24/9/14
Philippe Carrière Directeur
mercredi 19 mars 2014
Philippe Carrière Directeur
du Réseau OMERTA76 de protection
des agresseuses d'enfants dans les écoles
fait régner la terreur parmi les témoins
Philippe Carrière et Monique Béaur organisent le harcèlement et la terreur parmi les témoins d'agressions d'enfants commises par des enseignantes dans les écoles : Julie Amadis sanctionnée AVERTISSEMENT + INSPECTION MENSONGERE = 3/20
AU HAVRE LES ENFANTS DES ECOLES SONT FRAPPES PAR DES ENSEIGNANTS (DONT CERTAINS TAPENT DEPUIS 1993), DES ATSEM ET DES ANIMATEURS IMPUNÉMENT
Julie Amadis, Sylvia Garcia : Mêmes cas de témoins de violences passibles de l'article 222-13, mêmes procureurs qui classent sans suite les enquêtes sur les violences, mêmes coupables portant plainte contre les témoins et leurs soutiens (1/2)
Néologisme des années 2000
Le terme économie positive,
lancé par l'entreprise BeCitizen, est également employé,
pour désigner une croissance économique qui restaure le capital naturel,
c’est-à-dire la capacité de l’environnement
à fournir à l’économie des ressources
(énergie, matières premières) et des services
(stockage du carbone, recyclage des déchets, traitement de l’eau, etc).
Wikipédia Économie positive et normative
lancé par l'entreprise BeCitizen, est également employé,
pour désigner une croissance économique qui restaure le capital naturel,
c’est-à-dire la capacité de l’environnement
à fournir à l’économie des ressources
(énergie, matières premières) et des services
(stockage du carbone, recyclage des déchets, traitement de l’eau, etc).
Wikipédia Économie positive et normative
"Greenflex acquiert le cabinet BeCitizen
Une économie positive ?
Farce !
Il n'y aura aucune "économie positive" dans un pays où les coupables de violences à enfants sont protégés ! Où les policiers sont utilisés pour interpeller les témoins de violences ! Où les coupables de violences sont tellement protégés qu'ils peuvent instrumentaliser la police sans crainte d'être l'objet d'enquêtes à leur tour !
Une économie positive au Havre ?
Farce !
Il n'y aura aucune "économie positive" dans un pays où les élus qui volent dans la caisse sont protégés !
Une économie positive au Havre ?
Farce !
Avec un maire qui refuse la révocabilité.... et qui dirige la ville avec moins d'un quart d'inscrits !
Une économie positive au Havre ?
Farce !
L'auteur de ce blog a créé une méthode pédagogique pour l''enseignement des mathématiques testée de 1975 à 1987 , dont la version jeux vidéos a été agréée par le ministère.... en octobre 1987
Une économie positive au Havre ?
Farce !
L'auteur de ce blog a découvert les concepts néomarxistes de "formoisie" en 1993, d'innovoisie en 1996, a découvert la courbe dialectique en 1996.
Une économie positive au Havre ?
Farce !
L'auteur de ce blog a découvert les concepts postmarxistes à partir de 1999.... en devenant SDF à partir d'octobre 2000.... "strate des Innovants", , strate des Parasites, strate des Répétants, lutte des strates, appartenance de la jeunesse à la strate des Innovants
L'auteur de ce blog défend les thèses véritables d'Isaac Newton depuis 1999 mais les positivistes ont le pouvoir et ils se foutent comme de l'an 40 de la science véritable ! Leurs prétendues "lois générales" ils les inventent ! Comme Poincaré prétendait le faire !
Avec un maire qui se compromettait il y a peu en soutenant la liste du délinquant Jérôme Lavrilleux.
VIOLENCES COMMISES DANS LES ECOLES DU HAVRE
PAS SEULEMENT DES ENSEIGNANTS MAIS AUSSI DES TEMOIGNAGES PAR LES NOUVEAUX ANIMATEURS RECRUTES RECEMMENT
Un maire incapable de faire le ménage dans ses équipes municipales avec des personnels brutalisant les élèves d'écoles maternelles, un maire qui embauche des personnels d'animation qui, à leur tour, nous révèlent des violences commises sous leurs yeux !Un maire incapable de protéger les témoins de violences dans les écoles dont il a la responsabilité !
