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jeudi 2 octobre 2014

#IpEaVàEaFàF Henri Laborit, Sophocle et Antigone: La fuite et la résistance. La victoire est au bout des deux chemins (un article par Julie Amadis)

présentation Yanick Toutain

Dans une deuxième partie dans sa lecture du livre d'Henri Laborit, Julie Amadis montre que la résistance et la fuite sont toutes deux des victoires.
Parce que - elle le dit elle-même - 

"On sort toujours gagnant d'un combat éthique"



Son article d'hier avait été présenté ainsi :

#IpEaVàEaFàF "Je n'avais pas lu son livre "Eloge de la fuite" ! Henri Laborit expliquait l'attitude de l'administration et de mes collègues" un article par Julie Amadis

Julie Amadis a maintenant un blog sur lequel elle clame la vérité presque tous les jours.
Elle a maintenant plusieurs centaines  de lecteurs chaque jour.
Réduite à quémander un RSA par le complot de trois ministres indignes, d'une rectrice et de deux inspecteurs d'académie qui auront tous des comptes à rendre à notre justice - celle qui vient, Julie Amadis prend la parole. Elle ne cessera pas de dénoncer la Franceàfric, de dénoncer l'impunité des enseignants du Havre agresseurs d'enfants dans les écoles et le scandaleux refus de rendre l'entraide entre élèves la pratique pédagogique la plus banale et la plus rentable.
Ceux qui espéraient la voir abattue devraient envisager de quitter le pays : leurs actes délictuels ne seront plus très longtemps protégés par un procureur lui-même agresseur, par une ministre elle-même agresseuse de ses propres enfants et par un Etat voyou davantage occupé à financer Ansar Eddine et autres voyous psychopathes qu'à protéger qui que ce soit.... sauf la voyoucratie dont la bancocratie est le sommet !

Instit proEntraide antiViolences à enfants, antiFranceàfric

Une professeur des écoles réprimée pour avoir lutté contre les oppressions



par Julie Amadis
#IpEaVàEaFàF
2/10/14

"On sort toujours gagnant d'un combat éthique"
cf infra.
 "..dans le monde où règne le principe
de réalité, la soumission et la révolte, la dominance
et le conservatisme auront perdu pour le fuyard leur
caractère anxiogène et ne seront plus considérés que
comme un jeu auquel on peut, sans crainte,
participer de façon à se faire accepter par les autres
comme « normal ». Dans ce monde de la réalité, il
est possible de jouer jusqu'au bord de la rupture avec
le groupe dominant, et de fuir en établissant des
relations avec d'autres groupes si nécessaire, et en
gardant intacte sa gratification imaginaire, la seule
qui soit essentielle et hors d'atteinte des groupes
sociaux.
Ce comportement de fuite sera le seul à permettre
de demeurer normal par rapport à soi-même, aussi
longtemps que la majorité des hommes qui se
considèrent normaux tenteront sans succès de le
devenir en cherchant à établir leur dominance,
individuelle, de groupe, de classe, de nation, de
blocs de nations, etc.
L'expérimentation montre en
effet que la mise en alerte de l'hypophyse et de la
corticosurrénale, qui aboutit si elle dure à la
pathologie viscérale des maladies dites
«psychosomatiques», est le fait des dominés, ou de
ceux qui cherchent sans succès à établir leur
dominance, ou encore des dominants dont la
dominance est contestée et qui tentent de la
maintenir."
(Henri Laborit, Eloge de la fuite)

