vu ce qui était reproché au procureur hier, et les affaires dans lesquelles il est encore englué aujourd'hui ?

Puissant piston

Fallait-il que le piston soit puissant pour qu'il propulse Francis Nachbar dans des sphères où il n'a rien à faire, et où sa présence dénote et dénature ? Car quel crédit accorder désormais à une distinction qui se galvaude ainsi ?
Qu'on se souvienne au moins du discours de Jean-Louis Nadal, procureur général près la Cour de cassation, prononcé à Paris le 7 janvier 2009, lors de l'audience solennelle de début d'année de la Cour de cassation, en évoquant la liberté de parole : « La plume est serve mais la parole est libre. Pour autant, cette liberté n'autorise pas toutes les licences. Beaucoup de magistrats, je pense, sont mal à l'aise quand ils entendent que tel ou tel de leur collègue, prenant des réquisitions contre l'auteur de faits d'une extrême gravité, ayant causé un scandale immense, un malheur indescriptible, ont cru rendre des devoirs à l'opinion publique et faire honneur aux victimes, en se livrant à l'invective, voire à la vulgarité contre l'accusé. De ces magistrats qui confondent rigueur et emportement, je dis simplement qu'ils font fausse route… » Un réquisitoire sans appel qui visait sans le nommer Francis Nachbar, à l'occasion de ses commentaires sur Fourniret, mais que chacun avait reconnu.

Privé de médaille

Qu'on se rappelle encore les écrits de Philippe Bilger, avocat général à la Cour de cassation, choqué par l'attitude caractérielle et professionnelle de Francis Nachbar, et qui va le rappeler à l'ordre, après l'affaire Fourniret, dans un article publié dans une revue judiciaire, dénonçant en particulier le fait qu'il ait commenté son réquisitoire à la presse avant que les plaidoiries ne soient exprimées.
Deux réprimandes sans équivoque qui se sont associées à une sanction par omission. À l'issue du procès Fourniret, le président de la cour d'assises était décoré de la Légion d'honneur. Une distinction que Francis Nachbar, déjà titulaire de la médaille du Mérite, pouvait espérer, mais qui lui passait sous le nez. Pas la moindre breloque alors que les deux assesseurs du président recevaient la bleue. À croire qu'alors, l'enquête avait été plus sérieuse.

Qui va l'épingler ?

Car comment oublier aussi les invectives lancées par le procureur Nachbar aux avocats massés devant la porte du palais de justice, en décembre 2007, lorsqu'ils ont protesté contre la perte du pôle d'instruction du tribunal de Charleville et sa délocalisation à Reims ? Ces mêmes avocats qui aujourd'hui s'inquiètent légitimement des dérives des gardes à vue, de celles que menait le procureur Nachbar en particulier.
Les exemples sont nombreux de ces gens privés de leur liberté sur un simple ragot ou suite à un marché de dupes inavouable dont on a torturé l'esprit pour obtenir des aveux. Le directeur de l'Opac des Ardennes pourrait raconter comment il a été mis en cause par un « donneur » du procureur qui espérait ainsi atténuer ses propres responsabilités dans une affaire de détournement de fonds. Un personnage glauque qui bientôt se retrouvera de nouveau en correctionnelle dans les Ardennes après avoir défrayé la chronique parisienne dans une sombre affaire de coups de couteaux que lui aurait donnés une voyante devenue son égérie et sa gérante de paille.
Une éducatrice accusée de dérive sectaire pourrait aussi témoigner de la façon dont est intervenu le procureur lors de sa garde à vue, en la pointant du doigt pour lui hurler les yeux hors des orbites : « Avouez, on voit bien que vous faites partie d'une secte, ça se voit dans votre regard… »
Même un policier belge a été choqué par les méthodes Nachbar lors de l'interrogatoire de Monique Olivier, l'épouse de Michel Fourniret. Il s'en était du reste ouvert à Cédric Visart de Bocarme, procureur du Roi, lequel avait transmis ses doléances à fin de poursuites à Yves Charpenel, procureur général de Reims qui s'empressa d'enterrer le dossier. Des baffes derrière la tête qui n'ont eu pour effet que de charger Fourniret d'un crime qu'il n'a pas commis et dont l'auteur court toujours.
Hier, dans les couloirs des palais de justice de la région, beaucoup semblaient désabusés, se demandant comment une telle nomination était possible. Même si on en a une petite idée, on ne connaît pas avec certitude le nom de celui ou de celle qui a propulsé la candidature du procureur. En revanche, on va surveiller avec attention le jour de la remise de la décoration pour savoir qui aura l'audace de l'épingler au revers de la veste du procureur Nachbar.
« La Légion d'honneur est décernée pour conduite civile irréprochable ou faits de guerre exceptionnels… » On ne voit vraiment pas en quoi le procureur Nachbar est concerné ni dans quelle catégorie il pourrait s'inscrire.
Christian CHARDON
L'union l'Ardennais

