Chokri Belaïd, Cabu, Charb, Mohamed Brahmi, Wolinski assassinés par le même réseau islamofasciste dirigé par l'organisateur de la terreur en Tunisie Boubaker al-Hakim et dont le "gourou" Farid Benyettou est membre de Ennahda
Boubaker al-Hakim, qui se fait appeler "Abou-Moukaatel" complice de Chérif Kouachi et Said Kouachi |
par Yanick Toutain
8/1/15
"son gourou, un certain Farid Benyettou, chef du « groupe des Buttes-Chaumont » et membre d’Ennahda."
"« Je m’adresse à eux pour leur dire que oui, c’est nous qui avons effectivement tué Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi ; et avec l’aide de Dieu, nous reviendrons pour hisser l’étendard d’Allah Akbar et Mohamed est son prophète », a-t-il aboyé. "'
"« Je m’adresse à eux pour leur dire que oui, c’est nous qui avons effectivement tué Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi ; et avec l’aide de Dieu, nous reviendrons pour hisser l’étendard d’Allah Akbar et Mohamed est son prophète », a-t-il aboyé. "'
C'est un seul et même réseau qui fait règner la terreur en France et en Tunisie.
Les médias nous baratinent avec une version édulcorée de la vérité.
Chérif Kouachi [.. ] On l'y présente comme un «élève assidu» de Farid Benyettou, un prédicateur du XIXe arrondissement de Paris qui préparait des volontaires à partir combattre en Irak avant que sa filière soit démantelée (Le Parisien)
Mais en fait de "filière demantelée", il n'en est rien. Ce réseau est celui qui a organisé la terreur en Tunisie depuis plusieurs années. Le groupe qui a assassiné les deux leaders de gauche Chokri Belaid et il suffit de chercher un peu plus loin le CV du gourou Farid Benyettou sur internet pour découvrir tout autre chose
Chokri Belaïd (شكري بلعيد), né le 26 novembre 1964 à Djebel Jelloud1 et assassiné le 6 février 2013 à El Menzah, est un homme politique et avocat tunisien. Son assassinat provoque des manifestations violentes et la plus grave crise gouvernementale depuis la révolution de 2011.
Mohamed Brahmi (محمد البراهمي), né le 15 mai 1955 à Sidi Bouzid et mort assassiné le 25 juillet 2013 à l'Ariana, est un homme politique tunisien2.
Un réseau dont le "gourou" est parfaitement connu de la police française.
Le 18 décembre Nebil Ben Yahmed écrivait sur Tunisie Secret à propos de l'assassin qui revendiquait son crime
Qui est Boubaker al-Hakim ?
L’assassin de Chokri Belaïd et de Mohamed Brahmi a une longue carrière de terroriste derrière lui. Français de parents tunisiens, il a vécu toute son enfance dans le XIXe arrondissement de Paris. En compagnie de son jeune frère, il a fait le djihad en Irak et il a été arrêté et condamné en France en 2005. Il y avait déjà contre lui un mandat d’amené émis par la police de Ben Ali via Interpol.
Né à Paris le 1er août 1983, de parents tunisiens, Boubaker al-Hakim est un terroriste notoire dont le gouvernement tunisien avait demandé l’extradition par le biais d’Interpol (6 mai 2001). Les services tunisiens l’ont repéré par rapport à son gourou, un certain Farid Benyettou, chef du « groupe des Buttes-Chaumont » et membre d’Ennahda.
INTERPELLER TOUT LE RESEAU EN DECEMBRE
UNE EVIDENCE
POUR DES POLICIERS ANTI-ISLAMOFASCISTES
PAS POUR LA DGSE-DGSI
POUR DES POLICIERS ANTI-ISLAMOFASCISTES
Ce chainon manquant "Farid Benyettou" est le lien que la presse tente de camoufler entre les deux crimes
C'est une vidéo de décembre dernier qui aurait du - si la police secrète française n'était pas complice de ces islamofascistes - inciter à l'arrestation de toute cette bande de criminels
BLBL
TUNISIE SECRET : Exclusif: D'Irak, Boubaker Al-Hakim reconnait l'assassinat de Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi (vidéo) (Nebil Ben Yahmed )
18 Décembre 2014
C'est une vidéo exclusive de Tunisie-Secret qui a révélé dès 2013 et plusieurs fois réitéré depuis que Boubaker Al-Hakim est l’assassin de Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi. Maintenant qu’il est à l’abri en Irak, ce psychopathe vient de le revendiquer dans un message vidéo. TS a aussi révélé le 7 décembre dernier qu’Abou Iyadh et Boubaker Al-Hakim s’apprêtaient à déserter la Libye pour l’Irak, en bateau et via la Crète.
