J'apprendrai donc par quelqu'un ta deuxième mort comme j'apprends aujourd'hui la mort de celle qui fut ma mère de 1953 à 1988.
Je ne sais pas si j'aurais le temps de rédiger ta nécrologie scientifique de double formois salopard arriviste bourreau d'enfants et d'Innovant inventeur créateur artistique."
Extrait de ma réponse à mon père lorsque, 2 semaines plus tard, il m'annonça la mort de ma mère
Hommage à 50% à mon père Roland Toutain décédé mercredi 26 févier 2025, 24 ans après ma propre mort dans la rue en novembre 2000 .... qu'avait espérée toute ma famille
Mon père est mort mercredi
Je ne l’apprends que aujourd’hui 1 mars 2025. Trois jours plus tard.
Roland Toutain est décédé à 94 ans.
Personne n’a jugé utile de me prévenir. C’est logique, puisque je suis mort pour ma famille depuis 1991. Ils m’ont fait passé pour fou avec la complicité des organisateurs (et des receleurs) de l’escroquerie contre l’Education Nationale.
Je l’ai appris ce samedi matin par une tante (Lydie presque centenaire, la mère de mon extraordinaire cousine gentille Martine Merlier, une des preuves de la bonté de l’espèce humaine que je conserve et chérit précieusement depuis mes dix ans), tante rencontrée totalement par hasard dans un supermarché près du square Saint Roch.
Le 4 mai 2017 j’avais répondu à l’annonce (deux semaines après) du décès de ma mère Suzanne où figurait ce passage
« Je ne sais pas si j'aurais le temps de rédiger ta nécrologie scientifique de double formois salopard arriviste bourreau d'enfants et d'Innovant inventeur créateur artistique »
J’aurais donc vécu 25 années de plus.
Puisque j’ai failli mourir en novembre 2000.
J’étais destiné par eux à mourir il y a 25 ans
Puisque les amis PCF de ma famille – incluant mes cousins enseignants PCF , les premiers à me faire passer pour fou « qui pétait plus haut que son cul » (comme me l’avait élégamment répété (ou résumé) mon père) avaient organisé avec le maire d’Harfleur mon expulsion et ma transformation en SDF
Mon langage informatique Bizouk (deux fois primé en 1987) permettant aux enfants de 5 ans de comprendre les logarithmes était « péter plus haut que son cul ».
Et puisque Jospin n’avait pas eu l’intelligence de réparer ce que Thierry Breton avait cassé avec René Monory….. ce n’est donc pas en 1997 que les enfants français allaient pouvoir profiter des jeux vidéos que les inspecteurs généraux avaient agréé en octobre 1987.
Car oui, les plus hautes sommités du pays, avec une intelligence supérieure à celle des médiocres instituteurs PCF de Gonfreville et d’Harfleur, avaient compris que mes jeux vidéos (comme mes méthodes pédagogiques en classe depuis 1975) allaient véritablement permettre aux enfants de cinq ans de comprendre que le logarithme de 9 en base 3 est deux.
Tout simplement parce que neuf petits cubes bleus attachés en 3 barres (vertes) puis en une plaque (rouge) formaient donc la forme n°2 . De la même façon que la couleur rouge était la couleur n°2 après la couleur n°1 – verte – et la couleur numéro zéro – bleue.
Tout enfant de cinq
ans est, de même, parfaitement capable de mimer 3 puissance deux
avec ses doigts.
Mais, croire possible que les enfants allaient
comprendre les retenues en comprenant les logarithmes auparavant
était « péter plus haut que son cul ».
Comme le
fait de comprendre qu’un arbre à 8 branches – en trois étages –
avait deux racines. La racine cubique de 8.
L’amusant dans
cette histoire c’est que le père insultant son fils « pète
plus haut que son cul » avait eu dans le passé une facette de
pédagogue extraordinaire : c’est à 12 ans que j’avais
appris que les logarithmes permettaient de remplacer des
multiplications par des additions.
C’était l’époque où
mon père utilisait quotidiennement sa règle à calculer…les
multiplications par des logarithmes.
Ils espéraient
tous que je meurs en cet hiver 2000 insupportable.
Mais ce n’est
pas arrivé. Le petit caillou dans la chaussure du
conformisme formois et de la complicité Franceàfric n’est pas
mort en 2000.
Julie Amadis m’a sauvé. Et elle a vécu 24
années avec moi.
J’ai survécu à cet hiver en dormant
dans sa voiture.
