Quand l'ex-maire du Havre Antoine Rufenacht appartenait à un gang de voleurs de champagne et de trafiquants de drogue et de fausse monnaie : le SAC de Charles Pasqua |
par Yanick Toutain
L'Havrais Vérité
6/7/2015
"Certes,
[le maire Antoine Rufenacht]
finit par donner raison
à José Laboureur :
ce ne fut pas surprenant,
le ministre Darcos en a fait tout autant."
infra
[le maire Antoine Rufenacht]
finit par donner raison
à José Laboureur :
ce ne fut pas surprenant,
le ministre Darcos en a fait tout autant."
infra
toujours lisible le site du SNALC
"DISTRIBUTION DE CLAQUES
"DISTRIBUTION DE CLAQUES
Le SNALC-CSEN deuxième syndicat le plus représenté
dans l’enseignement secondaire,
a remis hier en mains propres
à l’avocat de José Laboureur
les 26 025 signatures de la pétition nationale de soutien
qu’il avait lancée le 2 février 2008.
dans l’enseignement secondaire,
a remis hier en mains propres
à l’avocat de José Laboureur
les 26 025 signatures de la pétition nationale de soutien
qu’il avait lancée le 2 février 2008.
Seul syndicat dont les instances nationales
s’étaient déplacées au procès pour soutenir le professeur
auteur de la désormais célèbre « gifle de Berlaimont »
".....satisfaction de son avocat à l'annonce du verdict. "Je pense que la décision est modérée. C'est une décision d'apaisement du tribunal, a-t-il déclaré, mais nous pensions que le geste était commis dans l'exercice de sa profession." La défense, qui plaidait la relaxe, avait en effet tenté d'invoquer un "droit de correction". Ce droit, issu de la jurisprudence, permet, selon elle, à un professeur de recourir à la gifle, en dernier recours.
(JDD 2008)
s’étaient déplacées au procès pour soutenir le professeur
auteur de la désormais célèbre « gifle de Berlaimont »
".....satisfaction de son avocat à l'annonce du verdict. "Je pense que la décision est modérée. C'est une décision d'apaisement du tribunal, a-t-il déclaré, mais nous pensions que le geste était commis dans l'exercice de sa profession." La défense, qui plaidait la relaxe, avait en effet tenté d'invoquer un "droit de correction". Ce droit, issu de la jurisprudence, permet, selon elle, à un professeur de recourir à la gifle, en dernier recours.
(JDD 2008)
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L'ex-maire du Havre Antoine Rufenacht a protégé 2 agresseuses d'enfants pendant 6 ans ! Son complice Patrick Deplanque (inspecteur Education Nationale) lance de nouvelles menaces soutenu par le réseau OMERTA Monique Béaur de Rouen
Violence contre les enfants :
Nous avons discuté avec Antoine Rufenacht
sur un trottoir de l'avenue René Coty.
(un article Monsyte du 17 juin 2008)
Il arrive que des recherches Google effectuées par des protagonistes de scandales ou par des lâches témoins des activités de ces protagonistes fassent remonter à la surface des textes anciens de leurs méfaits jamais sanctionnés.
C'est ici une recherche "christiane marais peep" faite avant-hier sur Google qui présente en deuxième ligne cet article de 2008.
CHRISTIANE MARAIS PEEP 2008:
QUATRE MOIS DE SOUTIEN VERBAL
AVANT VOLTE-FACE SOUS LA PRESSION D'OMERTA76
Cette responsable de la 2°
association de parents d'élèves
du Havre avait, interrompu brutalement le soutien verbal qu'elle avait apporté pendant quatre mois à Julie Amadis, témoin de violences à enfants à l'école maternelle Varlin en janvier 2008, avant de faite volte-face tout à coup - à la mi-juin 2008,Christiane Marais avait été la seule - au moins en paroles à défaut de mener campagne en faveur des enfants battus par leurs professeurs - à soutenir Julie Amadis, de février à juin 2008. Son soutien avait consisté en divers conseils donnés lors de successives audiences accordées au local PEEP ou de rencontres impromptues dans un café du quartier du local.
