LIRE LE TEMOIGNAGE EXTRAIT DE L'ASSIGNATION ICI
Pour discréditer Julie Amadis la scandaleuse alliance de la Franceàfric terroriste avec #BétharramAuHavre et #nCoVassassin du COVID : organisateur : Thomas Duvillier oncle de Julie
Faux témoin n°6 Céline Amadis qui ne parvient pas à cacher sa haine immense contre sa soeur Julie Amadis avec un mensonge absurde "En rentrant, un message insultant sur mon futur enfant, me décide à prendre du recul"
Ma chère Julie, tu n'as pas répondu à mes SMS ni à mes courriels — si tant est que tu aies encore cette ligne de téléphone puisque tu en changes, ou cette adresse mail puisque tu en changes. En tout cas, des gens vont finir par te parler de ces vidéos pour casser l'hypnose Blondet.
J'avais prévu de faire Sylvain Schiltz mais là vraiment, je relis le témoignage de ta sœur. Il est vraiment trop extraordinaire et il mérite vraiment que je te le relise en ce réveillon de Noël.
[Lecture du témoignage de Céline Amadis avec commentaires]
Céline écrit :
"En 2000, elle quitte Rouen pour Le Havre afin de poursuivre son parcours universitaire."
Oui, IUT carrières sociales.
Céline écrit :
"Je la sens perdue, fragile."
Ah bon ? Je sais pourquoi elle s'est fâchée avec votre nouvelle amie — Priscilla Coquelle Leroux, amie de Céline de Bock — qui l'a virée de chez elle à Rouen. Et Julie, en catastrophe, pendant le cours de l'année, a été obligée d'aller chercher un logement universitaire. Donc elle pouvait effectivement être un petit peu chamboulée par la trahison de sa copine. Bref, évidemment ça n'apparaît pas dans les témoignages.
Céline écrit :
"Alors, lors de l'anniversaire d'une amie commune, Céline de Bock, je le rencontre pour la première fois. Il me met tout de suite très mal à l'aise. C'est un dominant. Il n'écoute pas et cherche à me faire adhérer à ses idées anarchistes."
Elle ment complètement. Elle était complètement saoule. Céline n'a pas arrêté de boire toute la soirée. J'ai même fait une plaisanterie qu'elle n'a pas du tout appréciée : "T'es qui là, quand t'as bu !" [Tequila]
Elle n'était pas en état de discuter de politique et encore moins d'évaluer mes — comment dirais-je — mes compétences politiques.
Céline écrit :
"Le contact avec ma sœur devient de plus en plus rare au fil des années."
Ah bon ? Sauf que Julie a témoigné qu'elle est allée tous les ans voir sa famille, et même plusieurs fois par an, jusqu'en au moins 2008 ou 2009.
Céline écrit :
"Nous gardons un lien téléphonique principalement. Les discussions tournent toujours sur les mêmes sujets : Yanick et son génie..."
Euh, bravo.
Céline écrit :
"...leur combat révolutionnaire incompris et la responsabilité de mes parents sur son maintien dans l'ignorance."
Bah oui, forcément Julie. Quand je t'ai rencontrée, tu m'as expliqué — et tu l'as répété plusieurs fois d'ailleurs, régulièrement — que tu avais lu quatre livres entiers de toute ta vie à l'âge de 20 ans, dont :
- Mon bel oranger
- Sac de billes
- Jamais sans ma fille
- et un 4e livre
Voilà ce qu'était ta culture livresque à cette époque-là.
Céline écrit :
"Elle les accuse de ne pas l'avoir éduquée correctement."
Bah c'est le moins qu'on puisse dire, Julie. Tu avais un bac STT, et avec mon coaching et ta motivation bien évidemment, tu as eu une double licence Histoire-Sociologie en 3 ans, pour laquelle personne de ta famille ne t'a félicitée.
vidéo 2/3
Donc 24 décembre, de la même façon qu'en 2000, 2001, 2002, 2003, 2004, 2005, 2006, 2007, 2008 et peut-être 2009, ma chère Julie, je vais passer le réveillon tout seul. Tu vas sans doute reconnaître ça ?
[La chanson Sylvain Schiltz écrite par Julie Amadis en 2008 mais en version piano au lieu de guitare]
J'ai un peu froid aux doigts là. Il fait froid.
Oui. Bah c'est ma belle guitare. C'est mon propre cadeau de Noël.
