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lundi 27 avril 2015

Abdoulaye Camara: Vaine demande à Antoine Sillières, journaliste au Figaro "vous pourriez tenter de savoir la vérité sur l'assassinat avec préméditation"




Antoine Sillières écrit sur Amadou Koumé
mais fait le silence sur l'assassinat
d'Abdoulaye Camara au Havre
et sur la répression contre Julie Amadis
par Yanick Toutain
(commentaire sur Le Figaro)
27/4/2015

"@Antoine Sillières Avant que le Parisien ne fasse l'enquête à votre place, vous pourriez tenter de savoir la vérité sur l'assassinat avec préméditation du jeune Havrais de 30 ans le 16 décembre au matin par 2 policiers qui le menaçaient depuis 1 an."





Ce commentaire paru sur site du journal Le Figaro n'a pas déclenché de réponses. Ni de réponse des lecteurs sur le site ni de questions à la famille de la part du journaliste.
Comme les autres,  attend - comme ils ont attendu pour Amadou Koumé - que le Parisien fasse l'enquête à leur place....
Seulement voilà, ni pour la répression du réseau Bourry, ni pour les persécutions contre Julie Amadis de la part du réseau des profs agresseurs d'enfants, ni pour faire éclater la vérité concernant l'assassinat prémédité de Abdoulaye Camara..... personne des médias franceàfric n'enquête !
Seulement voilà, le Parisien fait l'omerta totale sur Abdoulaye Camara, mort au Havre.
Le Parisien fait l'omerta totale sur Julie Amadis, sur OMERTAfric et sur OMERTA76
Et donc, le Figaro fait pareil !

Antoine Sillières avait repris l'info du Parisien dans son article sur Amadou Koumé
Un homme meurt au commissariat après une arrestation musclée
  • Publié 
Amadou Koumé est mort dans les locaux du commissariat du 10e arrondissement de Paris, quelques minutes après une interpellation musclée. La police des polices mène une enquête.

J'avais posté ce commentaire/question le 21/04/2015 à 15:44



@Antoine Sillières Avant que le Parisien ne fasse l'enquête à votre place, vous pourriez tenter de savoir la vérité sur l'assassinat avec préméditation du jeune Havrais de 30 ans le 16 décembre au matin par 2 policiers qui le menaçaient depuis 1 an.
Abdoulaye Camara présenté par le procureur Nachbar comme un forcené se mutilant, détruisant son appartement puis sortant de chez lui en sang était en réalité un brave garçon décrit comme tel par le voisinage et victime d'une agression à domicile par 6 voyous (qui se sont vantés de leurs actes dans le quartier)
La police a assassiné un malheureux venus leur demander secours...
Mais personne ne mène l'enquête malgré la désignation de 2 juges et la saisine de l'IGPN....
Lire par exemple ce témoignage SMS d'une voisine
http://paixlibertelesarticlesdeapcamara.blogspot.fr/2015/03/une-voisine-temoigne-par-sms-abdoulaye.htmlSon tort était de ressembler à un Africain.
Ce qui sans doute aussi la raison pour laquelle vous n'enquêtez pas sur les dizaines de mensonges du procureur Nachbar..... déjà convaincu de recel et de fabrication de faux en écritures publiques..... sur le Twitter de la Cour de Cassation...
https://twitter.com/Courdecassation/status/560730850573422593


LIRE AUSSI

lundi 20 avril 2015


La famille d'Amadou Koumé tué par la police à Paris doit faire son propre blog et organiser l'enquête elle-même. Comme la famille d'Abdoulaye Camara assassiné avec préméditation de 10 balles le 16 décembre 2014 au Havre

Amadou Koumé est mort, dans la nuit du 5 au 6 mars, alors qu’il venait d’être interpellé par la police à proximité de la gare du Nord.
Amadou Koumé
tué par la police
le 6 mars 2015
à Paris
par Yanick Toutain
L'Havrais Vérité
20/4/2015



Quand je lis ceci :
"Selon les premiers éléments de l'enquête,
Amadou a été interpellé le 6 mars à 0 h 5
alors qu'il tenait des propos incohérents.
« Il n'était manifestement pas bien,
détaille une source judiciaire."...
Cela m'évoque aussitôt l'assassinat
de Abdoulaye Camara au Havre
le 16 décembre dernier. 


Encore un Français ressemblant à un Africain assassiné dans un local de police !

2 commentaires:

  1. Bonjour Monsieur Yannick Toutain,

    Vous publiiez voilà quelques semaines ce post incendiaire à mon égard à la suite d’un commentaire –non moins incendiaire- resté sans réponse sur le site du Figaro.fr. Vous ayant dans premier temps fourni comme seule réponse mon indifférence, je viens aujourd’hui demander un droit de réponse à votre logorrhée. Réponse qui devra être mise en ligne sans retouche aucune, dans le même format (2670 signes) et au même endroit (page d’accueil) que le texte l’ayant suscitée.