Dans un premier temps Christiane Marais avait indiqué des noms de responsables Mairie et Rectorat à contacter "de sa part" pour réduire l'intensité de la répression à l'oeuvre contre Julie Amadis.
Mais tout à coup - le jour même de la rencontre avec le maire du Havre, Antoine Rufenacht relatée dans cet article, - elle annonça stopper le peu de soutien qu'elle apportait à Julie Amadis.
UNE DEMI-HEURE AVANT LA RENCONTRE
AVEC ANTOINE RUFENACHT
Nul doute que le réseau OMERTA76, le réseau des protecteurs des agresseurs d'enfants du Havre avait commencé à peser sur le faible conscience éthique de cette responsable PEEP.
Le prétexte invoqué par Christiane Marais pour n'avoir rien fait de plus et pour stopper toutes sortes de conseils était le fait que les parents des deux enfants ne l'avaient pas ..... contactée......
Un prétexte absurde et scandaleux concernant un enfant battu à l'école ET à la maison.
VERONIQUE COMBRET S'EST VANTEE DE TAPER UN ENFANT
QUE LE MAITRE G DE L'ECOLE VARLIN LUI AVAIT SIGNALE
COMME .....VICTIME DE VIOLENCES PARENTALES
Un prétexte scandaleux car la
directrice qui cognait ce malheureux enfant savait
évidemment par son instit
référent qu'il était tapé par ses
propres parents.Le maître G (ex-militant d'extrême-gauche) qui s'occupait de l'enfant victime avait dit à Julie Amadis au sujet du gamin
"Il s'en prend tellement chez lui"C'est donc en parfait hypocrisie que la responsable PEEP avait fini par refuser de soutenir Julie Amadis.
"Aucun parent n'est venu me voir"Comme si les parents de Caucriauville qui tapent leurs enfants allaient descendre au square St Roch visiter le local de la fédération de droite des parents d'élèves, notoirement médiatisée par un médecin activiste catholique - le docteur Antoine Lagarde...!!!!
Prendre prétexte de l'inaction des parents n'était que vilaine hypocrisie de la part de Christiane Marais.
Notons néanmoins que la FCPE fut encore plus lamentable..... mais ceux-là ont trop de lien avec des syndicats qui protègent les profs agresseurs pour qu'on puisse avoir les moindres illusions sur leur défense des enfants battus !!!
La responsable FCPE Corinne Guyader contactée au téléphone "prit note" et ne fit ...... strictement rien.
Rien d'étonnant à ce que les coups contre les enfants du Havre puissent continuer en 2014-2015....
RÉCOMPENSE POUR CHRISTIANE MARAIS ? :
LE CONSEIL ACADÉMIQUE DE L'EDUCATION NATIONALE
Son silence et sa passivité a donc été récompensée par le Rectorat et la préfecture de région.
Il est vrai qu'en quatrième ligne, on voyait apparaître le nom de cette personne sur une page déposée par la préfecture de Haute-Normandie.
On y découvre des noms de gredins et de syndicats dont l'activité, depuis 7 ans pour certains, a consisté à tout faire pour protéger les enseignants agresseurs du Havre.
Qu'il soit clair qu'aucun syndicat enseignant n'a fait quoi que ce soit pour empêcher la répression contre Julie Amadis, témoin de violences à enfants à l'école Varlin en 2008 : le simulacre de certains n'avait servi que de camouflage à leur honteuse complicité avec l'agresseuse Véronique Combret de l'école maternelle Varlin.
Les délégués syndicaux avaient fait semblant, en mars 2008, de "soutenir" Julie Amadis auprès de l'inspecteur d'académie et celui-ci avait fait semblant d'enquêter sur les agressions.