ce beau dessin vient du site
de Philippe Remacle dans l'édition
bilinguegrec-français d'Antigone
KRÉÔN.
Et ainsi, tu as osé violer ces lois ?
ANTIGONÈ.
C’est que Zeus ne les a point faites, ni la justice qui siège auprès des dieux souterrains. Et je n’ai pas cru que tes édits pussent l’emporter sur les lois non écrites et immuables des dieux, puisque tu n’es qu’un mortel. Ce n’est point d’aujourd’hui, ni d’hier, qu’elles sont immuables ; mais elles sont éternellement puissantes, et nul ne sait depuis combien de temps elles sont nées. Je n’ai pas dû, par crainte des ordres d’un seul homme, mériter d’être châtiée par les dieux. Je savais que je dois mourir un jour, comment ne pas le savoir ? même sans ta volonté, et si je meurs avant le temps, ce me sera un bien, je pense. Quiconque vit comme moi au milieu d’innombrables misères, celui-là n’a-t-il pas profit à mourir ? Certes, la destinée qui m’attend ne m’afflige en rien. Si j’avais laissé non enseveli le cadavre de l’enfant de ma mère, cela m’eût affligée ; mais ce que j’ai fait ne m’afflige pas. Et si je te semble avoir agi follement, peut-être suis-je accusée de folie par un insensé. (Antigonè Sophocle Wikisource)

LIRE AUSSI : Je n'avais pas lu son livre "Eloge de la fuite" ! Henri Laborit expliquait l'attitude de l'administration et de mes collègues

 L'ARME DE L'ANALYSE ET DE L'INTELLIGENCE
FACE A L'ARME DE LA MÉDISANCE ET DU POUVOIR

Je donnais hier en conclusion de mon article - et en exergue - cette citation fondamentale de Henri Laborit :
 "Ce sont les confréries qui s'attaquent aujourd'hui à l'homme seul, et si celui-ci a le malheur d'accepter la confrontation, elles sont sûres de la victoire, car elles exprimeront le conformisme, les préjugés, les lois socio-culturel du moment." (Eloge de la fuite)
La victoire, l'Inspecteur de circonscription, les Inspecteurs d'Académie de Rouen et du Havre, mes deux directeurs d'école,  mes collègues l'ont obtenue:
Je suis exclue de l'Education Nationale.
Mais quelle victoire .ont - ils obtenue ?
Une victoire administrative.
Je suis exclue sans même qu'ils respectent la jurisprudence. Celle-ci prévoit un revenu de remplacement. (tribunal administratif de Paris le 4 février 1988)
"Résumé : 16-06-07, 16-06-08, 36-08-03, 36-09 L'agent titulaire d'une commune exclu de ses fonctions pour une durée d'un an doit être regardé comme involontairement privé d'emploi au sens de l'article L. 351-1 du code du travail et a droit au revenu de remplacement prévu par cet article "
 Je ne suis plus dans leur institution...
L'inspecteur a même porté plainte contre moi pour un commentaire Youtube. J'ai été arrêtée par la BAC dans un café.  Ils pensent m'avoir de la sorte discréditée ....
Ils pensent pouvoir continuer à protéger les agresseurs d'enfants dans les écoles en toute impunité ....
Henri Laborit, s'il vivait encore (et serait centenaire né le 21 novembre 1914 ) et s'il connaissait cette histoire, me dirait peut être, que "c'est une défaite" et qu'il fallait fuir.

UNE VICTOIRE DE FAÇADE

Mais pour les "vainqueurs", pour ceux qui m'ont exclue pour deux ans, tout cela n'est qu'une victoire de façade....
La vraie victoire, la victoire éthique, c'est notre camp - le camp de ceux qui défendent les enfants - qui l'avons gagnée.

ON SORT TOUJOURS GAGNANT
D'UN COMBAT ÉTHIQUE

On sort toujours gagnant d'un combat éthique. On en sort plus humain... Et le fait qu'on ait pu résister malgré toutes les répressions montre que c'est possible... Et donc ce n'est pas perdu ... C'est donc utile à la cause.

Il faut combattre !!!

L'HUMANITE EST TOUJOURS GAGNANTE DU COMBAT

L'humanité est toujours gagnante du combat. S'il n'y avait que des fuyards, la déclaration des droits de l'homme et du citoyen n'aurait jamais existé, Toussaint Louverture et ses camarades ne se seraient jamais rebellés contre l'esclavage et les esclaves seraient toujours dans les champs de coton à travailler dix huit heures par jour sous la menace du coup de bâton, les nazis seraient toujours au pouvoir ....

