L'économie positive de Attali c'est soutenir le recrutement DAECH Timber Sycamore au Havre en faisant du brouillard autour des terroristes Qaradawi

par Yanick Toutain

L'Havrais Vérité

13/9/2016

Edouard Philippe est l'héritier de la French Connexion.
Les Havrais ne sont pas prêts de voir la drogue et les terroristes islamofascistes disparaître de la ville !
Pour être l'invité de Bilderberg,le  congrès mondial du capitalisme terroriste il faut donner des gages :
Le Havre est un des principaux nids fascistes de la secte de Qaradawi, l'idéologue de DAECH.

if @SalmanRushdie visit my city #LeHavre+support #EdouardPhilippe
I call you #WhoreOfTerroristCapitalism#LHForum16 pic.twitter.com/LiGz27rohL

— Yanick Toutain (@YanickToutain) 12 septembre 2016

Le maire du Havre soutient les fascistes, les agresseurs d'enfants, les flics racistes et assassins.
Tout cela est logique.
Il est le successeur d'Antoine Rufenacht, l'alcoolique qui volait le champagne sur le port avec sa bande de gangsters du SAC, les assassins de Jacques Foccart et de Charles Pasqua.

Quand les voleurs et faux-monnayeurs du SAC de Pasqua et de Rufenacht protégeaient le 1° ministre Raymond Barre au Havre

un article "oublié" du PS

paru dans "L'Unité " le 16 juin 1978

Signé par Emmanuele Plas

pédagogiquement exhumé
sur l"Havrais Vérité

par Yanick Toutain

pour que les jeunes sachent
 qui était Charles Pasqua

"Et, s'il est vrai qu'il est plus facile d'intervenir à Paris qu'en province,
 il me semble difficile d'étouffer une affaire de faux billets :
 la Banque de France et le ministère des Finances n'aiment pas du tout ça. "
Une affaire de plus où le " milieu " et les milieux politiques de droite sont étroitement mêlés.
Quant au Sac —
cette organisation de police parallèle
 née il y a vingt ans —,
183 de ses membres
ont déjà été inculpés
 dans des affaires pénales."

Edouard Philippe est l'héritier de la French Connexion.
Les Havrais ne sont pas prêts de voir la drogue et les terroristes islamofascistes disparaitre de la ville !
Pour être l'invité du congrès mondial du capitalisme terroriste il faut donner des gages :
Le Havre est un des principaux nids fascistes de la secte de Qaradawi, l'idéologue de DAECH.

Salman Rushdie venu au Havre participer à l'opération de CAMOUFLAGE par Edouard Philippe de Timber Sycamore Le Havre :  soutien de la bourgeoisie locale à la répression antisyndicale, à la répression des révolutionnaires pro Sankara et anti Bolloré, soutien de la bourgeoisie locale aux profs agresseurs d'enfants, aux flics racistes tueurs de jeunes et aux  islamofascistes QARADAWI appelant aux attentats suicide sur la ville du Havre




Economie positive = baratin de Jacque Attali larbin des capitalistes pour camoufler leur soutien aux terroristes du plan Timber Sycamore de Hillary Clinton Barack Obama et Robert Gates
Le Havre est le centre du groupe des terroristes Qaradawi
Le maire de la ville du Havre, Edouard Philippe, Young Leaders et invité Bilderberg prête des salles municipales aux miliciens terroristes du chef idéologique de DAECH Youssouf Qaradawi recherché par Interpol

CHAPITRE 1 Qu’est-ce que l’économie positive ? L’ÉCONOMIE POSITIVE EST FONDÉE SUR LA PRISE EN COMPTE DU LONG TERME L’économie positive rassemble, par définition, toutes les entités qui produisent des biens ou des services, marchands ou non marchands, privés ou publics, et qui souhaitent être utiles aux générations suivantes.  L’économie positive vise donc à réconcilier la démocratie, le marché et le long terme ;  à rendre compatibles l’urgence du court terme et l’importance du long terme.  L’économie positive considère le monde comme une entité vivante, qu’il convient de protéger et de valoriser et dont l’humanité n’est qu’une des dimensions. L’économie positive n’oppose pas de façon manichéenne un modèle de croissance, qui serait « négatif », car destructeur de la planète, à un modèle de décroissance qui serait « positif », car protecteur du long terme.  Elle s’écarte radicalement des théories de la décroissance ou de la croissance zéro, du luddisme du XIXe  siècle ou de ce qui a pu être interprété – non sans méprise – du rapport « Meadows » du Club de Rome intitulé Halte à la croissance ? en 1972. L’économie positive suppose en fait une réorientation profonde de la production par des investissements et donc de la croissance. Une entreprise positive considère que le bien-être de ceux qui la composent, dirigeants et salariés, et de ses actionnaires n’est pas sa seule raison d’être : elle doit, au-delà du profit et des salaires, créer des services utiles à la collectivité présente et future. En particulier, elle doit s’intéresser à améliorer la qualité et la durabilité de son environnement écologique et social. L’économie positive vise à permettre à chacun d’apporter une réponse claire à la question qu’il peut se poser après une journée de travail : « Suis-je utile à la société, d’aujourd’hui et de demain ? À quoi est-ce que je contribue ? Mon travail a-t-il du sens ? Est-ce que je participe à la construction ou au contraire à la destruction du monde de demain ? »

