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mercredi 13 août 2014

La fin de l'audition de Julie Amadis (Deux OPJ "républicains" contraints de participer à une opération de terreur contre les témoins de violences : les brigadiers-chefs Scach et Pacciarella (Le réseau OMERTA76 instrumentalise l'obéissance aveugle de fonctionnaires "légalistes") (3))

par Yanick Toutain


"C'EST MONSIEUR DEPLANQUE"
FINIT PAR AVOUER LE POLICIER

(sans que Julie Amadis
 n'ait utilisé la moindre violence
 pour obtenir un tel aveu
)

cf infra

"Julie Amadis va tomber de sa chaise
en découvrant que la procédure d'audition
s'étend sur un blog où elle
n'a JAMAIS ECRIT quoi que ce soit !

Comme si un lecteur du Figaro
auteur d'un commentaire litigieux sur le blog du Figaro 
devenait tout à coup témoin
d'une procédure engagée
 contre un journaliste..... du Monde
 concernant le blog ..... du journal Le Monde !!!"
YT cf infra
"J'ATTENDS QUE LES GENS QUI TAPENT
 LES ENFANTS
 DANS LES ÉCOLES SOIENT JUGÉS"
propos tenu par Julie Amadis au cours de son audition



Le réseau OMERTA76 est très puissant. Il a même la possibilité d'instrumentaliser, pour protéger les agresseurs d'enfants, des fonctionnaires « républicains ».
Lire la 1° partie et la 2° partie de l'audition de Julie Amadis
Il s'agit en effet de l'enlèvement manu-militari d'une activiste anti-violence, qui, sous la menace des violences les plus extrêmes (menace énoncée POLIMENT) fut contrainte de suivre la Brigade Anti Criminalité.....
Julie Amadis est interrogée par les brigadiers-chefs Pacciarella et Scach, 

VOICI LA 3° PARTIE DE L'AUDITION DE JULIE AMADIS SUITE A SON ENLÈVEMENT PAR LA BAC DU HAVRE

Interpellée dans un café par la Brigade Anti criminalité alors que la convocation n'a pas été reçue

Julie Amadis pose beaucoup de questions aux policiers. Mais ceux-ci en ont aussi quelques unes.
Elle témoigne
"L'interrogateur reprend la parole et amène l'entretien vers un autre sujet, la lettre de convocation policière.
Mr Scach : Pourquoi n'avez vous pas répondu à votre convocation ?
Julie Amadis : Je n'ai pas reçu la lettre.
Mr Scach m'explique que la lettre a été envoyée à une adresse. Mais c'est celle d'un logement que je n'occupe plus. Donc la lettre aurait du me parvenir par la poste en poste restante. Mais ce ne fut pas le cas. Le policier ajoute « elle ne nous a pas été renvoyée »
Julie Amadis  : "Vous m'avez mis un message téléphonique dans lequel vous m'accusez d'avoir refusé de me rendre à ma convocation. Mais comment pouvez vous m'accuser dans la mesure où je n'ai pas reçu cette lettre. J'ai des preuves que je n'habite plus à cette adresse. »
Ce que Julie Amadis ne précise pas c'est que depuis sa condamnation par la "justice" française (une condamnation délirante et basée sur des faux du juge voyou Michael Janas auxquels d'autres juges voyous Miori et Ors en Cour d'Appel de Bordeaux ont ajouté de nouveaux faux en écritures - le pire étant l'invention d'un aveu de Julie Amadis d'avoir contribué à l'article) elle possède officiellement pour la justice française une ADRESSE COURRIEL GMAIL.
En effet, condamnée en septembre 2012 pour une prétendue CONTRIBUTION à un article sur BLOGSPOT, elle a donc OFFICIELLEMENT un COMPTE chez Google à qui appartient blogspot.
Le plaignant Bourry comme les autres plaignants qui tenteraient de se faire passer pour victimes sur L"Havrais Vérité ou sur Revactu devraient commencer par poster un commentaire ou poster un courriel chez Gmail...... Mais ces gens-là cherchent à nuire.... Pas à faire respecter la loi !
C'est que Julie fait remarquer:
"On peut remarquer que ce n'est pas bien légal d'utiliser la coercition physique quand on n'a pas pris toutes les précautions et on ne s'est pas assuré que la personne ait reçu la convocation. "

Des questions privées dans une audition pour un commentaire Youtube

"Viennent ensuite des questions d'ordre privé qui n'ont rien à faire dans une audition de ce type.
Mr Scach : Vous lui avez dit à Mr Toutain que vous aviez reçu un appel téléphonique de la police ?
Julie Amadis : oui
Au début, on ne remarque pas tout de suite l'entourloupe et on répond bêtement.
Le policier continue.
Mr Scach : Est ce que c'est lui qui vous a dit de ne pas y aller ?