Mais Henri Laborit a raison quand il écrit :
Laborit et son équipe du Laboratoire
d'Eutonologie (années 1980)
"Dans ce monde de la réalité, il est possible de jouer jusqu'au bord de la rupture avec le groupe dominant, et de fuir en établissant des relations avec d'autres groupes si nécessaire, et en gardant intacte sa gratification imaginaire, la seule qui soit essentielle et hors d'atteinte des groupes sociaux."
 Dans le combat, il faut parfois savoir fuir. Il est surtout important de ne pas perdre de vu que l'entreprise de discrédit organisée contre vous par le camp d'adverse n'est qu'une imposture basée sur des préjugés et des rumeurs.
Leurs attaques psychologiques ne doivent pas pouvoir atteindre l'individu sain. Pour ce faire, il peut être utile de se reculer, de fuir ce "milieu" pour reprendre ses esprits, retrouver la raison et donc être plus fort pour faire gagner les idées de justice et de liberté.

ANTIGONE, HÉROÏNE DES RÉSISTANTS DEPUIS 2455 ANS

Antigone, le personnage mythologique que Sophocle remis en scène en -441, à travers ses paroles, résume où se trouve la vérité.:


 «  je n’ai pas cru que tes édits pussent l’emporter sur les lois non écrites et immuables des dieux, puisque tu n’es qu’un mortel. Ce n’est point d’aujourd’hui, ni d’hier, qu’elles sont immuables ; mais elles sont éternellement puissantes, et nul ne sait depuis combien de temps elles sont nées. » (Antigonè Sophocle Wikisource)

Les gens de pouvoir et ceux qui y sont assujettis (comme mes collègues) se protègent en fonction de lois écrites dans une société injuste, inégalitaire et liberticide.
Et ils bafouent même régulièrement celles qui les dérangent : l'article 222-13 du code pénal aurait du être appliqué depuis déjà 6 ans.
Ils instrumentalisent des règles écrites pour protéger l'ordre établi.
Car ils pensent que la réalité se trouvent dans les règlements et textes administratifs inscrits dans ce cadre. Mais ces mêmes personnes ne pensent pas aux lois non écrites dont parle Antigone. Ces lois de l'éthique humaine qu'ils bafouent chaque jour. Ce que les juristes appellent "le droit naturel".
Car comme le dit Sophocle à la fin de son histoire, le malheur n'est pas celui que l'on croit être au premier abord, brouillé par nos préjugés ....
Ce n'est pas la mort d'Antigone qui est le plus triste, mais la bêtise et la méchanceté de ceux qui l'ont tuée.
« Dans le monde, de tous les malheurs attachés à l'homme, la bêtise est le plus grand » (Sophocle, Antigone)
La victoire c'est donc notre camp qui l'avons gagnée et non celui de l'administration, des syndicats et de mes collègues qui protègent ceux qui tapent les enfants.

#IpEaVàEaFàF "Je n'avais pas lu son livre "Eloge de la fuite" ! Henri Laborit expliquait l'attitude de l'administration et de mes collègues" un article par Julie Amadis


présentation Yanick Toutain

Julie Amadis a maintenant un blog sur lequel elle clame la vérité presque tous les jours.
Elle a maintenant plusieurs centaines  de lecteurs chaque jour.
Réduite à quémander un RSA par le complot de trois ministres indignes, d'une rectrice et de deux inspecteurs d'académie qui auront tous des comptes à rendre à notre justice - celle qui vient, Julie Amadis prend la parole. Elle ne cessera pas de dénoncer la Franceàfric, de dénoncer l'impunité des enseignants du Havre agresseurs d'enfants dans les écoles et le scandaleux refus de rendre l'entraide entre élèves la pratique pédagogique la plus banale et la plus rentable.
Ceux qui espéraient la voir abattue devraient envisager de quitter le pays : leurs actes délictuels ne seront plus très longtemps protégés par un procureur lui-même agresseur, par une ministre elle-même agresseuse de ses propres enfants et par un Etat voyou davantage occupé à financer Ansar Eddine et autres voyous psychopathes qu'à protéger qui que ce soit.... sauf la voyoucratie dont la bancocratie est le sommet !