Je vais donc continuer ce que j'avais commencé pour t'expliquer comment la Franceàfric a organisé notre séparation. Toi, en te faisant hypnotiser par Blondet qui, dans un premier temps, a réussi à te faire traverser la ville depuis l'université — la bibliothèque où tu te trouvais — et une force plus forte que toi t'a imposé d'aller chez Blondet après le départ de la secrétaire. C'est ce que tu m'avais raconté et que j'avais sous-estimé, et là j'ai une grande faute. Tu as donc été hypnotisée par un médecin voyou, pro-vax d'ailleurs, un des médecins responsables des 160 000 morts de Français avec Édouard Philippe et Macron. Un organisateur de la vaccination après avoir saboté le dépistage pour que les Français tombent bien malades. Donc un de tes ennemis, c'est devenu ton principal confident par miracle. Non non, il t'a hypnotisée. Il a réussi à te faire traverser la ville depuis l'université jusqu'à son cabinet après que la secrétaire soit partie. Je le répète une nouvelle fois, avec la consigne d'éviter les caméras d'Édouard Philippe. Il t'a donc mise sous état hypnotique et il a réussi une deuxième fois à te faire partir du Havre et à t'interdire de communiquer avec moi depuis 14 mois.
Et là je suis retombé sur le témoignage de ta sœur dans l'assignation. Témoignage extraordinaire.
[Lecture du témoignage de Céline Amadis avec commentaires]
Céline écrit :
"En 2006, voici quelques temps qu'elle ne répond plus au téléphone."
Ah bon ? Tu allais deux ou trois fois par an, au moins jusqu'en 2008 ou 2009 selon tes dires.
Céline écrit :
"Je décide de partir au Havre...."
Ce n'est pas tout à fait vrai. Elle était à Étretat et c'est son ami qui a suggéré de venir au Havre.
Céline écrit :
"...aidée d'un ami. J'ai son adresse."
Tiens, miracle. D'autres témoins prétendent que non.
Céline écrit :
"J'arrive à l'improviste."
Ça, c'est tout à fait vrai. Il est très tard. On s'apprête à aller manger au kebab rue d'Étretat.
Céline écrit :
"Elle ne me fait pas rentrer chez elle."
Bah forcément, on est en train de sortir.
Céline écrit :
"Elle semble gênée."
Oui, forcément, voir arriver quelqu'un comme ça. Il devait être je sais pas, 19h30 ou 20h.
Céline écrit :
"Le couloir et ce que j'entrevois du studio est insalubre."
Ah bon ? Euh, quand on arrive à la porte, il faut monter les escaliers pour y arriver. Donc c'est la cage d'escalier. Mais elle invente complètement.
Céline écrit :
"On se voit dans un café."
Oui, on allait au café.
Céline écrit :
"...avec Yannick..."
Bien évidemment. Il y a une faute d'orthographe à mon prénom. Forcément, cette belle-sœur, je ne l'ai vue que deux fois dans ma vie.
Céline écrit :
"Elle est quasi muette. Lui monopolise la conversation avec un débit impressionnant puis coupe court et repart très vite."
[Rire] C'est l'inverse. C'est... Julie, c'est ta sœur. Tu te souviens forcément, c'est ta sœur qui est repartie. Forcément, ils sont arrivés très tard donc il y avait de la route à faire, et forcément c'est le copain qui poussait au bout d'un moment à ce qu'ils repartent.
Céline écrit :
"En 2014, Séverine Breton me contacte sur Facebook."
Là, ça devient extraordinaire. Séverine Breton, mère d'élève, déléguée de parents, qui au début — choquée par le harcèlement d'abord de l'inspecteur Deplanque — soutient Julie. Et terrorisée par la police, va fermer son blog, annulant donc la lettre — enfin invisibilisant — la lettre qu'elle a écrite au ministre Benoît Hamon.
Donc je lis.
Céline écrit :
"Elle dit être un témoin de Julie, avoir cerné la personnalité psychotique de Yanick..."
Bah c'est bien.
Céline écrit :
"...s'en être libérée..."
Ah bon !
Céline écrit :
"...et vouloir aider Julie."
Et là ça devient extraordinaire. C'est un témoignage de 2025 qui dit :
Céline écrit :
"Ma sœur semblerait prête à le quitter."
Et donc on a un témoin de divorce qui explique qu'en 2014, la famille — puisqu'on va arriver à la mère et au père — était en train d'organiser une séparation.
Céline écrit :
"Je suis alors en vacances en Espagne, enceinte de quelques mois. Je préviens mes parents et nous partons au Havre."
Donc la famille — la clique en l'occurrence — se précipite, tout à coup alertée par une témoin. Mais la témoin en question, elle a été terrorisée par les flics.
Un juge d'instruction honnête ira chercher quels flics ont terrorisé ce témoin. Et forcément il va tomber sur des flics et les gens qui sont derrière, qui sont en train d'inciter Séverine Breton à contacter les parents. En train d'inciter cette déléguée de parents qui a été changée de bord, l'inciter à compléter maintenant sa trahison par la tentative de casser le couple. Couple qui est en même temps évidemment une mini-organisation politique.