"
Un Gang Valmy pour terroriser les témoins de violences à enfants |
« Vous êtes au courant des violences à l'école Valmy ? »
Il répondit
Sa réponse ne me surprit pas.
« Oui.... oui je suis au courant »....Il ne s'attendait pas à devoir se positionner sur un tel sujet 10 minutes auparavant.
Sa réponse ne me surprit pas.
« Et vous êtes donc au courant aussi de la répression contre ma camarade – l'exclusion de deux ans.... »Sa réponse fut quasiment la même..... il marchait vers sa porte..... mais s'était arrêté....
« Oui.... oui, je suis aussi au courant »Le texte officiel n'est pas encore parvenu à la victime de la répression étatique Julie Amadis. Mais le maire le sait déjà ! A moins qu'il ne lise les pages facebook contre la répression ?
lire la suite ici
IL SE VANTAIT DE SON SOUTIEN A L'AGRESSEUR (condamné par la suite) JOSE LABOUREUR
MARDI 17 JUIN 2008
violence contre les enfants : Nous avons discuté avec Antoine Rufenacht sur un trottoir de l'avenue René Coty.
Julie Amadis et moi sortions du bureau de la responsable de la PEEP-Le Havre, Christiane Marais, lorsque face à nous s'apprête à traverser l'avenue René Coty, le maire de la ville Antoine Rufenacht.
Militant UMP RPR UDR UD 5°, il fut de toutes les aventures du gaullisme.
Nonobstant la frontière de classe qui nous sépare (le fossé), je me dirige vers lui au moment-même où il met le pied sur le passage pour piéton.
Il se retourne aimablement, fait demi-tour et m'écoute :
"Monsieur le maire, pouvons nous faire front commun sur UNE chose :on ne tape pas sur les petits de trois ans."
Il fut aimable, à l'écoute, attentif.
Nous lui avons rapporté la fessée contre le petit Kévin, trois ans, dont fut témoin Julie Amadis et la revendication de la directrice de la maternelle, Véronique Combret d'"en avoir fait autant" "avec Luciano", sans "avoir culpabilisé".
Il écouta.
Certes, il finit par donner raison à José Laboureur : ce ne fut pas surprenant, le ministre Darcos en a fait tout autant.
Mais tout en lui affirmant, que pour ma part j'avais soutenu le fils du gendarme et son père, pour éviter une polémique inutile, je lui ai rappelé qu'il s'agissait dans ce cas de petits de trois et quatre ans.
Julie Amadis réitéra son témoignage (elle avait déjà fait le signalement auprès du secrétaire de l'adjointe chargée de l'enseignement Dufour.)**
Lorsque, après près de 10 minutes d'échange, il tenta de conclure en renvoyant l'affaire en charge des services de l'Education Nationale, nous lui avons signalé que cela faisait plusieurs mois que ces faits délictueux s'étaient produits et que l'enquête n'a toujours pas eu lieu*.
Je lui ai fait remarqué que l'ATSEM qui était à l'origine de l'affaire en donnant une fessée au petit Kevin était employée, elle, employée municipale.
Il promit donc de se renseigner.
Nous nous saluâmes tous trois et reprîmes nos chemins.
Va-t-on enfin trouver quelqu'un du camp d'en face, du camp du capitalisme, pour comprendre que faire du combat pour l'éradication de la violence n'est pas - EN TANT QUE COMBAT POLITIQUE - notre priorité, mais que, face au mensonge, à la calomnie dont se sont rendues coupables les deux brutes qui ont tapé et celle qui les protège, nous n'avons pas d'autre choix que d'élargir de plus en plus la surface de la médiatisation télématique en faisant connaître les positions que chacun prend dans cette affaire.
Des membres de classes exploiteuses devraient enfin reprendre leurs esprits et se décider à faire cesser la violence contre les petits de trois ans AVANT la révolution.