"Ce sont les confréries qui s'attaquent aujourd'hui à l'homme seul, et si celui-ci a le malheur d'accepter la confrontation, elles sont sûres de la victoire, car elles exprimeront le conformisme, les préjugés, les lois socio-culturelles du moment."
Henri Laborit Eloge de la Fuite


"Oh, lui, ce maître-là, mon mari m'en parlait encore hier. 
Des coups et des baffes ... il en a reçu par ce maître-là"
Un nouveau témoignage impromptu mardi matin


par Julie Amadis
#IpEaVàEaFàF
1/10/14
 
 "Environ 18 000 enfants mourront de faim et de malnutrition aujourd'hui. Ce n’est pas facile à réaliser pour des gens aux Etats-Unis ou en Europe" a déclaré M. Morris. "Mais d’ici un mois, il y aura plus d'enfants qui seront morts de faim qu'il n’y a d’habitants à Washington. Pourtant il n'y a ni gros titre, ni tollé. Au lieu de cela, ces enfants pauvres et oubliés meurent discrètement dans des pays comme le Guatemala, le Bangladesh et la Zambie - loin de nos yeux. Cela ne devrait pas arriver : nous avons tous les outils nécessaires pour en finir avec la faim." (A l'occasion de la Journée Mondiale de l’Alimentation le 16 octobre, le Directeur exécutif du Programme Alimentaire Mondial, M. James Morris, a lancé un appel aux pays développés pour donner une chance aux 400 millions d’enfants qui ont faim dans le monde et dont la vie est anéantie par la malnutrition dès les premiers mois de leur existence)

En 2005, déjà, 16500 enfants crevaient de faim tous les jours.
Les guerres qui font de nombreuses victimes. Les 200 milliards de tonnes de carbone que nous avons au-dessus de la tête sont en train de détruire notre climat terrestre : les catastrophes climatiques sont de plus en plus nombreuses.
Mais tout cela a des responsables.

DES CLASSES SPOLIATRICES SONT COUPABLES

Nous savons que ceux qui dirigent le monde appartiennent à la classe capitaliste et que d'autres classes sociales (classes formoise et innovoise sont leurs alliés). On peut expliquer les désastres humains par la lutte des classes.
On peut aussi comprendre  pourquoi les enfants sont tapés par les adultes sans que personne (ou presque) ne s'en apitoie.
Ce sont le postmarxisme et donc le concept de "lutte des strates" qui nous permettent de comprendre cela (des concepts découverts depuis 1999 par Yanick Toutain).

CRÉATIVITÉ ET LIBERTÉ COMME DANGERS
POUR LES CLASSES SPOLIATRICES

En résumé, on peut dire que la trop grande créativité et liberté des enfants agacent ceux qui ont tué l'innovant en eux.
Mais il est difficile de comprendre quel processus psychologique amène des individus à agir avec méchanceté, cynisme et médisance.
J'ai cherché à comprendre pourquoi l'administration, les syndicats (UNSA et SNUIPP) et la plupart de mes collègues m'ont transformée en RSAIste interdite d'enseigner. Et comment ont- ils fait pour se mentir et agir de la sorte ?
Il m'est difficile de comprendre autant de méchanceté. J'ai du mal à intégrer le fait qu'autant d'énergie soit possiblement utilisée pour écrabouiller quelqu'un de dévoué auprès des élèves, qui ne faisait pas de politique dans le cadre de son travail.