Céline écrit :
"Je préviens mes parents et nous partons au Havre."
Voilà la clique qui se précipite.
Je rappelle qu'en 2014 Julie, tu as écrit un texte dans lequel tu accusais ta famille de ne pas t'avoir soutenue et de n'être jamais venue au Havre. Tu as été condamnée à 31 000 €, ils n'ont pas bougé. Tu avais été poursuivie en diffamation pour avoir témoigné de violences dans une école. Ils n'ont pas bougé. Les 31 000 € étaient devenus 33 000 €...
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Donc je continue la vidéo précédente qui s'est coupée avec ce téléphone. Bref bref.
Donc j'en étais à lister : 2008, tu es témoin de violences, tu es poursuivie en diffamation, aucun soutien de ta famille.
2013, tu te retrouves dans le secteur de l'inspecteur Deplanque, pro-fessées, protecteur de la directrice d'école Varlin qui frappait ses élèves et se vantait d'avoir frappé un élève pour justifier le fait que l'ATSEM en frappait un autre. Bref, ta famille ne t'avait pas soutenue.
2014, ça s'aggrave. C'est-à-dire que tu te retrouves accusée d'avoir distribué le tract des parents d'élèves qui te soutenaient — en l'occurrence Séverine Breton et Yazid Meddad — et tu vas être, après avoir été suspendue sans motif, tu vas être exclue pendant 2 ans. Ta famille ne te soutient pas. Non, la famille elle se précipite. La famille elle se précipite.
Céline écrit :
"Ma sœur semblerait prête à le quitter."
Donc alertée par Séverine Breton — retournée par les flics, terrorisée par les flics.
Parenthèse : je rappelle que Séverine Breton, dans une distribution de tracts te soutenant encore à l'époque, entend un enfant qui vient la trouver et qui lui dit "Mon maître me bat." Et c'est là qu'il y a un basculement. C'est-à-dire que ce qui était encore pour l'instant qu'un harcèlement de l'inspecteur pro-fessées en 2013 (continuant ces activités de malfaisant de 2008 où il soutenait la directrice de l'école Varlin) — ce qui était encore un souvenir de 2008 devient actuel puisqu'on est encore sur une école, cette fois-ci l'école Valmy, où un enseignant frappe les élèves. Et cet enseignant qui frappe les élèves, qui a joué le gentil avec toi, c'est le même que tu vas retrouver comme témoin dans l'accusation. Il va témoigner, il va témoigner de rien du tout puisqu'il va témoigner qu'on lui a dit que tu aurais distribué le tract des parents d'élèves à Aplemont et au marché d'Harfleur. Marché d'Harfleur où tu n'as jamais mis les pieds.
Léon Launay, qui frappe les enfants et qui a une classe spéciale — je le rappelle — un CE2 spécial du quartier de l'Eure de l'école Valmy, était attribué à monsieur Launay. CE2 spécial où on regroupait tous les enfants battus chez eux, tous les enfants dont les parents ne s'occupaient pas, pour que monsieur Launay puisse frapper tranquillement. Le Betarrham du Havre protégé par Édouard Philippe.
Protégé par Édouard Philippe : c'est une belle photo que je vais publier — puisque c'est, enfin, qu'on a déjà toi et moi publiée. La belle photo. On voit Édouard Philippe accompagnant Belkacem à l'école Valmy. Belkacem qui s'était vantée en 2014, en mai 2014, de frapper ses propres enfants, de leur donner des fessées.
On a donc un Betarrham au Havre que Paris-Normandie fait semblant de ne pas voir, que les médias font semblant de ne pas voir, que Mediapart fait semblant de ne pas voir. C'est-à-dire l'organisation d'un système industriel où les pouvoirs publics, le tribunal — le tribunal bananière puisque je vais leur attribuer un blog spécial — le tribunal bananière du Havre protège un réseau d'enseignants qui frappent les enfants du Havre tranquillement depuis des années et des années. Et c'est tout à fait organisé.
Et Toutain et Amadis, Amadis Julie, qui es la fierté des Amadis — pas la honte comme le sont la Fabienne Amadis — des centres aérés et des colonies de vacances du Sud où peut-être que là aussi on frappe les enfants. Il faudra aussi enquêter.
Donc Toutain Yanick, moi, et Amadis Julie — toi — on était le petit caillou dans la chaussure de cette bande de salopards qui frappent les enfants. Pas tous forcément. Peut-être qu'Édouard Philippe, lui, ne frappe pas ses enfants. Bon, encore faudrait-il enquêter comme Bayrou.
