Pendant ce temps, les Havrais réagissent massivement en faveur de l'enseignante suspendue pour avoir témoigné de violences en 2008
mercredi 21 mai 2014
Merci aux soutiens des Havrais
La distribution nous a encore amenés à faire des rencontres enrichissantes et à recueillir des témoignages précieux. Nous recherchons à mettre en lumière toute la vérité.
Si l'on filmait la tête des gens lorsqu'ils lisent le tract, vous seriez surpris de voir la décomposition de leur visage. L'accueil est excellent. On constate qu'il n'y a quelques récalcitrants répétant les bêtises de l'administration et les enseignants du réseau omerta76 qui refusent d'entendre la vérité. La population Havraise nous soutient. Les gens sont outrés. Ils ne comprennent toujours pas qu'il n'y ait toujours rien dans les médias ! Mais beaucoup d'entre eux ne sont pas étonnés plus que cela. On entend souvent des phrases du type "quand on dit la vérité ça ne plait pas" ou "on cherche à vous abattre".
Nous ne pouvons rendre compte de toutes les réactions des gens. Nous avons choisi de mettre le projecteur sur quelques unes d'entre elles.
Voici quelques rencontres intéressantes qui nous permettent d'avancer dans notre enquête.
Deux étudiants
Au début du marché de l'université, deux étudiants très choqués en lisant le tract. " Je ne pensais pas que ça puisse être possible que l'on tape encore des élèves. Et puis c'est hallucinant qu'une témoin puisse être réprimée". Il a dit à sa mère qui est professeur et qui s’intéresse entre autre à l'affaire Kerviel. Son amie nous a demandé des tracts supplémentaires pour en distribuer. Ils ont promis de faire circuler l'information par divers moyens.
Une mère d'élève de l'école maternelle Varlin
Je lui donne un tract ainsi qu'à son amie. Son amie dit à Mme Amadis : « je me rappelle de vous. Vous étiez à Varlin.»
La mère d'élève écoute mes explications et dit à Mme Amadis : «pourtant elle est gentille Mme Combret"
Mme Amadis répond : « c'est aussi ce que je pensais avant de témoigner. Je n'aurai jamais imaginé qu'elle me dirait que ce n'était grave ce que faisait l'atsem et qu'elle m'avouerait taper un autre élève sans culpabiliser pour autant »
Elle répond à Mme Amadis : « Mme combret elle a été agressée. Il n'y a pas longtemps il y a de ça 3 semaines. On a eu un mot dans le cahier. »
Sa copine ajoute : "de toutes les façons dès que tu dis la vérité t'as des problèmes. Je sais pas pour la maternelle mais à la primaire à Varlin, ils ne sont pas bien avec les enfants et puis au collège ils les prennent comme ça (montre le geste en montrant le col)."
Mme Combret a t 'elle vraiment été agressée ? Par qui ?
Nous rassurons les lecteurs de ce blog nos partisans n'ont pas agressé Mme Combret.
Une jeune mère qui a ses voisins à l'école Valmy
Elle dit « mes petits voisins ils se faisaient tirer les oreilles à Valmy. Quand ils rentraient le soir ils se plaignaient de s'être fait tirer les oreilles"
Deux institutrices,
La première était au courant de l'affaire. Au début elle a refusé le tract pour finalement dire à "je vais le prendre quand même". Dès que je lui ai tendu le tract, elle a dit qu'elle était au courant de l'affaire. Elle a ajouté : "on m'a dit que elle avait mis des choses sur internet". Cette personne a finalement accepté que je lui explique l'affaire. Elle ne savait apparemment pas que Mme Amadis était suspendue.
La réaction de cette institutrice nous prouve qu'au sein du réseau enseignant omerta76 a encore frappé !
La seconde ne connaissait pas l'histoire. Elle est professeur des écoles sur la Mare Rouge. Elle était très étonnée et a posé beaucoup de questions pour comprendre à l'inverse de la première institutrice. Elle nous soutient.
Pour la première fois nous avons proposé aux gens aux gens de signer la pétition délégation pour soutenir Mme Amadis. Mais nous prenons soin de bien expliquer la chronologie des faits avant que les personnes signent.
Merci à tous pour votre soutien.
Sachez que la défense et la protection des enfants nous importent plus que tout.
