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lundi 28 septembre 2015

La rectrice voyou de Rouen Claudine Schmidt-Lainé volait l'Education Nationale en même temps qu'elle protégeait les profs agresseurs d'enfants du Havre

Julie Amadis
prof anti-violences à enfants
victime du harcèlement
de la rectrice de Rouen
Claudine Schmidt-Lainé




par Yanick Toutain
28/9/2015




Le courrier de Julie Amadis à la rectrice Claudine Schmidt-Lainé (se plaindre de harcèlement suite à témoignage de violences en 2008 et signaler 4 autres cas a déclenché des sanctions terribles : suspension de la témoin et protection d'un nouvel agresseur)



APRES LE HARCELEMENT DE LA RENTREE 2013, JULIE AMADIS AVAIT ECRIT A LA RECTRICE DE ROUEN (extraits)



"...... cet inspecteur censé me protéger est venu - le 26 septembre 2013 peu après 16h -, faire pendant mon temps de classe, en présence de mes élèves, dans la classe et devant un témoin, la directrice de Valmy 2, un harcèlement moral totalement inacceptable: Une menace à peine déguisée de recommencer le licenciement abusif dont j'ai été victime en 2008 par ses soins et un réseaux ad hoc.


- Le fait que votre prédécesseur de 2008, Recteur de Seine-Maritime, n'ait pas jugé bon de répondre à mon courrier de juin 2008 malgré les graves accusations qu'il contenait. (Et malgré le fait que, 4 mois plus tard, j'ai été agréée, par le Rectorat, à travailler comme institutrice suppléante dans l'enseignement privé catholique). J'attends encore la réponse à ce courrier de 2008 qui permettra de clarifier qui mentait dans les violences commises à l'école maternelle Varlin concernant Kévin (3 ans) et Luciano (4 ans)."



LA RECTRICE VOLAIT DANS LA CAISSE :
LE PROCUREUR DE ROUEN LANCE L'ENQUETE CONTRE LA RECTRICE VOYOU


Pour les vols dans la caisse, commis par l'ex rectrice voyou de Rouen on est obligés de faire confiance au procureur de Rouen.
On va supposer que ce n'est pas un procureur voyou comme le procureur de Rennes - Francis Nachbar - ex-procureur de la République au Havre.
On va supposer que le procureur de Rouen Jean-François Bohnert n'est pas un menteur auteur de faux en écritures publiques, on va supposer qu'il n'a jamais été conseiller d'un dictateur africain - comme l'assassin Eyadéma du Togo, on va supposer qu'il n'a jamais commis d'agressions en Belgique contre une innocente en garde à vue, on va donc supposer qu'il n'a pas - comme son ex-collègue du Havre - été l'objet d'un signalement pour cette agression par le procureur du Roi belge auprès du Procureur Général de Reims.
On va donc supposer que Jean-François Bohnert dit la vérité
 "Nous sommes dans la sphère du détournement et l'enquête est fondée sur des faits d'abus de confiance, faux et usage de faux", a expliqué le procureur de Rouen, Jean-François Bohnert. (source Le Figaro)


Les notes de frais de l'ancienne rectrice de Rouen passées au crible

Midi Libre-il y a 2 heures
Voyages en avion, notes de restaurant, frais de représentation : les enquêteurs du SRPJ de Rouen vont devoir éplucher toutes les factures de ...
Rouen: enquête sur l'ancienne rectrice
Le Figaro-il y a 3 heures

Voyages en avion, notes de restaurant, frais de représentation : les enquêteurs du SRPJ de Rouen vont devoir éplucher toutes les factures de la rectrice qui aurait par exemple, selon Paris-Normandie, voyagé en classe affaires sur un vol Paris-Montréal, alors que l'Etat n'autorise que la classe économique. (France 3)

PROTECTRICE DES PROFS AGRESSEURS DU HAVRE

Mais cette rectrice voyou avait un comportement qui lui vaudra les foudres de la (vraie) justice au moins depuis le mois de novembre 2013.
Julie Amadis lui avait écrit pour lui signaler le harcèlement dont elle était victime de la part de l'inspecteur Patrick Deplanque - celui qui, depuis 2008 (au moins) a comme principale occupation la protection des profs agresseurs d'élèves dans les écoles

