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lundi 18 août 2014

Agressions d'enfants: 2 heures et demie gaspillées par la police havraise. Au lieu d'enquêter sur les agressions, la police nationale passe son temps à enquêter sur..... les témoins !

Les policiers attendent que Najat
Vallaud-Belkacem pote plainte
contre elle-même !
 Tel est l'absurde raisonnement
tenu par l'OPJ Scach à Julie Amadis
par Yanick Toutain
29/7/14-18/8/14
"Mr Scach : Non. Comme je l'ai expliqué
 à Séverine Breton,
aucune enquête ne sera faite
 puisque nous n'avons pas
de plainte des parents
 des enfants tapés."

Au Havre, la police n'a pas le temps de protéger les enfants. Elle est occupée à autre chose : des heures et des heures de procédures abusives. Des procédures initiées par des agresseurs d'enfants et leurs réseaux de protection.

LES AGRESSEURS PORTENT PLAINTE MAIS LES ENQUÊTES NE VEULENT RIEN SAVOIR DE LA RÉALITÉ DE LEURS AGRESSIONS

La technique est simple et il semble qu'elle pourrait être généralisée en France : plutôt que d'enquêter sur les cas de violences rapportés par les témoins, des services de police inciteraient les coupables à porter plainte contre les témoins et utiliseraient ces procédures de pseudo-enquête en diffamation pour organiser systématiquement le bâillonnement des témoins et l'effacement des preuves d'agression.

2008 L'AGRESSEUSE VÉRONIQUE COMBRET
SE VANTE DE TAPER UN ENFANT DE MATERNELLE ! 
ELLE PORTE PLAINTE


En 2008 c'est l'agresseuse Véronique Combret et sa protectrice Carole Hervieu (directrice d'une école maternelle et principale d'un collège Eugène Varlin) qui avait « distrait » la police de ses enquêtes utiles en lançant contre une témoin de violences et moi-même une procédure en diffamation.

PSEUDO ENQUÊTE DU PSEUDO "CAPITAINE MAELLE"
"IL Y A PIRE à CAUCRIAUVILLE"


Le prétendu « capitaine Maelle » (dont l'identité a non seulement disparu mais dont aucun policier n'est capable – ou ne veut – me donner son véritable patronyme) enquêtait sur....... la plainte...
Mais quand je lui demandai « Vous enquêtez sur les cas de violence ? ».... sa réponse fut à tomber de la chaise : « Il y a pire à Caucriauville ».... et il commença à me prendre la tête avec une histoire gore dont je ne voulus pas connaître davantage de détails.

CES POLICIERS BAFOUENT QUOTIDIENNEMENT 
L'ARTICLE 222-13 DU CODE PENAL


Un policier révélant des éléments d'une procédure en cours pour camoufler sa participation à un complot pour étouffer d'autres cas de violences à enfants.
Ces gens bafouent tous les jours l'article 222-13 du code pénal.

Une police « républicaine » ne se contenterait pas de parler poliment ou courtoisement aux gens comme le firent les deux OPJ que j'ai croisé hier. Ils refuseraient d'obéir à des ordres manifestement illégaux : le procureur Nachbar organise la terreur contre les témoins de violences.

JULIE AMADIS DEMANDE SI UNE ENQUETE EST EN COURS

Enlevée par la Brigade Anti-criminalité alors qu'elle buvait un café en dactylographiant sur son ordinateur, Julie Amadis va apprendre qu'elle est convoquée manu militari pour un.... commentaire Youtube

UN COMMENTAIRE YOUTUBE 


Julie Amadis attend encore une réponse
 du premier président (ex)
de la Cour de Cassation Vincent Lamanda
"Une seule question est posée concernant l'objet de la plainte : le commentaire YouTube.
Mr Scach :  C'est vous qui avez écrit ça ?
Julie Amadis : oui bien sur. Personne n'écrit derrière mon dos. Si c'est signé de mon nom c'est que c'est moi qui l'ait écrit. Mais quand c'est le nom de Yanick Toutain, c'est Yanick Toutain qui écrit les articles. Je précise parce que j'ai été condamnée à 31000 euros pour un article que je n'ai pas écrit mais pour lequel les juges ont inventé que j'en étais la co-auteur."

DES DOCUMENTS D'UNE AUTRE PROCÉDURE QUE CELLE CONCERNANT SON PROPRE COMMENTAIRE 

C'EST LE PROTECTEUR DEPLANQUE DES AGRESSEURS
QUI TIENT DANS SA MAIN LES FICELLES DE LA BAC !

