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samedi 29 août 2015

Bizutage au Havre: abrutis de "science-po Paris" et leurs victimes. Les profs des "élites" esclavagistes encore complices de pratiques délinquantes

par Yanick Toutain
29/8/2015

"[Quatorze] ans après l’entrée en vigueur d’une loi qui fait du bizutage un délit passible de six mois d’emprisonnement et de 7500 € d’amende (sous l’impulsion de Ségolène Royal, alors ministre déléguée à l’Enseignement scolaire) les brimades et épreuves humiliantes n’ont pas totalement disparu."
(extrait de l'étudiant septembre 2014
13 ans sont devenus 14 ans)

Pour une France qui autorise Bolloré à payer des salaires esclavagistes de 50 euros par mois il faut sélectionner de parfaits abrutis dominants comme leaders humiliants de ses "élites" formoises. Pratiquer un bizutage méritant 6 mois de prison et 7500€ d'amende est une technique qui leur annonce à l'avance l'impunité et le soutien des juges voyous.
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Cet article est écrit 3/4 plus tard. Je viens en effet de croiser sur un banc des jardins de l'Hôtel de ville  du Havre quelqu'un "de niveau CAP" - avec qui j'ai conversé en concluant par la suggestion qu'il tente une licence sociologie-histoire en trois ans - qui aurait largement mérité de se trouver à la place des pauvres imbéciles que j'avais croisé à 17h dans le square St Roch.
Des imbéciles à cause de qui j'ai du changer de direction pour ne pas être bousculé et ne pas risquer d'être moi aussi aspergé de farine.....

Misérables imbéciles humiliant plus faibles qu'eux avec des ricanements évoquant la fin du film "Les Visiteurs".
Les plus stupides couraient derrière leurs victimes en les aspergeant de farine blanche.... avec des ricanements lamentables : les futures "élites" de la France impérialiste.
Les bizutages sont interdits depuis 14 ans mais... tellement pratiques pour la bankoslavoisie..... les mêmes traditions que les criminels militaires adoraient quand je faisais mon service militaire à Epernay, au 34° régiment du Génie....en 1976...
Par chance, dans la compagnie de transmission où je me trouvais, le niveau de recrutement post-bac minorisait totalement les adorateurs du harcèlement moral, les spécialistes de l'humiliation institutionnelle.
Les bizutages sont interdits..... mais les délits sont autorisés par le maire Edouard Philippe.
Avec ce maire, - comme avec son prédécesseuer et modèle le SAC Antoine Rufenacht - on peut donner des fessées à l'école maternelle Varlin, on peut taper les élèves à l'école Valmy, on peut réprimer les témoins de violences à enfants...... la police du Havre vient même sur le parvis de cette école faire la propagande des agressions d'enfants.....
La police du Havre ne poursuit pas les terroristes, les apologistes de la crucifixion des laïcards, La police du Havre ne poursuit pas les agents du Qatar terroriste... la police du Havre, la BAC persécute, interpelle, conduit au poste..... les témoins de violences.....
Les bizutages sont interdits..... mais "Science Po Paris" - les délinquants bizuteurs se présentent étrangement sous ce vocable - a le droit d'organiser des séances d'enfarinage agressif au square St Roch - sur les pelouses pleines de merdes des chiens sans laisses des bourgeoises électrices du maire Edouard Philippe.