*L 'inspecteur d'Académie en résidence au Havre avait dit, le 19 mars 2008, à une délégation syndicale qu'il convoquerait Julie Amadis : il ne l'a jamais convoquée. (infra)
UNSA-FSU AGENCES DE RÉPRESSION
DES PROFS TEMOINS DE VIOLENCES à ENFANTS
Qu'il soit clair que les syndicats
UNSA et FSU ne sont plus des
syndicats mais des agences
para-gouvernementales de
répression des profs témoins de
violences : à l'unanimité leurs
représentants votèrent
l'exclusion pour deux ans de
Julie Amadis - victime en 2013
-2014 d'un nouveau complot
organisé par le même "chef-
comploteur" de 2008 :
l'inspecteur Patrick Deplanque,
marionnettiste de profession et
de hobby. Un inspecteur connu
pour avoir protégé trois
agresseurs d'enfants identifiés :
Véronique Combret, Léon
Launay et l'ATSEM Françoise
de Varlin. Et probablement un
quatrième si les récentes
révélations d'une parente
déléguée sur l'école Valmy sont
confirmées.
UNE EQUIPE MUNICIPALE PRO-VIOLENCES A ENFANTS
LA TRADITION RUFENACHT PRO-JOSE LABOUREUR
Relire cet article de 2008 montre que TOUTE l'équipe municipale d'Antoine Rufenacht trempe dans ce scandale. Le maire Edouard Philippe a maintenu en poste - en connaissance de cause - une agresseuse d'enfants, employée municipale. Et c'est son allié politique, l'infâme Olivier Jougla , Bâtonnier du Havre, avocat voyou (avocat menteur, avocat diffamateur et avocat insulteur... il sera poursuivi par nos JDR juges délégués révocables) qui s'est chargé de peaufiner la répression contre la témoin de violences , Julie Amadis et l'auteur de ce blog.
Les insultes des "journalistes" de Paris-Normandie, le Havre- Eclair de 2015 étaient conçues dans leur plan machiavélique comme le coup final.
Un procès dont L'Havrais Vérité n'a toujours pas eu connaissance officiellement : aucune demande de rectification, aucun commentaire posté par les plaignants, aucun courriel au responsable du blog..... Leur procès a eu lieu. L'auteur de ce blog n'en a toujours pas été informé.
Mis à part dans le compte-rendu torchon de Paris-Normandie.
Quant à Julie Amadis, convoquée sur la base d'un faux en écritures publiques du procureur Nachbar, ne s'étant pas présentée à l'audience (il parait qu'aucun avocat du Havre n'accepte de la défendre)
"Alors j'ai demandé quel avocat au Havre pourrait m'aider.La réponse a été très claire. Aucun avocat ne peut me défendre à part un. Et l'on me donne le nom du premier avocat que j'étais allé voir au printemps 2012..... J'étais poursuivie pour diffamation dans un article que je n'avais même pas lu.Il avait refusé de m'accompagner à la convocation policière en m'expliquant que je n"avais pas le droit de réclamer le statut de "témoin assisté".De façon peu aimable.La cour de Cassation lui avait donné tort le mois suivant et la plainte (lancée 11 mois après l'article que je n'avais pas écrit ) avait été classée sans suite par le procureur..... qui "oublia" de m'en informer..... comme il "oublia" aussi de répondre à mon courrier demandant le contenu de cette plainte)Ce vendredi matin, je me suis contentée de dire que cet avocat havrais, je l'avais déjà vu... mais que.... Il m'a coupé la parole en disant que si "ça passe pas avec lui...." (#ipeavaeafaf
La Maison de la Justice et du Droit ou la "justice pour les pauvres" en France
Les barbouzes Franceàfric et les profs agresseurs d'enfants sont tranquille au Havre
Les agres MARDI 17 JUIN 2008
violence contre les enfants : Nous avons discuté avec Antoine Rufenacht sur un trottoir de l'avenue René Coty.