C'est donc le protecteur Patrick Deplanque des agresseurs, le protecteur de 2008 de Véronique Combret, le protecteur de 2014 de l'agresseur Léon Launay qui est celui qui tient les ficelles de la BAC dans l'ombre !
Il va falloir de la ténacité à Julie Amadis pour connaître le nom de son persécuteur.
"Alors je demande qui a porté plainte et quels sont les faits reprochés.
Mr Scach commence par me donner le qualificatif juridique des faits reprochés. Je note sur ma feuille :
« diffamation envers personne chargée de mission de service publique par moyen de communication par voie électronique entre le 1er avril et le 27 juin 2014 au Havre. »
La chanson La Brute
Soutient la Brute
fut la réponse à la
scandaleuse plainte
en diffamation de
Véronique Combret
et Carole Hervieu
Une plainte classée
sans suite en 2008
Le lecteur attentif - et le juriste efficace - remarquera que les dates correspondent à 7 AUTRES PLAINTES ! Ce n'est pas pour son commentaire YouTube..... évènement singulier dans le temps..... mais pour PLUSIEURS DE MES ARTICLES que cette plage de temps m'a été signifiée....
Quel est donc le statut réel de Julie Amadis ?
Témoin contre moi ou mise en cause pour ces écrits !
Toutes ces imprécisions sont des élucubrations juridiques....
"Je répète à nouveau la même question.

NE PAS ETRE INFORME DU NOM DES PLAIGNANTS !
TEL EST LE STATUT DES MIS EN CAUSE
 DANS CETTE FRANCE BARBARE  

Mais Julie Amadis est tenace !
"Mr Scach refuse de me dire dans un premier temps qui a porté plainte. Je rétorque alors que en 2008, le policier avait commencé l'audition en me nommant les personnes qui avaient porté plainte et en lisant la plainte. J'ajoute que c'est un droit et qu'il est obligé de me répondre.
Il me lit alors l'écrit qui est l'objet de la plainte. Il s'agit d'un commentaire youtube mais le policier ne semble pas avoir remarqué. Il pensait que c'était un article ! Je lui donne alors le qualificatif de mon commentaire « un commentaire youtube sous la vidéo la brute soutient la brute ».
Le policier n'aurait pas remarqué le statut de l'écrit ?
On est en France .... il est vrai..... qu'il serait préférable que le brigadier-chef Scach soit occupé à poursuivre les voleurs et les dealers du Havre plutôt que de vérifier les élucubrations des amis des agresseurs d'enfants !
"Je reviens à la charge :
"qui a porté cette plainte ?"
Mr Scach : Vous pouvez deviner me répondit-ilJulie Amadis : Oui mais je veux que vous me donniez le nom

"C'EST MONSIEUR DEPLANQUE"
 FINIT PAR AVOUER LE POLICIER
(sans que Julie Amadis n'ait utilisé
 la moindre violence pour obtenir un tel aveu)

Mr Scach : C'est Mr Deplanque.Julie Amadis : Il est gonflé ! Après ce qu'il m'a fait, oser porter plainte pour un commentaire youtube !
Le lecteur admirera l'obstination. Et aussi le comportement -in fine - républicain du subalterne du procureur voyou Nachbar.
"J'argumente alors que cette plainte et cette poursuite policière est un véritable scandale
Je leur dit qu'il n'y a aucune diffamation dans ce commentaire.
Mr Scach lit le mot « menteur ».
Julie Amadis :  C'est la vérité. Mr Deplanque a dit que les faits que j'avais vus (la fessée et la directrice qui se vante d'en faire autant avec un autre petit) étaient faux. C'est donc qu'il ment et c'est un menteur. J'ajoute  « Ce que j'ai écrit est informatif » et Mr Scach tape sur son clavier mes propos.
Mr Pacciarella, peut être pour m'aider, dicte ce que Mr Scach pourrait écrire : « j'ai communiqué sur ma situation administrative ».
Je fais remarquer à Mr Pacciarella que c'est à moi de dire ce qu'il faut écrire. (même si son attitude était plutôt sympathique ….)