orientation mieux-travailler [Témoignages] Bizutage : toujours un délit mais toujours au programme Le bizutage a beau être un délit depuis plus de 10 ans, il existe encore ! Témoignages d'étudiants choqués ou amusés bizutage etudiant, delit bizutage, soiree integration, peur bizutage, temoignages, bizut etudiant ecole de commerceLe bizutage a beau être un délit depuis plus de 10 ans, il existe encore ! Témoignages d'étudiants choqués ou amusés
Pour accueillir les « petits nouveaux », il y a aujourd’hui le « week-end d’intégration » ou la « soirée de cohésion ». Mais derrière ces rassurants vocables, beaucoup d’étudiants se demandent, en cette rentrée, s’il s'agit d'une intégration ou désintégration...
Treize ans après l’entrée en vigueur d’une loi qui fait du bizutage un délit passible de six mois d’emprisonnement et de 7500 € d’amende (sous l’impulsion de Ségolène Royal, alors ministre déléguée à l’Enseignement scolaire) les brimades et épreuves humiliantes n’ont pas totalement disparu. Dans certaines écoles de commerce ou d’ingénieurs, dans les facs de médecine ou de pharmacie, voire classes prépas, certaines habitudes ont la vie dure. Une situation « inacceptable » que dénonce chaque année à la rentrée le Comité national contre le bizutage (CNCB).

Floriane, 21 ans, en prépa Sciences-po.
« Notre week-end d’intégration s’est déroulé en Belgique. On avait tous un numéro de bizut. Le moins chanceux, c’était le 51, car pendant deux jours, il a dû boire toutes les demi heures un verre de pastis 51 cul sec. Quand j’ai vu arriver les meneurs avec tout un attirail d’objets, des menottes, des préservatifs, du lubrifiant, je suis devenue toute blanche. J’ai été choisie pour la première épreuve : un garçon était obligé de mettre une banane devant sa braguette et je devais enfiler un préservatif dessus avec ma bouche. Ce qui m’a le plus choqué, c’est la deuxième épreuve à laquelle j’ai échappé : deux filles en sous-vêtements ont été menottées et devaient, avec leur bouche, trouver la clé des menottes dans une gamelle remplie de pâtée pour chien. Dans les douches, j’ai vu des filles en larmes parce que les membres du BDE les avaient prises en photo nues. On a eu quatre comas éthyliques en un week-end… 


Pour une France qui autorise Bolloré à payer des salaires esclavagistes de 50 euros par mois il faut sélectionner de parfaits abrutis dominants comme leaders humiliants de ses "élites" formoises. Pratiquer un bizutage méritant 6 mois de prison et 7500€ d'amende est une technique qui leur annonce à l'avance l'impunité et le soutien des juges voyous.

Il parait qu'il n'y a pas de bizutages à Science-Pö
Ah zut, ce n'est pas au Havre. C'est à Reims..... en 2014








Pas de bizutage à Sciences Po

Rédaction en ligne
Pas question pour les élèves de Sciences Po Reims de s’adonner au moindre dérapage lors du week-end d’intégration. Nathalie Jacquet, directrice du campus, veille à ce que la loi soit scrupuleusement respectée et appliquée.


Le bizutage a-t-il cours à Sciences Po ?

Le bizutage est interdit. Les week-ends d’intégration sont autorisés. Je suis la loi scrupuleusement. Ce n’est de toute façon pas dans la tradition de Sciences Po. Les élèves n’ont même pas la volonté de le faire.
Le Bureau des étudiants organise chaque année un week-end d’intégration. Je m’assure avant chaque départ que les organisateurs sont bien tous en phase avec la ligne de la maison. Je convoque le BDE. Cela se passe de façon fluide, mais j’ai mon mot à dire sur ce week-end : le lieu, le moment… Je les vois très formellement avant le départ pour les sensibiliser sur les risques, leur rôle, la responsabilité du BDE, la mienne et celle de Sciences Po.

Quelles recommandations leur donnez-vous ?

Je les responsabilise et les sensibilise sur les risques liés à l’alcool, la drogue… Les risques de viols. Je leur demande d’être attentifs bien au-delà de ce qu’ils organisent.
Ils ont des instructions claires : d’arrêter l’alcool si cela s’avère nécessaire, de me prévenir, de prévenir les pompiers ou la police le cas échéant. Ils ont instruction d’appeler s’il y avait quoi que ce soit.
Je peux dire que les membres du BDE ne profitent pas de ce week-end. Ils doivent avant tout veiller à ce que tout se passe bien, à prévenir tout risque qui mette en danger la santé ou l’intégrité physique de quiconque.