Nous sommes déterminer à faire connaitre la vérité.
dimanche 11 mai 2014
Au marché de l'Université, la distribution de tract s'est bien déroulée
Lors de la distribution de tracts au marché samedi 10 mai, les gens sont surpris et choqués d'apprendre qu'une enseignante, Mme Julie Amadis, soit suspendue pour avoir été témoin de violence 6 ans plus tôt.
Mais rien de plus normale pour l'éducation nationale, les enseignants qui portent de l'intérêt à nos enfants, on préfère s'en débarrasser.A l'inverse, l'éducation nationale préfère garder les enseignants agresseurs d'enfants.
Protéger les enfants |
L'éducation nationale préfère également garder les "enseignants aveugles, sourds et muets" alors que leur premier rôle est enseigné leurs savoirs et de protéger nos enfants.
Il serait temps que l'éducation nationale revoit ces priorités :
- la sécurité des enfants devrait être sa première préoccupation.
dimanche 4 mai 2014
Au Halles ce matin: une distribution de tracts très bien accueillie
Ce dimanche 4 mai, nous étions dans les rues du marché des Halles.
Les tracts pour soutenir Mme Amadis, l'institutrice suspendue pour avoir témoigné de violences ont été distribués.
Nous avons eu un excellent accueil.
* Deux couples de retraités ayant des enfants et de la famille dans l'enseignement. Soutien total de ces couples qui ont demandé des tracts supplémentaires pour leur famille.
- Nous avons aussi rencontré des élus.
* Chantal Sayaret, candidate aux européennes pour "Europe Citoyenne". Elle dit nous soutenir. Son amie a demandé à Mme Amadis s'il n'y avait pas aussi des règlements de compte politique dans tout ça. Elles voulaient comprendre l'acharnement contre Mme Amadis.
* Patrick Teissere, adjoint au maire, chargé des ressources humaines a écouté nos explications et a promis qu'il parlerait à l'adjointe de l'éducation de la mairie et qu'il renseignerait plus amplement sur cette affaire. Il se rappelait bien de Mme Amadis qui était à l'école Dauphine où il représentait la mairie 2 ans auparavant. Lorsque Mme Amadis a évoqué son travail sérieux d'institutrice. Il a dit qu'il ne doutait pas qu'elle soit sérieuse.
* Une ancienne élue de la mairie, F ... qui est ancienne parent d'élèves de l'APEL et de la PEEP. Elle est scandalisée par cette affaire. Et nous dit d'aller voir de sa part l'adjointe au maire Florence Thibaudeau-Rainot - un rendez-vous déjà pris.
* Une retraité qui a longtemps travaillée chez un notaire. Elle m'a dit que la suspension n'était pas légale dans la mesure où Mme Amadis était en arrêt maladie le jour de la suspension.
Elle a conseillé de venir se renseigner auprès des notaires situés près de l'Eglise St Michel.
-* Une retraité qui a vécu du harcèlement moral professionnel, elle conseille à Mme Amadis de quitter tout ça, de partir. Elle dit avoir vécu quelque chose de similaire et elle conseille l'enseignante en connaissance de cause.
ALCOOLISME AGGRAVE EN CLASSE MATERNELLE
La directrice de l'école maternelle Victor Hugo où était son fils a dit qu'elle ne pouvait rien faire. L'Inspection Académique a dit aux parents que cet enseignant était malade et qu'ils ne pouvaient rien faire. Résultat les parents de cette classe se sont cotisés pour payer un huissier afin de constater les faits. Celui ci est venu sur les lieux à 8h du matin et il a constaté l'état d'ébriété de l'enseignement. Cette mère va certainement écrire un commentaire sur mon blog.
UN ENSEIGNANT EN ÉTAT D’ÉBRIÉTÉ EST
Pour conclure, un enseignant en état d'ébriété n'est pas dangereux pour les enfants puisque un inspecteur d'académie n'a pas jugé bon de le suspendre. A l'inverse Mme Amadis a été suspendue parce qu'elle est jugée trop dangereuse auprès des inspecteurs parce qu'elle aurait fini par dénoncer les violences de l'instituteur de Valmy II.
Nous avons écrit au ministre il y a deux semaines.
Nous soutiendrons jusqu'au départ de la rectrice et des inspecteurs d'académie l'enseignante suspendue et les autres témoins de violences qui sont actuellement terrorisés par OMERTA76.