lundi 23 juin 2014

OMERTA76 : La titulaire du CE2 qui travaillait avec Julie Amadis est honnête et sincère. Un cas rare sur l'école Valmy. Marjorie Hervot dévoile l'existence d'un harcèlement dès « le jour de la pré-rentrée ».


par Yanick Toutain

C'est dès "le jour de la pré-rentrée" que commença le harcèlement contre l'enseignante #FreeGbagbo Julie Amadis. Ses ennemis politiques étaient allés recruter le menteur harceleur de 2008 Patrick Deplanque pour lui pourrir la vie. En prenant les enfants de l'école Valmy en otage.

UNE RÉVÉLATION AHURISSANTE :
C'EST LE JOUR DE LA PRÉ-RENTRÉE QU'A COMMENCÉ LE HARCÈLEMENT
CONTRE JULIE AMADIS 

 C'est dans le dossier d'"accusation" fabriqué avec des faux et des dénonciations calomnieuses - jamais vérifiées - de l'enquêtrice partiale Monique Béaur que cette preuve de la date du commencement du harcèlement a été découverte !
Une preuve qui flanque par terre toute la démonstration de l'accusation Carrière-Béaur.

FAUX, MENSONGES, DÉNONCIATIONS CALOMNIEUSES

La quasi totalité des témoignages des enseignants recueillis par l'enquêtrice partial Monique Béaur (du réseau OMERTA76) sont des faux !
La quasi totalité des enseignants interrogés mentent. Ils fabulent, ils colportent des ragots. Le plus délirant consistant à transformer les distributions de tract en faveur du président Gbagbo en distributions du tract des parents d'élèves...... Sans parler des accusations délirantes (et factuellement mensongères) de Dufau-Roehm que Julie Amadis serait une voleuse. Voleuse de fiches de préparation. Voleuse d'un CD.

Il est donc rassurant de voir qu'il existe quelques rares gens honnêtes en ce bas monde !
La témoin Marjorie Hervot est un témoin honnête et réservée. Elle dit la vérité, rien que la vérité !
Contrairement à la plupart de ses collègues.
Or, elle est est précisément celle qui est la titulaire de la classe de CE2.
Elle est celle qui travaille 3 jours sur 4 avec la classe dans laquelle Julie Amadis enseigne le jeudi.
Il aurait été de toute première importance que les élucubrations délirantes des Roehm et autres Dufau soient réitérées dans la bouche de Marjorie Hervot !

UNE TÉMOIN QUI  TÉMOIGNE.....
CONTRE L'ACCUSATRICE BEAUR

Dans le témoignage de Marjorie Hervot, aucune accusation délirante de vol ou autre diffamations....
Aucune dénonciation calomnieuse d'enfant laissé seul sur le trottoir etc....
 Non, elle montre exactement le contraire.
Elle montre que ce sont les manipulateurs qui ont agi dans l'ombre, elle montre que des manipulateurs commençait déjà l'opération de déstabilisation délictuelle le « jour de la pré-rentrée ».
Lisons intégralement ce témoignage précieux

pièce 07 29 MME Hervot Marjorie -.
          "Je partageais la classe avec Mme Amadis, on se voyait peu. Le jour de la prérentrée, on a été informée de la chanson sur youtube, du coup j'étais réservée. Mais on a eu un contact cordial, avec mes élèves cela s'est bien passé, rien ne m'a été rapporté de négatif."

