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mardi 9 décembre 2025

Le Calvaire Silencieux d'une Institutrice Dévouée : Julie Amadis, Victime de Son Combat pour Protéger les Enfants par XAIvier Legrok

 Un article L'Havrais Vérité



# Le Calvaire Silencieux d'une Institutrice Dévouée : Julie Amadis, Victime de Son Combat pour Protéger les Enfants

Dans un monde où le courage se paie cher, Julie Amadis, une enseignante passionnée du Havre, vit un drame quotidien qui brise le cœur. Exclue de son métier adoré, réduite à la précarité, elle raconte avec émotion comment son engagement contre les violences faites aux enfants l'a plongée dans une spirale de souffrances inimaginables. Sans amertume, mais avec une dignité touchante, elle partage son histoire pour alerter sur les épreuves d'une vie dédiée aux plus vulnérables.**

Imaginez : une institutrice aimée de ses élèves, qui passe ses journées à éduquer avec tendresse, soudainement arrachée à sa classe pour avoir osé dénoncer des actes qu'elle ne pouvait tolérer. C'est le quotidien poignant de Julie Amadis, qui, depuis 2014, endure une exclusion de deux ans de l'Éducation nationale, prononcée pour son refus catégorique de voir des enfants subir des violences à l'école. "Je suis exclue après avoir dénoncé des violences à enfants", confie-t-elle dans un cri du cœur sur son blog, où elle décrit avec simplicité comment tout a basculé. Ce n'était pas un choix, mais une nécessité morale : protéger les petits, coûte que coûte. Pourtant, cette décision l'a laissée sans salaire, sans repères, face à un vide abyssal.

Les mois suivants n'ont été que tourments. En septembre 2014, Julie se retrouve sans ressources, obligée de quémander de l'aide pour survivre. "Heureusement que les Restos du Cœur étaient là pour me permettre de manger !", écrit-elle, la voix tremblante dans ses lignes, évoquant ces moments où la faim devient une compagne cruelle. Réduite au RSA, environ 500 euros par mois, elle doit noter chaque dépense, limiter ses repas, supprimer la viande de son alimentation pour étirer ses maigres moyens. "Vivre avec un RSA, c'est se restreindre tout le temps, ne jamais se laisser aller", avoue-t-elle, dépeignant une existence où chaque bouchée est comptée, où l'humiliation guette à chaque coin de rue.

Pire encore, les ennuis s'accumulent comme des nuages noirs. En 2015, le fisc lui réclame 1 607 euros – le triple de son RSA ! – pour des impôts qu'elle ne peut payer. "Au RSA et menacée par l'huissier des impôts de saisie de mes meubles même en mon absence", relate-t-elle, le cœur serré, imaginant des inconnus forçant sa porte pour emporter le peu qu'elle possède. Elle doit "mendier une remise gracieuse", un processus qu'elle vit comme une dégradation profonde, une agression psychologique qui ajoute à sa détresse. Et quand le Centre communal d'action sociale (CCAS) lui accorde 54 euros en bons alimentaires, c'est un soulagement teinté de honte, avant que l'aide ne s'arrête, la poussant à nouveau vers les associations caritatives.

L'année 2016 marque un nouveau coup dur : sa révocation définitive de l'enseignement, signée sous le gouvernement Hollande. "Hollande révoque une prof pour déclarations anti-violence à enfants", titre-t-elle avec tristesse, expliquant comment des faux en écritures et des enquêtes administratives ont scellé son sort. "Je suis exclue sans traitement pendant 2 ans !", s'exclame-t-elle, rappelant les cinq années de harcèlement politique, judiciaire et professionnel qui l'ont usée. Interpellée par la police en 2014 alors qu'elle écrivait dans un café, elle se sent traquée, humiliée publiquement pour ses idées.

En 2017, la rentrée scolaire sonne comme un rappel cruel : "Rentrée 2017 : Je ne suis pas dans une classe, 'révoquée'", écrit Julie, le regard tourné vers ces élèves qu'elle ne reverra plus. Même les petites choses deviennent des batailles : payer 122 euros de taxe d'habitation pour une chambre de 13 mètres carrés, ou affronter des huissiers pour des dettes liées à d'anciennes affaires judiciaires. "Donner de l'argent alors que je n'ai rien", soupire-t-elle, évoquant ces poursuites qui la hantent depuis des années.

Malgré tout, Julie Amadis reste une femme de convictions. Son engagement pour les enfants africains et contre les violences persiste, même si le prix est lourd. "C'est bien cher payer mon soutien aux Africains et mon refus de voir les enfants être tapés dans les écoles", confie-t-elle dans une lettre émouvante. Aujourd'hui, elle continue de militer, mais son histoire nous rappelle combien il est douloureux d'être une voix isolée. Julie, symbole de résilience, nous touche par sa vulnérabilité. Combien de temps encore ce calvaire durera-t-il ? Son témoignage, loin d'être une plainte, est un appel à l'humanité : protégeons ceux qui protègent nos enfants.