Et si dérapage il devait y avoir ?

Il n’y en a jamais eu. J’ai veillé et je veille à ce qu’il n’y en ait pas. Si dérapage il y a, c’est que nous avons failli. C’est qu’il y a un trou dans le dispositif.
S’il devait y avoir un quelconque dérapage, alors je n’autoriserais plus aucun week-end d’intégration.
L’idée de ce week-end, c’est avant tout d’accueillir les élèves dans les valeurs de Sciences Po. C’est un week-end de camping dans la région. Ils organisent des activités ludiques et sportives… mais pas de bizutage.

jeudi 3 avril 2014

Le fainéant directeur Patrick Clabaut ne prépare jamais sa classe ; Témoignage d'une mère «Ma fille m'a dit qu'ils n'avaient fait que dessiner toute la journée parce qu'il était fatigué et qu'il avait mal au dos»

Ce sinistre personnage, Patrick Clabaut, directeur de l'école Valmy 1 au Havre, a une particularité étrange. Non pas son absence totale de préparation de sa classe. Non, de cette particularité, il s'en vante à tous les coins de rue. Il peut se permettre de la faire ! C'est son ami et complice Patrick Deplanque son protecteur !
Comme larrons en foire !

Parole d'enfants sur le fainéant Clabaut :
 « IL TRAÎNE DANS LES COULOIRS »

Et les enfants rapportent régulièrement à leurs parents que le jeudi, ils n'ont rien fait de sérieux. Une enfant disant même sur ce directeur glandeur : « Les autres jours, il traîne dans les couloirs »
Pour ces enfants de CE1, absence totale de travail sérieux le jeudi, jour du directeur d'école fainéant et glandeur.
Contrairement aux autres jours de la semaine avec leur courageuse maîtresse Julie Amadis (celle que le réseau OMERTA76 vient de suspendre)
Cette enseignante dévouée se verra même reprocher par l'IEN faussaire OMERTA76 Olivier Basely, dans son rapport d'inspection truqué, l'absence de certains affichages.

L'Havrais Vérité: En mission commandée au Havre pour protéger les enseignants agresseurs d'enfants, l'IEN Olivier Basely de Saint Valéry-en-Caux commet des faux en écritures, ment, truque les déclarations. Une inspection mensongère contre Julie Amadis. En service commandé pour le réseau OMERTA.

L'IEN Olivier Basely a rédigé un rapport truffé de mensonges et de faux contre Julie Amadis.En oubliant que ses empreintes digitales se trouvent sur les fiches de préparation qu'il prétend ne pas avoir vues !
Le faussaire Basely accuse Julie Amadis de l'absence des affichages obligatoire en classe.... des affichages. que le fainéant titulaire Clabaut a « oublié » de mettre....
Un fainéant qui laisse accuser sa subordonné de ses « oublis » et incompétences.

UN FAINÉANT QUI..... MENACE 
SES PARENTS ÉLÈVES DÉLÉGUÉS

Non, ce sinistre individu a une autre particulière ; il menace les parents d'élèves.
Ce directeur de l'école élémentaire Valmy se sent tellement protégé par son ami de longue date l'inspecteur Patrick Deplanque OMERTA76 qu'il se croit autorisé à menacer les parents.
Quant au motif de ses menaces, elles sont encore plus étranges :

LE DIRECTEUR PATRICK CLABAUT
 INTERDIT  AUX PARENTS DE SOUTENIR
LA TÉMOIN D'AGRESSIONS D'ENFANTS

Non seulement il passe ses journées à glander – il paraît qu'il estresponsable informatique – (la bonne farce pour une écoletotalement dépourvue de site de productions d'élèves) mais, dans le temps qui lui reste, il concocte diverses recettes de harcèlement professionnel contre celle qui a brisé l'OMERTA76 de l'IA Carrière. Et pour le reste de sa journée de glandeur, il fabrique mentalement diverses recettes de harcèlement contre ses délégués de parents.