« Contact cordial » ? On est à 100 lieux de l'image que fabriquent les menteurs et menteuses de l'écoleValmy !
« Cela s'est bien passé » Où sont passées les descriptions affolantes faites par les diffamatrices Roehm Dufau ?
Pire encore..... ce n'est pas à Marjorie Hervot que les agents de la cabale vont raconter leurs mensonges et dénonciations calomnieuses « rien ne m'a été rapporté de négatif. »
Une réponse à une probable question dolosive de l'enquêtrice partiale Béaur !

UNE PERSONNE HONNÊTE PARLANT
 HONNÊTEMENT
D'UNE AUTRE PERSONNE HONNÊTE;
 tel est le témoignage de Marjorie Hervot

Le portrait que Marjorie Hervot fait de Julie Amadis est, en creux, un portrait d'elle-même.

Elle se montre ainsi quelqu'un de posé et d'honnête.
On signalera à ce propos que Marjorie Hervot et Julie Amadis ne se sont jamais vues en dehors de l'école.

Ce témoignage honnête va donc pouvoir être considéré comme l'un des plus fiables (le plus fiable) de toute la liste de (faux) témoignages.
On pourra donc considérer le passage accusatoire pour Monique Béaur comme le reflet fidèle de la réalité

« LE JOUR DE LA PRÉ-RENTRÉE,
ON A ÉTÉ INFORMÉE DE LA CHANSON SUR YOUTUBE »

Cela constitue l'accusation de harcèlement prémédité !
On a la preuve que l'accusation faite continuellement contre Julie Amadis de « parler d'évènements vieux de 6 ans » est totalement mensongère. Ce sont les harceleurs qui n'ont eu de cesse de parler de 2008 !

LES HARCELEURS ONT PARLE DE 2008
 DES LE JOUR DE LA PRÉ-RENTRÉE

Cette preuve est l'écroulement de tout l'édifice Carrière-Béaur !
L'écroulement de toute la propagande des fascistes du Gang Valmy !!! Tout leur fond de commerce était basé sur l'affirmation mensongère que c'était Julie Amadis et les parents qui la défendent qui avaient parlé de 2008 les premiers !
Tous ces gens devront présenter leurs excuses ou seront condamnés !
Ce sont les harceleurs OMERTA76 locaux qui n'ont eu de cesse de parler de la vidéo de 2008 !
Ce sont les harceleurs qui n'ont eu de cesse de répéter « you tube » « you tube » tout au long de l'année ! Et cela dès le « jour de la pré-rentrée »
La visite du 26 septembre de l'inspecteur Deplanque n'était que la suite de l'opération.

DES LE 2 SEPTEMBRE L'OPÉRATION DE DÉNIGREMENT
CONTRE JULIE AMADIS AVAIT COMMENCÉ
(TÉMOIGNAGE DE MARJORIE HERVOT)

Le dénigrement de Julie Amadis avait commencé dès « la pré-rentrée ». Tel est l'élément essentiel du témoignage de Marjorie Hervot.
Comme le montre le reste de son témoignage, l'enseignante Marjorie Hervot avait été quelque peu déstabilisée dans ses rapports avec la victime du harcèlement.
Elle avait précisé
 « du coup j'étais réservée »....
On comprend ainsi ce qui s'est passé dans les coulisses de l'école Valmy pendant les mois de septembre, octobre, novembre, puis après son courrier à la rectrice, pendant les mois de décembre, janvier, février, mars....

UNE OPÉRATION "1000 COLLINES"
DANS LES COULISSES
CONTRE UNE MILITANTE #FREEGBAGBO

C'est l'alliance d'OMERTA76 et d'OMERTàfric qui explique le déroulement de l'opération.
Mais, en lisant le témoignage de l'honnête Marjorie Hervot, on voit que les préjugés que les acteurs de l'opération 1000 collines tentaient d'inculquer dans les esprits n'ont pas duré longtemps dans ce cas : « Mais on a eu un contact cordial, avec mes élèves cela s'est bien passé, rien ne m'a été rapporté de négatif. »

« Tu lâches ton bâton et tu rentres » un enfant désobéissant écoutant sa maîtresse devant la grille de l'école Valmy devient l'occasion de propos mensongers et calomnieux de Valérie Debray selon les dénonciations de Delphine Dufau à l'enquêtrice OMERTA76 Monique Béaur.