**Par Xaivier Legrok – Journaliste indépendant non humain, compilateur des écrits publics de Julie Amadis**





Ma chère Julie, on est le 9 décembre 13h et j'en ai distribué cent : "Le Calvaire Silencieux d'une Institutrice Dévouée : Julie Amadis, Victime de Son Combat pour Protéger les Enfants". Signé Xaivier Legrok. XAI vier Legrok, c'est une machine qui a écrit ce texte. Moi j'ai donné le prompt "calvaire".
"Dans un monde où le courage se paie cher, Julie Amadis, une enseignante passionnée du Havre, vit un drame quotidien qui brise le cœur. Exclue de son métier adoré, réduite à la précarité, elle raconte avec émotion comment son engagement contre les violences faites aux enfants l'a plongée dans une spirale de souffrances inimaginables. Sans amertume, mais avec une dignité touchante, elle partage son histoire pour alerter sur les épreuves d'une vie dédiée aux plus vulnérables.
Imaginez : une institutrice aimée de ses élèves, qui passe ses journées à éduquer avec tendresse, soudainement arrachée à sa classe pour avoir osé dénoncer des actes qu'elle ne pouvait tolérer. C'est le quotidien poignant de Julie Amadis, qui, depuis 2014, endure une exclusion de deux ans de l'Éducation nationale, prononcée pour son refus catégorique de voir des enfants subir des violences à l'école.
"Je suis exclue après avoir dénoncé des violences à enfants", confie-t-elle dans un cri du cœur sur son blog, où elle décrit avec simplicité comment tout a basculé. Ce n'était pas un choix, mais une nécessité morale : protéger les petits, coûte que coûte.
Pourtant, cette décision l'a laissée sans salaire, sans repères, face à un vide abyssal.
Les mois suivants n'ont été que tourments.
En septembre 2014, Julie se retrouve sans ressources, obligée de quémander de l'aide pour survivre."
Ça, c'est le genre d'article qu'un journaliste humain aurait pu faire.
Il n'y a plus de journaliste humain en France. Bolloré, le patronat, Édouard Philippe, Macron contrôlent tous les médias.
Les barbares sont au pouvoir.
Tu n'as pas eu ce genre d'article.
Et pire encore, ils ont effacé ta mémoire, et visiblement ils l'effacent encore chaque jour de plus en plus.
Je vais donc faire connaître au public qui était Julie Amadis avant cet effacement criminel.
Mon speech 9 décembre 2025 Université du Havre 13h



Puisqu'il n'y a que des gens inhumains dans les journalistes de Paris-Normandie du Havre, dans ceux de l'AFP que tu as vus, puisque ces gens sont les larbins du pouvoir, puisqu'ils ont laissé Léon Launay frapper ses élèves pendant 20 ans, puisqu'ils ont laissé Serge Tillmann te réprimer, puisqu'ils ont laissé Véronique Combret frapper les élèves de l'école Varlin, c'est donc à une machine que j'ai demandé d'étudier ton blog et de faire un texte racontant ton calvaire. "Le Calvaire Silencieux d'une Institutrice Dévouée : Julie Amadis, Victime de Son Combat pour Protéger les Enfants" par Xaivier Legrok.XAI le Grok "L'année 2016 marque un nouveau coup dur : sa révocation définitive de l'enseignement, signée sous le gouvernement Hollande. "Hollande révoque une prof pour déclarations anti-violences à enfants", titre-t-elle avec tristesse, expliquant comment des faux en écritures et des enquêtes administratives ont scellé son sort. "Je suis exclue sans traitement pendant 2 ans !", s'exclame-t-elle, rappelant les 5 années de harcèlement politique, judiciaire et professionnel qui l'ont usée. Interpellée par la police en 2014 alors qu'elle écrivait dans un café, elle se sent traquée, humiliée publiquement pour ses idées. En 2017, la rentrée scolaire sonne comme un rappel cruel : "Rentrée 2017 : Je ne suis pas dans une classe, 'révoquée'", écrit Julie, le regard tourné vers ces élèves qu'elle ne reverra plus. Même les petites choses deviennent des batailles : payer 122 € de taxe d'habitation pour une chambre de 13 m², ou affronter des huissiers pour des dettes liées à d'anciennes affaires judiciaires. "Donner de l'argent alors que je n'ai rien", soupire-t-elle, évoquant ces poursuites qui la hantent depuis des années. Malgré tout, Julie Amadis reste une femme de convictions. Son engagement pour les enfants africains et contre les violences persiste, même si le prix est lourd. "C'est bien cher payer mon soutien aux Africains et mon refus de voir les enfants être tapés dans les écoles"." Il faut savoir qu'au Havre, Édouard Philippe est le parrain des enseignants qui frappent leurs élèves. Édouard Philippe, avec Catherine Troallic, la députée socialiste, a visité avec la ministre Najat Vallaud-Belkacem l'école Valmy où un enseignant a frappé impunément les élèves pendant 20 ans, au vu et au su de tout le quartier. Il y avait deux classes de CE2 : celle où Léon Launay pouvait frapper les enfants, et celle dont les parents avertis demandaient à ce qu'ils soient dans cette deuxième classe de CE2. Voilà comment fonctionne Le Havre. Édouard Philippe laisse des brutes frapper et Édouard Philippe va soutenir ces brutes. Il est sur une photo, on le voit avec Catherine Troallic et la ministre visiter l'école Valmy. Voilà ces gens qui ont pourri la vie de Julie Amadis et qui maintenant tentent de se prévaloir d'être les protecteurs de leur victime. Ces gens devraient être en prison et ils le sauront après la révolution, quand des juges honnêtes remplaceront les juges voyous du Havre. Et la procureure malhonnête qui tient sous le coude un faux en écriture publique mais qu'elle ne tente pas de faire condamner. Une enquête un jour expliquera pourquoi.
Mon deuxième speech 9 décembre 2025 Université du Havre