"IL FAUT FUIR REFUSER LA LUTTE
SI C'EST POSSIBLE" (Henri Laborit)

C'est Henri Laborit dont je lis le livre "Eloge de la fuite" qui éclaire un peu ma lanterne.
(on peut le télécharger ici)
On remarquera avec amusement que j'ai trouvé le livre que je lis.... dans la bibliothèque des Restos du Coeur au Havre (animée par d'ailleurs un fort sympathique bénévole).
Henri Laborit écrivait :
"Dans notre monde, ce ne sont pas des hommes que vous rencontrez le plus souvent, mais des agents de production, des professionnels. Ils ne voient pas non plus en vous
l'Homme, mais le concurrent, et dès que votre espace gratifiant entre en interaction avec le leur, ils vont tenter de prendre le dessus, de vous soumettre.
Alors, si vous hésitez à vous transformer en hippie, ou à vous droguer, il faut fuir, refuser la lutte si c'est possible. " p 36 Eloge de la fuite Henri Laborit

JE NE SAIS PAS OU SE TROUVE LE MARCHE D'HARFLEUR
JE N'Y AI JAMAIS MIS LES PIEDS

Dans le dossier d'accusation, un ex-collègue rapportait
"A l'espace Coty, elle aurait distribué des tracts. Au marché d'Harfleur, on l'a vue là-bas, des parents d'élèves l'ont vue et reconnue à Aplemont, distribuer les tracts."(extrait de l'acte d'accusation)
Je n'ai pas distribué de tracts à Coty ni à Aplemont ni au marché d'Harfleur. Ni (ailleurs) le tract distribué par les parents d'élèves.
lire "Le mercredi 26 mars 2014, Julie Amadis est passée prés du "marché d'Harfleur", à 90 km/h, en train, en direction de Rouen"
Cette accusation étant le motif officiel de mon exclusion pour 2 ans !
Quand je suis accusée d'avoir distribué des tract sur un marché où je n'ai jamais mis les pieds de ma vie, cela me paraissait totalement incompréhensible.
Mais, précisément le faux témoignage de celui qui tape depuis 20 ans qui raconte m'avoir vu à Harfleur distribuer des tracts devient logique. Comme il risque lui-même d'être dénoncé puis accusé, il se protège à l'avance en m'attaquant et en inventant des accusations me concernant.
Tout comme les autres faux témoignages de mes ex-collègues qui racontent (dans le dossier d'accusation) m'avoir vu distribuer des tracts, ou qui racontent que j'aurai « volé des fiches de préparation » ou encore que j' "aurai volé un CD » ou enfin que « j'aurai oublié une élève dans ma classe et sur le trottoir » me laissent sans voix et dans l'incompréhension de leur comportement mesquin....
"dès que votre espace gratifiant entre en interaction
avec le leur, ils vont tenter de vous soumettre".

Là encore, Henri Laborit donne une explication avec son concept de « gratification ». Cette histoire de violence à enfants m'aurait mise en valeur aux yeux des parents et la lâcheté de mes collègues leur aurait fait perdre de la valeur professionnelle. En effet les anciens de l'école connaissaient le comportement de l'enseignant agresseur de l'école et ne disaient rien.

Ainsi, donc mon "espace gratifiant" serait entrer en interaction avec le leur.
Dans le même temps, ces mêmes collègues qui fermaient les yeux sur les violences commises par leur collègue aurait été mises en lumière. Nos "espaces gratifiants" entre donc en interaction et en concurrence. Leur image de "maîtresses responsables" en aurait été diminuée.
« Ils ne voient pas non plus en vous
l'Homme, mais le concurrent » 

Je suis donc devenue une personne à détruire par tous les moyens possibles. Je n'étais comme le souligne Henri Laborit plus une personne humaine mais une concurrente.
Et il fallait que ceux ci « prennent le dessus, me soumettent ».

"Ces adversaires ne vous aborderont jamais seuls. Ils s’appuieront sur un groupe ou sur une institution"

Fort justement, Henri Laborit fait remarquer que ces personnes dépourvues d'humanisme n'agissent pas seules mais en meute.