LE COURRIER DE JULIE AMADIS A LA RECTRICE SCHMIDT-LAINE


 Julie Amadis
Professeur des Écoles
Affectée à l'école Valmy 1 (75 %) et Valmy 2 (25 %) le 01/09/2013
XXXXXXX
76600 Le Havre
06XXXXXX
XXX@XXX


Madame la Rectrice de Seine-Maritime


transmis directement vu l'urgence
copie Mr le Directeur Académique
copie à Mr le Directeur Académique adjoint en résidence au Havre
copie à Mme l'IEN adjointe au directeur académique
transmettre copie à IEN Mr Patrick Deplanque

Cinq motifs principaux m'incitent à me tourner vers vous
- Le fait que je refuse d'être inspectée par l'IEN Mr Patrick Deplanque et que j'invoque la législation du refus d'inspection pour refuser toute inspection.
- Le fait que cet inspecteur censé me protéger est venu - le 26 septembre 2013 peu après 16h -, faire pendant mon temps de classe, en présence de mes élèves, dans la classe et devant un témoin, la directrice de Valmy 2, un harcèlement moral totalement inacceptable: Une menace à peine déguisée de recommencer le licenciement abusif dont j'ai été victime en 2008 par ses soins et un réseaux ad hoc.
- Le fait que votre prédécesseur de 2008, Recteur de Seine-Maritime, n'ait pas jugé bon de répondre à mon courrier de juin 2008 malgré les graves accusations qu'il contenait. (Et malgré le fait que, 4 mois plus tard, j'ai été agréée, par le Rectorat, à travailler comme institutrice suppléante dans l'enseignement privé catholique). J'attends encore la réponse à ce courrier de 2008 qui permettra de clarifier qui mentait dans les violences commises à l'école maternelle Varlin concernant Kévin (3 ans) et Luciano (4 ans).
- Le fait que j'ai été informée que certain secrétariat de Rouen faisait campagne contre moi.
- Le fait, enfin, que l'information que je faisais auprès de parents de mes élèves des années précédentes concernant les maltraitances dans l’Éducation Nationale m'a fait découvrir avant-hier un quatrième cas de violences à enfants du primaire au Havre.
Ce 4° cas (de violences réitérées sur "plusieurs enfants" de maternelle) concerne, cette fois-ci , une école du centre ville. Et non des quartiers défavorisés pour lesquels on m'avait fait comprendre en 2008 qu'il était quasiment légitime d'user contre ces enfants de violences physiques. Je suppose qu'il doit exister, au Havre, plusieurs dizaines de cas du même genre.
Dans la mesure où mon témoignage de 2008 n'avait été pris au sérieux et que l'on avait fini par me traiter de "menteuse" (cf la déclaration qui m'avait été lue par le policier) , je ne peux prendre le risque que ce même inspecteur mentent concernant son observation de la classe, c'est pour cette raison que je refuse qu'il entre dans ma classe. J'ai déjà été visitée dans le passé mais pas par quelqu'un qui
1° m'a traité de menteuse
2° a orchestré le harcèlement subi et mon renvoi (non renouvellement de contrat)
3° vient "régler des comptes" 5 ans plus tard en commençant une campagne à mon encontre à peine il prend ses nouvelles fonctions.
La terreur qui règne contre les témoins fait que, dans les 3 cas qui m'ont été rapportés, ceux qui ont vu ces violences ne veulent pas témoigner.
Ils sont confortés dans leurs crainte par la perte de mon emploi d'assistante pédagogique en 2008 avec l'indifférence totale de votre prédécesseur, de l'Inspecteur d'Académie en résidence au Havre (qui, à l'époque, avait annoncé qu'il allait me convoquer), du maire du Havre que j'avais rencontré à l'époque et qui ne fit absolument rien contre les auteurs de violences ni en faveur de celle qui témoignait).
Tout cela eut comme résultat, outre la perte de mon emploi par non renouvellement de contrat, une tentative de condamnation par la justice de celle qui avait témoigné et du blogueur qui me soutenait.
Une justice qui "oublia" d'enquêter sur les faits de violences.... et qui dû néanmoins classer cette plainte contre moi.
L'indifférence de votre prédécesseur eut donc comme résultat que c'est la témoin des violences qui fut la seule à être sanctionnée et que les diffamateurs et menteurs s'en sortirent la tête haute. Ainsi que les auteurs des violences évidemment.
Par ailleurs, j'ai appris que des conseillers pédagogiques en réunion de circonscription de rentrée avaient entendu l'IEN Deplanque mener campagne contre moi en leur donnant une information diffamatoire à mon encontre.
En réitérant mon annonce de refus d'inspection, je vous prie, madame de prendre enfin , au moins pour le Havre, les mesures urgentes en vue de protéger les enfants et les témoins. Que les témoins soient fonctionnaires ou auxiliaires.
Je peux vous affirmer que les témoins sont tellement terrorisés que même l'annonce d'une enquête officielle de votre part qui ne leur garantirait pas leur emploi serait insuffisante à reconstituer leur confiance en la légalité du fonctionnement interne à l'institution.
J'escompte que prochainement les syndicats mettront comme priorité la défense des enfants et des témoins. Le Conseil de l'Europe pèsera prochainement dans ce sens.
Je vous demande de prendre toutes dispositions nécessaires pour faire cesser immédiatement toutes nouvelles tentatives de harcèlement à mon encontre. En particulier dans le cas où - comme le le 26 septembre dernier - je suis en présence de mes élèves.
Il est insupportable de travailler pour des enfants avec la possibilité à tout moment de voir arriver dans ma classe un harceleur menaçant ironiquement de me faire une nouvelle fois chasser de l’Éducation Nationale.
Dans l'attente d'une réaction active de votre part en faveur des enfants ayant été battus au sein de l’Éducation Nationale au Havre depuis 2008 et d'une intervention protégeant mon statut et mes conditions de travail, veillez, Madame la Rectrice, recevoir l'expression de mes salutations respectueuses.