Une voiture d’occasion qui avait été
son cadeau d’anniversaire de ses vingt ans le 1° août 2000. Une
voiture que ses parents vinrent lui confisquer au Havre pour la punir
d’avoir aidé un SDF 27 ans plus vieux qu’elle. Ce fut la seule
et unique fois où je vis mes beaux-parents.
J’ai eu droit à
24 années de vie supplémentaires. Avec elle.
25 ans en
novembre prochain mais sans elle.
Et mon père aura donc vécu
24 années de plus que l’année de ma mort espérée par toute ma
famille.
Il pourra s’être consolé – s’il l’a su –
que ma compagne révolutionnaire s’est soudainement
dé-révolutionnarisée le 10 octobre 2024 et est devenue déserteuse
de la révolution africaine en rejoignant ses bourreaux familiaux.
Ses parents qui avaient en 2014 rejoint le complot de Belkacem et des
deux inspecteurs d’Académie, harceleurs des témoins de violences
à enfants. La mère de Julie voulait en 2014 que Julie s’excuse
auprès des bourreaux des enfants ….. s’excuser d’avoir vu des
enseignants frapper des enfants de 3 et 4 ans, s’excuser d’avoir
cru la mère d’élèves auprès de qui un des enfants de son école
« mon maître me bat » avait témoigné.
Julie avait
chanté en 2007 sur ma chanson « La Brute soutient la Brute »
et avait refusé à son inspecteur en 2013 d’accepter l’idée que
je puisse effacer cette chanson – toujours en ligne sur
Youtube
Julie Amadis était devenue paria « révoquée
pour atteinte à la république française » de la même façon
que j’étais devenu paria en 1991 quand je « pétais plus
haut que mon cul ».
UN VILLAGE FRANÇAIS
Il y a un épisode
extraordinaire de la série « Un village français » où
le héros (communiste sincère) Marcel Larcher est emmené voir son
père mourant par son frère notable « Le docteur Larcher ».
La
scène se passe exactement comme l’avait prévu le résistant. Son
père non seulement ne présente aucune excuse pour ses propos passés
mais en remet une couche. A l’approche de la mort, il lui faut
encore une nouvelle fois humilier son adversaire politique – son
fils.
C’est exactement ce qui se serait passé si d’aventure
un « docteur Daniel Larcher » de ma famille m’avait
convaincu d’aller rendre une visite à mon père.
Cela dit,
contrairement à Marcel Larcher, je sais ce que je dois à mon père.
Car, effectivement, il ne fut pas uniquement un bourreau qui me
frappa toute mon enfance (ma mère avait commencé quand j’avais 2
ans…. Elle s’en était vantée le même jour où elle s’était
vanté de me voler les fruits que m’avait donnés Madame Lepeudry,
une de mes fées, [mes fées sont tous ces personnes qui me renvoyant
une image très positive et un gros potentiel de moi-même] Mme
Lepeudry qui avait prédit que je deviendrai « capitaine au
long court » comme l’avait été feu son mari.)
Mon père
avait commencé à me frapper plus tard. Cela n’avait cessé que
lorsque – juste avant mai 68 il me semble – on habitait rue de
Rivoli – je l’avais frappé à mon tour…. Je devais avoir 14
ans…. Il fut stupéfait. Quitta ma chambre. Revint dix minutes plus
tard. Me mit une nouvelle raclée pire encore….. Mon père était
un sportif …..
Mais les violences cessèrent ensuite. Et mon
frère bénéficia de ma résistance.
Les complices et comparses
de François Bayrou et de Najat Vallaud Belkacem – enseignants
agresseurs du Havre, ainsi que leurs complices et protecteurs
policiers, magistrats, inspecteurs, rectrice de Rouen ne peuvent
espérer aucune prescription de la part des juges révolutionnaires
que j’aurais peut-être l’occasion d’accréditer si je vis
assez vieux pour voir l’humanocratie s’installer en France, comme
en Afrique, comme dans le monde.
Avec une citation particulière
pour les dirigeants de Médiapart qui viennent de me bannir de mon
blog – en m’accusant de diffamation pour avoir copié collé la
réponse d’une machine intelligente DeepSeek narrant le harcèlement
subie par la lanceuse d’alerte anti violences à enfants Julie
Amadis.