Après avoir organisé un harcelement professionnel, une répression et une exclusion de la témoin de violences à enfants, l'inspecteur Deplanque porte plainte contre son souffre douleur

Julie Amadis témoin de 2008 persécutée depuis par les agresseurs et la police

"J'énumère tous les actes illégaux de l'administration. De mémoire : Faux témoignages, en particulier de 2 collègues Émilie Roehm et Delphine Dufau, qui m'accusent, de faits qui ne se sont jamais déroulés (vol de fiche de préparation, oublie d'un enfant sur le trottoir ….), harcèlement moral de la part de Mr Deplanque et Mr Clabaut (son ami), dénonciation calomnieuse de Mr Clabaut, injure publique de Mr Tillmann (antisémite) et Mr Clabaut (intelligence au service d'une puissance étrangère), faux en écriture par personne ayant autorité (Philippe Carrière). Tout cela a été bien orchestré. On m'a mise dans une école dans laquelle le directeur est ami de l'inspecteur qui a étouffé une affaire de violence, m'a harcelée et m'a virée, une école dans laquelle un enseignant utilise la violence physique depuis 20 ans (il y a des témoignages oraux et écrits que l'on peut vous donner).
Mr Pacciarella rétorque :
« mais vous avez porter plainte contre eux pour tout ça ?»
Julie Amadis :  Non

"JE N'AI PLUS AUCUNE CONFIANCE DANS LA JUSTICE"
- VOUS AVEZ BIEN TORT RÉPOND LE BRIGADIER-CHEF PACCIARELLA

Mr Pacciarella : Pourquoi ?
Julie Amadis : Après ce que j'ai vécu, être condamnée à 31000 euros pour un article que je n'ai même pas écrit - un jugement avec des faux en écritures – je n'ai plus aucune confiance dans la justice !
 Mr Pacciarella : Vous avez bien tort
Je pose des questions concernant les violences à enfants.
Julie Amadis : Les parents d'élèves peuvent-ils porter plainte contre l'enseignant agresseur. Ils ont des témoignages écrits.
Mr Scach : Non. Il faut que ce soit les parents des enfants tapés qui portent plainte.
Oui mais vous êtes au courant de la situation. Vous avez des moyens. Vous pourriez convoquer tous les parents et enfants de cette classe.

AUCUNE ENQUÊTE SUR DES ENFANTS AGRESSES
EN L'ABSENCE DE PLAINTE
 DES PARENTS DES ENFANTS TAPES 

Mr Scach : Non. Comme je l'ai expliqué à Séverine Breton, aucune enquête ne sera faite puisque nous n'avons pas de plainte des parents des enfants tapés.
Julie Amadis : « la police protège les agresseurs d'enfants.Vous êtes au courant. Vous ne faites pas d'enquête. Et les témoins on vient les chercher dans un café pour venir vous parler. Celui qui tape à Valmy, lui, on ne vient pas le chercher quand il est en train de prendre son café au milieu de tout le monde ! »
En France, ce sont les témoins des violences qui sont persécutés par la police.
On ne s'étonnera pas ensuite d'apprendre qu'on meurt en garde à vue au Havre !
Cette victime-là n'avait pas vu une agression d'enfant ! Cet homme de 42 ans avait voulu faire plaisir à son enfant de 2 ans qui avait reçu un jouet défectueux et avait commis l'erreur fatale de se rendre dans le magasin Joué-Club de Gonfreville-l'Orcher ! Non seulement son jouet défectueux n'a pas été remplacé, mais il en est mort !
Quel rapport ? Le procureur qui protège les agresseurs d'enfants et qui commande les policiers agresseurs des années précédentes est lui-même un.... agresseur..... qui fut l'objet d'un signalement de la justice..... Mais c'est la justice belge ! La justice française classe sans suite le signalement !

+ + + + + +

samedi 9 août 2014


Deux OPJ "républicains" contraints de participer à une opération de terreur contre les témoins de violences : les brigadiers-chefs Scach et Pacciarella (Le réseau OMERTA76 instrumentalise l'obéissance aveugle de fonctionnaires "légalistes") (1)

par Yanick Toutain

Le réseau OMERTA76 est très puissant. Il a même la possibilité d'instrumentaliser, pour protéger les agresseurs d'enfants, des fonctionnaires « républicains ».
LIRE AUSSI

mardi 29 juillet 2014


Interpellée par la police dans un café à cause d'.... un commentaire sur YouTube (Une plainte de Patrick Deplanque OMERTA76)

Les 3 policiers de la BAC du Havre furent
courtois mais menaçants. Sur ordre du
procureur Nachbar, ils auraient agi comme sur
la photo si Julie Amadis et l'auteur de ce
blog n'avaient pas obéi immédiatement à
leurs exigences de les suivre sans explication
par Yanick Toutain