*L'inspecteur d'Académie en résidence au Havre avait dit, le 19 mars 2008, à une délégation syndicale qu'il convoquerait Julie Amadis : il ne l'a jamais convoquée.
De plus, menacée d'une interruption de son salaire, elle avait eu au téléphone le reponsable des affaires juridiques du rectorat de Rouen le 27 mars.(sur le double conseil de madame Marais de la PEEP du Havre et de la responsable du SNES de Rouen.)
**Julie me signale qu'elle a envoyé - de surcroit - un mail à la chef du service de coordination et gestion du personnel, de la mairie du Havre, madame Martinet, le 19 mai 2008.
Cette madame Martinet a répondu le lendemain que le nécessaire avait été fait : [le détail sera donné par Julie Amadis dans sa chrono, en finalisation d'édition]
Militant UMP RPR UDR UD 5°, il fut de toutes les aventures du gaullisme.
Nonobstant la frontière de classe qui nous sépare (le fossé), je me dirige vers lui au moment-même où il met le pied sur le passage pour piéton.
Il se retourne aimablement, fait demi-tour et m'écoute :
"Monsieur le maire, pouvons nous faire front commun sur UNE chose :on ne tape pas sur les petits de trois ans."
Il fut aimable, à l'écoute, attentif.
Nous lui avons rapporté la fessée contre le petit Kévin, trois ans, dont fut témoin Julie Amadis et la revendication de la directrice de la maternelle, Véronique Combret d'"en avoir fait autant" "avec Luciano", sans "avoir culpabilisé".
Il écouta.
Certes, il finit par donner raison à José Laboureur : ce ne fut pas surprenant, le ministre Darcos en a fait tout autant.
Mais tout en lui affirmant, que pour ma part j'avais soutenu le fils du gendarme et son père, pour éviter une polémique inutile, je lui ai rappelé qu'il s'agissait dans ce cas de petits de trois et quatre ans.
Julie Amadis réitéra son témoignage (elle avait déjà fait le signalement auprès du secrétaire de l'adjointe chargée de l'enseignement Dufour.)**
Lorsque, après près de 10 minutes d'échange, il tenta de conclure en renvoyant l'affaire en charge des services de l'Education Nationale, nous lui avons signalé que cela faisait plusieurs mois que ces faits délictueux s'étaient produits et que l'enquête n'a toujours pas eu lieu*.
Je lui ai fait remarqué que l'ATSEM qui était à l'origine de l'affaire en donnant une fessée au petit Kevin était employée, elle, employée municipale.
Il promit donc de se renseigner.
Nous nous saluâmes tous trois et reprîmes nos chemins.
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Va-t-on enfin trouver quelqu'un du camp d'en face, du camp du capitalisme, pour comprendre que faire du combat pour l'éradication de la violence n'est pas - EN TANT QUE COMBAT POLITIQUE - notre priorité, mais que, face au mensonge, à la calomnie dont se sont rendues coupables les deux brutes qui ont tapé et celle qui les protège, nous n'avons pas d'autre choix que d'élargir de plus en plus la surface de la médiatisation télématique en faisant connaître les positions que chacun prend dans cette affaire.
Des membres de classes exploiteuses devraient enfin reprendre leurs esprits et se décider à faire cesser la violence contre les petits de trois ans AVANT la révolution.
*L'inspecteur d'Académie en résidence au Havre avait dit, le 19 mars 2008, à une délégation syndicale qu'il convoquerait Julie Amadis : il ne l'a jamais convoquée.
De plus, menacée d'une interruption de son salaire, elle avait eu au téléphone le reponsable des affaires juridiques du rectorat de Rouen le 27 mars.(sur le double conseil de madame Marais de la PEEP du Havre et de la responsable du SNES de Rouen.)
**Julie me signale qu'elle a envoyé - de surcroit - un mail à la chef du service de coordination et gestion du personnel, de la mairie du Havre, madame Martinet, le 19 mai 2008.