si un capitaliste intégrait " LA PRISE EN COMPTE DU LONG TERME" ... il se suiciderait ! Il s'annihilerait en tant que membre d'une classe parasite. Le capitalisme est la phase ultime de la strate des parasites " L’économie positive rassemble, par définition, toutes les entités qui produisent des biens ou des services, marchands ou non marchands, privés ou publics, et qui souhaitent être utiles aux générations suivantes." Ce qui exclut donc tous ceux qui consomment plus que le PIB moyen mondial. Et donc toutes les classes sociales. Bourgeoisie, formoisie, innovoisie, cachétoisie, égérioisie, gangsteroisie..."L’économie positive vise donc à réconcilier la démocratie, le marché et le long terme "; Comme DEMOcratie est le pouvoir du DEMOs on comprend pourquoi Attali vient soutenir les terroristes Qaradawi. Le Demos ils étaient 21000 à posséder 400000 esclaves " à rendre compatibles l’urgence du court terme et l’importance du long terme." baratin " L’économie positive considère le monde comme une entité vivante, qu’il convient de protéger et de valoriser et dont l’humanité n’est qu’une des dimensions." On comprend le mépris des capitalistes pour les 100 millions d'enfants africains morts en 25 ans. " L’économie positive n’oppose pas de façon manichéenne un modèle de croissance, qui serait « négatif », car destructeur de la planète, à un modèle de décroissance qui serait « positif », car protecteur du long terme." Pur baratin de voyous pillards consommant plus de 10 parts chaque mois. " Elle s’écarte radicalement des théories de la décroissance ou de la croissance zéro, du luddisme du XIXe  siècle ou de ce qui a pu être interprété – non sans méprise – du rapport « Meadows » du Club de Rome intitulé Halte à la croissance ?en 1972." Baratin VS baratin " L’économie positive suppose en fait une réorientation profonde de la production par des investissements et donc de la croissance." La révolisation le fera : en abolissant le capitalisme et en donnant part égale à chacun sur Terre.  "Une entreprise positive considère que le bien-être de ceux qui la composent, dirigeants et salariés, et de ses actionnaires n’est pas sa seule raison d’être :" Attali s'appuie donc sur les jihadistes du Havre pour protéger le capitalisme " elle doit, au-delà du profit et des salaires, créer des services utiles à la collectivité présente et future. " Baratin dans une ville où des jeunes dorment dehors. Des enfants de 7 ans apprenaient à lire le jour - Antonio - en retournant dormir sur le trottoir la nuit. "En particulier, elle doit s’intéresser à améliorer la qualité et la durabilité de son environnement écologique et social." Ba Baratin d'ennemi des TRC L’économie positive vise à permettre à chacun d’apporter une réponse claire à la question qu’il peut se poser après une journée de travail : « Suis-je utile à la société, d’aujourd’hui et de demain ? À quoi est-ce que je contribue ? Mon travail a-t-il du sens ? Est-ce que je participe à la construction ou au contraire à la destruction du monde de demain ? » On connait la réponse : ces gens sont des Parasites qui sont coupables de la mort de centaines de millions d'enfants. Le soutien d'Edouard Philippe et de Attali aux terroristes sert à saboter la révolution anticapitaliste. Ils repondront de leurs crimes devant nos tribunaux révolutionnaires   .

CHAPITRE 1 Qu’est-ce que l’économie positive ? L’ÉCONOMIE POSITIVE EST FONDÉE SUR LA PRISE EN COMPTE DU LONG TERME L’économie positive rassemble, par définition, toutes les entités qui produisent des biens ou des services, marchands ou non marchands, privés ou publics, et qui souhaitent être utiles aux générations suivantes. L’économie positive vise donc à réconcilier la démocratie, le marché et le long terme ; à rendre compatibles l’urgence du court terme et l’importance du long terme. L’économie positive considère le monde comme une entité vivante, qu’il convient de protéger et de valoriser et dont l’humanité n’est qu’une des dimensions. L’économie positive n’oppose pas de façon manichéenne un modèle de croissance, qui serait « négatif », car destructeur de la planète, à un modèle de décroissance qui serait « positif », car protecteur du long terme. Elle s’écarte radicalement des théories de la décroissance ou de la croissance zéro, du luddisme du XIXe  siècle ou de ce qui a pu être interprété – non sans méprise – du rapport « Meadows » du Club de Rome intitulé Halte à la croissance ?1 en 1972. L’économie positive suppose en fait une réorientation profonde de la production par des investissements et donc de la croissance. Une entreprise positive considère que le bien-être de ceux qui la composent, dirigeants et salariés, et de ses actionnaires n’est pas sa seule raison d’être : elle doit, au-delà du profit et des salaires, créer des services utiles à la collectivité présente et future. En particulier, elle doit s’intéresser à améliorer la qualité et la durabilité de son environnement écologique et social. L’économie positive vise à permettre à chacun d’apporter une réponse claire à la question qu’il peut se poser après une journée de travail : « Suis-je utile à la société, d’aujourd’hui et de demain ? À quoi est-ce que je contribue ? Mon travail a-t-il du sens ? Est-ce que je participe à la construction ou au contraire à la destruction du monde de demain ? »