J’avais eu l’occasion de mettre mon père face
à lui-même
Le 29 avril 2017, 17 jours après le décès de ma
mère Suzanne Jigozo Toutain, je reçus ce message sur Facebook
« bonjour
yanick,sans d'autres moyens de te contacter,je suis au regret de
t'annoncer le décès de ta mère le 12 avril 2017. »
Découvrant
tardivement cet envoi, c’est le 4 mai 2017 que je lui postai ma
réponse
OK
Mais tu pouvais te douter que moi-même étant déjà mort pour vous deux depuis 30 ans, (depuis que vous ayez cru utile à votre réputation sociale de rejoindre il y a 30 ans le camp de ceux qui sabotaient à tout prix la sortie de mon projet informatique Bizouk pour des raisons politiques, pédagogiques et parce que l'éditeur FIL avait servi de "pompe à fric" pour le PS, le PCF et la droite), j'ai considéré de la même façon que vous étiez vous aussi morts pour moi.
Un fils mort pour ses parents ne pouvait légitiment que considérer que la logique imposait que ses propres parents soient déjà morts à ses yeux.
J'ai bien vécu avec cela.
Sans pour autant m'interdire d'intégrer mes découvertes scientifiques fondamentales en humanologie dans ma compréhension de pourquoi j'avais eu à la fois un père formois arriviste putassier avec les stalinofascistes PCF .... capable de me rouer de coups pendant plus de dix ans
.... et à la fois ..... tout en étant un Innovant photographe, dessinateur et bricoleur créatif capable de me fabriquer la copie des pupitres des dessinateurs de Walt Disney..... et de se faire remarquer dans des expositions photographiques comme la récente sur Gonneville....
Cette schizophrénie de bourrreau d'enfants et d'Innovant passant à côté de son destin t'aura pourri ta vie.
Pas la mienne.
Sauf peut-être le rôle (que j'apprendrai sans doute un jour ) que vous aurez certainement eu à l'égard de Frédric pour participer à transformer un adolescent de 15 ans extraordinaire et révolutionnaire en abruti arriviste à ton image, minable attaché parlementaire d'une pute député osant présenter comme candidat de son parti Nouvelle Donne un terroriste persécutant son père depuis 2011.
Tu n'avais pas voulu t'excuser pour la face pourrie de ton caractère. Tu en as subi les conséquences par la mort précoce de ton ainé..... pour vous.....
J'apprendrai donc par quelqu'un ta deuxième mort comme j'apprends aujourd'hui la mort de celle qui fut ma mère de 1953 à 1988.
Je ne sais pas si j'aurais le temps de rédiger ta nécrologie scientifique de double formois salopard arriviste bourreau d'enfants et d'Innovant inventeur créateur artistique.
YT
PS J'ai découvert un document extraordinaire sur Emile Toutain
Pour qui j'ai certainement plus de respect que tu n'en as jamais eu pour lui.
(Après avoir compris que vous aviez tous menti et qu'il était en réalité non pas un pro Napoléon choisissant les prénoms de Kléber et de Marceau..... pour ces raisons, )
(après que Yvette m'ai appris qu'un autre enfant allait avoir un prénom de REVOLUTIONNAIRE de l'EPOQUE ROBESPIERRISTE et non napolénonienne)
.... j'ai découvert un document sur un journal havrais par lequel Emile et Marguerite avait déclaré PUBLIQUEMENT faire SEPARATION DE CORPS
Après avoir envisagé un proto divorce Emile Marguerite (pour des raisons inavouables), il me semble maintenant que cela pourrait bien plutôt avoir lien avec des raisons POLITIQUES.
Emile MILITANT possiblement CONTRE LA GUERRE en tant qu'ANARCHISTE anarcho syndicaliste aurait pu PROTEGER LEURS BIENS contre des saisies mobilières en utilisant cette ruse....…
Il
n’y eut aucune réponse
Cette schizophrénie de mon père,
j’eus une dernière fois l’occasion de la lui
Bonjour Roland (50% père extraordinaire 50% bourreau) Je m'adresse au premier, celui qui me construisit un pupitre d'animateur de Walt Disney pour mon Noel 1964 et m'expliqua les logarithmes à ? 12 ans.... entre autres.
L'administration me réclame ton adresse pour m'autoriser à me marier. Mais plusieurs personnes sont dans l'annuaire avec ton nom. Par ailleurs j'ai reçu de surprenants messages de Sandrine qui m'ont rappelé des souvenirs du 21 rue Louis Blanc en 1964. Pour quelle raison m'écrit-elle alors que tu connais mon adresse Facebook, pourquoi évoquer un notaire sans que ce notaire me contacte ici ou sur courriel comme Sandrine a su le faire. Je lirai avec attention tes explications ou celles d'un notaire dont tu me donnerais les coordonnées. PS Je ne vois plus sur Facebook tes échanges humoristiques avec Alain Bar.