Cette madame Martinet a répondu le lendemain que le nécessaire avait été fait : [le détail sera donné par Julie Amadis dans sa chrono, en finalisation d'édition]
6 ANS PLUS TARD, LES DEUX AGRESSEUSES DE LA MATERNELLE VARLIN SONT TOUJOURS PROTEGEES PAR LA MEME EQUIPE MUNICIPALE UMP ET L'ADMINISTRATION VOYOU OMERTA76 AVEC L'AIDE DU PROCUREUR AGRESSEUR NACHBAR
lundi 17 mars 2014
L'ex-maire du Havre Antoine Rufenacht a protégé 2 agresseuses d'enfants pendant 6 ans ! Son complice Patrick Deplanque (inspecteur Education Nationale) lance de nouvelles menaces soutenu par le réseau OMERTA Monique Béaur de Rouen
"Monsieur le maire {Antoine Rufenacht},
pouvons nous faire front commun sur UNE chose :
on ne tape pas sur les petits de trois ans."
pouvons nous faire front commun sur UNE chose :
on ne tape pas sur les petits de trois ans."
Il fut aimable, à l'écoute, attentif.
(..)
Il écouta.
Certes, il finit par donner raison à José Laboureur :
ce ne fut pas surprenant, le ministre Darcos en a fait tout autant.
ce ne fut pas surprenant, le ministre Darcos en a fait tout autant.
Mais tout en lui affirmant, que pour ma part j'avais soutenu
le fils du gendarme et son père, pour éviter une polémique inutile,
je lui ai rappelé qu'il s'agissait dans ce cas de petits de trois et quatre ans.
le fils du gendarme et son père, pour éviter une polémique inutile,
je lui ai rappelé qu'il s'agissait dans ce cas de petits de trois et quatre ans.
LIRE AUSSI:
En mission commandée au Havre pour protéger les enseignants agresseurs d'enfants, l'IEN Olivier Basely de Saint Valéry-en-Caux commet des faux en écritures, ment, truque les déclarations. Une inspection mensongère contre Julie Amadis. En service commandé pour le réseau OMERTA
J'ignorais que ce monsieur irait jusqu"à soutenir les deux agresseuses de Kévin 3 ans et de Luciano 4 ans.
Une ATSEM Françoise X et la directrice de l'école maternelle Varlin de Caucriauville.
MERCREDI 18 JUIN 2008violence contre les enfants :Chronologie des faits (à l'intention du Recteur de l'époque)
Soutenues par l'inspecteur Patrick Deplanque et la principale du collège Varlin,
les deux agresseuses seront restées en poste pendant 6 ans.
Naturellement, celle qui avait été témoin de l'agression a perdu son emploi !La sanction s'est abattue sur celle qui avait été témoin des violences contre le petit Kévin et qui s'était entendu répondre par la directrice Véronique Combret que ce n'était pas grave et qu'elle en faisait "autant avec Luciano". Les deux coupables ont été protégées par un réseau OMERTA.
A commencer par le POLICIER qui ne VOULAIT PAS ENQUETER SUR LES FAITS !
"IL Y A DES CHOSES PLUS GRAVES A CAUCRIAUVILLE"
C'est ce que le policier voyou m'avait répondu. Il enquêtait contre moi suite à une plainte en diffamation d'une des agresseuses - Combret - et de sa protectrice Hervieu.Il ne voulait pas enquêter sur celles que mes articles avaient dénoncé comme agresseuses !
Il voulait simplement enquêter sur celui qui avait informé le public des violences !
IL FAISAIT UNE ENQUETE VISANT A ME FAIRE CONDAMNER pour DIFFAMATION.
Le POLICIER faisait partie du RÉSEAU OMERTA
des PROTECTEURS
DES ENSEIGNANTS AGRESSEURS D'ENFANTS !
En Seine-Maritime, un réseau très puissant avait réussi à faire licencier la témoin, Julie Amadis. Ce réseau protégeait les agresseurs et faisait chasser les témoins."Les violences sur les élèves représentent la moitié des 200 sanctions prises à l'encontre des enseignants en 2011, selon le ministère de l'Éducation nationale. Ce type de faute entraîne des poursuites au niveau pénal mais aussi des sanctions administratives, allant de l'avertissement à la révocation définitive, en passant par la suspension temporaire, la baisse d'échelon salarial et la mutation. (Figaro)"
IL ETAIT PREVU DE SOLDER L'ADDITION APRES LA VICTOIRE DE LA REVOLUTION.