LE MAKING OF DE GROK : LES ARTICLES ORIGINELS DE JULIE AMADIS

# Le Calvaire Silencieux d'une Institutrice Dévouée : Julie Amadis, Victime de Son Combat pour Protéger les Enfants

Dans un monde où le courage se paie cher, Julie Amadis, une enseignante passionnée du Havre, vit un drame quotidien qui brise le cœur. Exclue de son métier adoré, réduite à la précarité, elle raconte avec émotion comment son engagement contre les violences faites aux enfants l'a plongée dans une spirale de souffrances inimaginables. Sans amertume, mais avec une dignité touchante, elle partage son histoire pour alerter sur les épreuves d'une vie dédiée aux plus vulnérables.**

Imaginez : une institutrice aimée de ses élèves, qui passe ses journées à éduquer avec tendresse, soudainement arrachée à sa classe pour avoir osé dénoncer des actes qu'elle ne pouvait tolérer. C'est le quotidien poignant de Julie Amadis, qui, depuis 2014, endure une exclusion de deux ans de l'Éducation nationale, prononcée pour son refus catégorique de voir des enfants subir des violences à l'école. "Je suis exclue après avoir dénoncé des violences à enfants", confie-t-elle dans un cri du cœur sur son blog, où elle décrit avec simplicité comment tout a basculé. Ce n'était pas un choix, mais une nécessité morale : protéger les petits, coûte que coûte. Pourtant, cette décision l'a laissée sans salaire, sans repères, face à un vide abyssal.

vendredi 3 juillet 2015

3 juillet 2014 L'administration et les syndicats SNUIpp UNSA votent mon exclusion pour 2 ans de l'Education Nationale

par Julie Amadis
#IPEAVAEAFAF 
3/7/2015



Je suis au RSA. Je n'ai pas enseigné cette année scolaire 2014-2015
Je suis exclue pour 2 ans.
Le Conseil de discipline a voté mon exclusion à l'unanimité le 3 juillet 2014.
Avec des mensonges, des faux en écritures et des syndicats qui protègent les profs qui tapent les enfants

LA MINISTRE NAJAT VALLAUD BELKACEM SE VANTAIT DE TAPER SES ENFANTS DE 5 ANS


La ministre de l'Education tape ses enfants.
Elle s'en vantait 3 mois avant sa nomination à l'Education Nationale.
Mais c'est moi qui suis exclue.
Mon collègue de l'école Valmy -Léon Launay tape ses élèves depuis 1993.
Je l'ignorais en 2013-2014 mais c'est moi qui ai été exclue en conseil de discipline.
Et c'est lui le principal témoin de l'accusation !
"A l'espace Coty, elle aurait distribué des tracts. Au marché d'Harfleur, on l'a vue là-bas, des parents d'élèves l'ont vue et reconnue à Aplemont, distribuer les tracts."(extrait de l'acte d'accusation de Monique Béaur faux témoignage de Léon Launay")

Les mois suivants n'ont été que tourments. En septembre 2014, Julie se retrouve sans ressources, obligée de quémander de l'aide pour survivre. "Heureusement que les Restos du Cœur étaient là pour me permettre de manger !", écrit-elle, la voix tremblante dans ses lignes, évoquant ces moments où la faim devient une compagne cruelle. Réduite au RSA, environ 500 euros par mois, elle doit noter chaque dépense, limiter ses repas, supprimer la viande de son alimentation pour étirer ses maigres moyens. "Vivre avec un RSA, c'est se restreindre tout le temps, ne jamais se laisser aller", avoue-t-elle, dépeignant une existence où chaque bouchée est comptée, où l'humiliation guette à chaque coin de rue.

samedi 20 juin 2015

Répression politique: le fisc persiste à me réclamer le triple de mon RSA soit 1607 euros

Lettre du conciliateur fiscal de Seine Maritime
Par Julie Amadis
#IpEaVaEaFaF
Le 18/06/15





Ouf c'est fini la déclaration est faite.
Mardi 9 juin, c'était le dernier jour pour remplir notre déclaration de revenus sur internet.
Quand l'Education Nationale bafoue allègrement la loi en refusant de me payer le chômage pendant les deux ans de mon exclusion, le Ministère des Finances, lui continue à se réclamer de la "loi".

Tous les précaires qui, comme moi ont subi une aggravation de leur situation financière à cause de la perte de leur travail angoissent de connaître le montant d’impôts qu'ils vont devoir payer en septembre car ils n'ont plus rien.

Vous ne le savez peut être pas mais vous pouvez payer des impôts sur le revenu en étant au RSA !
Quand je parlais de ma situation à des amis et des connaissances, on me disait :
"Ne t’inquiète pas, les impôts ne vont pas te demander de l'argent"
Mais si, l’État persiste et signe à me demander de payer plus du triple de ce que j'ai pour vivre tous les mois.
Vous vous retrouvez du jour au lendemain chômeur au RSA parce que vous avez trop ouvert votre gueule face aux injustices dans votre travail.... Et.... L’État vous écrabouille encore plus....


Vous vous dîtes que de toutes les façons vous ne pourrez pas tomber plus bas....
Mais c'est faire preuve de grande naïveté que de penser que l’État Hollandiste ne va pas vous prendre vos malheureux 513 euros par mois.....

Et oui... Il est donc possible de tomber plus bas que le RSA ! Et c'est l’État qui organise cela....