"UN MESSAGE TELEPHONIQUE, CE N'EST PAS UNE CONVOCATION"
C'est ce que l'avocat de Julie Amadis aurait répondu.....
mais elle l'a fait sans conseil ! 

Julie Amadis : Je ne répondrai pas à cette question. C'est une question d'ordre privé.
Et j'ajoute, après un petit lapes de temps de réflexion : "De toutes les façons un message téléphonique n'est pas une convocation. »
Le policier Pacciarella intervient alors : « oui, bien sur »
Et j'ajoute : donc cette question n'a aucune raison d'être.

UN COMMENTAIRE YOUTUBE 


Julie Amadis attend encore une réponse
 du premier président (ex)
de la Cour de Cassation Vincent Lamanda
Une seule question est posée concernant l'objet de la plainte : le commentaire YouTube.
Mr Scach :  C'est vous qui avez écrit ça ?
Julie Amadis : oui bien sur. Personne n'écrit derrière mon dos. Si c'est signé de mon nom c'est que c'est moi qui l'ait écrit. Mais quand c'est le nom de Yanick Toutain, c'est Yanick Toutain qui écrit les articles. Je précise parce que j'ai été condamnée à 31000 euros pour un article que je n'ai pas écrit mais pour lequel les juges ont inventé que j'en étais la co-auteur.

DES DOCUMENTS D'UNE AUTRE PROCÉDURE QUE CELLE CONCERNANT SON PROPRE COMMENTAIRE 

Julie Amadis va tomber de sa chaise en découvrant que la procédure d'audition s'étend sur un blog où elle n'a JAMAIS ÉCRIT quoi que ce soit !
Comme si un lecteur du Figaro auteur d'un commentaire litigieux sur le blog du Figaro devenait tout à coup témoin d'une procédure engagée contre un journaliste..... du Monde concernant le blog ..... du journal Le Monde!!! 
"Ensuite il sort des imprimés d'une chemise en carton. Je remarque qu'il s'agit des pages du blog "L'Havrais vérité", le blog de Yanick Toutain.
Je précise alors : « je ne répondrai à aucune question concernant le blog de Yanick Toutain. C'est son blog. Il écrit ce qu'il veut dessus. »
Mr Scach me pose quand même la question suivante : « Qui a donné ces informations à Monsieur Toutain ? »
Julie Amadis : Je ne répondrai pas à cette question. Yanick Toutain est un journaliste indépendant. Ses sources sont notées sur son blog. Vous n'avez qu'à aller voir sur son blog. Vous n'y allez pas ? »
Mr Pacciarella rigole en répondant qu'ils ont beaucoup de travail et n'ont pas le temps d'aller sur le blog "L'havrais vérité".
Mr Scach : Voulez vous ajouter quelque chose avant la fin de l'audition ? 

JULIE AMADIS FAIT UNE PLAIDOIRIE DEVANT DES POLICIERS "RÉPUBLICAINS"

Julie Amadis : J'ai subi un harcèlement moral, une répression pour avoir témoigné de violences à enfants. Je suis exclue de la fonction publique. Le courrier d'exclusion est un faux en écriture par personne ayant autorité. Le motif est que j'aurai distribué des tracts concernant l’Éducation Nationale. Je n'ai jamais distribué de tracts concernant l’Éducation Nationale. Ils m'ont exclu parce que je gène. J'ai subi un harcèlement moral, une répression pour avoir témoigné de violences à enfants. Ni la police ni l’Éducation Nationale ne fait d'enquête sur les violences dans les écoles alors que vous en êtes informés."