MENACES, SUSPENSION, EXCLUSION


La réponse à cet appel à l'aide ?
Une aggravation du harcèlement !

Julie Amadis exclue sans traitement pendant 2 ans ! OMERTA76 L'inspecteur d'académie Philippe Carrière punit la témoin des violences de 2008

par Yanick Toutain

ARRETE
ARTICLE 1 : La sanction disciplinaire de l'exclusion temporaire de fonctions pour une durée de deux ans est prononcée à l'encontre de Madame Julie Amadis à compte de la date de notification du présent arrêt.


Ce sont les deux complices de l'agresseur Léon Launay, les directeurs Patrick Clabaut et Brigitte Boniou qui avait été le relai du harcèlement orchestrée par la rectrice de Rouen







On espère que le Procureur de Rouen va élargir son enquête en intégrant à la fois l'article 40 du code de procédure pénale et l'article 222 13 du code pénal qui punit de 3 ans de prison les auteurs de violences légères dans les écoles



Le travail des policiers devrait être facilité par les investigations déjà entreprises en amont par ladirection régionale des Finances publiques (DRFIP) de Haute-Normandie. C’est cette administration qui a alerté la justice. L’article 40 du Code de procédure pénale dispose que « toute autorité constituée, tout officier public ou fonctionnaire qui, dans l’exercice de ses fonctions, acquiert la connaissance d’un crime ou d’un délit est tenu d’en donner avis sans délai au procureur de la République et de transmettre à ce magistrat tous les renseignements, procès-verbaux et actes qui y sont relatifs ».
L’achat en 2014 d’un billet d’avion aller-retour Paris-Montréal a conduit la DRFIP à s’intéresser de plus près à la comptabilité professionnelle de l’ancienne rectrice rouennaise. Alors qu’elle effectuait un déplacement professionnel au Québec pour participer à un colloque sur la problématique du décrochage scolaire, Claudine Schmidt-Lainé aurait réservé une place en classe Business alors que les textes administratifs prévoient que les fonctionnaires doivent voyager dans la classe la plus économique. « Le différentiel est d’environ 2 000 €. Cela peut ne pas sembler énorme, mais c’est une question de principe, de surcroît lorsque le fonctionnaire est un haut fonctionnaire... Forcément, les services fiscaux ont « gratté », et ils ont constaté d’autres choses qui semblent, à première vue, troublantes... », poursuit la même source.
Le « détournement de fonds publics » est puni de dix ans d’emprisonnement et d’une amende d’un million d’euros. (Source Paris Normandie qui a participé par l'insulte à la campagne de la rectrice)


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