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mardi 23 décembre 2025

Ma chère Julie Amadis, le 10 octobre 2024 c'est moi qui ai fui ta colère en ne remontant pas en bus comme tu me le proposais - ta colère car je n'étais pas à l'endroit prévu


par Yanick Toutain
22 décembre 2025
L'Havrais Vérité

Et pire encore l'avocate Guibert qui a pas inventé l'eau chaude — ou qui n'a pas la lumière à tous les étages — a l'idée extraordinaire de recopier depuis mon propre blog ce texte de toi-même. Texte de toi-même dans lequel tu reproches à ta famille de ne pas être venue au Havre, et qui donc fait voler en éclats complètement... Goubert fait voler en éclats complètement ses conclusions dans la liasse annexe à ses conclusions. On est dans l'asile de fous. Ou plutôt l'asile de fous annexe du Tribunal Bananière, dirigé par une présidente qui regarde d'ailleurs, complice, une procureure faussaire.

Ah, bonne nouvelle : j'ai l'intégralité de ma copie Wayback Machine de ce que la procureure a effacé sur LinkedIn. 




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Je recommence de plus bas.

 J'ai raté celle d'en haut.

 On est le 22, ma chère Julie, et il est 17h30. 

Je suis un peu à la bourre. Je n'aurai donc pas le temps de faire Sylvain Schiltz aujourd'hui. 

La fameuse histoire de ta représentation humiliante de Sylvain Schiltz dans ta famille que je ne t'ai jamais appris à détester. Je ne les connais pas. 

Donc tout ce que je connais de ces gens-là, c'est ce qu'ils te font à distance, c'est bon. 

Mais surtout ce que tu m'as raconté de leur comportement toxique à tous.

Le seul, - bon la toxicité de ton père selon toi étant plus de la lâcheté régulière avec ta mère, comme la lâcheté régulière de ton frère à l'égard de tes parents. Frère parti en Espagne pour suivre les traces de ton père dans l'arrivisme et tombant de haut, et donc se repliant dans l'humanitaire. - Donc une famille dont la toxicité m'a été totalement racontée par toi-même.

Maintenant tu te débrouilleras avec toi-même et avec eux éventuellement pour leur justifier — si tant est que tu les voies encore d'ailleurs — pour justifier les analyses fort lucides que tu faisais sur cette bande de malfaisants. Malfaisants qui depuis 1 an et 2 mois t'empêchent d'être toi-même, t'empêchent de militer, t'empêchent de sauver la planète, t'empêchent de sauver l'humanité. Une bande de malfaisants, tous égoïstes, égocentriques, repliés sur eux-mêmes comme une secte. Et bien évidemment, à moins qu'ils ne te zigouillent ou qu'ils ne te lobotomisent, tu finiras bien un jour par proclamer tout ça ouvertement, tellement tu auras souffert pendant cette année, en plus des 20 années où tu as souffert — puisque pas 20, 17 ou 18 — puisque selon toi c'est dans ta toute petite enfance que s'est produit un événement qui a brisé ton élan intellectuel. Tu te demandes encore qu'est-ce que ta mère a bien pu faire pour casser cet élan.

Bref, c'était pas l'objet de ma vidéo. Quoique, je vais poster une vidéo par jour si je tiens, c'est un peu lassant pour quelqu'un qui répond pas. Mais puisque précisément, j'ai fini par comprendre que Blondet t'a hypnotisée réellement et t'a bousillé ta mémoire avec l'aide d'un psychiatre voyou dont je ne me souviens jamais le nom d'ailleurs. Bref, il va falloir que je l'écrive en gros sur le blog.

Donc j'ai un nouveau blog de prévu, celui avec ta plainte. Autant j'étais pas gêné de mettre les gros projecteurs sur la bande de voyous de l'assignation. Les huit faux témoins : ton oncle Thomas Duvillier, ta mère Fabienne Amadis — pistonnée pour se retrouver à la tête de probablement la plus grosse ONG d'Occitanie — ta sœur Céline Amadis. Tous les trois mentant comme des arracheurs de dents et sans aucune vergogne, et te faisant passer pour une imbécile. Le pompon étant ta sœur qui ment en plus, en t'accusant dans un témoignage de 2025 de propos imaginaires que tu aurais tenus en 2014... Et forcément, les propos de 2014, ils ont pas réussi à te les faire effacer. Ils sont encore sur Facebook, tout le monde peut les lire.

Et pire encore l'avocate Guibert qui a pas inventé l'eau chaude — ou qui n'a pas la lumière à tous les étages — a l'idée extraordinaire de recopier depuis mon propre blog ce texte de toi-même. Texte de toi-même dans lequel tu reproches à ta famille de ne pas être venue au Havre, et qui donc fait voler en éclats complètement... Goubert fait voler en éclats complètement ses conclusions dans la liasse annexe à ses conclusions. On est dans l'asile de fous. Ou plutôt l'asile de fous annexe du Tribunal Bananière, dirigé par une présidente qui regarde d'ailleurs, complice, une procureure faussaire.

Ah, bonne nouvelle : j'ai l'intégralité de ma copie Wayback Machine de ce que la procureure a effacé sur LinkedIn. J'ai donc la totalité, bien visible cette fois-ci, puisque sur le tweet j'ai la totalité de ce que je lui révélais avec le lien vers mon blog. Et donc la procureure a effacé, m'a bloqué sur LinkedIn pour ne pas voir un faux en écriture administrative rédigé probablement à la mairie d'Édouard Philippe, ou par un éventuel Bureau des légendes — ce qui sera encore plus extraordinaire vu le merdier général.

Donc ma question Julie, c'est : qu'est-ce que je fais de la plainte ? Moi la plainte, elle me dérange pas. Je me suis mithridatisé, je me suis empoisonné tout seul, Toutain a la réputation d'être violent avec Julie Amadis, - ce qui intrigue complètement les gens qui nous connaissent, ce qui réjouit nos ennemis forcément, mais qui eux savent tout aussi bien que tout ça c'est du bobard.

Et donc qu'est-ce que je fais ? 

En fait leur scénario, le scénario des malfaisants — bon, probablement autour de ta famille parce que je sais pas s'ils ont le niveau de ruse intellectuelle suffisant pour faire un traquenard pareil. Bref, la ruse c'était, profitant de la vague MeToo : "Julie la victime fuit."

Non mais tu as fui ? Non mais c'est une plaisanterie ! Tu as fui Le Havre ? Tu as fui Le Havre ?

Attends, tu me demandais si je voulais monter en bus avec toi à l'arrêt de bus, Julie. Où tu étais pas contente parce que j'étais pas à l'endroit où tu pensais me trouver. Chose extraordinaire : tu m'en voulais parce que je n'étais pas à la bibliothèque, mais que j'avais été prendre un café parce qu'il y avait pas de réseau à la bibliothèque, et que j'étais allé pour avoir plus de réseau au Square Saint-Roch. Tu m'en voulais le 10 octobre, tu m'en voulais de ne pas avoir été à l'endroit où tu espérais me trouver.

Alors les baratins après, moi je te surveille... Bon c'est... bref.

Et donc on remonte, on quitte le Square Saint-Roch là, le soir là. Voilà, on quitte le square et on remonte à pied. Ben, je vais y aller tiens, on va rigoler. Et on va jusqu'à l'arrêt de bus ensemble. Bon, tu es en train de te calmer parce que c'est vrai que tu t'énervais 5% ...




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