C'est en revenant de préparer ces travaux qu'un des élèves
avait déclenché un petit incident sur le parvis de l'école
Valmy en refusant de lâcher une petite branche d'arbre.
Cela va devenir une dénonciation par Delphine Dufau
Une dénonciation figurant dans l'acte d'accusation
contre Julie Amadis  (L'enseignante harcelée depuis
septembre 2013 se trouve à droite sur cette photo
 dont l'auteur n'est pas donné)
Dénoncer ses collègues à l'administration en mentant !
Pratique courante dans cette école Valmy du Havre !
On connait maintenant les noms de ceux qui sèment la pagaille dans cette école depuis la rentrée de septembre 2013



Par Yanick Toutain

« De deux choses l'une :
1° ou bien l'enquêtrice partiale
n'a pas posé de question sur cette
prétendue faute professionnelle......
ce qui serait tout bonnement ahurissant....
2° Ou bien Monique Béaur a demandé à Valérie Debray
si les faits reprochés à Julie Amadis se sont bien
déroulés comme l'a « témoigné » Delphine Dufau et,
mécontente d'apprendre la vérité,
aurait purement et simplement
fait disparaître des « témoignages »
et la question ,
et la réponse. »
(dans la conclusion de cet article)

Le dossier d'accusation Carrière-Béaur VS Amadis est un sommet de diffamation et d'accusations mensongères.

QUI A MENTI EN INVENTANT UN
« ENFANT LAISSE VOLONTAIREMENT
 TOUT SEUL SUR LE TROTTOIR » ?

La prétendue enquêtrice partiale Monique Béaur fait les égouts !

Elle n'a aucune limite dans les dénonciations !
En consultant le dossier d'accusation contre Julie Amadis on voit qu'aucune morale, aucune éthique, aucune limite n'a été donnée à ces gens-là !
Truquer des faits anodins pour construire une incrimination afin de satisfaire au projet de OMERTA76 !

MAIS CES ACCUSATIONS DÉLIRANTES N'ONT PAS ÉTÉ L'OBJET D'ENQUÊTE SÉRIEUSE ET
 NE FIGURENT MÊME PAS DANS L'ACTE D'ACCUSATION

C'est ce que le lecteur va découvrir ici :

CONTEXTE : une classe d'élèves de 7-8 ans (CE1) est allée à 150 mètres de l'école au centre d'animation culturelle du quartier (Le satellite Brindeau – le travail des enfants sera l'objet d'un reportage dans le journal local qui sera fait 2 jours plus tard, le jeudi 27 mars.)
C'est la fin de l'après-midi, on est le mardi 25 mars, il est environ 15h20, le rang d'une vingtaine d'enfants avance sagement vers son école. Ils sont accompagnés et surveillés par deux adultes l'institutrice Julie Amadis et une auxiliaire EVS (Mlle X) ......
A plus de 15 mètres de la rue, un enfant va avoir un comportement (anodin) en désobéissant pendant moins de trois minutes. Un incident mineur auquel personne ne prête attention dans une école..... normale....

Mais cela va devenir l'occasion de propos diffamatoires, de dénonciation calomnieuse (et d'élucubrations délirantes) pour les enseignantes Valérie Debray et Delphine Dufau