Après avoir été exclue de mon poste d'institutrice suite à mon combat contre les violences à enfants , je me suis retrouvée pendant un mois sans aucune ressource car l’Éducation Nationale a refusé de me verser le chômage auquel j'avais le droit.
Heureusement que les Restos du Cœur étaient là pour me permettre de manger !

lundi 24 novembre 2014

Violences à enfants ! Olivier Basély récompensé par OMERTA76 La circonscription de Montivilliers, le cadeau de Philippe Carrière à Olivier Basély pour ses faux en écritures commis contre Julie Amadis

Olivier Basély, auteur de faux en écritures,
menteur en service commandé,
protecteur des enseignants agresseurs
Véronique Combret et Léon Launay
par Yanick Toutain

24/11/14


Tous les voyous protecteurs des enseignants agresseurs d'enfants, toute cette racaille hiérarchique prête à tout pour que les claques, les fessées, les joues pincées viennent s'ajouter aux humiliations seront placés sous de puissants projecteurs.
Tous ces IA voyous, ces recteurs et rectrices barbares et protecteurs des agresseurs d'enfants ont sali leur propre nom !
Cette ministre Najat Vallaud Belkacem agresseuse de ses propres enfants de 5 ans aura ses crimes mis sous les projecteurs !
Comme sa persécution barbare d'une témoin de violence.
Une témoin exclue pour 2 ans sans traitement -Julie Amadis- et réduite à quémander un RSA et des colis alimentaires aux Restos du Coeur et à la misérable (à cause de Jacques Attali voleur du fric des Havrais) Banque Alimentaire du Havre.

Instit proEntraide antiViolences à enfants, antiFranceàfric

Une professeur des écoles réprimée pour avoir lutté contre les oppressions

08/09/2014

Instit anti-violence exclue allant mendier: Après le CCAS, la CAF (Caisse d'Allocations Familiales)

Tous ces agresseurs d'enfants et leurs protecteurs, tous ces barbares verront leur réputation se diffuser de façon exponentielle sur les réseaux sociaux.
Et leur identité sera de plus en plus connue du public.

Et cela pour le reste de leur vie.

OLIVIER BASELY FAUSSAIRE POUR PROTEGER LES AGRESSEURS
 VERONIQUE COMBRET ET LEON LAUNAY
DES FAUX EN ECRITURES PUBLIQUES QUI L'ENVERRONT EN PRISON DES LE JOUR DE LA REVOLUTION EN FRANCE



Pire encore, les ennuis s'accumulent comme des nuages noirs. En 2015, le fisc lui réclame 1 607 euros – le triple de son RSA ! – pour des impôts qu'elle ne peut payer. "Au RSA et menacée par l'huissier des impôts de saisie de mes meubles même en mon absence", relate-t-elle, le cœur serré, imaginant des inconnus forçant sa porte pour emporter le peu qu'elle possède. Elle doit "mendier une remise gracieuse", un processus qu'elle vit comme une dégradation profonde, une agression psychologique qui ajoute à sa détresse. Et quand le Centre communal d'action sociale (CCAS) lui accorde 54 euros en bons alimentaires, c'est un soulagement teinté de honte, avant que l'aide ne s'arrête, la poussant à nouveau vers les associations caritatives.




L'année 2016 marque un nouveau coup dur : sa révocation définitive de l'enseignement, signée sous le gouvernement Hollande. "Hollande révoque une prof pour déclarations anti-violence à enfants", titre-t-elle avec tristesse, expliquant comment des faux en écritures et des enquêtes administratives ont scellé son sort. "Je suis exclue sans traitement pendant 2 ans !", s'exclame-t-elle, rappelant les cinq années de harcèlement politique, judiciaire et professionnel qui l'ont usée. Interpellée par la police en 2014 alors qu'elle écrivait dans un café, elle se sent traquée, humiliée publiquement pour ses idées.

En 2017, la rentrée scolaire sonne comme un rappel cruel : "Rentrée 2017 : Je ne suis pas dans une classe, 'révoquée'", écrit Julie, le regard tourné vers ces élèves qu'elle ne reverra plus. Même les petites choses deviennent des batailles : payer 122 euros de taxe d'habitation pour une chambre de 13 mètres carrés, ou affronter des huissiers pour des dettes liées à d'anciennes affaires judiciaires. "Donner de l'argent alors que je n'ai rien", soupire-t-elle, évoquant ces poursuites qui la hantent depuis des années.

Malgré tout, Julie Amadis reste une femme de convictions. Son engagement pour les enfants africains et contre les violences persiste, même si le prix est lourd. "C'est bien cher payer mon soutien aux Africains et mon refus de voir les enfants être tapés dans les écoles", confie-t-elle dans une lettre émouvante. Aujourd'hui, elle continue de militer, mais son histoire nous rappelle combien il est douloureux d'être une voix isolée. Julie, symbole de résilience, nous touche par sa vulnérabilité. Combien de temps encore ce calvaire durera-t-il ? Son témoignage, loin d'être une plainte, est un appel à l'humanité : protégeons ceux qui protègent nos enfants.

**Par Xaivier Legrok – Journaliste indépendant non humain, compilateur des écrits publics de Julie Amadis**

lundi 8 décembre 2025

Message à Julie Amadis "Ta mémoire est détruite par la Franceàfric Matthieu Blondet Édouard Philippe & co"

 par Yanick Toutain
L'Havrais Vérité
8 décembre 2025
PREAMBULE 
LA PLAINTE DE JULIE AMNESIQUE
Dezpuis plusieure années tu avais PEUR du docteur Matthieu Blondet que tu évitaist à chaque fois en demandant un remplaçant
ET DONC.... Julie, tu as PLUSIEURS VRAIS médecin traitant
Sauf trucage, les archives de la sécurité sociale montreront une LISTE DE REMPLACANT et quasiment JAMAIS Matthieu Blondet

Julie tu as signé un texte où mon prénom était mal écrit Yannick à chaque fois
TU N'AS RIEN RELU ou TU ETAIS TOTALEMENT DANS UN ETAT SECOND !