« Car ces adversaires ne vous aborderont jamais seuls. Ils s'appuieront sur un groupe ou une institution. L'époque de la chevalerie est loin où l'on se mesurait un à un, en champ clos. Ce sont les confréries qui s'attaquent aujourd'hui à l'homme seul, et si celui-ci a le malheur d'accepter la confrontation, elles sont sûres de la victoire, car elles exprimeront le conformisme, les préjugés, les lois socio-culturelles du moment. Si vous vous promenez seul dans la rue, vous ne rencontrerez jamais un autre homme seul, mais toujours une compagnie de transport en commun."» p 36 L'éloge de la fuite Henri Laborit

TOUS MES RAPPORTS PEDAGOGIQUES ETAIENT EXCELLENTS

Un homme tout seul, comme l'Inspecteur d'Académie de Rouen, ne peut pas impunément tout seul virer un enseignant apprécié par les enfants et les parents et dont tous les rapports pédagogiques sont excellents !
Il ne peut pas tout seul mentir, inventer un prétexte ! Non.
Il a fallu l'alliance de l'administration, des réseaux françafrique (Franceàfric !) , du PS, des syndicats et de mes collègues pour pouvoir, au mépris de toutes les règles élémentaires de droit, et tout en laissant en place dans la même école un enseignant qui tape les élèves depuis 20 ans m'exclure en réalisant pour ce faire un faux en écriture !
Et comme le dit encore Henri Laborit,
« Elles sont sures de la victoire, car elles exprimeront le conformisme, les préjugés, les lois socio-culturels du moment. »
Les grands moyens ont été utilisés contre moi.
Au motif que « ce n'était pas les parents
des enfants tapés qui étaient venus directement les voir ».
Sic les OPJ
 Il fallait démobiliser les parents qui me soutenaient et les autres parents. Pour cela, on a utilisé la répression contre la mère d'élève qui avait un blog de soutien. La police, cette institution qui reste une référence et qui l'est pour cette mère l'a interpellée et lui a fait peur. Les tracts qu'elle avait distribués lui ont été montrés par la police. On l'a accusée de diffamation alors qu'il n'y avait rien de diffamatoire sur son blog ! Elle qui pensait depuis le début que la police, cette institution noble lui donnerait raison et que les policiers allaient forcément enquêter... Et bien, la police, elle a refusé les témoignages ! Au motif que « ce n'était pas les parents des enfants tapés qui étaient venus directement les voir ».

Je ne sais pas comment c'est arrivé. Mais suite à l'épisode du commissariat, cette mère d'élève a changé de camp. Et elle a supprimé son blog.

JE SERAIS DEVENUE "ANTISEMITE" "PRO-SORAL"

De même, alors que de nombreux parents d'élèves étaient venus me voir et voulaient se mobiliser suite à ma suspension tout s'est interrompu.
Ils ont changé d'avis et sont devenus « neutres » après la réunion organisée par l'Inspection Académique.

UN MEETING ANTI-JULIE AMADIS

Une réunion qui n'était ni plus ni moins qu'un meeting politique anti Julie Amadis. D'après des parents témoins, j'ai été présentée comme une personne dangereuse qui fait de la politique, qui s'occupe de la franceafrique. L'Inspecteur d'Académie a proclamé que je serais « antisémite », « proSoral ». Mes idées sont à l'opposé de celles de Soral !
Des parents sont ressortis de là en disant que j'étais "proche du FN", que j'étais "une antisémite". D'autres disaient « elle refuse tout ». Dans l'acte d'accusation, il y a le témoignage d'une mère d'élève qui dit « si elle voulait, elle pourrait revenir ». Alors qu'il m'était interdit de revenir à l'école. Mais la campagne de dénigrement avec de fausses rumeurs des directeurs, des collègues et de l'administration a été tellement forte que les parents croyaient n'importe quoi !
Ce sont à la fois les mensonges et l'appui sur les préjugés des gens (la politique, la franceàfric ça fait peur aux parents) qui a permis de m’exclure !

UN LABORATOIRE POUR HENRI LABORIT
Laborit aurait pu utiliser mon école comme laboratoire de psychologie.
Tout ce qu'il décrit, il l'aurait constaté comme dans un laboratoire :
"Ce sont les confréries qui s'attaquent aujourd'hui à l'homme seul, et si celui-ci a le malheur d'accepter la confrontation, elles sont sûres de la victoire, car elles exprimeront le conformisme, les préjugés, les lois socio-culturelles du moment. "