"J'ATTENDS QUE LES GENS QUI TAPENT LES ENFANTS
 DANS LES ÉCOLES SOIENT JUGÉS"


"J'attends que les enseignants qui tapent les enfants dans les écoles soient jugés ! Je continuerai à défendre les enfants tapés dans les écoles tant qu'il en restera un encore tapé et quoi qu'il m'en coûte.
J'ai voulu ajouter une phrase sur le rapport concernant l'implication de la police dans la défense des agresseurs d'enfants. Il n'a pas voulu l'ajouter. Il m'a dit que lui n'avait rien sur cette affaire. Je lui ai répondu qu'il savait puisque je lui disais. Il m'a répondu que oui c'était écrit sur les tracts, qu'il y avait 7 écoles au Havre où il y avait des violences.

UNE FAUTE D'ORTHOGRAPHE AU NOM DU PRESIDENT GBAGBO INDIQUE QUE LA POLICE REPUBLICAINE NE SUIT PAS ASSEZ LA POLITIQUE DE LA FRANCE EN CÔTE D'IVOIRE 

Il a imprimé les feuilles dactylographiés. Je les ai lues, ai fait modifier quelques phrases mal formulées , la faute d'orthographe au nom de Gbagbo...
Mr Scach a corrigé, réimprimé. J'ai relu et n'ai pas signé.
Mr Pacciarella s'est permis une remarque. "C'est dommage de ne pas signer si vous avez répondu aux questions".
Je m'attendais à recevoir une copie de ce rapport d'audition.
J'ai demandé aux policiers pourquoi je ne pouvais en recevoir une copie ? On m'a dit que c'était comme ça.
"ON EST  GENTILS. ON VOUS LAISSE RELIRE ALORS QUE NORMALEMENT QUAND LA PERSONNE NE SIGNE PAS, ON NE DOIT PAS LA FAIRE RELIRE" (OPJ PACCIARELLA)
Et Mr Pacciarella a ajouté : «Vous avez vu. On est gentils. On vous laisse relire alors que normalement quand la personne ne signe pas, on ne doit pas la faire relire. »
Je ne sais plus par quel biais mais on reparle de façon informelle des actes illégaux commis par l'Education Nationale. Je répète que Mr Carrière a écrit un courrier qui est un faux en écriture et ajoute « c'est grave ».
Mr Pacciarella répond : « bien sûr que c'est grave ! »

"EST-CE QUE L'ON EST DES POLICIERS REPUBLICAINS ?"
 DEMANDE L'OPJ PACCIARELLA 

Alors est ce que l'on est des policiers républicains ? demande Mr Pacciarella.
Pourquoi vous me posez cette question ?
Parce que Mr Toutain, il nous a parlé de l'importance d'être des policiers républicains.

Je suis sortis de l’Hôtel de police du havre vers 18H45.
Pour ce qui concerne la réponse à la question, mon enquête n'est pas terminée.
Surtout pour ce qui concerne les auditions de la traître Séverine Breton. Une traître collabo retournée par OMERTA76 et qui s'est mise à insulter Julie Amadis sur les réseaux sociaux à un tel point que celle-ci a été contrainte de la bloquer sur Facebook !
Mais il certain que la courtoisie de ces deux policiers tranche étonnement avec l'attitude des voyous néonazis que j'avais croisé auparavant !

LIRE AUSSI

mardi 29 juillet 2014


Interpellée par la police dans un café à cause d'.... un commentaire sur YouTube (Une plainte de Patrick Deplanque OMERTA76)

Les 3 policiers de la BAC du Havre furent
courtois mais menaçants. Sur ordre du
procureur Nachbar, ils auraient agi comme sur
la photo si Julie Amadis et l'auteur de ce
blog n'avaient pas obéi immédiatement à
leurs exigences de les suivre sans explication
par Yanick Toutain

Hier lundi, vers 17h10, l'institutrice Julie Amadis travaillait au chapitre 6 du livre qu'elle a commencé à écrire. Elle était assise dans un café-bar du Havre en haut de la plage – le Week-End- quand elle vit surgir devant elle trois hommes qui exigèrent qu'elle les suive.
Elle apprendra une heure et demie plus tard, assise au dernier étage de l'hôtel de police, que c'est un simple commentaire écrit sur YouTube qui sera l'unique motif de cette interpellation musclée.

mardi 5 août 2014

En France, quand des puissants veulent votre perte, un simple commentaire YouTube et vous êtes attrapé manu-militari par la police nationale

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