Décryptage du message vidéo
Quatre terroristes tunisiens apparaissent dans cette vidéo postée hier, 16 décembre 2014 et supprimée cinq heures après (TS a pu la sauvegarder sur son propre serveur). Seifallah Ben Hassine, alias Abou Iyadh, n’apparait pas parce qu’il veut garder le mystère sur le pays où il se trouve et qu’il n’aimerait pas que ses fidèles le considèrent comme un déserteur. Il laisse croire qu’il se trouve toujours sur le front tuniso-libyen alors qu’il est depuis une semaine en Irak.
Sur les quatre terroristes, nous avons pu identifier deux : Boubaker al-Hakim, l’assassin de Chokri Belaïd et de Mohamed Brahmi, et celui qui se fait appeler « Abou-Moussaâb » et dont nous avons retrouvé la photo en compagnie d’Abou Iyadh à l’époque où l’activisme de ses dangereux terroristes était toléré par la police tunisienne et soutenu par la troïka au nom des "acquis de la révolution", de la démocratie et de la liberté d'expression !
Tout au long de son mandat, Mohamed Brahmi critique ouvertement le gouvernement dirigé par les islamistes d'Ennahdha4. |
LE CERVEAU DU RESEAU DES BUTTES CHAUMONT
EST L'ORGANISATEUR DE L'ASSASSINAT
DE CHOKRI BELAID ET MOHAMED BRAHMI
Exclusif : les frères Saïd et Cherif Kouachi s’entrainaient en Tunisie auprès de Boubaker al-Hakim
8 Janvier 2015
(...) le meilleur connaisseur de l’islamisme en France, Gilles Kepel, a laissé entendre que Cherif Kouachi et Boubaker al-Hakim se connaissaient. C'est un euphémisme. Cherif et Saïd Kouachi ont été converti à l'islamisme par l'imam autoproclamé de la mosquée de Stalingrad, Farid Benyettou, et au terrorisme, par Boubaker al-Hakim, le franco-tunisien qui a préparé et ordonné l'assassinat de Chokri Belaïd et Mohamed Brahmi en 2013.
Cherif Kouachi, un ancien d’Al-Qaïda en Irak
Les frères Kouachi sont deux dangereux terroristes islamistes qui ont bien profité du laxisme de la justice française. Tout comme leur caïd, le franco-tunisien Boubaker al-Hakim. Agé de 32 ans, Cherif Kouachi, ex-rappeur et malfrat, était bien connu des services antiterroristes français et du FBI américain, qui est sans doute à l’origine du mandat de recherche qui a été émis hier contre lui et son frère !
Comme viennent de l’écrire nos confrères du Point, Cherif Kouachi « a été condamné une première fois en 2008 pour avoir participé à une filière d'envoi de combattants en Irak. Né en novembre 1982 dans le 10e arrondissement de Paris, de nationalité française, surnommé Abou Issen, Chérif Kouachi a fait partie de ce qui a été appelé "la filière des Buttes-Chaumont" : une organisation qui, entre 2003 et 2005, aurait incité une dizaine de jeunes Français, tous Parisiens, âgés de moins de 25 ans et domiciliés dans ce quartier, à partir combattre en Irak ». Or, dans ce procès de 2008, le principal cerveau de ce réseau de recrutement de djihadistes pour l’Irak s’appelle Boubaker al-Hakim, dont nous avons plusieurs fois parlé et qui est l’organisateur du double assassinat de Chokri Belaïd et de Mohamed Brahmi.
Toujours selon Le Point, Cherif Kouachi a été interpellé en janvier 2005, « juste avant de s'envoler pour la Syrie, puis l'Irak. Il avait été ensuite mis en examen pour "association de malfaiteurs en vue de préparer des actes terroristes". Jugé en 2008, Kouachi, qui encourait jusqu'à dix ans de prison, n'avait pourtant écopé que de trois ans d'emprisonnement, dont 18 mois avec sursis. Depuis, lui et son frère aîné Saïd, âgé de 34 ans, avaient tout fait pour se faire oublier des services de renseignements, en partant se "mettre au vert" en province, notamment dans la région de Reims ».