Hier lundi, vers 17h10, l'institutrice Julie Amadis travaillait au chapitre 6 du livre qu'elle a commencé à écrire. Elle était assise dans un café-bar du Havre en haut de la plage – le Week-End- quand elle vit surgir devant elle trois hommes qui exigèrent qu'elle les suive.
Elle apprendra une heure et demie plus tard, assise au dernier étage de l'hôtel de police, que c'est un simple commentaire écrit sur YouTube qui sera l'unique motif de cette interpellation musclée.

mardi 5 août 2014

En France, quand des puissants veulent votre perte, un simple commentaire YouTube et vous êtes attrapé manu-militari par la police nationale

samedi 9 août 2014


La suite de l'audition de Julie Amadis (Deux OPJ "républicains" contraints de participer à une opération de terreur contre les témoins de violences : les brigadiers-chefs Scach et Pacciarella (Le réseau OMERTA76 instrumentalise l'obéissance aveugle de fonctionnaires "légalistes") (2))


mercredi 13 août 2014


La fin de l'audition de Julie Amadis (Deux OPJ "républicains" contraints de participer à une opération de terreur contre les témoins de violences : les brigadiers-chefs Scach et Pacciarella (Le réseau OMERTA76 instrumentalise l'obéissance aveugle de fonctionnaires "légalistes") (3))

par Yanick Toutain


"C'EST MONSIEUR DEPLANQUE"
FINIT PAR AVOUER LE POLICIER

(sans que Julie Amadis
 n'ait utilisé la moindre violence
 pour obtenir un tel aveu
)

cf infra


"Julie Amadis va tomber de sa chaise
en découvrant que la procédure d'audition
s'étend sur un blog où elle
n'a JAMAIS ECRIT quoi que ce soit !

Comme si un lecteur du Figaro 
auteur d'un commentaire litigieux sur le blog du Figaro 
devenait tout à coup témoin 
d'une procédure engagée
 contre un journaliste..... du Monde
 concernant le blog ..... du journal Le Monde !!!"
YT cf infra
"J'ATTENDS QUE LES GENS QUI TAPENT
 LES ENFANTS
 DANS LES ÉCOLES SOIENT JUGÉS"
propos tenu par Julie Amadis au cours de son audition


LIRE AUSSI


SAMEDI 16 AOÛT 2014


Comment inclure les claques et la fessée dans l'éducation d'une femme (un article dont il faut d'urgence lire l'original)

"si vous châtiez votre femme tout en restant aimant et juste,
vous ne devriez pas vous préoccuper des témoins
 et de ce qu'ils pourraient penser."  (étape 2)
un article présenté (et un peu modifié
 pour des raisons pédagogiques)
par Yanick Toutain


"Etape 6 D'abord, calmez-vous.
Si vous êtes en colère, n'essayez pas
 de donner une correction à votre femme.
 Dites-lui que vous allez y réfléchir
 un certain temps et donnez-vous
 le temps de vous calmer
pour ensuite réévaluer la situation."
illustration provenant du texte original
prohibant l'utilisation d'accessoires
pour la fessée.
"Etape 10 Donnez-lui un avertissement.
 Si vous pensez ne pas avoir
 été assez clair dans un premier temps,
 vous pourriez vous expliquer,
mais ne donnez pas un avertissement après l'autre
et vous attendre à ce que la femme soit conciliante.
Elles savent toujours comment faire pour vous avoir à l'usure
une fois que vous avez cédé.
 La femme doit parfaitement comprendre
 qu'il n'y aura qu'un avertissement, un point c'est tout.
 Si vous procédez ainsi, elles obéiront après le premier avertissement
et si vous leur donnez dix avertissements,
elles ne vous prendront probablement jamais au sérieux".
(...) vous devez vraiment faire très attention
 quand vous corrigez votre femme ;
soyez juste, soyez clair et assurez-vous
 de bien comprendre ce qui se passe ;
vous ne devriez pas changer d'avis
une fois que vous avez décrété : « cette fessée, tu l'as bien méritée ».


Voici une version à peine modifiée (seuls deux mots ont été modifiés) du texte original. Ce texte est tel qu'il aurait pu circuler dans les années 50-60.... si Internet avait existé
Les signatures du texte original sont les suivantes : "Modifiée par WikiHow Traduction, Chmuller, Team FR et 1 autre

"
AVERTISSEMENT : LES AUTEURS DE L'ARTICLE ORIGINEL ET CEUX QUI DIFFUSERAIENT DE TELS CONSEILS SONT ET SERONT PASSIBLES DE POURSUITE PENALES. L'article 222-13 ne restera pas longtemps un objet de musée pour juges poussiéreux rampant sur (pour et avec) des parquets barbares !

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