Et donc il faudrait un jour qu'un juge d'instruction révolutionnaire vienne mettre le nez dans toute cette clique-là. Clique-là qui a réussi à te faire hypnotiser par Matthieu Blondet, le chef des pro-vax du Havre, pour te faire partir du Havre en fuite. En fuite de quoi ?
Bah tiens, bah on est justement au Square Saint-Roch, le Square Saint-Roch où je t'attendais. Enfin, moi j'étais à l'abri — il s'était mis à pleuvoir — où je me retrouvais pour avoir du réseau. Et je me suis fait engueuler.
Je rappelle une nouvelle fois, peut-être qu'à force des gens vont finir par te raconter ta propre vie. Je me suis fait engueuler le 10 octobre 2024 parce que je n'étais pas à la bibliothèque comme prévu. Et donc j'avais, moi, des comptes à te rendre et c'est toi qui m'as engueulé.
Et donc on arrive, on s'apprête, on va à l'arrêt de bus — j'ai fait une autre vidéo — et on s'apprête à remonter dans le logement qu'on occupe, le 12 m². Et ta colère te reprend, comme c'est arrivé un peu trop souvent parfois — certainement peut-être l'effet de l'hypnose Blondet d'ailleurs en 2024 — et au moment de monter dans le bus, bah je dis "Non Julie, j'ai pas envie qu'on s'engueule dans le bus" et je ne monte pas. Et ta prétendue "fuite". C'est ça. C'est moi qui fuis l'engueulade parce que j'étais pas à l'endroit prévu. J'étais au square et pas à la bibliothèque municipale.
Tu montes dans le bus et, arrivé là-haut, je sais pas ce qui s'est passé là. Effectivement, peut-être que Blondet t'a téléphoné, peut-être qu'il y a eu un signal, et tu es partie. Sauf que tu es partie où ? Tu as dû aller à la gare sans doute et constater que le train était déjà parti ou je ne sais quoi. Et tu m'envoies un SMS selon lequel tu es à l'hôtel. Mais à l'hôtel ? L'hôtel où on a été plein de fois ?
Mais donc le 10 octobre, tu m'as réindiqué où je pouvais te rejoindre ? En fait c'est ça, j'ai peut-être pas percuté ? Le 10 octobre, peut-être que tout à coup tu m'envoies un SMS pour me dire que tu es à l'hôtel pour me dire "Yanick, viens me chercher" ? "Yanick, je sais pas ce qui se passe, je pars." Et c'est ça qu'il faudra investiguer.
Et j'ai posé des questions à quelqu'un justement qui est bien placé, en l'occurrence le premier de la liste des hôteliers possibles. Peut-être que lui sait quelque chose. Mais visiblement il n'a pas l'air pressé de me répondre. Peut-être que là il y a encore anguille sous roche.
Donc Julie, en ce 24 décembre, j'espère que tu n'es pas chez tes parents à Villeaudric. J'espère que tu n'es pas chez ton frère à Albi. J'espère que tu es avec des amis au mieux, ou toute seule. C'est encore la solution bien préférable à Villeaudric ou à Albi puisque ces gens te haïssent, ces gens te détestent.
Les témoignages que je vais — enfin que j'ai déjà mis en ligne, que tout le monde peut consulter déjà sur le blog L'Affaire Duvillier Amadis blogspot — donc les témoignages, les gens peuvent les lire.
Ils peuvent même s'amuser à maintenant les donner à des intelligences artificielles puisque j'ai fait un test sur Gemini et franchement, franchement, c'est pas du tout reluisant pour ta mère. Là, ta mère, elle en prend pour son grade. Et les comploteurs, Gemini réussit à deviner la façon dont ils ont coordonné leur témoignage. C'est... je croyais pas à la graphologie mais alors là c'est stupéfiant.
Donc j'espère que tu passeras un bon réveillon, toute seule devant... Moi j'ai Ridicule et puis j'ai le film avec — comment il s'appelait là ? Euh bah... je retrouve plus son... Tiens. Serait-ce la sénilité ? La sénilité qui me gagne.
Bref, donc Julie, j'espère que tu vas finir par te réveiller et me contacter pour qu'on puisse dialoguer intelligemment et prendre l'offensive contre cette bande de voyous Franceàfric qui en réalité sont là à protéger les salaires Bolloré à 50 € au Cameroun — qui apparemment auraient un petit peu augmenté d'ailleurs, ils ne seraient plus à 50 € mais enfin faut que je me renseigne.
Donc j'espère que tu vas bientôt reprendre tes esprits, retrouver la mémoire, te rappeler de ce qui s'est passé et surtout reprendre tes activités en tant que la Sylvia Pankhurst du 21e siècle.
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