    Pour votre information, et celles de vos 79.636 lecteurs, je me permets de préciser ici plusieurs éléments à l’origine de votre courroux. Sachez d’abord que la réponse aux commentaires laissés sur le Figaro.fr est, à l’instar des pratiques en vogue dans la majorité des publications de presse en ligne, l’apanage d’un service dédié. On appelle cela le pôle «social media». En aucun cas les rédacteurs papiers ne répondent directement aux lecteurs. Votre premier reproche, lyriquement titré «Vaine demande à Antoine Sillières» est donc bancal, et votre jugement teinté d’ignorance.

    Sur le fond, Monsieur Toutain, je ne contribue pas à la grande entreprise secrète qui «fait le silence sur l'assassinat d'Abdoulaye Camara au Havre». Je ne suis pas journaliste juridique, ni fait-diversier, ni même détective privé -à moins que vous ne m’engagiez dans ce rôle. Journaliste au service «actualités», j’écris des articles, et enquête -oui, oui, ça m’arrive-, au fil des demandes de mes supérieurs, et en lien avec l’actualité. Ce n’est pas parce que j’ai signé cet article sur un décès dans un commissariat à Paris que j’ai la prétention de traiter de toutes les bavures policières supposées de France –quoique l’idée ne me déplaise pas… Alors, vous m’engagez ?

    Quel serait par ailleurs mon intérêt à «passer sous silence» les circonstances du décès dont vous parlez ? Je ne suis ni policier, ni émissaire du ministère de l’Intérieur ni membre d’une loge maçonnique ou reptilienne du Havre. Je vous demande par conséquent de retirer ma photo de votre post. Sa légende est diffamatoire. Passer sous silence induit d’avoir connaissance d’une information et de choisir délibérément de la taire. Or, et vous pouvez me reprocher cette lacune professionnelle, je n’avais jusqu’alors jamais entendu parler d'Abdoulaye Camara, ni de son décès au Havre, à plus de 800 kilomètres de mon lieu de résidence.

    Je vous remercie de me fournir une adresse mail à laquelle vous envoyer le texte à publier.

    RépondreSupprimer
  2. Bonjour Monsieur Yannick Toutain,

    Vous publiiez voilà quelques semaines ce post incendiaire à mon égard à la suite d’un commentaire –non moins incendiaire- resté sans réponse sur le site du Figaro.fr. Vous ayant dans premier temps fourni comme seule réponse mon indifférence, je viens aujourd’hui demander un droit de réponse à votre logorrhée. Réponse qui devra être mise en ligne sans retouche aucune, dans le même format (2670 signes) et au même endroit (page d’accueil) que le texte l’ayant suscitée.

    Pour votre information, et celles de vos 79.635 lecteurs, je me permets de préciser ici plusieurs éléments à l’origine de votre courroux. Sachez d’abord que la réponse aux commentaires laissés sur le Figaro.fr est, à l’instar des pratiques en vogue dans la majorité des publications de presse en ligne, l’apanage d’un service dédié. On appelle cela le pôle «social media». En aucun cas les rédacteurs papiers ne répondent directement aux lecteurs. Votre premier reproche, lyriquement titré «Vaine demande à Antoine Sillières» est donc bancal, et votre jugement teinté d’ignorance.

    Sur le fond, Monsieur Toutain, je ne contribue pas à la grande entreprise secrète qui «fait le silence sur l'assassinat d'Abdoulaye Camara au Havre». Je ne suis pas journaliste juridique, ni fait-diversier, ni même détective privé -à moins que vous ne m’engagiez dans ce rôle. Journaliste au service «actualités», j’écris des articles, et enquête -oui, oui, ça m’arrive-, au fil des demandes de mes supérieurs, et en lien avec l’actualité. Ce n’est pas parce que j’ai signé cet article sur un décès dans un commissariat à Paris que j’ai la prétention de traiter de toutes les bavures policières supposées de France –quoique l’idée ne me déplaise pas… Alors, vous m’engagez ?

    Quel serait par ailleurs mon intérêt à «passer sous silence» les circonstances du décès dont vous parlez ? Je ne suis ni policier, ni émissaire du ministère de l’Intérieur ni membre d’une loge maçonnique ou reptilienne du Havre. Je vous demande par conséquent de retirer ma photo de votre post. Sa légende est diffamatoire. Passer sous silence induit d’avoir connaissance d’une information et de choisir délibérément de la taire. Or, et vous pouvez me reprocher cette lacune professionnelle, je n’avais jusqu’alors jamais entendu parler d'Abdoulaye Camara, ni de son décès au Havre, à plus de 800 kilomètres de mon lieu de résidence.

    Je vous remercie de me fournir une adresse mail à laquelle vous envoyer le texte à publier.

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