NOTES
La photo de l'adjoint Tesseire provient de la page ici
Les images sur l'alcoolisme proviennent de l'article alcoolisme sur Wikipédia
Les tracts pour soutenir Mme Amadis, l'institutrice suspendue pour avoir témoigné de violences ont été distribués.
Nous avons eu un excellent accueil.
DES RENCONTRES MARQUANTES
Quelques portraits de ces rencontres marquantes :* Deux couples de retraités ayant des enfants et de la famille dans l'enseignement. Soutien total de ces couples qui ont demandé des tracts supplémentaires pour leur famille.
Patrick Teissere, adjoint au maire avait connu Julie Amadis à l'école Dauphine et "ne doute pas de son sérieux" comme enseignante. |
* Chantal Sayaret, candidate aux européennes pour "Europe Citoyenne". Elle dit nous soutenir. Son amie a demandé à Mme Amadis s'il n'y avait pas aussi des règlements de compte politique dans tout ça. Elles voulaient comprendre l'acharnement contre Mme Amadis.
* Patrick Teissere, adjoint au maire, chargé des ressources humaines a écouté nos explications et a promis qu'il parlerait à l'adjointe de l'éducation de la mairie et qu'il renseignerait plus amplement sur cette affaire. Il se rappelait bien de Mme Amadis qui était à l'école Dauphine où il représentait la mairie 2 ans auparavant. Lorsque Mme Amadis a évoqué son travail sérieux d'institutrice. Il a dit qu'il ne doutait pas qu'elle soit sérieuse.
* Une ancienne élue de la mairie, F ... qui est ancienne parent d'élèves de l'APEL et de la PEEP. Elle est scandalisée par cette affaire. Et nous dit d'aller voir de sa part l'adjointe au maire Florence Thibaudeau-Rainot - un rendez-vous déjà pris.
UNE SUSPENSION ILLÉGALE PENDANT UN ARRÊT-MALADIE
* Une retraité qui a longtemps travaillée chez un notaire. Elle m'a dit que la suspension n'était pas légale dans la mesure où Mme Amadis était en arrêt maladie le jour de la suspension.
Elle a conseillé de venir se renseigner auprès des notaires situés près de l'Eglise St Michel.
-* Une retraité qui a vécu du harcèlement moral professionnel, elle conseille à Mme Amadis de quitter tout ça, de partir. Elle dit avoir vécu quelque chose de similaire et elle conseille l'enseignante en connaissance de cause.
ALCOOLISME AGGRAVE EN CLASSE MATERNELLE
EN 2009: LA DIRECTRICE "NE PEUT RIEN FAIRE"
*Une mère d'élève qui a dû batailler avec l'inspection académique parce que son fils en 2009 avait un maître alcoolique responsable de mauvais traitements auprès des élèves.
La directrice de l'école maternelle Victor Hugo où était son fils a dit qu'elle ne pouvait rien faire. L'Inspection Académique a dit aux parents que cet enseignant était malade et qu'ils ne pouvaient rien faire. Résultat les parents de cette classe se sont cotisés pour payer un huissier afin de constater les faits. Celui ci est venu sur les lieux à 8h du matin et il a constaté l'état d'ébriété de l'enseignement. Cette mère va certainement écrire un commentaire sur mon blog.
UN ENSEIGNANT EN ÉTAT D’ÉBRIÉTÉ EST
MOINS DANGEREUX POUR LES ENFANTS
QU'UNE TÉMOIN DE VIOLENCES
Pour conclure, un enseignant en état d'ébriété n'est pas dangereux pour les enfants puisque un inspecteur d'académie n'a pas jugé bon de le suspendre. A l'inverse Mme Amadis a été suspendue parce qu'elle est jugée trop dangereuse auprès des inspecteurs parce qu'elle aurait fini par dénoncer les violences de l'instituteur de Valmy II.Nous avons écrit au ministre il y a deux semaines.
mercredi 16 avril 2014
La lettre envoyée au Ministre de l'Education Nationale
Nous n'avons toujours pas eu de réponse à notre courrier télématique. Nous l'avons postée une deuxième fois en recommandé (papier) le 25 avril. Pas de réponse non plus.Nous soutiendrons jusqu'au départ de la rectrice et des inspecteurs d'académie l'enseignante suspendue et les autres témoins de violences qui sont actuellement terrorisés par OMERTA76.
NOTES
La photo de l'adjoint Tesseire provient de la page ici
Les images sur l'alcoolisme proviennent de l'article alcoolisme sur Wikipédia
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