Je n’eus pas plus de réponse que la fois d’avant. J’étais donc bel et bien mort.
La mère de ma mère m’avait ressuscité momentanément mais ce ne fut que l’espace d’un quart d’heure. Deux semaines après la mort de ma mère.
De la partie innovante de la vie mon père, en sus des photos qui accompagnent l’article, il y aurait matière à un ouvrage. Dont je doute que qui que ce soit de la famille s’en chargera un jour.
L’article« Le Côte d’Albatre » que je reproduis est un exemple de « fierté » que je peux avoir pour le schizophrène souvent méchant qui m’a enfanté…
"Roland
Toutain revient au Belami pour exposer ses derniers clichés, une 5e
exposition placée sous le signe du rire, du sourire. Si l’oeil
reste toujours aussi curieux pour saisir un détail, l’insolite
d’une situation, il a eu envie de changer, d’offrir autre chose.
Son regard s’est fait malicieux, ses compositions, se sont empreintes d’une certaine loufoquerie. Son humour le porte à voir autrement une « scène ordinaire » à la parer d’une drôlerie, d’un comique, à détourner un écriteau… A travers les vingt-sept photographies prises au cours de ses balades dans Gonneville-La-Mallet et ses environs, Roland nous invite à sourire avec des légendes humoristiques, cocasses « Prises de bec, R’cule donc un p’tieu… », à regarder différemment et pourquoi pas imaginer une autre légende ! Une exposition à découvrir jusqu’à 28 février et qui confirme tout le talent de Roland Toutain, la maîtrise de son art. Un photographe qui a aussi une belle plume de poète, l’occasion de découvrir son poème « Le photographe menteur » Un livre d’or est à la disposition du public.
Le Côte d’Albâtre
....
le schizophrène souvent méchant qui m’a enfanté…. En m’en
faisant le reproche toute mon enfance…. Pour l’avoir contraint à
épouser ma mère.
A
l'époque où je comptais encore sur mes doigts j'avais découvert et
compris qu'un enfant né en décembre avait été conçu en mars 1953
et donc deux mois avant le mariage de mes parents en mai.
Il y avait des dessins de nus de mon
père faits au crayon. Au
fond des armoires, mélangés
avec des revues pornographiques scandinaves. J’avais trouvé ça
dans les années 1964 -65. J’avais dix ou onze ans.
Des
documents extrêmement pédagogiques.
Ma technique graphique n’a
jamais atteint le dixième du niveau artistique de mon père en
dessin.
Je n’avais aucune jalousie particulière. Ce genre de
chose aurait pu être un défi.
Lui par contre n’aurait jamais
accepté que je le double sur son terrain. Mon premier serrage de
main du ministre Monory de février 1987 (concours MicroPresse FIL)
et le second serrage de main d’octobre 1987 (mon logiciel unique
sélectionné
pour la maternelle, un des trois pour l’élémentaire et un des 33
pour le collège) faisait monter chez lui une jalousie grimaçante.
Toute mon enfance, il ne fallait pas qu’une cousine
s’intéresse trop à moi. Soit il la dragouillait, soit il la
dénigrait méchamment en la faisant passer pour une « Bécassine »
stupide.
Le machisme était sa culture.
Il avait interdit à
ma mère de travailler. Elle se consola plus tard en devenant
nourrice.
Quand j’avais dix ans, j’avais menacé mes
parents d’aller les dénoncer à la police. Ils m’avaient ri au
nez. Ils avaient raison. En 2014 à l’école Valmy deux policiers
faisaient de la propagande pro-fessées.
1964 c’était la
grande époque des Bétharram partout.
Quand mon instituteur
monsieur Feras me frappait, toute plainte de ma part rentré à la
maison avait comme réponse une félicitation pour cet instituteur
modèle.
Sa
vie professionnelle fut comme le reste : innovante, conformiste
et collabo. Il passa d’ajusteur chez Bréguet à chômeur, puis
gardien de vestiaire, maitre-nageur puis il chauffa l’eau de la
piscine municipale. Fut mon modèle d’adulte étudiant la
résistance des matériaux pour devenir adjoint technique au service
architecture. « Gestapo » surveillait les ouvriers.
C’était son surnom et il était parfaitement mérité selon l’un
d’entre eux. Il obtint donc de Daniel Colliard PCF une promotion
« chef du garage » avec pour mission « mater les
syndicats ». Il se vantait en famille d’avoir été mis à ce
poste par les communistes pour mater les ouvriers.
Moi, il ne
m’a jamais maté.
Ce texte en fait foi.