En oubliant que ses empreintes digitales se trouvent sur les fiches de préparation qu'il prétend ne pas avoir vues !
En oubliant que des témoins ont vu travaux artistiques des élèves qu'il prétend ne pas avoir vus.
En oubliant que le directeur de l'école Valmy allait dire « Je n'ai jamais dit ça » à la lecture des mensonges de l'IEN Olivier Basely qui prétendait rapporter ses propos.
En oubliant que tous ses mensonges seraient contredits par la vérification de ses dires par des témoins honnêtes.
En oubliant que sa victime, Julie Amadis, n'allait pas laisser son honneur être bafoué par un menteur totalement dépourvu d'honneur.Le but des ces mensonges et faux en écritures commis par l'inspecteur de Saint Valéry en Caux venu à l'école Valmy inspecter Julie Amadis ?
Faire taire et écraser professionnellement celle qui avait dénoncé l'agression contre le petit Kévin 3 ans en 2008, Faire taire et écraser professionnellement celle qui avait dénoncé la vantardise de la directrice Véronique Combret de, elle aussi, taper un autre enfant – Luciano 4 ans..... une directrice qui avait précisé qu'elle faisait cela sans éprouver de sentiment de culpabilité.Le but ?
Protéger le harceleur Patrick Deplanque, I.E.N Havre Ouest, protecteur des deux agresseuses d'enfants en 2008. (La directrice Combret et son ATSEM)
Le but ?
Laisser ce harceleur poursuivre, en 2014, son travail d'omerta et de menaces contre Julie Amadis.
Le but ? Discréditer celle qui dénonçait les violences à enfants (en 2007 contre des adolescentes du collège Léo Lagrange et en 2008 contre les deux enfants de maternelle) et qui avait demandé à la rectrice Claudine Schmidt-Lainé d'intervenir pour faire cesser le nouveau harcèlement de l'IEN Deplanque – un IEN qui était parti se faire oublier en Russie pendant plusieurs années.... pour le compte du Ministère des Affaires Etrangères. Une protection qu'il faudra investiguer pour comprendre toute l'affaire : comment un individu accusé publiquement sur Internet depuis 2008 de protéger des agresseurs d'enfants peut-il être envoyé en Russie comme vitrine de la France ?
Le but ? Terroriser les témoins de 4 autres agressions d'enfants au Havre dans 4 autres écoles. Des témoins qui ont peur de témoigner de ce qu'elles ont vu.
Le but ?
Fabriquer un rapport d'inspection truffé de mensonges, afin de permettre à l'inspecteur d'Académie de lui décerner une « note pédagogique : 3 »
Le but ?
Ajouter une deuxième offensive de harcèlement après l'annonce de la sanction « avertissement » annoncée par Monique Béaur à Julie Amadis convoquée à Rouen.
Qui a demandé à Olivier Basely de venir au Havre inspecter Julie Amadis en remplacement de l'inspecteur Patrick Deplanque – mis sur la touche provisoirement par ses supérieurs ?
Qui a demandé à Olivier Basely de mentir en ne rapportant pas ce qu'il voyait ?
Qui a demandé à l'inspecteur Olivier Basely de se compromettre en commettant ce harcèlement professionnel ?
Qui lui a demandé de rédiger des faux en écritures et faux témoignages pour décerner une note illégale ?
Il avait dit au directeur de l'école que Julie Amadis méritait 12/20 comme note pour lui décerner 3/20 finalement.
Qui a demandé à Olivier Basely de faire cela ?
Est-ce l'Inspecteur d'Académie Philippe Carrière - qui a sanctionné Julie Amadis par un avertissement - qui aurait fait pression sur l'inspecteur Basely ?
Est-ce son adjointe Monique Béaur – celle qui interdit aux enseignants de « s'occuper des cas d'agressions d'enfants par des enseignants » et qui ne demanda même pas à Julie Amadis de donner les noms des écoles où des agressions ont été commises ?
Ou y a-t-il, une nouvelle fois, la main occulte de la DGSE et de la DCRI occupées à étouffer le scandale de l'incarcération du président Gbagbo, le scandale de l'asssinat des 10 policiers ivoiriens par les protégés de l'ONU le 16 décembre 2010, le scandale du trucage des élections commis par le policier voyou Bourry en Côte d'Ivoire, le scandale des tirs contre les civils le 29 décembre 2010...... le scandale du charnier ONUCI clandestin pour cacher les cadavres des victimes des dozos psychopathes.Ou encore une fois, le réseau Bourry-Changeur-Nachabar-Ruyters-Janas-Bougon-Miori-Ors où les juges voyous font recels des faux en écritures fabriqués par leurs complices, où les juges voyous fabriquent eux-mêmes de faux supplémentaires pour écraser la résistance anti-colonialiste ?
Il y a d'étranges similitudes entre les faux des juges Miori , Ors et Janas et les faux de l'inspecteur Basely !
Invoquer le hasard n'est sans doute pas suffisant !
Quoi qu'il en soit, cet individu, l'IEN Basely, a prouvé son incapacité totale à superviser des enseignants : Sa complicité avec l'inspecteur Deplanque et le réseau OMERTA est avérée.
Il devra donc être chassé de l'Education Nationale.
Et sa rédemption semble totalement illusoire : informé de la possibilité qu'il avait de dénoncer ses complices, son arrogance se matérialisa par un silence …... qu'il aura l'occasion de regretter pendant de longues années chaque fois qu'il tapera son nom sur Internet et retrouvera l'énumération ci-dessus des ses comportements illégaux en défense des agresseurs d'enfants.
Si la rectrice ne prend pas les mesures nécessaires contre les agresseuses d'enfants et contre le réseau OMERTA de l'Inspection Académique, le public devra comprendre que ce réseau est réellement protégé en très haut lieu et en tirer les conséquences.
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