Julie Amadis et moi
sortions du bureau de la
responsable de la PEEP-Le
Havre, Christiane Marais,
lorsque face à nous s'apprête à
traverser l'avenue René Coty, le
maire de la ville Antoine
Rufenacht.
Militant UMP RPR UDR UD 5°, il fut de toutes les aventures du gaullisme.
Nonobstant la frontière de classe qui nous sépare (le fossé), je me dirige vers lui au moment-même où il met le pied sur le passage pour piéton.
Il se retourne aimablement, fait demi-tour et m'écoute :
Militant UMP RPR UDR UD 5°, il fut de toutes les aventures du gaullisme.
Nonobstant la frontière de classe qui nous sépare (le fossé), je me dirige vers lui au moment-même où il met le pied sur le passage pour piéton.
Il se retourne aimablement, fait demi-tour et m'écoute :
"Monsieur le maire, pouvons nous faire front commun sur UNE chos e :on ne tape pas sur les petits de trois ans."
Nous lui avons rapporté la fessée contre le petit Kévin, trois ans, dont fut témoin Julie Amadis et la revendication de la directrice de la maternelle, Véronique Combret d'"en avoir fait autant" "avec Luciano", sans "avoir culpabilisé".
Il écouta.
Certes, il finit par donner raison à José Laboureur : ce ne fut pas surprenant, le ministre Darcos en a fait tout autant.
Mais tout en lui affirmant, que pour ma part j'avais soutenu le fils du gendarme et son père, pour éviter une polémique inutile, je lui ai rappelé qu'il s'agissait dans ce cas de petits de trois et quatre ans.
Julie Amadis réitéra son témoignage (elle avait déjà fait le signalement auprès du secrétaire de l'adjointe chargée de l'enseignement Dufour.)**
Lorsque, après près de 10 minutes d'échange, il tenta de conclure en renvoyant l'affaire en charge des services de l'Education Nationale, nous lui avons signalé que cela faisait plusieurs mois que ces faits délictueux s'étaient produits et que l'enquête n'a toujours pas eu lieu*.
Je lui ai fait remarqué que l'ATSEM qui était à l'origine de l'affaire en donnant une fessée au petit Kevin était employée, elle, employée municipale.
Il promit donc de se renseigner.
Nous nous saluâmes tous trois et reprîmes nos chemins.
===============
Va-t- on enfin trouver quelqu'un du camp d'en face, du camp du capitalisme, pour comprendre que faire du combat pour l'éradication de la violence n'est pas - EN TANT QUE COMBAT POLITIQUE - notre priorité, mais que, face au mensonge, à la calomnie dont se sont rendues coupables les deux brutes qui ont tapé et celle qui les protège, nous n'avons pas d'autre choix que d'élargir de plus en plus la surface de la médiatisation télématique en faisant connaître les positions que chacun prend dans cette affaire.
Des membres de classes exploiteuses devraient enfin reprendre leurs esprits et se décider à faire cesser la violence contre les petits de trois ans AVANT la révolution.
*L'inspecteur d'Académie en résidence au Havre avait dit, le 19 mars 2008, à une délégation syndicale qu'il convoquerait Julie Amadis : il ne l'a jamais convoquée.
De plus, menacée d'une interruption de son salaire, elle avait eu au téléphone le responsable des affaires juridiques du rectorat de Rouen le 27 mars.(sur le double conseil de madame Marais de la PEEP du Havre et de la responsable du SNES de Rouen.)
**Julie me signale qu'elle a envoyé - de surcroit - un mail à la chef du service de coordination et gestion du personnel, de la mairie du Havre, madame Martinet, le 19 mai 2008.
Cette madame Martinet a répondu le lendemain que le nécessaire avait été fait : [le détail sera donné par Julie Amadis dans sa chrono, en finalisation d'édition]
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