MAIS LE RESEAU OMERTA TENTE DE FAIRE LICENCIER JULIE AMADIS...... L'IEN DEPLANQUE REVENU DE RUSSIE REPART A L'OFFENSIVE
6 ANS PLUS TARD, LE RÉSEAU OMERTA ORGANISE
LE HARCÈLEMENT DES TÉMOINS.
Mais les menaces de l'inspecteur Patrick Deplanque, de l'adjointe Monique Béaur et la note de 3/20 donnée à Julie Amadis par l'Inpecteur d'Académie Philippe Carrière protecteur du réseau OMERTA d'agression d'enfant va sonner la GLAS DE L'IMPUNITE DES MEMBRES DE RESEAU !Ces voyous abjects vont bientôt avoir l'occasion de connaître la COLERE DE LA POPULATION !
Ce sont 4 AUTRES ECOLES DU HAVRE
DANS LESQUELLES ENTRE 2008 ET 2014
DES ENFANTS ONT ÉTÉ VICTIMES DE COUPS
DE LA PART D'ENSEIGNANTES !
lundi 9 septembre 2013
L'ex-maire Antoine Rufenacht avait étouffé le scandale des violences à enfants de l'école maternelle Varlin
L'ex-maire du Havre avait promis de convoquer la témoin. Il ne le fit jamais.
Avoir les preuves des coups portés par l'ATSEM revenait à prouver que la directrice Combret de l'école Varlin mentait, que l'inspecteur Deplanque avait menti, que la principale Hervieu du collège Varlin mentait pour enfoncer Julie Amadis - en lui pourrissant son activité professionnelle (refus de donner du travail puis nomination sur la pire classe de l'école.... où la titulaire finit par prendre un coup de compas) .... que l'inspecteur d'Académie avait couvert des violences à enfants et que le Recteur, informé par courrier de Julie Amadis, avait fait la sourde oreille pour ne pas déranger tous ces réseaux de brutes et leurs complices !
Aucune des coupables de violences ni leurs complices omerta
Antoine Rufenacht ne convoqua jamais Julie Amadis et celle-ci perdit son emploi.
Elle mis trois ans pour revenir, par concours, dans l'Education Nationale.
Bien décidée à agir de la même façon devant de nouvelles violences commises en sa présence.
Mais tous ces voyous agissent actuellement contre elle en laissant les illégalités délirantes du réseau Bourry permettre de lui voler la totalité de son salaire de juillet.
Le prétexte Bourry pour la vengeance Varlin !
La révolution mettra bon ordre à toute cette pourriture sociale !
Avoir les preuves des coups portés par l'ATSEM revenait à prouver que la directrice Combret de l'école Varlin mentait, que l'inspecteur Deplanque avait menti, que la principale Hervieu du collège Varlin mentait pour enfoncer Julie Amadis - en lui pourrissant son activité professionnelle (refus de donner du travail puis nomination sur la pire classe de l'école.... où la titulaire finit par prendre un coup de compas) .... que l'inspecteur d'Académie avait couvert des violences à enfants et que le Recteur, informé par courrier de Julie Amadis, avait fait la sourde oreille pour ne pas déranger tous ces réseaux de brutes et leurs complices !
Aucune des coupables de violences ni leurs complices omerta
ne furent l'objet de poursuites judiciaires !
Antoine Rufenacht ne convoqua jamais Julie Amadis et celle-ci perdit son emploi.Elle mis trois ans pour revenir, par concours, dans l'Education Nationale.
Bien décidée à agir de la même façon devant de nouvelles violences commises en sa présence.
Mais tous ces voyous agissent actuellement contre elle en laissant les illégalités délirantes du réseau Bourry permettre de lui voler la totalité de son salaire de juillet.
Le prétexte Bourry pour la vengeance Varlin !
La révolution mettra bon ordre à toute cette pourriture sociale !
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