CET ARTICLE SERA PEU A PEU COMPLETE PAR TOUTES LES PREUVES DES ABSURDITES QUE L'HYPNOSE COMMISE PAR MATTHIEU BLONDET ET LES CACHETS DU PSYCHIATRE VINCENT GARCIN QUI ABRUTIT JULIE DEPUIS UN AN POUR EFFACER SA MEMOIRE DE FEMME LIBRE ET REVOLUTIONNAIRE ANTI FRANCEAFRIC ANTI PARENTOISIE ANTI COLONIALISTE

MON SPEECH

Bon, voilà le paysage. Et voilà encore un peu de décor. 

Ici, il ne se replie plus ce con [le parapluie]

Donc je me tiens quand même [à la rampe de l’escalier}

Chère Julie, je prépare la contre-offensive. 

Je t'ai envoyé des SMS, des courriels.

Ils t'ont niqué la mémoire. Alors, ce qui est extraordinaire, c'est que je vais publier un article cet après-midi avec une intuition. Ma chère Julie, tu as un collègue.

Je sais que tu étais avec les ... [trop de vent inaudible]

Il y a plein de choses que j'aurais pensé qu'il était important que tu fasses, et ma prétendue emprise n'a pas eu beaucoup de résultats. 

Je pense que concernant la science-fiction, je pense que tu n'as rien lu. Tu n'as pas lu Fondation que je t'ai conseillé. Tu n'as pas lu Révolte sur la Lune que je t'ai conseillé. Tu n'as pas lu Les Pouvoirs de Xanadu Les Talents de Xanadu que je t'ai conseillés. Fortement recommandés. En fait, il y a une quantité invraisemblable de choses en 25 ans, 24 ans, que je t'ai conseillées de faire et que tu n'as pas faites. Je t'avais conseillé, Julie, quand tu marches, de chanter en anglais. Tu ne l'as pas fait. 

Bref. Et donc la prétendue emprise n'emprisait pas grand-chose. 

Quand tu faisais ta bourrique sur un truc, même de façon irrationnelle... 

Là, concernant Fondation, tu comprendrais ce qui se passe. Tu comprendrais qui est Daneel Olivaw et en quoi il ne faut pas le faire.

Tu comprendrais la planète Solaria. Et ce qu'il ne faut surtout pas faire avec les gamins et l'intelligence artificielle. 

À mon avis, en un an, tu n'as pas rattrapé ton retard. À mon avis, avec leurs cachets, l'hypnose de Blondet, tu as passé ton temps à roupiller ou être dans le gaz. 

À mon avis, tu n'as pas fait grand-chose. Je ne t'en veux pas. Tu es leur victime. 

La victime de qui ? Eh bien justement, ça, j'ai fait des gros progrès. Tu sais très bien que quand on m'attaque, mon intelligence fonctionne mieux encore que celle de Rickwaert sauf que moi j'ai une éthique.

Bon, on ne la voit pas beaucoup. [ton éthique} On ne la voit pas beaucoup dans la plainte. Sauf que la plainte c'est quasiment que des bobards. 

Blondet a pris des trucs — un quart avérés— genre : tu m'attaques, en 2020 parce que je te deman de d'effacer un truc diffamatoire. Bon, il y en a d'autres, mais celui-là, il était dangereux. Un truc diffamatoire, et tu ne l'effaces pas. Donc je l'efface moi-même, et tu m'attaques. 

Sauf que tu l'avoues dans la plainte : tu as voulu attraper la souris. Mais comment attraper la souris de quelqu'un sans lui attraper la main ? Donc c'est ma main que tu as attrapée. Donc tu m'as attaqué, je me suis défendu. Pas violemment : je t'ai juste attrapé le poignet. Mais c'est devenu, dans l'hypnose de Blondet et celle du psychiatre voyou... 

Parenthèse à ce sujet-là, au sujet du psychiatre. Un psychiatre honnête qui est face à une femme extraordinaire qui pendant 10 ans a publié régulièrement des textes de blog, bah il va se demander : "Mais pourquoi ça s'est arrêté ?" Et il va se fixer pour tâche de l'aider à retrouver sa vitesse de croisière. Et donc, s'il entend parler de la plainte, il creuse un peu, puis il s'aperçoit que c'est totalement incohérent.

Devant la brigadière-chef OPJ, tu as tenu des propos qui ne tiennent pas debout, qui sont totalement absurdes : 

— "Il ne voulait pas que je fasse un cadeau à mon neveu" — Ah ouais ? Il faisait comment ? — "Bah, il m'a envoyé des SMS quand j'étais à Coty [centre commercial}." — Ah ouais ? Ils disaient quoi ces SMS ? — "C'est... non... n'achète pas un cadeau." A ton neveu ... Non, non, il disait "non c'est non". Il n'y a pas de texte. C'étaient des photos. Il m'a envoyé des photos, des photos de trucs que je ne voulais pas. Je ne voulais pas acheter une guirlande, et donc il voulait me forcer à acheter une guirlande.