Il n’y a pas que Cherif Kouachi à avoir bénéficié de la « clémence » de la justice française. Son recruteur, Boubaker al-Hakim, a eu droit au même traitement de faveur. Dans la même affaire du groupe des Buttes-Chaumont, Boubaker al-Hakim a été condamné à huit ans de prison ferme, mais il n’en a fait que quatre ! Boubaker al-Hakim, libéré des prisons françaises et extradé au pays de la « révolution du jasmin » Comme le franco-algérien Cherif Kouachi, Boubaker al-Hakim est né à Paris le 1er août 1983, de parents tunisiens. C’est un terroriste notoire dont l’ancien régime de Ben Ali avait demandé l’extradition par le biais d’Interpol (6 mai 2001). Les services tunisiens l’ont repéré par rapport à son gourou, un certain Farid Benyettou, chef du « groupe des Buttes-Chaumont » et membre d’Ennahdha. Il a été mis en examen et écroué à Paris en janvier 2005, parce qu’il était considéré par les enquêteurs comme le chef spirituel et recruteur du groupe de jeune parisiens qui cherchaient à rejoindre le djihad en Irak. Le 4 juin 2005, Boubaker el-Hakim - dont le frère Radwan, 19 ans, a été tué le 17 juillet 2004 en Irak -, a été mis en examen pour "association de malfaiteurs en relation avec une entreprise terroriste" par le juge de la section anti-terroriste du Parquet de Paris, Jean-François Ricard. Il a ensuite été placé sous mandat de dépôt par un juge des libertés et de la détention (JLD), conformément aux réquisitions du parquet. C'est grâce au gouvernement syrien que ce terroriste a été livré à la France en 2005, lorsque ce pays combattait le terrorisme islamiste! En 2008, il a été condamné à 8 ans de prison ferme. Il n’en a fait que quatre, puisqu’il a été relâché en décembre 2012, dans l’euphorie du « printemps arabe ».
A l'instar d'autres pays européens, la France voulait se débarrasser de sa racaille islamo-terroriste. C'est le cas de la Belgique avec Tarek Maaroufi et Walid Bannani. Deux semaines après la libération de Boubaker el-Hakim, ce dernier est rentré en Tunisie ! Moins de deux mois après son retour, il a préparé et conçu l’assassinat de Chokri Belaïd, le 6 février 2013, puis celui de Mohamed Brahmi, le 25 juillet 2013 !
Depuis, profitant de complicités des éléments islamistes qui ont phagocyté le ministère tunisien de l’Intérieur, Boubaker al-Hakim a pu quitter la Tunisie pour la Libye en compagnie de Seifallah Ben Hassine, alias Abou Iyadh. Actuellement, il se trouve aux frontières irako-syriennes, combattant au sein des barbares de Daech.
Les frères Kouachi hôtes de Boubaker al-Hakim en Tunisie
Après leur libération anticipée en 2010, Cherif et Saïd Kouachi se sont fait oublier en se repliant sur Reims. Ils n’ont pas pour autant disparu des radars des services de renseignement français et américains. Dès 2012, Saïd Kouachi a passé ses « vacances d’été » en Tunisie, probablement à Hammamet. En janvier 2013, Cherif Kouachi s’est rendu en Tunisie à la suite d’une reprise de contact avec Boubaker al-Hakim, qui venait à son tour d’être relâché par la justice française malgré sa condamnation à 8 ans de prison ferme dans l’affaire de la filière des Buttes-Chaumont. Dès sa libération en décembre 2012, ce dernier s’est installé chez sa tante dans la banlieue de Tunis, la Tunisie étant devenue pour lui et ses semblables la nouvelle terre du djihad. C’est dans ce pays livré aux islamistes et devenu terre promise de l’Internationale terroriste que Cherif Kouachi, suivi par son frère Saïd, s’est installé durant près de deux mois. Après avoir suivi un stage de "perfectionnement" dans le maniement des armes, ces deux sinistres criminels ont probablement suivi Boubaker al-Hakim dans sa fuite en Libye. Ce dernier reparti en Syrie via les frontières turques, les frères Kouachi ont dû regagner la France il y a trois ou quatre mois parce qu’ils avaient une mission à accomplir.
Dans l’attaque de Charlie Hebdo, nos deux psychopathes n’ont pas agi en « loups solitaires », expression inventée par certains imbéciles pour éviter les « amalgames », mais en soldats d’Allah obéissants aux ordres de Boubaker al-Hakim, l’un des principaux sanguinaires de Daech en Irak et en Syrie. Nebil Ben Yahmed
Après le versement de 20 millions par François Hollande à Iyad Ag Ghali, l'égorgeur de Aguel Hoc au Mali, on a une nouvelle fois la preuve de l'imposture totale : les islamofascistes et les services secrets ont les mêmes patrons.
C'est Sarkozy et Hollande qui ont organisé sur financement du Qatar la prise du pouvoir par Ennahda et Morsi. Et l'on retrouve des membres et associés de Ennahda dans le crime contre Charlie !
Il ne reste plus qu'à déclarer la guerre à #QatarRiba #RibArabieSaoudite et à leurs employeus : la bancocratie mondiale
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