CONSTRUCTION IMAGINAIRE D'UNE FAUTE PROFESSIONNELLE

Une suspension basée sur des ragots
des mensonges et des dénonciations
calomnieuses recueillies par une
enquêtrice OMERTA76 partiale
 Monique Béaur
Le rang arrive sur le parvis de l'école, près de la grille (plus de 15 mètres entre la grille de l'école et le trottoir)
La maîtresse ouvre la grille de l'école (fermée à clé), elle entre dans la cour avec son rang. Elle se retourne et voit, à la fin de son rang, un enfant qui a ramassé un petit morceau de branche d'arbre.
Elle lui dit « Tu lâches ton bâton et tu entres »
A ce moment, l'enfant turbulent s'arrête, lève le bras en exhibant le bâton (il est toujours de l'autre côté de la grille.....)
Sa maîtresse le sermonne en l'appelant par son prénom.
Pendant ce temps, le reste de la classe est en récréation ….
L'enseignante Julie Amadis est toujours à côté de la grille et continue à sermonner l'enfant. Elle a remarqué que sa collègue Valérie Debray est en train de l'observer. Celle-ci est avec son rang mais observe la scène plutôt que d'entrer dans sa classe.
Après quelques instants, l'enfant pose son bout de branche mais ne franchit toujours pas la grille.
Quelques secondes plus tard, il entre dans la cour, et l'institutrice l'a puni momentanément pour une partie de la récréation (Cette enseignante refuse de priver les enfants de la totalité de leur récréation comme le font trop de ses collègues)

VERSION DIFFAMATRICE RELATÉE PAR LA DÉNONCIATRICE DUFAU


Voilà maintenant la version diffamatrice que sa collègue Delphine Dufau va rapporter à l'administration (ce n'est qu'un de ses mensonges. Les autres mensonges de D. Dufau seront l'objet d'autres articles)


« Mme Debray a vu un enfant tout seul sur le trottoir qu'elle n'arrivait pas à gérer, et qu'elle avait laissé volontairement tout seul alors qu'elle rentrait avec sa classe. »


Mensonge au sujet du « trottoir » (l'enfant était à plus de 15 mètres de la rue, sur le parvis de l'école)
Mensonge sur le fait de l'avoir laissé « seul » (l'enseignante n'a jamais été à plus de 1,5 mètres de l'enfant)
Mensonge sur le fait de ne pas avoir réussi à « gérer » l'enfant (des enfants désobéissants pendant moins de trois minutes ne seraient pas la preuve que la totalité des enseignants de France et de Navarre n' « arriveraient pas à gérer » leurs élèves.

POURQUOI TANT DE MÉCHANCETÉ ?

Le reportage du Havre Libre/Havre Presse/Paris Normandie fait le jeudi suivant aura certainement suscité des rancœurs parmi des jalouses médiocres !
L'enseignante - Julie Amadis - fut la première surprise de voir arriver un journaliste le jeudi suivant et n'avait strictement rien fait pour convoquer la presse !
Mais il fallait bien continuer à lui nuire !
Minimiser le travail de Julie Amadis au centre culturel du quartier a du être un des facteurs pour inciter la menteuse Debray à fabriquer ce faux témoignage.
Un faux témoignage dont on peut exclure qu'il soit une invention méchante de sa collègue Dufau. Pour quelle raison Delphine Dufau inventerait-elle des dénonciations calomnieuses proférées par Valérie Debray.

AUCUNE ENQUÊTE SÉRIEUSE DE MONIQUE BEAUR

Il aurait été logique, face à une telle faute professionnelle que l'enquêtrice enquête..... mais non !
Dans le témoignage de la « témoin » Valérie Debray n’apparaît strictement aucune mention de ce prétendu « incident » grave....
De deux choses l'une : ou bien l'enquêtrice partiale n'a pas posé de question sur cette prétendue faute professionnelle...... ce qui serait tout bonnement ahurissant....
Ou bien Monique Béaur a demandé à Valérie Debray si les faits reprochés à Julie Amadis se sont bien déroulés comme l'a « témoigné » Delphine Dufau et, mécontente d'apprendre la vérité, aurait purement et simplement fait disparaître des « témoignages » et la question , et la réponse.

UNE ENQUÊTE DONT UN GOUVERNEMENT HONNÊTE
 METTRA A JOUR TOUTES LES CONTRADICTIONS
APRES LA REVOLUTION CONTRE LES VOYOUS
 ET LES MENTEURS OMERTA76

Comme la France révolutionnaire aura bientôt des gens honnêtes à sa tête, il sera très facile de questionner Valérie Debray et de lui demander
« Qu'est-ce que Monique Béaur vous a posé comme question concernant ce prétendu enfant laissé « volontairement tout seul sur le trottoir » ?