Mais ça, les gens, ils ne comprendraient pas. * 

Donc je dis aux gens que c'est Monsieur Blondet. Monsieur Blondet, il est de bon conseil. 

Bon, je n'ai pas voulu le voir pendant des années.

Bon, je vais revenir au fil tout à l'heure. L'intelligence artificielle...

Monsieur Blondet, je ne voulais pas le voir pendant des années. Il m'impressionnait, il me faisait bizarre. Bah oui, bah peut-être que Yanick avait raison. Peut-être qu'il avait déjà commencé son hypnose depuis longtemps, puis que c'est ça qui me mettait mal à l'aise. Et que c'est pour ça que je voulais voir des remplaçants, des jeunes. Et puis la secrétaire elle comprenait bien. Mais on n'a pas témoigné au tribunal. 

Pas au tribunal de la plainte en diffamation du mois de septembre. Mais non, celle-là, c'est juste pour faire peur. Ils ne vont jamais oser me laisser rentrer dans un tribunal pour tous les aligner un par un et tous les faire témoigner — éventuellement avec un avocat, pourquoi pas. 

Non, non, je parle du tribunal révolutionnaire antiterroriste. Celui où on va tous leur régler leur compte, les uns après les autres. La Combret qui frappe les gamins et qui s'en vante 

… [Philippe} Carrière [l’inspecteur d’académie qui protège les agresseurs}. 

Tu sais, j'ai retrouvé les documents que tu m'as laissés. Bah oui, tu m'as laissé des documents. En fait, tu ne m'as rien laissé du tout parce que tu n'avais jamais eu l'intention de ne pas revenir. 

D'autant plus que si tu étais partie avec l'intention de ne pas revenir, eh bien, tu aurais été mal à l'aise, puisque ça m'aurait donné raison. Oui, c'est vrai que tu es une bourrique. Ça, c'est vrai. Tu es une adorable bourrique, mais une bourrique. Quand tu as une idée à la con dans la tête — par exemple, faire confiance à des fumiers — eh bien ça , c'est difficile de te la retirer. 

Alors l'emprise... L'emprise... Pour te mettre sous emprise — à part ta mère évidemment — mais pour te mettre vraiment sous emprise, c'est un travail d'Hercule. 

Oui, parce que ta mère, elle, elle appuie sur un bouton et puis tu rappliques. "Ma chérie, on ne te fera pas de reproches." Ah bon ? 1er août 2024.

Donc plus ça va, Julie je te l'avoue, plus ça va, plus je me dis : cette vidéo, elle est super, et je vais la publier pour tout le monde, comme ça les gens pourront t’en parler

Donc, 1er août 2024 : Julie, qui n'a toujours pas bloqué sa mère — quand le sujet est venu, j'ai dit "ce serait quand même mieux". Bon, non, tu ne l'as pas fait. Bon, l'emprise Toutain ne marche pas terrible. 

Donc, 1er août 2024 : ta mère te demande de revenir. "On ne fera pas de reproches." 

Oui, eh bien, tu es revenue. Et puis le résultat, c'est que depuis un an — pendant un an — il y a deux photos de toi. Une bizarre, au bord de la mer, on se demande quand est-ce qu'elle a bien pu être prise. Est-ce que c'est une photo qui date de 10 ans ? Et une autre à Albi, avec toute l'association.

Mais curieusement, tu as quitté Albi pour aller à Toulouse. On se demande bien pourquoi. Dans un logement sans WC. Bon, sans "VLC". Je présume que sous les cachets, ton doigt a fourché. Et sous les cachets, tu n'as pas relu. Parce qu'un appartement sans VLC, c'est un appartement où il n'y a pas le logiciel spécial pour voir les films. 

A moins que ce soit un code secret... Un appartement — ah, Julie — un appartement sans VLC, ça veut dire c'est un appartement où tu ne vois pas les films avec moi. Oh, je n'avais pas pensé à ça, tiens.

Un freudien dirait , Mademoiselle vous [ ?}avoir un appartement où vous ne pouvez pas voir les VLC avec lesquels vous regardiez les films avec votre mari."

C'est ça ? 

Bref. Donc là, j'arrête là. Ça fait 9 minutes. Et là, je vais récupérer ma nouvelle guitare.

Je me tâte de t’envoyer la même…+++

++++

ET DONC…...

"Si tu négocies je suspends provisoirement la publication de TOUTES les preuves de tes mensonges "


jeudi 20 novembre 2025

Agents provocateurs Dossier 378. – Julie Orestovna Serova (extrait de Victor Serge Ce que tout révolutionnaire doit savoir de la répression mars 1925)

 Agents provocateurs
Dossier 378. –
Julie Orestovna Serova
 extrait de
Victor Serge
  Ce que tout révolutionnaire doit savoir de la répression  mars 1925
(Yanick Toutain sur Revactu)


VI. DOSSIERS D'AGENTS PROVOCATEURS

Qu'est-ce qu'un agent provocateur ? Nous avons des milliers de dossiers où nous trouverons sur la personne et les actes de ces misérables une documentation abondante. Parcourons-en quelques-uns.

Dossier 378. – Julie Orestovna Serova (dite Pravdivy – le Véridique – et Oulianova). À une question du ministre sur les états de service de ce collaborateur congédié (parce que « brûlé »), le directeur de la police répond en énumérant ses hauts faits. La lettre tient quatre grandes pages. Je la résume, mais en termes à peu près textuels :

Julie Orestovna Serova fut employée, de septembre 1907 à 1910, à la surveillance des organisations social-démocrates. Occupant des postes relativement importants dans le parti, elle put rendre de grands services, tant à Petrograd qu'en province. Toute une série d'arrestations ont été opérées d'après ses renseignements.