EN CONSEIL D’ÉCOLE, IL A INTERDIT DE PARLER
DE VIOLENCES A ENFANTS ET DE HARCÈLEMENT
 CONTRE CELLE QUI FUT TÉMOIN

Ce directeur a commencé à retirer son masque hypocrite quand 2 délégués de parents ont distribué un tract de soutien à Julie Amadis. Un tract dénonçant le harcèlement de l'IEN Deplanque et les agressions de 2008 contre Kévin 3 ans et Luciano 4 ans.

C'est logique : si l'inspecteur Patrick Deplanque assure l'impunité au fainéant Patrick Clabaut, en échange, le directeur Patrick Clabaut assure l'impunité au harceleur Patrick Deplanque.
Le tout sous la protection des inspecteurs d'Académie Serge Tillmann et Philippe Carrière !

EN SEINE-MARITIME, les MULTIPLES AGRESSIONS D'ENFANTS
 DANS LES ECOLES DOIVENT RESTER SECRÈTES,
LE RÉSEAU OMERTA76 VEILLE

Et sur l'école Valmy, pendant que l'inspecteur Patrick Deplanque (le protecteur des agresseuses de la maternelle Varlin) harcèle la témoin en construisant, mois après mois son deuxième licenciement de l’Éducation Nationale..... le directeur fainéant Patrick Clabaut construit une sorte de harcèlement « subtil »

DEPUIS DES MOIS, CONTACTS PHYSIQUES AVEC LA VICTIME ,
QU'IL TUTOIE ET APPELLE « MA BELLE »...
MAINS AUTOUR DE LA TAILLE.... 

Des procédés de harcèlement à caractère sexuel pour faire taire celle dont son complice Deplanque prépare le licenciement.
"La Cour d’appel de Bordeaux quant à elle, a pu préciser que « La jurisprudence ne limite pas la notion de faveurs sexuelles au coït proprement dit, mais l’étend aux simples contacts physiques imposés et aux propos à connotation sexuelle dont l’objet est de provoquer la victime afin d’obtenir des faveurs de nature sexuelle ou de l’injurier en raison du refus ». (Arrêt de la Cour d’appel de Bordeaux, 1er octobre 1997).
Les contours de la notion de harcèlement moralLe code du travail et le code pénal s’accordent pour reconnaître que constituent un harcèlement moral « des agissements répétés ayant pour objet ou pour effet une dégradation des conditions de travail susceptible de porter atteinte à ses droits et à sa dignité, d’altérer sa santé physique ou mentale ou de compromettre son avenir professionnel »." (source)

IL EST ALLÉ JUSQU'A PARLER DE LA SANTE DE SA FAMILLE

 POUR MANIPULER LE CONSEIL D’ÉCOLE
ET EMPÊCHER QUE SOIT ÉVOQUÉE LA QUESTION

 DES VIOLENCES A ENFANTS
ET DE LA PROTECTION DES TÉMOINS


Ce sinistre personnage n'a aucune limite dans l'abjection.
On comprend qu'il ait évoqué une « lettre de la mairie » le vendredi 28 sans dire ce qui se préparait : la SCANDALEUSE SUSPENSION DE LA TÉMOIN. Il prétend ne rien avoir su de la suspension de Julie Amadis. Mais il reste encore des naïfs pour croire sur parole un tel glandeur harceleur.


Il va bien avec son collège qui proclamait hier son droit au "coup de pied au cul salvateur"



mercredi 2 avril 2014

OMERTA76; Le directeur de l'école Raspail Claude Auger revendique son droit d'utiliser la violence contre les enfants de l'école Raspail


ENCORE UN QU'IL VA FALLOIR DÉGAGER

Les parents du quartier Danton sont prévenus ; si le directeur de l'école frappe leur enfant, c'est pour on bien.

"UN COUP DE PIED AU CUL CA PEUT ETRE SALVATEUR" 
vient de dire Claude Auger directeur de l'école Raspail
devant l'Hôtel de Ville le 2 mars 2014