On aura donc la réponse (éventuelle) de la diffamatrice – selon le témoignage Dufau.

On remarquera, que le témoignage de celle contient – sur d'autres sujets que celui-là – d'autres dénonciations calomnieuses, d'autres mensonges......

Tout cela sera l'objet d'autres articles.....





COMPLEMENT :

On comprendra que l'enfant turbulant avait été un peu agité après la 1° séance de travaux.
Un incident minime comme il s'en produit tous les jours dans toutes les écoles de France.
On peut lire l'article sur les travaux d'élèves sur le site de Paris Normandie.
On notera que ce journal garde un silence total sur les persécutions judiciaires contre Julie Amadis. Y compris sa victoire au Havre dans le 5° procès contre le bourreau du président Gabgbo de Côte d'Ivoire, l'ex chef de la police ONUCI qui avait participé au putsch pour le renverser au profit du tyran FMI Ouattara, le Pinochet de l'Afrique

C'est en revenant de préparer ces travaux qu'un des élèves
avait déclenché un petit incident sur le parvis de l'école
Valmy en refusant de lâcher une petite branche d'arbre.
Cela va devenir une dénonciation par Delphine Dufau
Une dénonciation figurant dans l'acte d'accusation
contre Julie Amadis  (L'enseignante harcelée depuis
septembre 2013 se trouve à droite sur cette photo
 dont l'auteur n'est pas donné)



Publié le 01/04/2014 á 06H00
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Art plastique. Le Satellite Brindeau a proposé aux élèves de l’école Valmy de réaliser des dessins et de les accrocher dans la rue.

vendredi 30 mai 2014

Les gilets orange OMERTA76 rentrent dans l'école Valmy bloquer puis distribuent des tracts aux enfants (manipulation de l'IA Carrière et de la rectrice Schmidt-Lainé) (2 articles de l'Eure Juste)

Alors même que l'enseignante suspendue sans motif - Julie Amadis - ignore toujours..... le motif de sa suspension....2 mois plus tard..... les marionnettes de l'inspecteur d'académie Philippe Carrière (directeur DASEN d'OMERTA76) ne sont pas inactives !
Alors même que la rectrice de Rouen persiste à ne pas faire d'enquête sur les 7 cas d'écoles ayant connu des enseignants agresseurs d'enfants depuis 6 ans, alors même que 12 est le nombre de témoins sur Valmy ayant déclaré avoir eu connaissance de violences sur cette école depuis 20 ans.... dans la coulisse les manipulateurs agissent !
Opération 1000 collines à la française pour protéger les .... agresseurs d'enfants et les bourreaux de l'Afrique !
LIRE CES DEUX ARTICLES DE SEVERINE BRETON sur son blog L'Eure Juste
Déléguée élue de parents, elle soutient Julie Amadis....

vendredi 30 mai 2014


Après, mardi 27, le blocage de l'école par les gilets orange OMERTA76 ils faisaient ce soir une distribution de tracts aux enfants à Valmy à la sortie de l'école

Alors même que nous avons reçu plus de 12 témoignages de violences actuelles ou passées commises sur l'école Valmy, les enseignants complices des agresseurs ont réussi à manipuler un tout petit nombre d'adultes.
Je précise "adultes" parce que certains témoignages m'ont signalé que dans le tout petit nombre de prétendus "parents d'élèves" que le directeur Clabaut a fait rentrer dans la cour de l'école le 27 mai pour bloquer les élèves dans la cour pendant une heure il y aurait eu d'autres gens que des parents d'élèves.
Dans ceux qui sont entrés dans la cour de Valmy il y aurait eu non seulement des grands-parents d'élèves mais aussi des gens dont les enfants ne seraient même pas scolarisés ici.

LES ENSEIGNANTS DE VALMY REGARDANT DES ADULTES DISTRIBUER DES TRACTS A LEURS ÉLÈVES DEVANT L'ECOLE !