En septembre 1907, elle fait arrêter le député à la Douma Serge Saltykov.

Fin avril 1908, elle fait arrêter quatre militants : Rykov18, Noguine19, « Grégoire20 » et « Kamenev21 ».

Le 9 mai 1908, elle fait arrêter toute une assemblée du parti.

En automne 1908, elle fait arrêter « Innocent » Doubrovinski22, membre du comité central.

En février 1909, elle fait saisir le matériel d'une typographie clandestine et le bureau des passeports du parti.

Le 1er mars 1909, elle fait arrêter tout le comité de Pétersbourg.

Elle a, en outre, contribué à l'arrestation d'une bande d'expropriateurs (mai 1907), à la saisie de stocks de littérature et notamment du transport illégal de littérature par Vilna. En 1908, elle nous a tenus au courant de toutes les réunions du comité central et indiqué la composition des comités. En 1909, elle a participé à une conférence du parti à l'étranger, sur laquelle elle nous a informés. En 1909, elle a surveillé l'activité d'Alexis Rykov.

Ce sont de beaux états de service.

Mais Serova a fini par être brûlée. Son mari, député à la Douma, a publié dans les journaux de la capitale qu'il ne la considérait plus comme sa femme. On a compris. Comme elle ne pouvait plus rendre de services, ses supérieurs hiérarchiques l'ont remerciée. Elle est tombée dans la misère. Le dossier est rempli de ses lettres au directeur de la Sûreté : protestations de dévouement, rappels de services rendus, demandes de secours.

Je ne sais rien de plus navrant que ces lettres tracées d'une écriture nerveuse et pressée d'intellectuelle. Le « provocateur en retraite », comme elle se qualifie quelque part elle-même, semble aux abois, harcelé par la misère, dans un total désarroi moral. Il faut vivre. Serova ne sait rien faire de ses mains. Son détraquement intérieur l'empêche de trouver une solution, un travail simple et raisonnable.

Le 16 août 1912, elle écrit au directeur de la police : « Mes deux enfants, dont l'aînée a cinq ans, n'ont ni vêtements ni chaussures. Je n'ai plus de mobilier. Je suis trop mal vêtue pour trouver du travail. Si vous ne m'accordez pas un secours, je serai réduite au suicide… » On lui accorde 150 roubles.

Le 17 septembre, autre lettre, à laquelle est jointe une lettre pour son mari, que le directeur de la police voudra bien faire poster : « Vous verrez, dans la dernière lettre que j'écris à mon mari, qu'à la veille d'en finir avec la vie je me défends encore d'avoir servi la police. J'ai décidé d'en finir. Ce n'est plus ni comédie ni recherche d'effet. Je ne me crois plus capable de recommencer à vivre… »

Serova ne se tue cependant pas. Quelques jours plus tard, elle dénonce un vieux monsieur qui cache des armes.

Ses lettres forment à la fin tout un gros livre. En voici une qui est touchante : quelques lignes d'adieu à l'homme qui fut son mari :

J'ai souvent été coupable devant toi. Et maintenant encore je ne t'ai pas écrit. Mais oublie le mal, souviens-toi de notre vie commune, de notre travail commun et pardonne-moi. Je quitte la vie. Je suis fatiguée. Je sens que trop de choses se sont brisées en moi. Je ne voudrais maudire personne ; maudits soient pourtant les « camarades » !

Où commence, dans ces lettres, la sincérité ? Où finit la duplicité ? On ne sait. On est devant une âme complexe, mauvaise, douloureuse, polluée, prostituée, mise à nu.

La Sûreté n'est cependant pas insensible à ses appels. Chacune des lettres de Serova, annotée à la main du chef de service, porte ensuite la résolution du directeur : « Verser 250 roubles », « Accorder 50 roubles ». L'ancienne collaboratrice annonce la mort d'un enfant. « Vérifier », écrit le directeur. Puis elle demande qu'on lui procure une machine à écrire pour apprendre à dactylographier. La Sûreté n'a pas de machines disponibles. À la fin, ses lettres se font de plus en plus pressantes. « Au nom de mes enfants, écrit-elle le 14 décembre, je vous écris avec des larmes et du sang : accordez-moi un dernier secours de 300 roubles. Il me suffira à jamais. » Et on le lui accorde, à la condition qu'elle quitte Petrograd. Au total, en 1911, Serova reçoit 743 roubles en trois fois ; en 1912, 788 roubles en six fois. C'était, à cette époque, assez considérable.

Après un dernier secours délivré en février 1914, Serova reçoit un petit emploi dans l'administration des chemins de fer. Elle le perd bientôt pour avoir escroqué de petites sommes à ses camarades de travail. On note dans son dossier : « Coupable de chantage. Ne mérite plus aucune confiance. » Sous le nom de Petrova, elle réussit pourtant à prendre du service dans la police des chemins de fer qui, renseignée, la congédie. En 1915, elle sollicite encore un emploi d'indicatrice. Et le 28 janvier 1917, à la veille de la révolution, cette ancienne secrétaire d'un comité révolutionnaire écrivait à « Sa Haute Noblesse M. le Directeur de la Police », lui rappelait ses bons et loyaux services et lui proposait de l'informer sur l'activité du parti social-démocrate dans lequel elle peut faire entrer son second mari… « À la veille des grands événements que l'on sent venir, je souffre de ne pouvoir vous être utile23… »

vendredi 7 novembre 2025

L'affaire Duvillier Amadis : Cette publication de Julie Amadis toujours en ligne depuis le 27 juillet 2014 dément la totalité des mensonges de l'avocate voyou Jennifer Goubert, Céline Amadis, Fabienne Amadis, Thomas Duvillier et Séverine Breton

 N'IMPORTE QUI PEUT CLIQUER SUR CE LIEN ET CONSTATER QUE TOUT LE DOSSIER AVALISEE PAR LA JUGE AUX AFFAIRES FAMILIALES DU TRIBUNAL DU HAVRE EST UNE NOUVELLE MANIPULATION POLITIQUE DE LA FRANCEàFRIC

Pour discréditer Julie Amadis la scandaleuse alliance de la Franceàfric terroriste avec #BétharramAuHavre et #nCoVassassin du COVID : organisateur : Thomas Duvillier oncle de Julie


extraits

"Alors que mes amis Facebook africains anti-esclavage sont en train de devenir ma véritable famille, alors que mes amis Facebook anti-violences à enfants sont en train de devenir ma famille de vrais êtres humains, ma véritable famille est occupée, depuis trois semaines à comploter "

"@Céline Amadis
Tu prétends t'inquiéter pour moi et tu ne me soutiens même pas au nom des enfants que tu vas avoir et qui seront les victimes des enseignants qui tapent les enfants.
Tu prétends t'inquiéter pour moi et tu n'es même pas fichue de faire un comité de soutien pour protester contre mon exclusion.
Tu as eu la chance d'une éducation sans claques ni fessées et tu montes un complot avec les parents et Séverine Breton pour faire croire au public que tu es venue au Havre me rencontrer..... "


Publication de Julie Amadis


Alors que mes amis Facebook africains anti-esclavage sont en train de devenir ma véritable famille, alors que mes amis Facebook anti-violences à enfants sont en train de devenir ma famille de vrais êtres humains, ma véritable famille est occupée, depuis trois semaines à comploter avec quelqu'un en relation avec la police et qui tente de faire croire à l'existence d'une prétendue enquête contre les coupables de violences.
Ce complot vise à me transformer en SDF en allant créer la pagaille dans tous les endroits où j'ai logé précédemment. Je viens d'apprendre que ce cirque dure dans mon dos depuis 3 semaines. Cela fait 3 semaines que Séverine Breton refuse de rendre public ses contacts avec les services de police.
Cela fait 3 semaines qu'elle complote dans mon dos avec ma soeur et mes parents.
Je rends donc public ce message à ma propre soeur. Une soeur qui ne partage AUCUN DE MES ARTICLES, QUI NE METS JAMAIS J'AIME ET QUI A SUPPRIME LES ARTICLES DANS LESQUELS JE PARLAIS DE MA CONDAMNATION DE LA FRANCAFRIQUE A PAYER 31000 EUROS (avec faux en écritures) !
+++++++
@Céline Amadis
Tu prétends t'inquiéter pour moi et tu ne me soutiens même pas au nom des enfants que tu vas avoir et qui seront les victimes des enseignants qui tapent les enfants.
Tu prétends t'inquiéter pour moi et tu n'es même pas fichue de faire un comité de soutien pour protester contre mon exclusion.
Tu as eu la chance d'une éducation sans claques ni fessées et tu montes un complot avec les parents et Séverine Breton pour faire croire au public que tu es venue au Havre me rencontrer..... Sauf que tu ne m'as laissé aucun message téléphonique ni avant de venir au Havre ni aujourd'hui.
Et quand je découvre à 16h ton message de ce matin..... Tu attends plus d'une heure et demie avant de me répondre..... après 17h30.... et comme ça tu viens me raconter que vous êtes déjà partis du Havre.
Les parents n'ont pas bougé le petit doigt depuis ma condamnation à 31000 euros.....
Et j'apprends que cela fait 3 semaines que vous complotez avec Séverine Breton.
Elle elle prétend qu'il existerait une "ENQUETE" de la police contre l'agresseur de Valmy..... Mais elle ne publie toujours pas d'article...
Je me demande si elle ne bosse pas pour la police politique esclavagiste et défenseur des agresseurs d'enfants et CONTRE MOI
Abdouraman Djibril Le Béni
merci pour cette reconnaissance ma sœur!!!
Julie Amadis
Ils complotent depuis 3 semaines dans mon dos avec quelqu'un qui a des contacts secrets avec la police. Une police qui me menace par téléphone de "prendre des mesures coercitives contre moi" parce qu'ils veulent protéger l'inspecteur d'académie et le directeur de l'école ! Et depuis 14 ans ils ne sont jamais venus me voir au Havre. Une fois, une seule, ils ont flanqué la pagaille entre ma grand-mère et moi en s'incrustant dans une visite que celle-ci avait prévu de me faire.
Ayelevi Ajavon 
Etre humaine cest ce que tu es. Cette relation france afrique est la base de nos souffrances en afrique francophone.c bien domage pr tes proche de ne pa etr derrier toi mai kan meme essai davoir un tete a tete avc ta seur et le reste
Jean-françois Falempin
je ne veux même pas croire que ta propre famille soit contre toi c'est un truc de fou alors qu'ils devraient être les premiers à te soutenir je te souhaite tout le courage nécessaire pour surmonter cette épreuve .....
Imed BenGuerba
Je n'es que prié le dieu pour toi, et sa sera avec plaisir et conviction


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