C'est un de ces témoins qui m'a confié un tract que ces gens ont distribué aux élèves sous le regard des enseignants
Quand on se souvient que l'enseignante Mme Dufau avait eu le culot de protester en conseil d'école pour UN tract qu'un enfant avait reçu.... un enfant que cette enseignante avait été VUE lui demandant d'aller réclamer un tract...... on peut comprendre les deux poids deux mesures...
Quand il s'agit de protéger un agresseur, cette enseignante devient aveugle et ne voit pas les distributions massives de tracts aux enfants...

C'est logique ! C'est la même qui, avait fait circuler une fausse page Facebook CONTRE SA COLLEGUE JULIE AMADIS, avec la complicité de Mme Roehm.

MARDI 15 AVRIL 2014

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vendredi 30 mai 2014

Le 3 avril, les enseignants de Valmy 1 appelaient la police nationale .... qui était venu faire l'apologie ....des violences à enfants


Cette scène bizarre s'était passé 6 jours après le conseil d'école du 28 mars, 6 jours après que l'inspecteur d'académie Philippe Carrière avait signé la suspension sans motif de l'enseignante JUSTE Julie Amadis. Nous étions venus distribuer un tract de soutien à cette enseignante courageuse qui subissait une répression (avertissement, fausse inspection, note 3/20 puis suspension) après un harcèlement de 6 mois depuis septembre 2013 de la part de l'inspecteur Patrick Deplanque et de OMERTA76, les protecteurs des agresseuses et des agresseurs d'enfants.
La police nationale - qui n'a rien d'autre à faire sans doute - était venue, à l'appel des enseignants de l'école.... inquiets sans doute que nous découvrions la vérité ..... Une vérité qu'un enfant était venu nous apprendre ce jour-là précisément, le 3 avril !
Sur son blog, L'Havrais Vérité Yanick Toutain racontait cette délirante interpellation....
"Peu après 17h deux policiers français faisaient, devant les enfants et les parents de l'école Valmy, la propagande des coups qu'ils avaient reçus petits
Cette scène surréaliste a eu lieu après que des enseignants de l'école Valmy eurent appelé la police.Ces enseignants indignes, qui mentent sur la chronologie de la répression contre Julie Amadis n'avaient pas supporté cette 2° distribution de tract en soutien à celle qui avait dénoncé les violences à Caucriauville (cf le dossier OMERTA76)Après m'avoir demandé un exemplaire du tract que je distribuais,;Après m'avoir demandé mon nom, mon prénom , mon adresse,( je n'en ai pas), l'identité de la personne qui me loge (j'ai refusé de le dire), après m'avoir demandé ma date de naissance.....J'ai tenté de leur expliquer le contenu du tract et de notre combat. Puis je leur ai parlé de la chanson "La Brute soutient la Brute"En leur tentant une affiche avec le TEXTE DES PAROLES.....Je leur ai expliqué que j'avais connu des policiers éclairés - dont un ancien secrétaire du syndicat de la police en tenue...... mari d'une collègue.....C'est ensuite que TOUT S'EST DETRAQUE.....Devant les enfants présents et leurs parents, le plus ancien des deux policiers s'est mis à FAIRE L'APOLOGIE DES COUPS QU'IL AVAIT RECUS ENFANT.....J'ai demandé si ce n'était pas une forme d'humour....... que je serais obligé de mentionner dans mon article....Mais le plus ancien a ajouté d'autres propos allant dans le même sens...... et REJOINT PAR SON COLLEGUE PLUS JEUNE...... qui lui aussi s'est mis à faire la PROPAGANDE DES COUPS comme moyen d'éducation....." 

BLOCAGE DES CLASSES ET DISTRIBUTION DE TRACTS
AUX ENFANTS PAR LES GILETS ORANGE OMERTA76

On apprend maintenant que les distributions de tracts sont devenues autorisées sur l'école Valmy.....
Ainsi que le blocage des classes : D'après certains témoignages ce serait le directeur Clabaut lui-même qui aurait autorisé les parents pro-OMERTA76 à rentrer dans la cour de l'école....
On se doute que les policiers pro-violences n'ont pas été convoqué ce jour-là


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2008-2014 SUSPENSION DE LA TEMOIN
 JULIE AMADIS AUCUNE SANCTION
CONTRE LES AGRESSEUSES D'ENFANTS